Catalogue généré le 30/12/2022 à 01:18:27 avec Ant Movie Catalog - Total: 1326 films.
[ ++ Autres / Action / Animation / Aventure / Comédie / Comédie dramatique / Documentaire / Drame / Fantastique / Guerre / Historique / Horreur / Policier / Science-fiction / Suspense / Thriller / Western ]
Titre Traduit | Titre Original | Pays | Année | Catégorie | Durée |
Général | Support | Type de support | Langue | Format | Date d'ajout |
Réalisateur | Acteurs | ||||
Adresse Web | |||||
Synopsis | |||||
Commentaire | |||||
47 Ronin | 47 Ronin | USA | 2013 | Action | 119 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 15/08/2022 | ||
Carl Rinsch | Keanu Reeves, Hiroyuki Sanada, Kô Shibasaki, Tadanobu Asano, Min Tanaka, Rinko Kikuchi, Jin Akanishi, Masayoshi Haneda | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=141505.html | |||||
Un perfide seigneur de guerre ayant tué leur maître et banni leur tribu, 47 samouraïs errants jurent de se venger et de restaurer l'honneur de leurs compatriotes. Arrachés à leurs foyers et perdus aux quatre coins des terres connues, cette poignée de rebelles se voit contrainte de recourir à l'aide de Kai - un demi sang qu'ils avaient jadis renié - lors de leur combat à travers un univers violent, peuplé de monstres mythologiques, de métamorphoses maléfiques et d'effroyables dangers. Cet exil sera l'occasion pour cet esclave rejeté de se révéler leur arme la plus redoutable, et de devenir la figure héroïque qui donnera à cette troupe d'insoumis l'énergie de marquer à jamais l’éternité. | |||||
Cette superproduction élégante, riche en effets spéciaux et en combats habilement chorégraphiés, dépoussière le film de samouraï et marque le retour d'un Keanu Reeves au meilleur de sa forme. |
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Battle Royale | Battle Royal | Japon | 2001 | Action | 115 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 20/01/2006 | |
Kinji Fukasaku | Tatsuya Fujiwara, Aki Maeda, Taro Yamamoto, Masanobu Ando et Takeshi Kitano | ||||
http://www.cinemovies.fr/fiche_film.php?IDfilm=256 | |||||
Le Japon dans un futur pas si lointain. Le gouvernement, face à la crise et à une recrudescence de “délinquance juvénile”, vote une loi pour lutter contre ce phénomène social : le Battle Royal Act. Ce dernier consiste en l’organisation d’un jeu sur une île, où l’on a préalablement réuni une classe d’une quarantaine de lycéens jugés turbulents, dont l’unique règle est la survie. Et ce n’est pas contre les éléments que les lycéens doivent lutter mais entre eux, dans l’espoir d’être l’unique survivant qu’exige le règlement. Quant à ceux qui refuseront d’obtempérer, ils verront leurs colliers posé de fraîche date exploser... | |||||
Sorti dans les salles japonaises l’année dernière ce film a défrayé la chronique et déclenché les foudres du gouvernement et de la censure. En adaptant un roman sujet à polémique en son temps Kinji Fukasaku (Tora, Tora, Tora, en collaboration avec R. Fleischer, 1970) semble avoir “tapé dans le mile”. L’agitation suscitée par son film a ainsi créé un engouement renforcé par le traitement, violent, de cette œuvre d’anticipation. Ainsi le récit nous fait suivre le véritable jeu de massacre disciplinaire que constitue le jeu, conçu comme un événement médiatique qui renvoie directement à l’idée d’une société du spectacle, rappelant certains aspects du Japon moderne. Mais au-delà du discours social (ou en plein dedans ?) il y a l’avalanche de meurtres et de suicides de toutes sortes qui parsèment l’histoire. Les alliances et trahisons qui découlent de cette situation sans issue donnent lieue à une multitude de scènes qui déclinent (je vous laisse compter le nombre de victimes pour ne pas gâcher le suspense) autant de façons différentes de mourir. Et pour ne pas oublier que nous sommes dans un jeu nous avons droit (ainsi que les protagonistes) au décompte systématique des morts. Et c’est de sa voix indéchiffrable que le personnage du professeur, devenu Maître de jeu et bourreau, égrène les noms tous les matins et oriente la partie. Impeccable dans ce rôle, Takeshis Kitano est un des rares interprètes professionnels de Battle Royal. Car dans sa volonté de frapper les esprits le réalisateur Kenji Fukasaku a fait jouer à de véritables lycéens le rôle des victimes ! Un choix qui fait gagner en réalisme mais occasionne également des disparités dans la qualité globale de l’interprétation. Mais cela ne gâche fondamentalement pas l’intérêt du film qui repose bien plus sur l’accumulation de cadavres que d’un discours critique, même si ce dernier n’est pas faux. Film un peu hybride, Battle Royal commence comme un brûlot social pour évoluer rapidement vers un Slasher de masse néo-réaliste évoquant, irrémédiablement, l’esprit d’émissions telles que Loft Story ou Les Aventuriers du Kho Lanta. |
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Danny The Dog | Unleashed | France/USA | 2004 | Action | 103 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 20/01/2006 | |
Louis Leterrier | Jet Li (Danny), Bob Hoskins (Bart), Morgan Freeman (Sam), Kerry Condon (Victoria), Michael Jenn (Wyeth), Vincent Regan (Raffles), Dylan Brown (Lefty). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=49935.html | |||||
Bart a élevé Danny comme un chien, dressé pour tuer. A 30 ans, il ne connaît de la vie que son maître, la pièce dans laquelle il est resté reclus et les combats sanguinaires pour lesquels il est entraîné. Après un règlement de compte, Danny se retrouve seul, perdu. Sam, doux, humain, artiste, et sa belle fille mélomane le recueillent. A force d'amour, de patience et de gentillesse, Sam et Victoria vont défaire le long apprentissage de la violence qu'il a connue. | |||||
Interdit aux moins de 12 ans Note de la presse : 2/4 Note des spectateurs : 2/4 Fiche technique : Budget : 45 millions de $ Box Office France : 752 186 entrées N° de visa : 107171 Interdit aux moins de 12 ans Couleur Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : 2e collaboration Jet Li / Luc Besson Danny the dog marque les retrouvailles de Jet Li avec le producteur et scénariste Luc Besson. Les deux hommes avaient collaboré en 2001 sur Le Baiser mortel du dragon. Yuen Wo Ping pour la chorégraphie des combats Les combats ont tous été chorégraphiés par Yuen Wo Ping, qui a supervisé ceux de Matrix. En faisant référence au film, Louis Leterrier explique : "les combats sont visuels et rapides, très sombres. Après, ils se développent et deviennent plus visuels. Les acteurs qui participent aux combats de Wo Ping savent se battre, car ses plans sont longs, avec des enchaînements de dix à douze coups, très chorégraphiés, très compliqués pour les comédiens. On les voit faire des choses qu'on aurait crues impossibles." Bob Hoskins dans la peau de Bart Pour incarner au mieux cet effrayant magouilleur qu'est Bart, Bob Hoskins s'est inspiré de nombreuses mauvaises fréquentations de jeunesse et de quelques rencontres douteuses dans les hautes sphères de la production cinématographique. "Je me suis bien amusé, se souvient-il. Dans ce film-là, j'ai pris plus de claques, de coups et de beignes que dans tous les autres réunis !" Kerry Condon, la révélation du film Pour le rôle de Victoria, Louis Leterrier souhaitait une jeune femme qui incarne à la fois la fraîcheur et la gentillesse, sans aucune mièvrerie. C'est après avoir voyagé aux Etats-Unis et en Angleterre que son choix s'est porté sur l'Irlandaise Kerry Condon, alors totalement inconnue. A son sujet, le réalisateur déclare : "Kerry a tout de suite brillé par son authenticité, son naturel. Elle est vraiment le personnage de Victoria, toute en faiblesses, une beauté qui s'ignore, très timide, mais dont le charme est évident." La scène du baiser Dans une scène du film, Kerry Condon doit embrasser Jet Li, mais celui-ci redoutait de tourner cette séquence. Il n'avait jamais embrassé une fille au cinéma et se demandait comment réagir.Louis Leterrier proposa alors à la comédienne de laisser planer le doute au moment du jeu, de faire comme si elle pouvait l'embrasser sur la bouche à n'importe quel instant. Celle-ci a laissé s'installer les choses, jouant avec l'embarras de Jet. Le cinéaste se souvient : "Elle l'a frôlé, regardé pour finalement faire ce que les spectateurs découvriront. A ce moment-là, ce n'était pas l'embarras de Danny que je filmais, c'était celui de Jet." Massive Attack à la musique La bande originale est signée Massive Attack. A propos de ce groupe, Louis Leterrier déclare : "il est assez proche de l'univers de Danny, on y trouve cette capacité à l'émotion à travers des mélodies qui n'ont pas peur d'être violentes." Massive Attack a travaillé sur la musique pendant trois mois à partir des images du film. L'un des membres, 3D, explique : "Il existe une grande différence entre composer librement et composer pour un film. Pour un album, on se laisse porter par ses états d'âme, sa seule sensibilité. Dans le cas de Danny, il fallait se nourrir de l'histoire, des ambiances et se laisser porter. A travers les notions qu'il aborde, le film traite beaucoup des thèmes qui nous sont chers : la liberté, les liens qui peuvent surgir entre les individus, la violence qu'il faut parfois pour gagner la paix. Au final, le film était une bonne rencontre entre ce que nous aimons faire et ce qu'il est. Le résultat porte incontestablement notre marque, mais trouve son inspiration dans le film." |
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Alerte ! | Outbreak | USA | 1995 | Action | 128 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 25/12/2021 | ||
Wolfgang Petersen | Dustin Hoffman, Cuba Gooding Jr., Morgan Freeman, Rene Russo, Donald Sutherland, Kevin Spacey, Patrick Dempsey, Zakes Mokae | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=12240.html | |||||
A la suite de plusieurs négligences et de mauvaises volontés, les habitants d'une petite ville américaine sont victimes d'un virus venu d'Afrique, particulièrement dévastateur. Pour enrayer l'épidémie, un général sans scrupule décide, avec l'accord du président, de rayer de la carte la bourgade en larguant une bombe incendiaire. | |||||
Divertissement de qualité sur un sujet bateau mais toujours d'actualité. Le phénomène épidémique arrive à prendre le spectateur et les acteurs sont crédibles. |
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Balle perdue | Balle perdue | France | 2020 | Action | 93 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 19/09/2022 | ||
Guillaume Pierret | Alban Lenoir, Nicolas Duvauchelle, Ramzy Bedia, Stéfi Celma, Rod Paradot, Sébastien Lalanne, Patrick Médioni, Arthur Aspaturian | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=282416.html | |||||
Petit génie de la mécanique, Lino est réputé pour ses voitures-bélier. Jusqu'au jour où il se fait arrêter pour un braquage qui tourne mal. Repéré par le chef d'une unité de flics de choc, il se voit proposer un marché pour éviter la prison. 9 mois plus tard, Lino a largement fait ses preuves. Mais soudain accusé à tort de meurtre, il n'a d'autre choix que de retrouver l'unique preuve de son innocence : la balle du crime, coincée dans une voiture disparue. | |||||
En 90 minutes chrono vous allez vivre une aventure passionnante, déroutante, percutante. Avec tout ce qu'il faut de bonnes voitures mécaniquement modifiées pour offrir des scènes d'action mémorables. |
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Balle perdue 2 | Balle perdue 2 | France | 2022 | Action | 98 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 08/12/2022 | ||
Guillaume Pierret | Alban Lenoir, Stéfi Celma, Sébastien Lalanne, Pascale Arbillot, Diego Martín, Anne Serra, Jérôme Niel, Khalissa Houicha | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=291621.html | |||||
Après la mort de Charras, Lino et Julia ont pris la relève et forment la nouvelle équipe de choc de la brigade des stups. Bien déterminé à retrouver les assassins de son frère et de son mentor, Lino continue sa traque et ne laissera personne se mettre en travers de sa route. | |||||
Toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort, Balle perdue 2 s’impose en film d’action aussi jouissif qu'exigeant, porté par la générosité de son équipe et par un Alban Lenoir impressionnant. |
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Ip Man 2 | Yip Man 2 | Chine/Hong-Kong | 2010 | Action | 108 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 25/05/2013 | |
Wilson Yip | Donnie Yen (Ip Man), Sammo Hung Kam-Bo (comme Samo Hung) (Maître Hong Zhen Nan), Simon Yam (Zhou Qing Quan), Lynn Hung (Zhang Yong Cheng), Xiaoming Huang (Wong Shun Leung), Siu-Wong Fan (Jin Shan Zhao), Kent Cheng (Fatso), Darren Shahlavi (Twister), Calvin Cheng Ka-Sing (Zhou Guang Yao), Yu-Hang To (Cheng Wai-Kei), Bruce Blain (Maître Hung), Erich Fleshman (Wong Shun Leung). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=178267.html | |||||
Désireux de faire perpétuer son art, Ip Man décide d'enseigner les arts martiaux au sein d'une école mais essuie l’hostilité de Hung qui est le seul à décider qui peut s'octroyer ce droit. Pour cela, Ip Man doit vaincre une flopée d'adversaires, un défi qu'il relève avec brio mais ces ennuis ne s'arrêtent pas là puisque le gouvernement britannique organise un tournoi auquel participe Twitser, un redoutable champion de boxe. | |||||
Fiche technique : Année de production : 2010 Date de sortie DVD : 24 avril 2013 Langue : Cantonais, 02 Anglais, Mandarin Date de sortie Blu-ray : 9 août 2011 Format de production : 35 mm Colorimétrie : Couleur Format audio : Dolby Digital Type de film : Long-métrage Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope |
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Léon | Léon | France/USA | 1993 | Action | 103 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 19/04/2004 | |
Luc Besson | Jean Reno, Gary Oldman, Natalie Portman, Danny Aiello, Peter Appel | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=9684.html | |||||
Léon est un tueur. Un de la pire espèce. Il est introuvable, indétectable. Son ombre est comme une menace de danger permanent sur New-York. Indestructible Léon ? Oui, jusqu'à ce qu'une petite souris pénètre dans son univers. Une toute petite souris aux yeux immenses. | |||||
Interdit aux moins de 12 ans Fiche technique : Budget : 115 000 000 FF N° de visa : 82 525 Interdit aux moins de 12 ans Couleur Format du son : SDDS Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : S'il met Jean Reno en vedette, Léon vaut surtout pour la découverte d'une future star du nom de Natalie Portman, qui incarne Mathilda. Âgée de 12 ans lors du tournage, la jeune actrice épate par son implication et la justesse de son jeu dans un film où la violence est omni-présente. Depuis, Natalie Portman n'a eu de cesse de confirmer son statut d'actrice de premier plan, en alternant films d'auteur (Tout le monde dit I love you de Woody Allen ou Ma mère, moi et ma mère de Wayne Wang) et les grosses productions comme Heat, Mars attacks! et surtout la première trilogie de La Guerre des étoiles, entamée avec La Menace fantôme (1999). |
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Mémoire Dans La Peau (la) | The Bourne Identity | USA | 2002 | Action | 118 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 27/12/2006 | |
Doug Liman | Matt Damon (Jason Bourne), Franka Potente (Marie Kreutz), Chris Cooper (Ted Conklin), Brian Cox (Ward Abbott), Clive Owen (le professeur), Julia Stiles (Nicolette) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=29071.html | |||||
Au sud de Marseille, un petit bateau de pêche repère le corps inanimé d'un homme ballotté par les flots. Des marins s'empressent de le repêcher. Portant des traces de balles dans le dos, cet homme à l'identité inconnue a miraculeusement survécu, mais il ne se souvient plus de rien. Même pas de son nom. Et encore moins des raisons pour lesquelles on a tenté de le tuer. Toutefois, un indice subsiste : de sa hanche est extraite une petite capsule holographique indiquant un numéro de compte à Zurich. L'inconnu se rend alors dans une banque suisse afin de faire la lumière sur son identité. Une fois sur place, il découvre dans un coffre-fort une malette contenant plusieurs milliers de dollars, un pistolet, un passeport au nom de Jason Bourne et six autres documents d'identité de diverses nationalités. Ce dernier s'aperçoit bientôt qu'il est suivi à la trace par une mystérieuse organisation. |
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Fiche technique : Couleur : Couleur Format du son : Dolby SR + Dolby SR-DTS & SDDS Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Jason Bourne, le héros de La Mémoire dans la peau, est issu de l'imagination du romancier Robert Ludlum. Ce maître de la littérature d'espionnage a consacré trois best-sellers à ce personnage : La mémoire dans la peau (1980), La Mort dans la peau (1986) et La Vengeance dans la peau (1990).Le romancier, décédé en mars 2001, officie en tant que producteur exécutif du long métrage, et a accepté que cette adaptation diffère librement de son roman, afin d'attirer une nouvelle génération de spectateurs. |
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Mort Dans La Peau (la) | The Bourne Supremacy | USA | 2003 | Action | 109 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 26/12/2006 | |
Paul Greengrass | Matt Damon (Jason Bourne), Franka Potente (Marie Kreutz), Brian Cox (Ward Abbott), Julia Stiles (Nicky) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=53335.html | |||||
Depuis deux ans, l'ex-agent / tueur à gages de la CIA Jason Bourne et sa compagne Marie ont réussi à tromper leurs poursuivants au prix d'une vigilance sans faille. Ce paisible village de Goa aurait dû être leur dernier refuge. Vain espoir. Deux ans plus tôt, Jason avait juré de se venger de quiconque le relancerait. Il tiendra parole... | |||||
Fiche technique : Budget : 75 millions de $ Box Office France : 1 138 180 entrées Box Office Paris : 341 326 entrées Box Office USA : 176 241 941 $ N° de visa : 111 150 Couleur : Couleur Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : En 2002, avec le succès international de La Mémoire dans la peau, une suite s'imposa très vite dans l'esprit des producteurs. Frank Marshall explique : "Nous avions fait un film d'espionnage intellectuel, un thriller parano d'un style inédit. Le casting à contre-emploi de Matt Damon se révéla un choix idéal. Avec lui naissait un nouveau héros d'action si passionnant, si déroutant, que nous avons eu envie de poursuivre son histoire". |
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Nid de guêpes | Nid de guêpes | France | 2001 | Action | 105 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 11/07/2004 | |
Florent-Emilio Siri | Samy Naceri, Benoît Magimel, Nadia Fares, Pascal Greggory, Sami Bouajila, Anisia Useyman | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=34916.html | |||||
La banlieue industrielle de Strasbourg, le 14 juillet 2001. Des petits délinquants – menés par Nasser et Santino, quasiment son frère de sang –, projette un cambriolage, méticuleusement préparé, dans un entrepôt de matériel informatique. Parallèlement, un caïd de la mafia albanaise, Abedin Nexhep, doit être jugé pour ses activités à la tête d’un réseau international de prostitution. Ce prisonnier à haut risque est escorté par une équipe de forces spéciales dirigée par Laborie, qui concilie ce métier très physique et sa vie familiale avec sa fillette. Giovanni, un collègue italien, fait également partie du détachement. Les sbires de Nexhep tendent une embuscade au fourgon pour libérer leur maître. Le véhicule parvient à s’échapper et se réfugie dans… le hangar où officient les jeunes malfrats, qui ont attaché les deux veilleurs de nuit : le jeune Pitz et Louis, un ancien pompier. Nasser est grièvement blessé. Les commandos mafieux s’apprêtant à prendre d’assaut l’entrepôt, policiers et voleurs, ainsi que Louis, réquisitionné avec sa carabine, doivent faire cause commune pour soutenir un véritable siège mené par d’innombrables assaillants, durant toute une nuit de combats et de fureur aveugle. Les hommes de Nasser comme ceux de Laborie paieront un lourd tribut à la bataille : parti chercher du secours en se glissant par les canalisations, l’agile Martial est capturé, tué et mutilé ; Pitz, épouvanté, se rend et meurt sous les balles ; Giovanni est égorgé à mains nues par le terrible Nexhep, parvenu à se libérer de ses liens ; Selim et Winfried sont abattus lors d’une tentative de sortie en camion. Le criminel subit les foudres de la jeune Nadia, elle-même violée quand elle était enfant. Condamné, Nasser succombe en couvrant la fuite de ses amis. Louis se sacrifie à son tour. Au petit matin, les forces de l’ordre interviennent, grâce au frère cadet de Santino, que l’inquiétude avait conduit à venir aux nouvelles. Les survivants – Laborie, Santino, Nadia – sont évacués. Nexhep sera bel et bien jugé pour ses crimes. |
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Avec NID DE GUEPES, son second film, Florent-Emilio Siri nous balance un film d’action explosif, dopé à l’adrénaline. Un divertissement efficace et riche en rebondissements, défendu par une belle brochette de jeunes acteurs. Percutant ! |
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The Takeover | The Takeover | ++ Autres | 2022 | Action | 87 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 30/12/2022 | ||
Annemarie van de Mond | Geza Weisz, Frank Lammers, Susan Radder, Walid Benmbarek, Noortje Herlaar, Jeremiah Fleming, Anna Deborah van der Rhee | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=309023.html | |||||
Accusée de meurtre après avoir dévoilé un scandale, une hackeuse éthique doit échapper à la police tout en essayant de retrouver les criminels qui la font chanter. | |||||
Pas si mal pour ce film qui n'est pas un blockbuster, une distribution hollandaise "connue", un intrigue pêchue originale et bien réalisée surtout sur son début, puis ça devient beaucoup plus prévisible, avec un dénouement beaucoup moins original qui nuance la performance et la tension. Au global, pas mal pour une soirée, suffisamment distrayant. |
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Vengeance Dans la Peau | The Bourne Ultimatum | USA | 2007 | Action | 116 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 09/04/2010 | |
Paul Greengrass | Matt Damon, Julia Stiles, David Strathairn | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=59809.html | |||||
Jason Bourne a longtemps été un homme sans patrie, sans passé ni mémoire. Un conditionnement physique et mental d'une extrême brutalité en avait fait une machine à tuer - l'exécuteur le plus implacable de l'histoire de la CIA. L'expérience tourna court et l'Agence décida de le sacrifier. Laissé pour mort, Jason se réfugie en Italie et entreprend une lente et périlleuse remontée dans le temps à la recherche de son identité. Après l'assassinat de sa compagne, Marie, il retrouve l'instigateur du programme Treadstone qui a fait de lui un assassin et l'a condamné à l'errance. S'estimant vengé par la mort de ce dernier, il n'aspire plus qu'à disparaître et vivre en paix. Tout semble rentré dans l'ordre : Treadstone ne serait plus qu'une page noire – une de plus - dans l'histoire de l'Agence... Mais le Département de la Défense lance en grand secret un second programme encore plus sophistiqué : Blackbriar, visant à fabriquer une nouvelle génération de tueurs supérieurement entraînés. Jason est, pour le directeur des opérations spéciales, une menace et une tache à effacer au plus vite. Ordre est donné de le supprimer. La traque recommence, de Moscou à Paris, de Madrid à Londres et Tanger... |
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Inattendu et roublard, le meilleur de la trilogie. Un thriller formidablement prenant et réussi qui va vous scotcher à votre fauteuil deux heures durant |
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Banlieue 13 | Banlieue 13 | France | 2004 | Action | 85 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 14/10/2005 | |
Pierre Morel | David Belle , Cyril Rafaeli , Tony D'amario , Larbi Naceri | ||||
http://cinema.tiscali.fr/fichefilm.aspx?id=FI015424&file=http | |||||
Paris, 2013. Un mur d'isolement entoure les cités ghettos. Ni droit, ni règles, ni lois... Les gangs y règnent en maîtres absolus. Damien fait partie de l'élite de la Police. Officier d'une unité spéciale d'intervention, expert en arts martiaux, il sait mener à terme ses opérations par des actions rapides, précises et musclées. Cette fois, le gouvernement le missionne pour l'expédition la plus extrême de sa carrière : une arme de destruction massive a été dérobée par le gang le plus puissant de la Banlieue 13. Chargé d'infiltrer le secteur pour désamorcer la bombe, Damien devra s'allier à Leïto, dont le seul but est de sauver sa soeur, tombée aux mains du même gang. Il est en outre le seul à connaître cette BANLIEUE 13 dans ses moindres recoins... | |||||
ALLONS PLUTOT A LA CAMPAGNE ! Le problème avec Luc Besson producteur-scénariste, c'est qu'il fait de plus en plus penser à une mamie sénile qui prend ses petits-enfants pour des imbéciles en répétant inlassablement la même chose. Avec BANLIEUE 13 et l'honnête ambition de divertir son spectateur, il nous sert une soupe pas horrible mais indigeste où l'on reconnaît les ingrédients réchauffés de ses précédentes productions (YAMAKASI, TAXI...). Outre le réalisateur dont personne ne se rappellera le nom, ce qui change tout de même dans BANLIEUE 13, c'est un ton plus sombre, une lumière plus dure. Mais sinon, on est en terrain archi-balisé. Scénario clicheteux, simplet et plein de trous, manichéisme d'école primaire, scènes d'actions efficaces et ridicule des dialogues... En plus, au cinéma, on est rarement bon acteur et bon cascadeur à la fois. Cyril Raffaelli et David Belle, dans les rôles principaux, ne dérogent pas à la règle. Pour être sympa, on pourrait dire qu'ils sont vraiment des cascadeurs doués... De son côté, Larbi Nacéri est aussi bon comédien que son frère (Samy), c'est dire ! Enfin, après 1h30 de bagarres et de coups de feu, on finit par nous dire que « y a d'autres moyens que la violence pour résoudre un problème ». Si ce n'est pas de la morale hypocrite, qu'est que c'est ? Mcinema.com (Camille Brun) |
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Black Crab | Svart krabba | ++ Autres | 2022 | Action | 112 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 26/06/2022 | ||
Adam Berg | Noomi Rapace, David Dencik, Aliette Opheim, Dar Salim, Jakob Oftebro, Ardalan Esmaili, Martin Hendrikse, Erik Enge | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=287753.html | |||||
Dans un futur apocalyptique, une soldate doit traverser une mer gelée dans le cadre d'une mission secrète désespérée qui pourrait arrêter la guerre civile dans son pays. | |||||
Ambiance de fin du monde à la lisière de l'abstraction fantastique, ambition visuelle constante, intensité dramatique surprenante : Black Crab ne cesse de marquer des points à coups de scènes marquantes illustrées avec une rigueur certaine, même si un peu trop impersonnelle. |
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Fureur Du Dragon (la) | The Way Of The Dragon | Chine/Hong-Kong | 1972 | Action | 95 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 10/10/2007 | |
Bruce Lee | Bruce Lee (Tang Lung Alias 'Dragon'), Nora Miao (Chen Ching Hua), Chuck Norris (Colt), Bob Wall (Bob Fred), Wai Ping (Ho), Jon T. Benn (Le Boss), Chung-Hsin Huang (Wang), Unicorn Chan (Jimmy), Tony Liu (Tony), Malisa Longo (La Belle Italienne), Ing-Sik Whang (Le Karatéka Japonais). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=530.html | |||||
Un aubergiste, propriétaire d'un restaurant chinois est assailli par un promoteur qui veut l'obliger à vendre son établissement. En désespoir de cause, l'aubergiste demande l'aide de Tang Lung alias ''Dragon''. | |||||
Note des spectateurs : 3/4 (Pour 1244 notes : 54 % de ****, 19 % de ***, 18 % de **, 6 % de *, 3 % de °) Fiche technique : Couleur Format du son : Mono Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Format de production : 35 mm Tourné en : Chinois, 02 Anglais, Italien, Mandarin Secrets de tournage : De nombreux pastiches La Fureur du Dragon et Opération Dragon engendrèrent toute une flopée de pastiches aux noms dérivés des titres américains (chronologiquement, Enter the Dragon et Return of the Dragon) : citons entres autres Exit the Dragon, Enter the Tiger (1976), Return of the Kung Fu Dragon (1976), Enter the fat Dragon (1978), Re-enter the Dragon (1979), Enter Another Dragon (1981) ou encore, plus récemment, Enter the Black Dragon (1997). Variations internationales Les version internationales de La Fureur du Dragon furent l'objet de modifications sur de nombreux plan.D'une manière générale, dans la version originale, les sons des scènes de combats sont les vrais, enregistrés en direct. Au contraire, dans toutes les versions internationales du film, les sons furent entièrement doublés, au détriment du réalisme.En outre, selon les pays, le titre connut de nombreuses variations. Le titre original, Meng long guojiang, s'est ainsi transformé en Fury of the Dragon (d'où La Fureur du Dragon en France), Return of the Dragon (en référence au premier opus) mais aussi Way of the Dragon.De nombreuses scènes furent enfin coupées totalement ou partiellement pour la version américaine, sans qu'on puisse parfois en deviner la raison. Deux exemples parmi d'autres : Bruce Lee est dans l'aéroport. Il tente d'expliquer à un enfant qu'il a faim, mais ses gestes incompréhensibles effraient ce dernier. Aux toilettes, Bruce Lee, tout à son étonnement de découvrir cet équipement, tire la chasse d'eau à plusieurs reprises.Cela n'empêcha pas le film d'avoir une interdiction aux personnes de moins de 17 ans non accompagnées, ce qui était toutefois préférable au fait d'être tout simplement interdit, comme ce fut le cas en Finlande et en Suède. Enfin libre La Fureur de Vaincre terminé, le contrat liant Bruce Lee à la Golden Harvest était terminé, donc il était complètement libre de faire ce qu'il veut, quand il voulauit, et surtout avec qui il veut (enfin débarrassé de Lo Wei). Bruce Lee et Raymond Chow formeront la compagnie Concord Productions avec l'appui total de la Golden Harvest. Lewis refuse, Norris arrive accompagné de Wall Joe Lewis, champion d'arts martiaux, ami et élève de Bruce Lee, était le choix de ce dernier pour le rôle de Colt. Mais Lewis refusa, car ficiton ou pas, il n'acceptait d'être mis en échec par quelqu'un qui n'avait jamais participé à une compétition. Alors Bruce Lee proposa le rôle à Chuck Norris, 7 fois champion du monde de Karaté, ce dernier accepta. Il se rendit à Rome accompagné de Bob Wall, vainqueur de plusieurs championnats américians de karaté, et bien qu'il ne soit pas venu pour ça, Bruce Lee lui donna quand même un petit rôle. Grande première La Fureur du Dragon est le premier film chinois tournée hors de Hong Kong. Tournage difficile à Rome Dès le début, il était clair que le tournage dans la capitale Italienne allait être difficile. Bruce Lee et son équipe s'y sont rendus alors que rien n'avait été tourné, donc ils devaient toujours s'assurer que le travail à Rome puisse être coordonné avec le travail qui se faisait à Hong Kong. La plupart des gens de l'équipe n'avaient pas de permis de travail international, ni de visas, il a donc fallu obtenir des autorisations spéciales, mais ils ne pouvaient rester que 3 semaines maximum. Avec un temps aussi limité, le programme du tournage était très chargé : 7 jours sur 7, de 6h jusqu'à 18h voire 20h, dans les rues, à l'aéroport, à Rome pendant les heures de pointe, avec les piétons et les touristes, et également par mauvais temps. En 2 semaines, Bruce Lee avait tout ce dont il avait besoin et pouvait rentrer à Hong Kong continuer le tournage. En toute discrétion Avec un budget de 350 000 HKD, il était impossible de payer toutes les autorisations pour pouvoir tourner à l'intérieur. Alors tout le monde a dû se munir de sacs de voyage rempli de matériel puis payer son entrée comme un touriste. Et après avoir parlementé, les gardiens ne disaient rien, mais l'équipe devait rester discrète. Pour le Colisée, n'ayant pas reçu l'autorisation le jour du tournage, Bruce Lee décida de tourner encore en cachette, très tôt le matin, avant l'arrivée des touristes. L'équipe a pu finalement tourner pendant 5 heures avec l'accord d'un agent de sécurité, qui a déguerpi dès que la caméra a commencé à tourner... si l'équipe était découverte, le gardien n'avait pas envi d'être présent. Clin d'oeil à Kato Bruce Lee utilise des fléchettes pour ôter les armes à feu de ses adversaires, comme le fesait Kato, son personnage dans la série Le Frelon Vert. Hong Kong : recherche occidentaux Le film se déroule à Rome, donc pour être crédible, il faut des occidentaux. Mais problème : les scènes où on doit les voir étaient tournées à Hong Kong où on trouve très peu d'acteurs blancs. Par manque de choix et de personnel, Bruce Lee engagea des figurants parfois venue de la rue, et certains amenaient des connaissances, des amis... Et la chance fit que parmi ces gens se trouvait un authentique Italien, il eu le rôle d'un truand. Le plus gros succès Bruce Lee avait prédit que La Fureur du Dragon dépasserait les 5 million HKD. Personne ne l'a cru et la presse se moquait de sa vantardise. Le film sorti, les semaines défilaient comme les chiffres : plus d'un million, puis deux, et trois, on passe à quatre, pour arriver à plus de 5, battant au passage le record de La Fureur de Vaincre. Bruce Lee était devenu le roi indiscutable du cinéma asiatique. Ce film remporta le prix du meilleur montage au Golden Horse Award (l'équivalent asiatiques des Oscars) en 1973 et il est le film de Bruce Lee qui a eu le plus gros succès en orient. Bruce Lee musicien Joseph Koo (compositeur de Big Boss et La Fureur De Vaincre), a travaillé avec Wei Ping Au pour la musique de La Fureur Du Dragon. Bruce Lee apporta sa collaboration, en tant que musicien pour quelques instruments à percussion. |
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Insaisissables | Now You See Me | France/USA | 2013 | Action | 116 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 01/11/2013 | |
Louis Leterrier | Jesse Eisenberg (J. Daniel Atlas), Mark Ruffalo (Dylan Rhodes), Woody Harrelson (Merritt McKinney), Isla Fisher (Henley), Dave Franco (Jack Wilder), Mélanie Laurent (Alma Dray), Morgan Freeman (Thaddeus Bradley), Michael Caine (Arthur Tressler), Michael Kelly (Agent Fuller), Common (Evans), David Warshofsky (Cowan), José Garcia (Etienne Forcier), Jessica C. Lindsey (Hermia), Caitriona Balfe (Jasmine Tressler), Stephanie Honore (Groupie d’Atlas), Stanley Wong (Huissier MGM), Laura Cayouette (Femme hypnotisée), Douglas M. Griffin (Homme hypnotisé), Adam Shapiro (Victime de Jack pick-pocket), J. LaRose (Willy Mears), Justine Wachsberger (Directrice de banque Paris), Christian Gazio (Chauffeur camion blindé), Benoît Cransac (Garde camion blindé), Conan O'Brien (Dans son propre rôle), Samantha Beaulieu (Agent commandement mobile), Odessa Sykes (Josepha Hickey), Shannon Maris (Dina Robertson), Nicki Daniels (Membre du public Savoy), Brad Abrell (Présentateur), Randy Rousseau (Journaliste TV Nouvelle-Orléans), Brian Tucker (Agent Baskin FBI), Joe Chrest (Agent concierge Elkhorn). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=182605.html | |||||
« Les Quatre Cavaliers », un groupe de brillants magiciens et illusionnistes, viennent de donner deux spectacles de magie époustouflants : le premier en braquant une banque sur un autre continent, le deuxième en transférant la fortune d’un banquier véreux sur les comptes en banque du public. Deux agents spéciaux du FBI et d’Interpol sont déterminés à les arrêter avant qu’ils ne mettent à exécution leur promesse de réaliser des braquages encore plus audacieux. Ils font appel à Thaddeus, spécialiste reconnu pour expliquer les tours de magie les plus sophistiqués. Alors que la pression s’intensifie, et que le monde entier attend le spectaculaire tour final des Cavaliers, la course contre la montre commence. | |||||
Note de la presse : 2,3/5 Note des spectateurs : 4,1/5 (Pour 12 265 notes : 18% de *****, 38% de ****, 23% de ***, 13% de **, 6% de *, 3% de °) Fiche technique : Distributeur : SND Box Office France : 2 937 710 entrées Année de production : 2013 Budget : 75 000 000 $ Date de sortie DVD : 2 décembre 2013 Langue : 02 Anglais Date de sortie Blu-ray : 2 décembre 2013 Colorimétrie : Couleur Type de film : Long-métrage Secrets de tournage : Acteurs français Deux acteurs français comptent au casting d'Insaisissables réalisé par Louis Leterrier (Le Transporteur, Danny the Dog) : Mélanie Laurent, familière des tournages outre-Atlantique (Inglourious Basterds, Beginners), ainsi que José Garcia, que l'on retrouve pour la première fois dans un film anglophone. De vrais magiciens ! Dans un souci de réalisme, les acteurs se sont véritablement exercés à la magie pour les besoins du film. Louis Leterrier désirait utiliser le plus possible de trucages "réels", plutôt que de se reposer sur les images de synthèse. Les comédiens ont même participé à la création de tours avec les consultants présents lors du tournage : "L’un de nos buts principaux était d’interpeller le public sur le plan intellectuel, afin qu’il prenne conscience de toute la préparation nécessaire à la création de ces illusions", raconte le consultant David Kwong. Double photographie Les deux directeurs de la photographie d'Insaisissables se sont partagés le travail sur le tournage du film : Larry Fong (Super 8, 300) a travaillé en priorité sur les scènes de magie, tandis que Mitchell Amundsen (Transformers) s'est concentré sur les scènes d'action. Illusions pour de vrai Des consultants en magie, dont le magicien réputé David Kwong, ont apporté leur contribution sur le film Insaisissables, pour que l'illusion soit "réelle" et non produite par ordinateur. Une image avec du cachet Insaisissables a été tourné grâce à des caméras de plus de 40 ans afin d'apporter une richesse et une authenticité supplémentaires à l'image. Une image avec du cachet Insaisissables a été tourné grâce à des caméras de plus de 40 ans afin d'apporter une richesse et une authenticité supplémentaires à l'image. Distribution prestigieuse Woody Harrelson a notamment accepté de tourner dans Insaisissables grâce à la présence de Jesse Eisenberg, auquel il avait déjà donné la réplique dans l'hilarant Bienvenue à Zombieland (2009). Aucun rôle, même mineur, n'est laissé au hasard dans la distribution : on retrouve notamment Morgan Freeman et Michael Caine en seconds rôles, qui se donnent la réplique pour la quatrième fois après la trilogie Batman signée Christopher Nolan. Au total, trois vainqueurs d'Oscars et douze nominés sont à l'affiche du film. A noter que Caine avait pris part au Prestige, brillant film de magie réalisé par Nolan en 2006 et porté par Christian Bale et Hugh Jackman. Qui est Henley ? Le rôle d'Henley, tenu par Isla Fisher, a été à l'origine écrit pour un homme. L'actrice a confié s'être inspirée de l'illusionniste Dorothy Dietrich, connue pour avoir arrêté une balle avec ses dents, et a construit son personnage entre celui de Lisbeth Salander (héroïne de la saga Millenium) et l'actrice hollywoodienne Katharine Hepburn : "Elle se doit d’être la meilleure afin de ne pas se laisser marcher sur les pieds par les garçons. Elle est combative, mais n’agit jamais comme un homme. Sa féminité est la clé de son ascendant", déclare Fischer, en poursuivant : "Je souhaitais qu’Henley soit aussi éblouissante et aussi surprenante en privé que sur scène, de sorte qu’on ne sache jamais ce qu’elle pense." Qui est Henley ? Le rôle d'Henley, tenu par Isla Fisher, a été à l'origine écrit pour un homme. L'actrice a confié s'être inspirée de l'illusionniste Dorothy Dietrich, connue pour avoir arrêté une balle avec ses dents, et a construit son personnage entre celui de Lisbeth Salander (héroïne de la saga Millenium) et l'actrice hollywoodienne Katharine Hepburn : "Elle se doit d’être la meilleure afin de ne pas se laisser marcher sur les pieds par les garçons. Elle est combative, mais n’agit jamais comme un homme. Sa féminité est la clé de son ascendant", déclare Fischer, en poursuivant : "Je souhaitais qu’Henley soit aussi éblouissante et aussi surprenante en privé que sur scène, de sorte qu’on ne sache jamais ce qu’elle pense." Danger ! Les acteurs ont tenu à réaliser le plus de cascades eux-mêmes pendant le tournage d'Insaisissables, parfois à leurs risques et périls ! Pour preuve : alors qu'elle devait s'échapper d'un bassin rempli d'eau et de piranhas pour sa première apparition dans le film, Isla Fisher s'est retrouvée prise au piège de ses chaînes. Elle se souvient : "Ma chaîne s’est bloquée dans la grille qui se trouvait au fond du bassin. Je me suis demandé si c’était comme ça que j’allais mourir : devant tous ces figurants, et en maillot de bain..." Danger ! Les acteurs ont tenu à réaliser le plus de cascades eux-mêmes pendant le tournage d'Insaisissables, parfois à leurs risques et périls ! Pour preuve : alors qu'elle devait s'échapper d'un bassin rempli d'eau et de piranhas pour sa première apparition dans le film, Isla Fisher s'est retrouvée prise au piège de ses chaînes. Elle se souvient : "Ma chaîne s’est bloquée dans la grille qui se trouvait au fond du bassin. Je me suis demandé si c’était comme ça que j’allais mourir : devant tous ces figurants, et en maillot de bain..." Premiers choix Jake Gyllenhaal a été d'abord envisagé pour le rôle de Dylan Rhodes, repris ensuite par Mark Ruffalo. De même, Amanda Seyfried avait été contactée pour jouer Henley, avant qu'Isla Fisher ne lui soit finalement préférée. Beaucoup de noms d'acteurs ont circulé avant que le casting d'Insaisissables ne soit définitif, parmi lesquels Jim Carrey, Colin Firth, Hugh Grant, Sacha Baron Cohen ou encore Philip Seymour Hoffman. Premiers choix Jake Gyllenhaal a été d'abord envisagé pour le rôle de Dylan Rhodes, repris ensuite par Mark Ruffalo. De même, Amanda Seyfried avait été contactée pour jouer Henley, avant qu'Isla Fisher ne lui soit finalement préférée. Beaucoup de noms d'acteurs ont circulé avant que le casting d'Insaisissables ne soit définitif, parmi lesquels Jim Carrey, Colin Firth, Hugh Grant, Sacha Baron Cohen ou encore Philip Seymour Hoffman. Enfermé ! Michael Caine s'est retrouvé enfermé sur le plateau d'Insaisissables pendant toute une nuit, après s'être assoupi dans sa loge. L'acteur n'a pu user de magie pour s'échapper et a dû attendre d'être libéré le lendemain matin, lorsque les premiers membres de l'équipe du film sont arrivés sur le tournage. Accueil américain Insaisissables n'a pas quitté le top 10 au box office depuis sa sortie aux Etats-Unis le 31 mai, avec plus de 100 millions de dollars de recettes domestiques. Accueil américain Insaisissables n'a pas quitté le top 10 au box office depuis sa sortie aux Etats-Unis le 31 mai, avec plus de 100 millions de dollars de recettes domestiques. Musique originale Brian Tyler a composé la musique d'Insaisissables ; c'est à lui que l'on doit les bandes originales d'Iron Man 3 et de plusieurs franchises célèbres et lucratives, dont Fast & Furious, Destination Finale et Expendables. Lieux de tournage Le tournage d'Insaisissables a été particulièrement nomade, puisque les équipes de Louis Leterrier se sont déplacées à Las Vegas, La Nouvelle-Orléans, New York et Paris. Insaisissables 2 ? Certains spectateurs américains ont avoué être décontenancés par plusieurs éléments d'Insaisissables non résolus ou seulement partiellement à la fin du film. Pour d'autres, ce choix narratif laisse entendre la possibilité d'une suite aux aventures des Quatre Cavaliers. |
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Ip Man 3 | Yip Man 3 | Chine/Hong-Kong | 2016 | Action | 105 min. |
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Disponible | 05 Autres | 01 AVI | 15/02/2016 | |
Wilson Yip | Donnie Yen, Mike Tyson, Patrick Tam (II), Jin Zhang, Lynn Hung, Kent Cheng, Chan Kwok-Kwan, Meng Lo | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=236464.html | |||||
Lorsque qu'une bande de gangsters dirigée par un promoteur immobilier corrompu cherche à prendre le contrôle de la ville, Ip reprend du service. | |||||
À voir pour tous ceux qui sont amateurs de bon film d'arts martiaux comme moi, ce troisième volet ne déroge pas à la règle des deux autres pour un véritable succès. [spoiler]Seul mauvais point l'apparition de Myke Tyson qui selon moi est beaucoup trop courte et bâclée, le combat n'en reste pas moins intéressant. En visionant la bande-annonce on s'attend pourtant à un combat final entre les deux combattants(ip man & mike tyson) qui n'en est rien ce qui est fort dommage, mais pour nous consoler, un combat final à couper le soufle wing Chun contre Wing Chun qui prouve bien que maître Ip man reste bel et bien le meilleur dans son Art. |
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Jack Reacher | Jack Reacher | USA | 2012 | Action | 131 min. |
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Disponible | 01 AVI | 01/11/2013 | ||
Christopher McQuarrie | Tom Cruise (Jack Reacher), Rosamund Pike (Helen Rodin), Robert Duvall (Cash), Richard Jenkins (Alex Rodin), David Oyelowo (Emerson), Werner Herzog (Le Zec), Jai Courtney (Charlie), Alexia Fast (Sandy), Michael Raymond-James (Linsky), Kristen Dalton (Mindy), Christopher Stadulis (2ème policier), Nicole Forester (Nancy Holt), Dylan Kussman (Gary), Scott A. Martin (Wesley), Joseph Sikora (James Barr), Josh Helman (Jeb Oliver), Jace Jeanes (Voleur), James Martin Kelly (Rob Farrior), Tammy Felice (Anne Yanni), Sara Lindsey (Petite amie), Teri Clark (Propriétaire), Julia Yorks (Chrissie Farrior), Susan Angelo (Archer), Joe Coyle (Darren Sawyer), Ron Pucillo (Détective), Annie Kitral (Caissier), Peter Gannon (M. Archer), Alicia Murton (Mme Sawyer), Joe Pawlenko (Réfugié), Jarid Faubel (Petit ami), Amy Morse (Femme amer), Alexander Rhodes (Spectateur suspect), Vito Grassi (Un civil), David Whalen (M. Holt), Dave Petti (Concierge), Wayne Leya (Passager du bus), Lissy Gulick (Serveuse), J Bizel (Matt), Alyssa Curry-Broderick (Premier patron de bar), Michael Anthony Miller (Personnel soignant), Shana Cherry Linden (Spectateur), Frank McAleavey (Médecin légiste), Yahira Garcia (La La). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=111473.html | |||||
Un homme armé fait retentir six coups de feu. Cinq personnes sont tuées. Toutes les preuves accusent l’homme qui a été arrêté. Lors de son interrogatoire, le suspect ne prononce qu’une phrase : « Trouvez Jack Reacher. » Commence alors une haletante course pour découvrir la vérité, qui va conduire Jack Reacher à affronter un ennemi inattendu mais redoutable, qui garde un lourd secret. | |||||
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs Note de la presse : 3,2/5 Note des spectateurs : 3,7/5 (Pour 6 292 notes : 7% de *****, 36% de ****, 37% de ***, 13% de **, 5% de *, 4% de °) Fiche technique : Distributeur : Paramount Pictures France Année de production : 2012 Box Office France : 1 410 051 entrées Budget : $50,000,000 Date de sortie DVD : 23 mai 2013 Date de sortie Blu-ray : 23 mai 2013 Langue : 02 Anglais Colorimétrie : Couleur Format de production : 35 mm Type de film : Long-métrage Format audio : DTS, SDDS, Dolby Digital Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Secrets de tournage : Réalisateur(s) Jack Reacher marque le retour derrière la caméra de Christopher McQuarrie, scénariste favori de Bryan Singer, douze ans après sa première réalisation (The Way of the Gun). Il en profite pour diriger un autre réalisateur, l’immense Werner Herzog, acteur occasionnel (notamment pour Harmony Korine), mais pas franchement habitué aux grosses productions hollywoodiennes. A la recherche d'Helen... Parmi les actrices auditionnées pour le rôle d’Helen, finalement échu à Rosamund Pike, figurent Hayley Atwell, Brit Marling et Alexa Davalos. Adaptation Le film est tiré d’un roman de Lee Child intitulé "Folie Furieuse" ("One Shot" en 02 Anglais), neuvième tome de la saga Jack Reacher. One Shot fut d’ailleurs le premier titre envisagé pour le film. Ce neuvième volet a été vendu à plus de 60 millions d'exemplaires dans le monde. Happy Birthday Tom ! Le teaser de Jack Reacher a été dévoilé à l'occasion du 50ème anniversaire de Tom Cruise le 3 juillet 2012. Dans la peau de Jack Reacher Avant que le rôle de Jack Reacher n'échoit à Tom Cruise, plusieurs stars à la virilité exacerbée ont été pressenties. Il s'agit de Brad Pitt, Hugh Jackman, Vince Vaughn, Jamie Foxx et Will Smith. Retrouvailles Tom Cruise partage à nouveau l'affiche avec Robert Duvall plus de vingt ans après Jours de tonnerre de Tony Scott. Un problème de taille Dans le roman original de Lee Child, Jack Reacher mesure 1,96 mètres. Tom Cruise qui l'incarne à l'écran mesure quant à lui 1,70 mètres. Cette différence physique a créée une polémique chez les fans du livre. Toutefois, l'auteur a désamorcé le tollé en déclarant que Tom Cruise avait "le talent et qu'il fera un Reacher réussi". L'écrivain ajoute : "Avec un autre acteur, vous aurez peut-être 100% de la taille mais 90% de Jack Reacher, avec Tom, vous aurez 100% de Jack Reacher avec 90% de la taille." Caleb, Zooey et Emily Le directeur de la photographie de Jack Reacher, Caleb Deschanel, n'est autre que le père des actrices Zooey Deschanel ((500) jours ensemble) et Emily Deschanel (Bones). Ce technicien chevronné est l'un des plus reconnus dans le métier ; en effet, Deschanel a signé la lumière de grands classiques comme Apocalypse Now, THX 1138 ou Bienvenue Mister Chance. Un gladiateur au casting ! L'imposant Jai Courtney joue le rôle de Charlie dans Jack Reacher. Le comédien est connu pour avoir joué dans Spartacus : Le sang des gladiateurs et sera à l'affiche du prochain Die Hard. Christopher McQuarrie a été ébloui par sa prestation dans la vidéo de son audition pour Jack Reacher. Le cinéaste a envoyé la vidéo à Tom Cruise qui a aussitôt répondu en 2 mots : "Engage-le !" Misanthropie La propension à la solitude de Jack Reacher n'est pas seulement à mettre en parallèle avec sa froideur et son côté sombre. D'après les livres, le justicier souffre également d'agoraphobie et ne supporte pas la foule. De l'origine du nom Lee Child a confié que le nom de son personnage, "Reacher", lui vient d'une expérience personnelle assez insolite. En effet, l'auteur est très grand et souvent, quand il fait ses courses au supermarché ou à l'épicerie, des personnes lui demandent d'"atteindre" ("to reach" en 02 Anglais) pour eux le haut des étagères afin de prendre un produit inaccessible. Sa femme lui disait que si ses bouquins ne se vendaient pas, il pourrait toujours être "reacher" dans un supermarché. C'est à partir de là que lui est venu le nom de son personnage. Jack Reacher mélomane L'atrabilaire Jack Reacher est un passionné de musique. En effet, sous ses airs mystérieux se cache un grand fan de Blues, style de musique mélancolique, à l'instar de ce héros solitaire. Tom Cruise rouge de colère Pendant le tournage d'une scène où Tom Cruise (Jack Reacher) est trempé, la production lui avait construit un jacuzzi afin qu'il puisse se réchauffer entre les prises. Seulement, l'équipe n'a pas pensé qu'au sortir du jacuzzi, avec le changement de température, le corps de Cruise émettrait de la vapeur. C'est Werner Herzog (Le Zec) qui a demandé de garder cette idée car pour lui, il était fascinant de voir que le héros avait tant de colère en lui qu'il pouvait vraiment "fumer". Adoptez le look Jack Reacher A l'instar du buzz qu'avait suscité le look de Ryan Gosling dans Drive de Nicolas Winding Refn, la veste en cuir portée par Tom Cruise dans Jack Reacher suscite tout autant de convoitise. Une réplique de celle-ci peut être achetée sur internet pour la modique somme de 200 dollars ; les aficionados du justicier froid et taciturne ne rateront pas l'occasion d'arborer l'apparat de Reacher. Décembre, le mois de Tom Jack Reacher devait sortir originellement en février 2013. La Paramount a décidé d'avancer la date de sortie à décembre 2012, se calant sur la sortie de Mission : Impossible - Protocole fantôme sorti avec succès au même moment en 2011. Décembre, le mois de Tom Cruise ? De là à voir mister Top Gun jouer le père Noël, il n'y a qu'un pas. David Oyelowo David Oyelowo est un nom à retenir. Cet acteur britannique venu tout droit de la Royal Shakespeare Company est sorti de l'ombre en 2012 avec une apparition dans le trash Paperboy de Lee Daniels. Après ce Jack Reacher, le comédien d'origine Nigériane sera à l'affiche de Lincoln de Steven Spielberg, rien que ça ! |
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Jason Bourne : l'héritage | The Bourne Legacy | USA | 2012 | Action | 136 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 27/06/2016 | |
Tony Gilroy | Jeremy Renner, Rachel Weisz, Edward Norton, Scott Glenn, Stacy Keach, Donna Murphy, Michael Chernus, Albert Finney | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=134373.html | |||||
On croyait tout connaître de l'histoire de Jason Bourne et de son passé d’agent tueur malgré lui. Mais l’essentiel restait à découvrir. Le programme Treadstone dont Jason était le cobaye n’était que la partie émergée d’une conspiration plus ténébreuse, ourdie par d’autres branches du gouvernement et mettant en jeu d’autres agences de renseignement, d’autres programmes militaires, d’autres laboratoires secrets…De Treadstone est né "Outcome", dont Aaron Cross est un des six agents. Sa finalité n’est plus de fabriquer des tueurs, mais des hommes capables d’assurer isolément des missions à haut risque. En dévoilant une partie de cette organisation, Jason laissait derrière lui un "héritage" explosif : compromis, les agents "Outcome" sont désormais promis à une liquidation brutale. Effacés à jamais pour que le "père" du programme, le Colonel Byer puisse poursuivre ses sinistres activités.Une gigantesque chasse à l’homme commence, et Cross, devenue sa première cible, n’a d’autre recours que de retrouver et gagner la confiance de la biochimiste d’"Outcome", Marta Shearing, elle-même menacée de mort… | |||||
Qui est Jason Bourne ? Personne. Un homme sans identité, qui ne sait rien de son passé. Et, depuis dix ans, un des héros les plus populaires du cinéma. Son défaut de personnalité est, paradoxalement, son atout. Tout en ne faisant que courir pour échapper à des hommes qui, eux, savent quelque chose de lui et veulent l'éliminer, tout en ne faisant que tuer pour sauver sa peau, Bourne porte un message qui le distingue du premier porte-flingue venu : on ne peut être réduit à ce que l'on fait ou à ce que les autres nous font faire. A sa manière, Bourne est le champion de l'affirmation de soi. Quand les justiciers du cinéma cèdent aux clins d'oeil et au second degré (James Bond en premier lieu), Bourne ne dévie pas de sa course : une affaire de liberté, d'absolu. Incarné par Matt Damon dans La Mémoire dans la peau (2002), La Mort dans la peau (2004) puis La Vengeance dans la peau (2007), le personnage avait été largement façonné par le travail du cinéaste Paul Greengrass, auteur du deuxième et du troisième volets. Son style « caméra au poing » insuffla à Bourne une vérité poussée jusqu'aux limites du réalisme. Quasiment un reportage sur un homme en fuite. Difficile d'aller plus loin dans cette direction. Jason Bourne : l'héritage ouvre donc de nouvelles pistes en réactivant le thriller d'espionnage dans la tradition des romans de Robert Ludlum, l'inventeur de Bourne. Lequel n'est plus qu'un visage sur une fiche de renseignements, dans un bureau d'une division non officielle de la CIA. D'autres hommes sans passé sont fichés comme lui, amnésiques, dont on avait fait les cobayes d'un programme destiné à former des agents d'un genre nouveau. Mais l'expérience est devenue compromettante pour la CIA, qui décide de supprimer ces agents. L'un d'eux résiste, survit. Il s'appelle Aaron Cross, et il a toutes les qualités de Bourne : il ne sait pas d'où il vient, mais il sait s'échapper de partout. En relançant la course (pour longtemps, on peut le parier), le cinéaste Tony Gilroy l'actualise aussi. Il explore un univers de nouvelle guerre technologique, intrigant et inquiétant. Au-delà du plaisir de suivre une course-poursuite avec un drone chargé de missiles, l'intrigue éclaire des zones d'ombre du monde militaire d'aujourd'hui, où l'on projette de « fabriquer » des soldats plus résistants, car génétiquement modifiés. Une vision de la défense armée post-11 Septembre et post-Irak, qui se développe, selon Tony Gilroy, dans des agences gouvernementales américaines spécialisées où il a enquêté. De quoi ouvrir efficacement l'imaginaire du film, et lancer de nouvelles hypothèses sur l'agent inconnu, Aaron Cross. Et si son histoire effacée se trouvait en partie dans les nouvelles guerres de l'Amérique ? La quête de l'identification se poursuit, à la fois fidèle aux codes des films précédents et renouvelée. En tant que scénariste de la saga Bourne depuis ses débuts, Tony Gilroy a montré qu'il savait jouer à cache-cache avec la vérité, en dire juste assez, mais pas trop. Son regard de cinéaste est plus direct. Ainsi, le premier décor du film, les montagnes Rocheuses désertiques et hivernales, est utilisé comme un reflet du personnage, de son silence et de son isolement. Plus tard ce sont, à l'opposé, les rues bondées de Manille qui deviennent un révélateur. Au milieu de la foule, Aaron Cross suit toujours son chemin solitaire : le monde extérieur n'existe pas pour lui. Sinon pour s'en extraire, en incroyable acrobate. On sent que Tony Gilroy a pour ce personnage aussi athlétique que refermé sur lui-même une fascination réelle, une affection aussi. Brillamment secondé par le chef opérateur Robert Elswit (oscarisé pour There will be blood), il filme son héros en donnant l'impression de vouloir faire corps avec lui, aussi bien mentalement que physiquement. Une ambition que réalise pleinement l'acteur Jeremy Renner, qui interprète Aaron Cross tout en intériorisation et tout en mouvement. Ce doublé donne un film d'action intelligent. Sérieux, convaincant, sans pesanteur. — Frédéric Strauss |
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John Wick | John Wick | USA | 2014 | Action | 101 min. |
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Disponible | 01 Français | 02 MKV | 28/01/2017 | |
David Leitch, Chad Stahelski | Keanu Reeves, Michael Nyqvist, Alfie Allen | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=221387.html | |||||
Depuis la mort de sa femme bien-aimée, John Wick passe ses journées à retaper sa Ford Mustang de 1969, avec pour seule compagnie sa chienne Daisy. Il mène une vie sans histoire, jusqu’à ce qu’un malfrat sadique nommé Iosef Tarasof remarque sa voiture. John refuse de la lui vendre. Iosef n’acceptant pas qu’on lui résiste, s’introduit chez John avec deux complices pour voler la Mustang, et tuer sauvagement Daisy… John remonte la piste de Iosef jusqu’à New York. Un ancien contact, Aurelio, lui apprend que le malfrat est le fils unique d’un grand patron de la pègre, Viggo Tarasof. La rumeur se répand rapidement dans le milieu : le légendaire tueur cherche Iosef. Viggo met à prix la tête de John : quiconque l’abattra touchera une énorme récompense. John a désormais tous les assassins de New York aux trousses. |
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"John Wick" avec Keanu Reeves : ludique et bien fichu, un film d'action comme on les aime Un film pour les fans de Keanu Reeves Sortant presque simultanément en France et aux États-Unis, John Wick célèbre le retour à l’écran de Keanu Reeves. Avec ce revenge-movie où il campe un hitman endeuillé reprenant du service, le comédien américain semble revenir sur le devant de la scène dans un genre qui a fait sa notoriété : le film d’action décomplexé ("Point Break", "Speed"). Car "John Wick" est un film taillé pour plaire aux fans de l’acteur et aux amateurs d’actioners funs et efficaces mettant le plaisir défoulatoire au premier plan. Le reproche qu’on ne pourra pas faire à "John Wick" est de ne pas s’assumer pour ce qu’il est. Le postulat est simple, les ficelles sont grosses (voire énormes) avec un scénar pas particulièrement poussé et le casting permet d’identifier rapidement qui seront les good-guys et les ordures. L’ambition principale du film de Chad Stahelski est de proposer cent minutes de divertissement à base de gunfights, de combats chorégraphiés et autres cascades dans la tradition des actioners des années 80-90. Une bonne série B Les scènes d’action (parfois brutales) sont bien fichues, les fusillades font mouche tandis que Chad Stahelski gère plutôt bien le rythme de son premier long-métrage. On appréciera aussi le travail sur les éclairages et cet humour qui fonctionne, offrant même quelques moments subversifs réjouissants. Keanu Reeves, animé par le feu de la vengeance, assure dans le rôle principal comme avaient pu le faire Tom Cruise dans "Jack Reacher" et plus récemment Denzel Washington dans "Equalizer". Si le "vigilante-movie" continue de trouver son public, les productions ne sont pas toujours estimables et leur succès reste souvent assez confidentiel. Ce "John Wick" là pourrait bien créer une petite surprise pour la Toussaint avec de belles qualités à faire valoir. Ludique et un brin féroce, il n’entrera certes pas au panthéon des films noirs aux côtés des incontournables de Charles Branson mais pourra prétendre à un certain succès d’estime en salle comme en vidéo. Une bonne série B au-dessus de la moyenne, une expédition punitive qui se regarde avec plaisir. |
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Kill Bill 1 | Kill Bill 1 | USA | 2003 | Action | 112 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 19/04/2004 | |
Quentin Tarantino | Uma Thurman, Lucy Liu, Sonny Chiba, Vivica A. Fox, Chiaki Kuriyama, Julie Dreyfus, Daryl Hannah | ||||
On l’appelle la Mariée. Au cours de la cérémonie de son mariage, un commando a fait irruption dans la chapelle et a tué tout le monde. Laissée pour morte, la Mariée perd l’enfant qu’elle portait et passe quatre années dans le coma. Quand elle s’en réveille, elle n’a qu’une idée en tête : se venger. Et pour cela tuer Bill, le chef du Détachement International des Vipères Assassines, gang de tueurs auquel elle a elle-même appartenu. Redevenue la redoutable Black Mamba qu’elle était, elle va chercher à retrouver puis éliminer un à un tous les membres de l’organisation. Elle commence par Vernita Green, alias « Copperhead », devenue mère au foyer, et O-Ren Ishii, chef de la mafia des yakuzas japonais. |
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Quentin Tarantino est un sale gosse. On l’imagine très bien, appuyé dans un coin de la salle de cinéma, un sourire machiavélique aux lèvres... Avec son génie indéniable, il est parvenu, dans KILL BILL, à nous rendre accro à ses influences personnelles et à une histoire à la limite du stupide ! |
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Lou | Lou | USA | 2022 | Action | 107 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 29/09/2022 | ||
Anna Foerster | Allison Janney, Jurnee Smollett, Logan Marshall-Green, Ridley Asha Bateman, Matt Craven, Greyston Holt, Daniel Bernhardt, R.J. Fetherstonhaugh | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=269313.html | |||||
Une jeune fille est enlevée à la faveur d'un orage gigantesque. Sa mère s'allie à sa mystérieuse voisine pour se lancer à la poursuite du kidnappeur. Leur périple va mettre leurs limites à l'épreuve et exposer les sombres secrets inavouables de leur passé. | |||||
Chouette film. Un peu trop dans l'obscurité à mon goût, quelle surprise de voir Lou un peu une Clint Eastwood au féminin. |
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Maître D'Armes (le) | Huo Yuan Jia (Fearless) | Chine/Hong-Kong | 2005 | Action | 104 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 20/10/2006 | |
Ronny Yu | Jet Li (Huo Yuanjia), Collin Chou (Le père de Huo Yuanjia), Michelle Yeoh (Miss Yang), Shidou Nakamura (Anno Tanaka), Dong Yong (Nong Jinsun), Masato Harada (Mita), Nathan Jones (Hercules O'Brien), Jon T. Benn (Le businessman), Anthony De Longis (Le duelliste espagnol) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=109208.html | |||||
Huo Yuanjia rêve depuis sa plus tendre enfance de se consacrer aux arts martiaux. L'opposition de son père, lutteur réputé, ne fera que renforcer sa détermination : Yuanjia décide d'apprendre les techniques de combat par ses propres moyens et se lance dans un entraînement intensif avec pour partenaire son ami Nong Jinsun... Les années passent, les victoires s'enchaînent, tandis que la vanité et l'arrogance du lutteur deviennent chaque jour plus insupportables. Lorsqu'un de ses jeunes apprentis est blessé par le maître Chin, Yuanjia défie ce dernier et n'hésite pas à le tuer. Cette ''victoire'' sera fatale aux deux êtres qu'il chérit le plus au monde : sa mère et sa fille. | |||||
Fiche technique : N° de visa : 116 142 Couleur Format du son : Dolby SR Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : Mandarin Secrets de tournage : Le personnage de Huo Yuanjia, joué par Jet Li, est une véritable légende en Chine. Selon le réalisateur, Ronny Yu, ce champion d'arts martiaux "est devenu un symbole en Chine pour avoir unifié toutes les écoles d'arts martiaux, pour avoir révélé au pays les vertus de l'esprit sportif, pour avoir rendu espoir à son peuple à une époque où le moral des Chinois était au plus bas.". Il est devenu un héros national et source d'orgueil national, alors que la dynastie Qing déclinait et que les puissances étrangères s'implantaient en Chine, après avoir remporté de nombreuses victoires contre des lutteurs étrangers au cours de combats se déroulant devant un public très nombreux. Huo Yuanjia est également connu pour avoir ouvert une école d'arts martiaux à Shanghai, "I'Ecole de culture physique Jingwu". |
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Nouvelle Fureur De Vaincre (la) - Fist Of Legend | Jing Wu Ying Xiong | Chine/Hong-Kong | 1994 | Action | 100 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 31/10/2006 | |
Gordon Chan, Yuen Woo-Ping | Jet Li (Chen Zhen), Yasuaki Kurata (Fumio Funakoshi), Shinobu Nakayama (Mitsuko Yamada), Chin Siu-Hou (Huo Ting-En), Ada Chow (So-Lan) |
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http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=35158.html | |||||
En 1937, au début de la guerre sino-japonaise, Chen Zhen (Jet Li), un étudiant chinois, revient de Tokyo, où le racisme est devenu insupportable, pour rejoindre son école d'arts martiaux à Shanghai. Sur place, il apprend que son vieux maître Huo Yuan-jia a trouvé la mort au terme d'un combat truqué contre le directeur d'une école de karaté rivale. Menant son enquête, Chen Zhen découvre que son mentor a en fait été assassiné par Go Fujita (Billy Chow), un militaire japonais, avec la complicité d'un membre de l'école. Aidé du maître d'arts martiaux japonais Fumio Funakoshi (Yasuaki Kurata), de Huo Ting-en (Siu-hou Chin), le fils de Huo Yuan-jia, ainsi que de Mitsuko Yamada (Shinobu Nakayama), sa petite amie japonaise venue le rejoindre, le jeune homme est déterminé à venger l'honneur de son maître. | |||||
Fiche technique : Couleur Format du son : Dolby SR Format de projection : 1.85 : 1 Format de production : 35 mm Tourné en : Cantonais Secrets de tournage : Yuen Wo Ping a coordonné les combats de Tigre et dragon. Son travail avec Andy et Larry Wachowski sur Matrix a révélé cet homme de spectacle complet (réalisateur, cascadeur) qui a notamment collaboré à Il était une fois en Chine de Tsui Hark (1994).Yuen Wo Ping a réalisé plus de trente longs métrages, dont certains (Snake in the eagle's shadow en 1978 et Tai-Chi Master de 1993) sont considérés comme des classiques du genre. |
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Opération Dragon | Enter The Dragon | Chine/Hong-Kong | 1973 | Action | 100 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 26/10/2006 | |
Robert Clouse | Bruce Lee (Lee), John Saxon (Roper), Jim Kelly (Williams) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=467.html | |||||
Une compétition d'arts martiaux est organisée par un mystérieux Han, derrière lequel se cache un redoutable trafiquant de drogue. Lee, agent de renseignements occidental et spécialiste de kung-fu, tente de démanteler l'organisation criminelle. | |||||
Interdit aux moins de 12 ans Fiche technique : Interdit aux moins de 12 ans Couleur Format du son : Mono Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Opération dragon est sorti à Hong-Kong un mois après la mort de Bruce Lee survenue le 20 juillet 1973. |
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Paycheck | Paycheck | USA | 2003 | Action | 118 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 14/10/2005 | |
John Woo | Ben Affleck , Aaron Eckhart , Uma Thurman , Paul Giamatti , Colm Feore , Joe Morton , Michael C Hall | ||||
http://cinema.tiscali.fr/fichefilm.aspx?id=FI014811&file=http | |||||
Ingénieur, Michael Jennings est chargé de démonter des technologies pour en comprendre le fonctionnement et les améliorer. A la fin de chaque contrat, en échange de ses découvertes, ses employeurs lui remettent un gros chèque... et lui effacent la mémoire. Un jour, son ami Rethrick l'embauche pour une mission ultra secrète, d'une durée de trois ans. Quand il revient à lui, en lieu et place du chèque promis, Jennings n'obtient qu'une enveloppe contenant une vingtaine d'objets divers. Rapidement, il est menacé et poursuivi par la police et ses anciens employeurs. Avec l'aide de son ancienne collègue, il va tenter de reconstituer son passé et découvrir ainsi pourquoi on cherche à l'éliminer... | |||||
L'HOMME SANS PASSE Pour PAYCHECK, s'il y en a un qui mérite son chèque, c'est bien John Woo. Grâce à lui, cette énième adaptation de Philip K. Dick (après notamment BLADE RUNNER et MINORITY REPORT) nous réserve de trépidantes scènes d'action, où le cinéaste parvient même à renouveler des motifs qui lui sont ultra classiques comme la poursuite en moto, déjà dans MISSION : IMPOSSIBLE 2. En plus, avec le jeu sur les indices que sont les objets reçus par Jennins, le spectateur se trouve embarqué dans un puzzle scénaristique très amusant. Reste que celui qui déplace les pièces de ce puzzle n'est autre que Ben Affleck. Et c'est là que le bât blesse. Le comédien, déjà parfaitement inexpressif dans DAREDEVIL et LA SOMME DE TOUTES LES PEURS, ne parvient jamais à nous faire croire à son personnage d'ingénieur génial. C'est même la rigolade assurée quand on le voit dans les premières images traverser la foule, les mâchoires serrées... Enfin, John Woo commet un crime cinématographique impardonnable. Comment accepter qu'Uma Thurman, géniale interprète de KILL BILL, soit cantonnée à un simple rôle de faire-valoir ? Mcinema.com (Camille Brun) |
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Royaume Interdit (le) | The Forbidden Kingdom | USA | 2008 | Action | 113 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 17/10/2008 | |
Rob Minkoff | Jet Li (Le Roi Singe / Le Moine Silencieux), Jackie Chan (Le Moine T'Sa-Ho / Le Vieille Homme), Sing Ngai (Jade Le Seigneur De La Guerre), Michael Angarano (Jason Williams), Yifei Liu (Golden Sparrow), Bingbing Li (Ni Chang), Morgan Benoit (Lupo), Bingbing Li (Ni Chang), Juana Collignon (La Fille Du Sud), Jack Posobiec (Le Sudiste), Thomas Mcdonell (Le Jeune Sudiste), Zhi Ma Gui (La Vieille Femme), Shen Shou He (Le Fermier), Bin Jiang (Jeune Villageois), Shaohua Yang (Le Soldat Jade), Yu Yuan Zeng (L'Aubergiste), Deshun Wang (Empereur Jade), Xiaoli Liu (Reine Mère), Xiao Dong Mei (La Femme De L'Aubergiste), Jason Chong (Lu Yan), Kathleen Lague (La Mère (Voix)). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=123392.html | |||||
Fan de kung-fu et de cinéma hong-kongais, Jason Tripitika, 17 ans, rêve souvent du Roi Singe. Il découvre un jour, dans une boutique de Chinatown tenue par le vieux Hop, une longue canne - un ''bo'' - ornée d'un singe en bronze qui ressemble à celui du personnage de ses rêves. Quelque temps après, une bande de malfaiteurs oblige Jason à s'introduire dans la boutique pour la dévaliser.Hop est abattu d'une balle, mais il a juste le temps de confier la canne à Jason et de lui faire promettre de la restituer à son propriétaire. Paniqué, le garçon s'enfuit et, serrant la canne contre lui, tombe du toit. Quand il reprend connaissance, il se retrouve plongé dans la Chine ancienne, toujours en possession de la canne. Alors qu'il est attaqué par les guerriers de Jade, Lu Yan, un ivrogne, vient à son secours et réussit en quelques mouvements de kung-fu à le débarrasser des agresseurs.Reconnaissant le ''bo'', Lu Yan explique à Jason qu'il doit libérer le Roi Singe et accomplir la prophétie en lui remettant la canne... | |||||
Fiche technique : Budget : 70 000 000 $ Couleur Format du son : Dolby SR - Digital DTS - Digital Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Les enfants d'abord Le réalisateur Rob Minkoff et son producteur du moment Casey Silver collaborent pour la première fois sur un long-métrage. Cependant, leurs univers respectifs auraient pu les rassembler plus tôt. En effet, pendant que l'un préparait la réalisation de Stuart Little , l'autre produisait Babe, le cochon dans la ville il y a neuf ans. Deux univers bien éloignés de Chinatown et du Kung-Fu...pour l'instant. L'encre sur le berceau Le film tire son origine d'une histoire (celle du Roi Singe ) que racontait le scénariste John Fusco à son fils au moment du coucher. "Lorsque John Fusco m'a parlé de l'histoire qu'il avait inventée pour son fils, je me suis dit que le film s'interrogerait sur la signification du kung-fu," ajoute Casey Silver. Le scénario s'applique donc à lier l'univers enfantin et le film d'action, ce qui convient de même a un public large. Une histoire de roi ? Voir Rob Minkoff, réalisateur du Roi Lion, engagé dans un film d'arts martiaux peut paraître étrange, mais cela ne relève en rien du hasard. La femme du réalisateur, née en Chine, lui a permis de découvrir ce pays et sa culture. Invité à l'université de Pékin pour une conférence sur le cinéma d'animation, Minkoff s'était vu interroger par un étudiant concernant l'éventualité de faire un film sur la légende du Roi Singe. Peu après, il accepta de s'atteler au projet du Royaume interdit suite à sa rencontre avec la production. Un maître peut en attirer un autre Dès qu'il a lu le scénario, le producteur du film a eu l'ambition de confier les deux rôles principaux à Jackie Chan et Jet Li qui n'avaient jamais joué ensemble auparavant. Casey Silver contacte d'abord Li qui connaissait le personnage du Roi Singe et se trouvait ravi de pouvoir le faire découvrir. Chan de son côté avoue qu'il a d'abord été séduit par le projet du Royaume interdit parce que Jet Li y participait. "Cela fait plus de dix ans que j'ai envie de travailler avec Jet Li" remarque-t-il. Un troisième maître...à la chorégraphie Pour la mise en scène des combats, la production a fait appel au spécialiste Yuen Woo-Ping. Ce dernier a travaillé sur plusieurs films asiatiques dont Drunken Master avec Jackie Chan , mais aussi sur plusieurs films hollywoodiens tels que Matrix, Tigre et dragon ou encore Kill Bill : Volume 1. Il n'avait pas collaboré avec Chan, son ami d'enfance, depuis plus de vingt ans. Un quasi inconnu Avec son casting alléchant, c'est pourtant un quasi inconnu, Michael Angarano, qui tient le rôle principal de Forbidden Kingdom. A 20 ans, ce jeune acteur était jusqu'à présent notamment apparu dans Les Seigneurs de Dogtown (2006), où il incarnait un jeune skateboarder, et dans la saison 6 de 24 heures chrono. L'entente parfaite Pendant la toute première séquence de combat opposant Jackie Chan à Jet Li , un évènement étonnant s'est produit. "Avec la plupart des comédiens, il faut de la préparation et de l'entraînement," raconte Jackie Chan . "Mais avec Jet Li , on s'est juste regardés et on a dit simplement 'Allons-y', et on s'est jeté à l'eau. Il voulait sans doute mettre ma rapidité à l'épreuve, comme moi je souhaitais vérifier qu'il était vraiment le meilleur. Tout s'est passé tellement vite pour les deux premières prises qu'on nous a demandé de ralentir, sinon le chef opérateur allait devoir diminuer la vitesse de la caméra." |
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Seigneurs de la Guerre (les) | The War Lord | Chine/Hong-Kong | 2009 | Action | 110 min. |
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Disponible | 05 Autres | 01 AVI | 01/06/2009 | |
Peter Ho-Sun Chan, Wai Man Yip | Jet Li, Takeshi Kaneshiro, Andy Lau | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=124895.html | |||||
Un militaire, un homme d'honneur, un idéaliste. Trois hommes que le hasard réunit se jurent fidélité et allégeance. Désormais, ils seront frères de sang, à la tête d'une armée de bandits dont ils feront leurs soldats. Ensemble, ces seigneurs de la guerre combattront pour obtenir le pouvoir. Une fois la victoire accomplie, le plus dur les attend : honorer le serment qui les unit. | |||||
L'avis de la rédaction TROIS FRERES Film ambitieux sur un des passages les plus mystérieux et fascinants de l’histoire chinoise, LES SEIGNEURS DE LA GUERRE a eu un succès fou dans toute l’Asie. Suscitera t-il le même engouement à sa sortie en Europe ? Le public croira sans doute avoir droit à un spectacle virevoltant, mais il découvrira avant tout une réflexion sur l’amitié et les compromis politiques. Peter Chan nous prouve aussi que, bien dirigé, Jet Li n’est pas qu’un simple expert en arts martiaux, il est aussi et surtout un grand acteur : on avait tendance à l’oublier ces derniers temps. Preuves en sont les vingt premières minutes et le final tragique, où la star nous étonne et nous fascine. Excusons alors ses nombreuses errances dans des productions américaines ratées, indignes de son talent et plongeons-nous dans un spectacle épique et lyrique, où les rapports humains sont au premier plan. Quelques longueurs et passages un peu obscurs nous empêchent d’adhérer complètement à l’ensemble, mais voilà bien une œuvre qui mérite d’être vue sur grand écran... JeanChristophe Derrien |
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Spiderman 2 | Spider-man II | USA | 2004 | Action | 127 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 12/07/2004 | |
Sam Raimi | Tobey Maguire, Kirsten Dunst, James Franco, Alfred Molina, Rosemary Harris, J.K Simmons | ||||
Peter Parker ne vit plus chez sa tante. Mais pour payer son petit appartement, vu qu’il n’aime pas vendre ses photographies de Spider-Man, il doit travailler comme livreur de pizzas. Avec ses études de sciences, plus toutes ses interventions en homme-araignée, Peter n’arrive plus à suivre. Il n’a plus le temps de voir ses amis ni sa tante. Mary Jane, qui est comédienne à l’affiche d’une pièce de théâtre, se sent délaissée. Un jour, Harry, qui a repris la société de son père, lui propose de lui faire rencontrer le Dr. Octavius, qui mène de très importantes recherches sur la fusion. Equipé de quatre bras articulés intelligents, le chercheur espère reproduire l’énergie solaire. Mais l’expérience ne se passe pas comme prévue... |
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En plus d’être un film de genre parfaitement efficace, plus fort et mieux conçu que le premier volet, SPIDER-MAN 2 parvient à nous émouvoir profondément. Il faut dire que, très bien écrit et réalisé d’une main de maître par Sam Raimi, le long métrage a des allures de grand mélo. |
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Transporteur 3 (le) | Transporter 3 | France | 2008 | Action | 105 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 25/12/2010 | |
Olivier Megaton | Jason Statham (Frank Martin), Natalya Rudakova (Valentina), Robert Knepper (Johnson), François Berléand (Tarconi), Jeroen Krabbe (Leonid Vasilev), Alex Kobold (Aide Leonid Vasilev), David Atrakchi (Malcom Manville), Yann Sundberg (Flag), Eriq Ebouaney (Ice), David Kammenos (Le Conducteur Au Marché), Silvio Simac (Mighty Joe), Oscar Relier (Le Conducteur Voyou), Timo Dierkes (Otto), Katia Tchenko (La Secrétaire De Leonid Vasilev), Igor Koumpan (Un Policier Ukrainien), Paul Barrett (Le Capitaine), Michel Neugarten (Le Conducteur Assassin / Sergueï), Farid Elouardi (Yuri), Anthony Santana (Conducteur Assassins#2), Philippe Maymat (Acteur), Gregory Loffredo (Johnson'S Man), Justin Rodgers Hall (Horatio), Mike Powers (American #1). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=133730.html | |||||
Parce qu'il est le spécialiste incontesté des livraisons à haut risque, Frank Martin se voit contraint, sous la menace, de transporter deux sacs imposants et une jeune Ukrainienne depuis Marseille jusqu'à Odessa. Que contiennent les sacs ? Qui est cette fille? Pourquoi doit-il l'accompagner ? Quels enjeux se cachent derrière cette livraison ? Frank ne sait pas grand-chose, et surtout pas comment il va sortir de ce piège tendu par un adversaire bien plus redoutable que les précédents... | |||||
Note de la presse : 3/5 Note des spectateurs : 3/5 (Pour 3089 notes : 13 % de *****, 17 % de ****, 27 % de ***, 4 % de **, 40 % de *) Fiche technique : Box Office France : 1 430 308 entrées N° de visa : 120030 Couleur Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais, Français Secrets de tournage : Episode 3 Le Transporteur III marque la troisième aventure du désormais célèbre Frank Martin alias Jason Statham, après Le Transporteur (2002) et Le Transporteur II (2005). "La maturité de ce troisième épisode vient de la réelle mise en danger de Frank", explique le réalisateur Olivier Megaton. "Pour la première fois de sa carrière, il se retrouve confronté à un adversaire redoutable, qui met la barre très haut. Pour la première fois également, il tombe amoureux, et il accepte du coup de se laisser mettre en danger. Tant qu'il n'avait pas d'attaches, Frank se limitait à une mécanique froide. Amoureux, il est beaucoup plus faible, il accepte de s'attendrir, et surtout, il se refuse à laisser Valentina sur le bord de la route pour sauver sa peau. Ce nouvel enjeu apporte une dimension supplémentaire au personnage, et avec ces rapports de force triangulaire, on se retrouve vraiment dans les codes d'un grand film d'action". Nouveau réalisateur Co-réalisateur du Transporteur et du Transporteur II, le Français Louis Leterrier, occupé par le tournage de L'Incroyable Hulk, laisse ici sa place à un autre Frenchie, Olivier Megaton. Co-réalisteur des deux premiers opus, le bondissant Corey Yuen occupe le poste de chorégraphe des combats sur ce Transporteur III. Retour au cinéma Bien qu'il ne soit jamais éloigné des plateaux (il a signé de nombreux clips, pubs, documentaires et courts métrages ainsi que les scènes d'action de Hitman sous la bannière EuropaCorp), Olivier Megaton dirige à nouveau un long métrage, six ans après La Sirène rouge. Egalement à son actif : Exit en 2000. Ce troisième Transporteur est donc son... troisième long métrage. La saga vue par Olivier Mégaton "Pour moi, la série se situe entre James Bond et Die Hard, même si sa structure narrative penche plus franchement du côté de la série de John McTiernan : on a affaire à un héros sympathique, naviguant entre humour et sérieux, qui se retrouve régulièrement plongé dans des situations qui le poussent à l'extrême. (...) Le premier opus portait l'héritage de la fin des années 90, avec un héros qui se devait d'être marrant, de balancer beaucoup de vannes. Dans le 2, on se rapprochait d'un scénario à la Man on Fire de Tony Scott, avec des enjeux dramatiques plus forts. Dans le 3, on retrouve vraiment une pure logique à la Die Hard, puisque le héros devient lui-même otage de l'histoire : pour la première fois, il est mis en danger. On peut parler de maturité du personnage -on découvre, ô surprise, que Frank est capable de tomber amoureux- mais aussi dans le traitement du personnage du méchant, qui a pris une dimension incroyable avec Robert Knepper". L'ombre de John McClane plane d'ailleurs de plus en plus nettement sur Jason Statham selon lui : "Selon moi, il est en train de devenir le nouveau Bruce Willis, il a le même charisme. Il a la chance de ne pas avoir besoin de parler : son regard suffit à communiquer les émotions qu'il doit faire passer". Génétiquement avancée Signe annonciateur de son recrutement sur Le Transporteur III ? Olivier Megaton réalisait en 2007 le court métrage publicitaire Génétiquement avancée vantant les mérites de l'Audi R8 (le véhicule-fétiche du transporteur Frank Martin dans la saga est une Audi A8). Signé Besson Produit sous la bannière EuropaCorp, Le Transporteur III est écrit par Luc Besson et Robert Mark Kamen. Un tandem déjà à l'oeuvre sur Le Cinquième élément (1997), Le Baiser mortel du dragon (2001), Bandidas (2006), Taken (2008) et les trois volets du Transporteur. Robert Knepper, méchant de service A l'affiche de Hitman en 2007, Robert Knepper retrouve ici Luc Besson, l'équipe EuropaCorp... et Olivier Megaton, réalisateur des scènes d'action du film de Xavier Gens. Dans Le Transporteur III, il prête ses traits à l'inquiétant Johnson, agent gouvernemental aux méthodes expéditives. "Ce qu'il y a de bluffant avec Robert Knepper, c'est qu'il a, outre un charisme évident, une extrême précision dans la façon de parler, de bouger. Quand on a la chance de travailler avec un acteur de sa trempe, chaque détail est exploité : il a intégré un maximum de tics pour son personnage, jusqu'à en faire ce type d'une dangerosité extrême", explique Olivier Megaton. Un bag guy dont le look (deux mèches blanches au niveau des tempes) lui a été inspiré par... Ernest Hemingway. "C'est la complexité d'un personnage qui m'intéresse. A l'époque où je prenais des cours de comédie, l'un de mes profs avait l'habitude de dire 'on ne joue pas un médecin comme un médecin, pas plus qu'on ne joue un bad guy comme un méchant : le bad guy, on doit le jouer comme un mec bien. Car il trouvera toujours une justification à ses actes. Au fond de lui, il sera toujours persuadé de faire les bons choix'. Effectivement, j'imagine mal un type comme Johnson avoir du mal à se regarder dans le miroir, je l'ai au contraire imaginé comme un patriote convaincu, persuadé qu'en faisant ce qu'il fait -en gros, le sale boulot du gouvernement- il aide son pays et le monde. J'ai même imaginé qu'il avait grandi dans une banlieue typique d'une petite ville américaine, persuadé au fond de lui qu'il n'y moisirait pas toute sa vie. Il est probablement diplômé de Yale ou Harvard, il est d'une grande culture et d'une extrême sophistication. De la même façon que j'avais Poutine en tête pour le personnage de Hitman, pour Johnson, je n'arrêtais pas de penser à une photo que j'avais vue représentant un diplomate américain envoyé par le gouvernement en Irak : à le voir descendre de son avion, on aurait jugé qu'on avait affaire à un businessman ! C'est exactement de cette façon que Johnson apparaît dans le film : extrêmement élégant et plus enclin à parler culture qu'à braquer un flingue sur vous". L'influence de "Phone Game" Olivier Megaton a tenu à ce que Robert Knepper s'inspire d'un autre méchant pour son rôle dans . "Je lui avais montré Phone Game pour lui indiquer ce vers quoi je voulais qu'il tende : en l'occurrence, la voix de Kiefer Sutherland dans ce film, qui a une façon très onctueuse de parler à Colin Farrell, alors qu'il est en train de foutre sa vie en l'air. Face à un acteur aussi énorme, il y avait danger pour Jason. Je me rappelle le premier jour de tournage, quand ils se sont retrouvés face à face pour la première fois : Jason a tout de suite compris que Knepper mettait la barre très haut, et il a tenu à montrer ce dont il était capable lui aussi". T-Bag vs. le Transporteur Inoubliable T-Bag de la série Prison Break, Robert Knepper se souvient de son face à face avec Jason Statham. "Quand je pensais à ce combat, il me paraissait essentiel que pour la première fois, on imagine que Frank puisse être tué. Je voyais l'affrontement de deux gladiateurs, avec le bonus d'une chorégraphie signée Corey Yuen, et donc imprégnée de philosophie orientale. Pour avoir fait du Tai-Chi, qui repose sur l'imitation des animaux, je n'arrêtais pas de penser aux mouvements de la mante religieuse. Nous avons finalement tourné ce combat en deuxjours et je n'ai été doublé que pour un mouvement très précis. C'était aussi épuisant que stimulant : je me suis découvert une énergie incroyable, un second souffle qui m'a donnéla sensation de me retrouver aux Jeux Olympiques !. Révélation féminine La transporter-girl de ce troisième opus est russe. Coiffeuse, Natalya Rudakova est repérée par Luc Besson à New York, alors qu'elle marche dans la rue. "Luc Besson m'a abordée, il m'a conseillée de prendre des cours de comédie et après que j'ai suivi son conseil, il m'a fait passer une audition. C'était la première fois de ma vie que je me retrouvais face à une caméra, j'en tremblais !" Une fraîcheur que le réalisateur Olivier Megaton tenait à exploiter dans le cadre du film : "Valentina est l'absolu opposé de Frank, qui n'est que maîtrise alors qu'elle est dans la consommation du plaisir, de l'instant. Tourner avec une débutante, c'est un peu comme diriger un enfant dont il faut réussir à garder la fraîcheur". Mister Berléand Seul Français au générique de ce film... français (du moins dans un rôle principal), François Berléand retrouve avec plaisir son personnage de flic franchouillard, Tarconi. Non sans difficultés toutefois... "Les premiers jours n'ont rien d'une récréation, car je parle très mal la langue de Shakespeare. Or, on ne joue pas de la même façon en 02 Anglais et en français : l'accentuation n'a rien à voir, on ne met pas le sens sur les mêmes mots. Du coup, cela m'oblige à travailler avec un coach, et c'est l'un des rares moments au cinéma où j'ai le trac". Olivier Megaton a tenu pour sa part à recadrer un peu le personnage : "François Berléand étant le vrai personnage comique du film, on a gardé le côté décalé -il traverse tout l'Europe en R 16- mais on a supprimé le short et les chemise hawaïennes pour réintégrer un peu de réalisme dans son look." Un "Flic" au générique... et un méchant de James Bond Les spectateurs pourront noter la présence dans ce Transporteur III de Yann Sundberg, l'un des héros de la série Flics, mais également de Jeroen Krabbe, bad guy de Tuer n'est pas jouer en 1987 face à Timothy "007" Dalton. Egalement à l'affiche : l'imposant Eriq Ebouaney, déjà des aventures EuropaCorp Hitman et Les Rivières pourpres 2 - les anges de l'apocalypse, et la grande Katia Tchenko (chevalier dans l'Ordre national du Mérite en 2005) dans le rôle de la secrétaire du Ministre. Strip-fight Dans l'un des combats-phares du film, Jason Statham utilise ses vêtements pour se débarrasser de ses nombreux assaillants. "Je cherche toujours à partir de zéro, à imaginer intégralement les scènes que je vais tourner. L'idée est donc de décaler pour aller ailleurs. Par exemple, dans la scène du Garage Otto, même si Jason Statham se bat avec tous les accessoires qui l'entourent, on est loin d'un style à la Jackie Chan", explique Olivier Megaton. Un véritable "strip-fight" qui n'est pas pour déplaire à Natalya Rudakova... et qui devrait ravir les fans féminines du beau Jason. "Depuis un an, il a travaillé énormément son physique, et il s'est dessiné un corps exceptionnel. Sa perte de poids s'est aussi répercutée sur son visage, en démultipliant son charisme. Très vite, on a évidemment eu envie de profiter de ce corps d'athlète. L'idée, avec cette scène de strip-tease, était de montrer à Valentina que Frank n'est pas qu'une brute épaisse. En dehors de son caractère bien trempé, il a un corps de rêve, et ce sera sa première arme de séduction dans leur histoire passionnelle. A priori, le public féminin devrait suivre !" Des cascades signées Julienne Déjà au générique des deux premiers Transporteur, l'expert Michel Julienne a également supervisé les cascades-voitures du Transporteur III. "Avec Michel, l'objectif était encore d'innover le plus possible, de ne rien utiliser de ce qu'il avait déjà réalisé sur de précédents films. Toutes les course-poursuites en voiture sont donc filmées à vitesse réelle, sans maquette, pour restituer la célérité et l'inertie qui sont celles d'une voiture qui part en tête à queue", souligne Olivier Megaton, dont la démarche était de réduire au maximum l'utilisation des images de synthèse. "C'est là qu'il faut avoir des idées : comment faire sauter la bagnole sur un train sans qu'elle s'écrase ? Comment la faire glisser le long d'un camion ? A chaque jour son défi, avec, le plus souvent, des solutions très originales, qui tiennent compte des impératifs de sécurité. C'est en cela que le tournage s'est révélé aussi ludique". Alexandre Azaria à la baguette Le compositeur évoque sa partition : "J'avais créé un thème récurrent pour Le Transporteur II -ce qui n'avait pas été vraiment fait sur le premier volet. L'idée était donc de repartir de ce thème pour le réinterpréter, le revisiter en fonction de l'évolution du personnage et de la personnalité du réalisateur, qui influence toujours ma façon de composer. J'avais envie d'accompagner le road trip du Transporteur, qui part de Marseille pour rejoindre Odessa : du coup, plus il avance vers l'Ukraine, et plus la couleur de la musique est inspiré par l'Est, avec, par exemple, des voix bulgares traitées. L'autre défi de ce type de film tient aux séquences d'action de 8 ou 9 minutes : il faut accompagner la montée en puissance de l'action, tenir le rythme et les paliers de tension. Mais de façon plus générale, je ne me pose pas vraiment la question du genre, je me concentre plutôt sur les émotions qui doivent être ressenties par le public. Sur Le Transporteur III, on a beau être dans un film d'action, il y a des moments très romantiques que j'ai illustrés comme tels". Tournage européen Après l'expérience très américaine du Transporteur II (tourné à Miami), la saga retrouve ici une saveur très européenne avec un film tourné entre la France (Paris et les Pyrénées) et la Russie, entre le 18 février et le 9juillet 2008. |
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Agents très spéciaux - Code U.N.C.L.E | The Man from U.N.C.L.E. | USA | 2015 | Action | 117 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 04/11/2015 | |
Guy Ritchie | Henry Cavill (Napoleon Solo), Armie Hammer (Illya Kuryakin), Alicia Vikander (Gaby Teller), Elizabeth Debicki (Victoria Vinciguerra), Luca Calvani (Alexander), Sylvester Groth (Oncle Rudi), Hugh Grant (Waverly), Jared Harris (Sanders), Christian Berkel (Udo Teller), David Beckham (Projectionniste), Misha Kuznetsov (Oleg (KGB)), Ekaterina Zalitko (La fille dans la fosse), Joana Metrass (L'assistante de Victoria), Claudia Newman (Le client allemand), Jorge Leon Martinez (Le garde d'élite), Simona Caparrini (La comtesse Allegra), Mark Preston (L'agent de la famille), Gordon Alexander (Le garde d'élite), Vivien Bridson (La femme d'Allemagne de l'Est), Daniel Westwood (La garde italienne), Philippa Howard (Une invitée), Jonathan Nadav (Napoleon Solo (jeune)), David Menkin (Jones), Christopher Sciueref (Colonel Massid), Ben Wright (Un membre de l'unité), Francesco De Vito (Le directeur de nuit), Cesare Taurasi (Le mécanicien), Nicolas Bosc (Le policier italien), Anick Wiget (L'agent du KGB), Christopher Marsh (Le garde d'Allemagne de l'Est), Graham Curry (Le policier militaire), Anthony Ray (L'agent de la CIA), Sayed Kassem (Le général égyptien), Guy Williams (II) (Capitaine Smith). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=180341.html | |||||
Au début des années 60, en pleine guerre froide, Agents très spéciaux - Code U.N.C.L.E. retrace l'histoire de l'agent de la CIA Solo et de l'agent du KGB Kuryakin. Contraints de laisser de côté leur antagonisme ancestral, les deux hommes s'engagent dans une mission conjointe : mettre hors d'état de nuire une organisation criminelle internationale déterminée à ébranler le fragile équilibre mondial, en favorisant la prolifération des armes et de la technologie nucléaires. Pour l'heure, Solo et Kuryakin n'ont qu'une piste : le contact de la fille d'un scientifique allemand porté disparu, le seul à même d'infiltrer l'organisation criminelle. Ils se lancent dans une course contre la montre pour retrouver sa trace et empêcher un cataclysme planétaire. | |||||
Note de la presse : 3,3/5 Note des spectateurs : 4/5 (Pour 2 088 notes : 12% de *****, 44% de ****, 30% de ***, 9% de **, 4% de *, 1% de °) Fiche technique : Récompenses : 1 nomination Box Office France : 334 485 entrées Distributeur : Warner Bros. France Budget : 75 000 000 $ Année de production : 2015 Langue : 02 Anglais Colorimétrie : Couleur Type de film : Long-métrage N° de Visa : 143068 Secrets de tournage : Espions, origines Agents très spéciaux: Code U.N.C.L.E est un remake de la série télévisée datant de 1964. Créée par Norman Felton et Sam Rolfe, elle fut diffusée sur la NBC pendant 4 ans. A l'origine, ce sont Robert Vaughn et David McCallum qui jouaient les rôles principaux. Chaises musicales Tom Cruise devait initialement tenir le rôle de Napoléon Solo mais a finalement choisi de se concentrer sur Mission Impossible - Rogue Nation. George Clooney fut également engagé mais des problèmes de santé l'empêchèrent de remplir son contrat. Henry Cavill, qui était auparavant favoris, a donc hérité du rôle. Farandole d'acteurs Joseph Gordon-Levitt, Ryan Gosling, Alexander Skarsgard, Ewan McGregor, Robert Pattinson, Matt Damon, Christian Bale, Michael Fassbender, Bradley Cooper, Leonardo DiCaprio, Joel Kinnaman, Russell Crowe, Chris Pine, Ryan Reynolds et Jon Hamm ont tous été considérés pour le rôle de Napoléon Solo. Un pistolet, plusieurs vies Illya Kuryakin (Armie Hammer) utilise dans le film un pistolet Walther p38. C'est un hommage à l'accessoire utilisé dans la série. Le design est exactement le même que celui dont se sont servi les Japonais au début des années 1980 pour créer le jouet "Microman" (figurine humanoïde se transformant en pistolet). Ce même design fut ensuite utilisé par la compagnie américaine Hasbro pour créer le premier "Megatron", introduit en 1984 dans la série Transformers. Ça se bouscule Joel Edgerton et Henry Cavill ont tous deux passé le casting pour jouer Illya Kuryakin mais c'est sur Armie Hammer que la production a jeté son dévolu. Beaucoup d’appelées, peu d'élues Gemma Arteton, Alice Eve, Mia Wasikowska, Emilia Clarke, Felicity Jones, Teresa Palmer et Sarah Gadon ont été auditionnées pour le rôle de Gaby Teller qui a finalement échu à la star montante Alicia Vikander. Lieux de tournage Cette adaptation de la série TV a été tournée principalement à Londres mais également à Naples. De super espion à super-héros, il n'y a qu'un pas Armie Hammer fut envisagé pour le rôle de Clark Kent/ Superman dans le Man Of Steel de Zack Snyder mais c'est Henry Cavill qui le décrocha. Il fit ensuite partie des derniers finalistes pour incarner Bruce Wayne/Batman dans Batman v Superman: l'Aube de la Justice mais on lui préféra Ben Affleck. Toujours dans l'esprit d'adaptation DC Comics, Robert Vaughn, qui était dans la série TV Des Agents très spéciaux, jouait un méchant dans Superman III, aux côtés de Christopher Reeves. Sexe, mensonges et espions Steven Soderbergh fut pendant un temps rattaché à la réalisation mais il décida d'abandonner le projet suite à de multiples désaccords avec le studio, notamment à propos du budget et des choix de casting. God save bacon Si vous trouvez que le personnage de Napoléon Solo a des faux airs de James Bond, c'est normal. Une seule et même plume les a inventés, celle de Ian Fleming. Conséquemment, les deux espions partagent un goût prononcé pour les belles femmes et une classe à toute épreuve. Le personnage joué par Henry Cavill est un tantinet moins violent que celui de Daniel Craig. MI6 vs Spectre L'organisation U.N.C.L.E, "United Network Command for Law and Enforcement" dans la langue de Shakespeare, affronte sans relâche sa Némésis, THRUSH, dont l'acronyme signifie "Technical Hierarchy for the Removal of Undesirables and the Subjugation of Humanity". Cette organisation criminelle internationale bureaucratique est particulièrement malfaisante. Où est-il passé ? Il s'agit du dernier film réalisé par Guy Ritchie depuis Sherlock Holmes 2: Jeu d'ombres en 2011. Pas exactement en vacances entre les deux longs métrages, le cinéaste britannique s'est penché sur la réalisation de spot publicitaires pour des marques de parfums ou des jeux vidéo. Poule aux œufs d'or Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce n'est pas la première fois qu'une adaptation de la série originale se concrétise. Avant l'arrêt de sa diffusion, un spin-off de la série intitulé Annie, agent très spécial est lancé en 1966 mais n'obtiendra pas le succès escompté. Ce n'est pas tout puisqu'en 1983, le téléfilm Le Retour des agents très spéciaux est diffusé. On pouvait notamment y retrouver le duo d'acteur Robert Vaughn et David McCallum aux côtés de George Lazenby et Patrick Macnee. La version de Guy Ritchie est donc une troisième renaissance. Espionnage moderne La dernière fois que la belle Alicia Vikander participait à un film d'espionnage, c'était dans Le Cinquième pouvoir, orchestré par Bill Condon. Si les thématiques et l'intrigue de ce film dédié à Julian Assange sont résolument plus modernes, les deux films partagent certaines similitudes, comme par exemple la mise en danger de l'équilibre mondial. Equipe gagnante Agents très spéciaux : Code U.N.C.L.E. marque la troisième collaboration entre le réalisateur Guy Ritchie et le scénariste/producteur Lionel Wigram. Les deux hommes ont travaillé de concert sur le script et la production de ce film et des Sherlock Holmes, sortis respectivement en 2009 et 2011. Une année riche en espionnage Agents très spéciaux -Code U.N.C.L.E est programmé pour une sortie à la fin de l'été 2015. Une année très riche en matière de films d'espionnage puisque c'est cette même année que sont également sortis Spy, Kingsman, Mission Impossible 5 et Spectre. Retrouvailles Jared Harris avait déjà collaboré avec le metteur en scène Guy Ritchie sur Sherlock Holmes - Jeu d'ombres. Il campait l'ennemi du célèbre et déjanté détective, le professeur James Moriarty. Même époque En adaptant la série originale, le réalisateur Guy Ritchie souhaitait en conserver le contexte de la guerre froide afin de "retrouver la singularité et l'atmosphère de cette époque tout en rendant celle-ci accessible au spectateur d'aujourd'hui et en en proposant une interprétation nouvelle." Un procédé déjà utilisé par le cinéaste lors de son adaptation très modernisée de Sherlock Holmes et qui passe par des éléments aussi importants que les décors, les costumes, la musique (qui mêle des sonorités d'époques et contemporaines), ainsi que les effets spéciaux, pour lesquels certains ont été conçus de manière artisanale comme dans les années 60, et d'autres avec des outils numériques comme de nos jours. U.N.C.L.E. Origins Au moment de l'écriture du scénario, Lionel Wigram a pensé qu'il était audacieux de se pencher sur les origines de l'organisation U.N.C.L.E. : "Dans la série d'origine, l'U.N.C.L.E. existait déjà et au coeur de la guerre froide, on voyait la CIA et le KGB s'unir dans le plus grand secret pour la survie de l'humanité, à une époque où les relations Est-Ouest étaient catastrophique. On s'est donc demandé comment une telle alliance avait pu voir le jour." Préquel ? Le film a été conçu de la même façon que l'adaptation de l'Agence tous risques, en expliquant les origines des personnages et en explorant les prémices de la relation qui les unit dans la série. Echange de nationalités Parmi les comédiens principaux du film, pas un n'interprète un personnage de sa propre nationalité. Ainsi, l'02 Anglais Henry Cavill incarne un Américain, pendant qu'Armie Hammer qui est américain, joue ici un Russe. Et enfin, Alicia Vikander est d'origine suédoise mais se glisse dans la peau d'une Allemande. C'est dans le sang L'une des raisons pour lesquelles Hugh Grant a accepté de jouer dans ce film, c'est que son oncle était lui-même un espion, et qu'il a donc toujours été fasciné par cet univers. Il interprète ici, Waverfly, le seul personnage (avec ceux de Solo et de Kuryakin) à être issu de la série originale. D'un film à l'autre L'un des hélicoptères d'époque du film avait déjà été utilisé dans Goldfinger, le troisième volet de la saga James Bond, et qui se déroulait également durant la guerre froide. Parlons argent ! Conçu pour un budget de 75 millions de dollars, Agents très spéciaux: Code U.N.C.L.E n'est pas le film le plus cher de Guy Ritchie puisque Sherlock Holmes et Sherlock Holmes: A Game of Shadows avaient respectivement coûté 90 et 125 millions. Caméo David Beckham fait une toute petite apparition dans le film, en tant que projectionniste russe apparaissant de manière méconnaissable lors d'un flashback. L'acteur a une toute petite réplique lorsqu'il s'excuse d'avoir mis une diapositive à l'envers. A noter que Beckham avait par le passé été engagé par Guy Ritchie dans une pub H&M, et il devrait normalement avoir un tout petit rôle dans King Arthur dont la sortie est prévue pour aout 2016. |
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Big Boss (The) | Tang Shan Da Xiong | Chine/Hong-Kong | 1972 | Action | 94 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 20/10/2006 | |
Lo Wei | Bruce Lee (Cheng Chao-an), James Tien (Hsiu Chen), Tony Liu (le fils de Mi), Nora Miao (Miao), Robert Baker (Petrov), Riki Hoshimoto (Susuki), Jackie Chan (un étudiant), San Chin (Tung), Lo Wei (Inspecteur), Jan Arimura (Garde du corps de Susuk, Fung Yi (Yoshida) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=53367.html | |||||
A la recherche d'un emploi, Cheng Chao-An émigre chez ses cousins en Thaïlande et est embauché comme manutentionnaire dans une fabrique de glace. Ayant promis à sa mère de ne jamais se battre, il subit la violence des contremaîtres de l'usine et des voyous qui occupent la ville. Mais lorsque les membres de sa famille disparaissent, Cheng rompt son serment et déchaîne sa fureur... | |||||
Fiche technique : Couleur Format du son : Mono Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : Mandarin Secrets de tournage : Après avoir longuement refusé de tourner pour des producteurs de Hong-Kong, Bruce Lee accepte de jouer la vedette de deux films réalisés par Lo Wei qui vont le faire connaître : Big Boss et La Fureur de vaincre en 1972. Les deux films connaissent un succès immédiat et Bruce Lee devient une star à Hong-Kong. |
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Code 8 | Code 8 | Canada | 2019 | Action | 98 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 08/10/2022 | ||
Jeff Chan | Stephen Amell, Robbie Amell, Laysla De Oliveira, Sung Kang, Greg Byrk, Kari Matchett, Peter Outerbridge, Alex Mallari Jr. | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=245865.html | |||||
Dans un monde où 4% de la population est née avec des pouvoirs surnaturels, et où ces personnes sont discriminées et traquées sans relâche, un ex-malfrat et un trafiquant de drogue possédant un don de télékinésie s'allient pour mettre fin à un dangereux réseau de criminels. |
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Pas mal, sans plus ! Ne renouvelle ni le genre des films de casse de banque, ni celui des superhéros, mais à l'audace de faire un mix des deux. |
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Fureur De Vaincre lLa) | Fist Of Fury | Chine/Hong-Kong | 1972 | Action | 100 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 26/10/2006 | |
Lo Wei | Bruce Lee (Chen Zhen), Nora Miao (Yuan Le-erh), James Tien (Chang Chun-hsia) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=578.html | |||||
A Shanghaï, le dojo Nijiguchi, dirigé par le japonais Suzuki, ne cesse d'humilier les écoles chinoises d'arts martiaux qui obéissent aux préceptes de tolérance taoïste et refusent de se battre. Chen Zhen est un jeune élève de Kung-Fu. Déchiré par la mort suspecte de son maître, il enfreint les règles de son école et décide de se venger en partant à l'assaut du dojo Nijiguchi. | |||||
Interdit aux moins de 12 ans Fiche technique : Interdit aux moins de 12 ans Couleur Format du son : Mono Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : Chinois |
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Gomez & Tavarès | Gomez & Tavarès | France | 2002 | Action | 109 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 19/04/2004 | |
Gilles Paquet-Brenner | Stomy Bugsy, Titoff, Jean Yanne, Elodie Navarre, Noémie Lenoir | ||||
Marseille, dans la chaleur de la fin de l'été. Meurtre déguisé en suicide, disparition d'une strip-teaseuse... Depuis quelques temps, la rue appartient aux gangsters. Pour la police, l'ultime recours s'impose : frapper fort en mettant sur le coup deux de ses meilleurs flics : Gomez et Tavarès. Détaché à Marseille, Gomez est un incorruptible pur souche et à la gâchette facile. Tavarès, pour sa part, est une "star" de la police, frimeur, "grande gueule" et efficace, mais il a les doigts qui collent un peu trop aux billets. Tout les oppose : l'un est aussi coriace que l'autre est magouilleur, et Gomez ne va pas tarder à réaliser que son collègue est loin d'être un flic modèle. Les deux policiers vont devoir apprendre à se supporter, n'hésitant pas à passer outre la loi pour arrêter les criminels... |
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Ip Man : la légende est née | Yip Man chinchyun | Chine/Hong-Kong | 2010 | Action | 100 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 25/05/2013 | |
Herman Yau | Yu-Hang To (Ip Man), Siu-Wong Fan (Ip Tin Chi), Sammo Hung Kam-Bo (Chan Wah-shun), Yi Huang (Cheung Wing-shing), Rose Chan (Lee Mei-wai), Ip Chun (Leung Bik), Hins Cheung (Cho), Suet Lam (Cheung Ho-tin), Sire Ma (Cheung Wing Wah), Kenya Sawada (Kitao Yukio). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=191007.html | |||||
Après le décès de son maître, le jeune Ip Man continue à apprendre les arts martiaux sous les ordres d'un disciple et part à Hong-Kong. Il revient dans sa ville de Foshan où il tombe amoureux de Wing Shing, malheureusement de rang différent de lui. Entre amour interdit, apprentissage de son art et révélation sur son passé, Ip Man entame la plus ardue de ses aventures. | |||||
Fiche technique : Année de production : 2010 Date de sortie DVD : 29 juin 2012 Langue : Cantonais Date de sortie Blu-ray : 29 juin 2012 Format de production : 35 mm Colorimétrie : Couleur Format audio : Dolby Digital Type de film : Long-métrage Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope |
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Jason Bourne | Jason Bourne | USA | 2016 | Action | 124 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 03/09/2016 | |
Paul Greengrass | Matt Damon, Tommy Lee Jones, Alicia Vikander, Vincent Cassel, Julia Stiles, Riz Ahmed, Ato Essandoh, Scott Shepherd (II) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=231615.html | |||||
La traque de Jason Bourne par les services secrets américains se poursuit. Des îles Canaries à Londres en passant par Las Vegas... | |||||
Au bout d'une heure quarante-cinq, voici, enfin, Jason Bourne (Matt Damon, de mieux en mieux) face au chef de la CIA (Tommy Lee Jones), qui n'a eu de cesse de vouloir l'éliminer, à coups de pièges et de tueurs également diaboliques. L'un voudrait apprendre la vérité sur la mort de son père. L'autre, tout heureux de constater une faille dans la cuirasse, tente de persuader le révolté qu'il est resté, malgré tout, un patriote. Un bon Américain... C'est l'un des (rares) moments psychologiques d'un film emporté, sous pression, où la CIA, totalement déjantée, cette fois, s'associe secrètement avec une sorte de Steve Jobs indien pour mieux instaurer un monde à la George Orwell... Avant d'avoir connu la gloire avec Jason Bourne, Paul Greengrass avait réalisé Bloody Sunday : un formidable documentaire-fiction qui relatait par le menu le massacre commis, le 30 janvier 1972, par l'armée britannique à l'encontre des indépendantistes irlandais. On retrouve son habileté à insuffler un vrai lyrisme — voire une flamme insurrectionnelle ! — dans les séquences grecques où Athènes, à feu et à sang, lutte pour protéger la démocratie. Habile aussi, et spectaculaire, la partie londonienne, où Vincent Cassel tente d'éliminer celui qu'il prend pour un nouvel Edward Snowden : responsable, par ses révélations, de la perte d'agents dévoués et efficaces... Les deux cents, trois cents, cinq cents voitures qui explosent à Las Vegas, lors de l'ultime poursuite, finissent, en revanche, par lasser. Trop de bruit et de fureur, de freins qui crissent et de tôle qui éclate... On préfère suivre, au calme, l'ascension, au sein de la CIA, d'une Eve à la Mankiewicz (Alicia Vikander), dont Jason Bourne, pas dupe, se méfie déjà... — Pierre Murat. |
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Meltdown, Terreur à Hong Kong | Shu dan long wei | Chine/Hong-Kong | 1995 | Action | 97 min. |
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Disponible | 01 AVI | 08/05/2008 | ||
Jing Wong, Corey Yuen | Jet Li, Jacky Cheung, Yau Shuk Ching, Charlie Young, Billy Chow, Suki Kwan | ||||
http://www.cinemovies.fr/fiche_film.php?IDfilm=5438 | |||||
Après avoir vu sa femme mourir, Kit Li travaille comme garde du corps et comme doublure cascade pour Frankie Lane, une star peureuse de films d'arts martiaux. Mais quand le gang du 'Docteur' responsable de la mort de sa femme ressurgit, Kit voit rouge... | |||||
Un film assez fandard de par le rôle de Jacky Cheung (très grand acteur, également un des chanteurs les plus connus en Chine) en pseudo Bruce Lee, soit-disant maître d'arts martiaux mais qui utilise une doublure pour ses cascades, Jet Li. Il y a pas mal d'humour donc, et le peu de scènes de fights valent le détour ! Peu connu de la filmographie de Li, Meltdown a des similitudes avec Piège de Cristal, la plus grosse étant la prise d'otages de tout un immeuble. Un film à voir pour un moment de détente, mais ne vous attendez vraiment à du sérieux, je dirais même que l'affiche française est trompeuse, on en croirait un nanar d'action mais le comique prend largement le dessus. |
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Mission Impossible 3 | MI III | USA | 2005 | Action | 126 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 27/12/2006 | |
J.J. Abrams | Tom Cruise (Ethan Hunt), Ving Rhames (Luther Stickell), Philip Seymour Hoffman (Owen Davian) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=28602.html | |||||
Ethan espérait avoir tourné une page en quittant le service actif de la Force Mission Impossible pour un poste de formateur ; pouvoir enfin mener une vie ''normale'', se consacrer tout entier à sa ravissante épouse, Julia...Mais lorsque Lindsey, la plus brillante recrue de l'IMF ''tombe'' à Berlin, Ethan se sent moralement obligé de lui porter secours. Assisté de ses fidèles coéquipiers Luther, Zhen et Declan, il infiltre le repaire du trafiquant Owen Davian et arrache la jeune femme des mains d'une quinzaine de ses sbires. Trop tard : quelques instants plus tard, une mini-capsule de magnésium explose dans la tête de Lindsey, la tuant sur le coup. Davian avait tout prévu...Pour Ethan, c'est bien plus qu'un ratage - c'est une faillite personnelle dont il lui faut au plus vite se racheter... | |||||
Fiche technique : Budget : $150 000 000 Box Office France : 1 918 786 entrées N° de visa : 115207 Couleur : Couleur Format du son : Dolby SR + Dolby SR-DTS & SDDS Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : M : i : III est le troisième long-métrage adapté de la célèbre série télévisée Mission : impossible après Mission : impossible (1996, Brian De Palma) et Mission : impossible 2 (2000, John Woo). Pour la troisième fois, Tom Cruise, initiateur de la saga sur grand écran, endosse la panoplie de l'agent Ethan Hunt. |
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Retour de la 36e chambre de shaolin (le) | Shao Lin ta peng hsiao tzu | Chine/Hong-Kong | 1980 | Action | 99 min. |
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Disponible | 01 AVI | 04/05/2008 | ||
Chia-Liang Liu | Gordon Liu (Chao Yen-Cheh, sous le nom de Chia Hui Liu), Kara Hui (Hung), Lung Wei Wang (Boss Wang), Siu Hau (Ah Chong, sous le nom de Hsiao Hou), Yeong-mun Kwon (le guerrier mandchou, sous le nom de Kuen Wing-Man), Tao Chang (Ma) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=57602.html | |||||
Des ouvriers exploités engagent un acteur pour incarner un maître de Shaolin et effrayer leurs patrons tyranniques. Ces derniers ne sont pas dupes et punissent leurs employés. L'acteur se rend alors à Shaolin dans l'espoir d'y être formé, afin de revenir venger ses amis... | |||||
Critiques Spectateurs Tout le charisme de Gordon Liu est révélé dans ce sublime "kung-fu comedy". Le second volet de la trilogie de la 36ème chambre est plus centré sur l'humour que le premier. Et c'est avec plus de plaisir que l'on savoure le jeu d'acteur de Liu, immense artiste martial par ailleurs. Excellent en tout point de vue. Voila le second de la trilogie de la 36éme chambre de Shaolin (La 36 éme chambre de Shaolin, retour à la 36éme chambre et les disciples de la 36éme chambre) Gordon Liu toujours aussi jouissif dans la peau d'un arnaqueur frustré voulant "maitriser" le terrible art qu'est le Kung Fu pour sauver ses amis exploités et maltraités par les "méchants manchous". Bref un très très bon de la Shaw Brother qui plaira tant aux puristes des films d'arts martiaux qu'aux non initiés au genre. A se procurer de toute urgence... La suite de la 36eme chambre surprend déjà par le rôle de Gordon Liu, son rôle de futur maître joué dans le premier épisode étant joué par quelqu’un d’autre ! Gordon Liu reprend donc le rôle de l’apprenti Shaolin mais en axant son jeu d’acteur vers la comédie (il ressemble sous certain aspect au personnage qu’il interprétait dans le très bon Martial Club). Une réussite, même si encore une fois certain combat manque de dynamisme, mais c’était le style de l’époque. Pus que sympa ! |
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Scorpion | Scorpion | France | 2007 | Action | 98 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 25/12/2010 | |
Julien Seri | Clovis Cornillac (Angelo), Karole Rocher (Virginie), Jérôme Le Banner (Elias), Francis Renaud (Marcus), Caroline Proust (Léa/elodie), Olivier Marchal (De Boers), Tony Mpoudja (Moise), Hicham Nazzal (Mathias), Pierre Berriau (Barros), Moussa Maaskri (Lieutenant De Boers), Philippe Bas (Patrick), Marc Bertolini (M. Gérard), Titouan Laporte (Milan), Tadrina Hocking (La Soeur De Virginie), Alain Figlarz (Adversaire De L'Entrepôt). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=49272.html | |||||
Angelo ne vit que pour la boxe thaï. Ecarté injustement des championnat, il tue accidentellement le challenger dans un combat de rue.A sa sortie après six ans de prison, c'est une épave. Mais par amour, il va changer, devenir un autre, une machine à cogner, à prendre des coups, à combattre. Il va devenir Scorpion.C'est le prix à payer pour gagner les combats clandestins sans règles et sans limites de free fight. | |||||
Interdit aux moins de 12 ans Note de la presse : 2/5 Note des spectateurs : 3/5 (Pour 961 notes : 22 % de *****, 18 % de ****, 23 % de ***, 6 % de **, 30 % de *) Fiche technique : Box Office France : 228 540 entrées N° de visa : 109 602 Couleur Format du son : Dolby SR - Digital DTS - Digital Format de projection : 1.85 : 1 Format de production : 35 mm Tourné en : Français Secrets de tournage : Une préparation physique intensive Pour se préparer au rôle d'Angelo, Clovis Cornillac a principalement fait du cardio-training afin de tenir le coup sur la longueur, du footing, des abdos et du combat. Il a commencé environ dix mois avant le tournage du Scorpion, avec un coach, Abdelkader Dahou, qui le suivait partout. "C'est la seule condition que j'avais posée pour faire le film, explique-t-il. J'avais un planning surchargé, je n'avais pas le temps d'aller dans une salle, il fallait quelqu'un qui soit présent et disponible à toute heure. Abdelkader m'entraînait quatre heures par jour où que je sois, quoique je fasse, six jours sur sept. Le dimanche, je le réservais à ma famille. Il m'a suivi sur le tournage des Brigades du Tigre, de Poltergay et du Serpent. Il m'entraînait à 6 heures du matin, juste avant que j'aille au maquillage des Brigades du Tigre, parfois à 2h du matin, pendant un raccord lumière sur Le Serpent qu'on tournait de nuit et, dès que j'avais un break, je faisais un footing."De son côté, Alain Figlarz lui faisait répéter des chorégraphies qu'il devait retenir tout en apprenant les textes de ses autres films, pendant que Bertrand Amoussou lui enseignait les rudiments du free fight. N'ayant plus une seconde de libre, il a continué l'entraînement pendant les huit semaines de tournage de Scorpion. La rencontre Cornillac / Le Banner Avant de tourner aux côtés de Jérôme Le Banner, Clovis Cornillac le connaissait pour l'avoir vu combattre. "J'étais allé le voir à Bercy dans un combat qui a duré 30 secondes. Il a mis K.O. d'un coup de pied un mec de deux mètres qui faisait 100 kilos, ça m'avait scotché. Je l'avais appelé pour le féliciter. Quand on a commencé à répéter ensemble, il avait plus peur que moi, il avait peur de me faire mal et puis il n'avait jamais fait de cinéma, il avait une angoisse par rapport à ça. Je lui ai dit que je n'étais pas chiant, que je n'étais pas là pour lui faire des reproches ni pour me plaindre. On a très vite accroché. Contrairement à l'image qu'il donne, pour se protéger j'imagine, il a une connaissance de l'être humain incroyable ! Il te décode tout de suite."Les deux hommes auront à nouveau l'occasion de se croiser sur le tournage d'Astérix aux Jeux Olympiques, film dans lequel Jérôme Le Banner incarnera un gladiateur. Jérôme Le Banner avec un bras cassé Entre les répétitions pour le film, Jérôme Le Banner continuait les matches. Dix jours avant le tournage, il avait combattu et s'était cassé le bras. "Je n'ai rien dit à Julien Seri, je ne voulais pas qu'il s'imagine que je ne serais pas capable de faire le film ou qu'il prenne ça pour un poids supplémentaire à gérer, explique le boxeur. Je savais que même avec un bras cassé j'allais faire le film. Quand j'accepte quelque chose, je vais jusqu'au bout, peu importe ce qui se passe. Je l'aurais fait même avec un seul doigt de pied, pour moi, ce n'est pas un problème, tout est dans la tête. Je me suis fait opérer, on m'a posé des broches et j'ai demandé à mon médecin si je pouvais combattre dans cet état-là, il m'a répondu : "Oui, si tu es fort mentalement, si tu gères la douleur". Ça faisait partie de mon répertoire." Joey Starr pressenti pour le rôle principal Au départ, c'est le rappeur Joey Starr qui devait incarner le personnage d'Angelo. "Il devait tenir le rôle principal, explique Jérôme Le Banner, et comme on est amis, il a immédiatement pensé à moi pour jouer le champion de free fight dans le film. J'ai accepté parce que Joey me l'a demandé, que je m'en sentais capable et que c'était une nouvelle expérience que j'avais envie de tenter. Quand Joey s'est retiré du projet et que Cédric Jimenez, le producteur, est revenu vers moi deux ans plus tard avec un nouveau casting et un nouveau réalisateur, j'ai demandé à Joey s'il était d'accord, par respect. C'était la condition sine qua non pour que je le fasse : qu'il me donne le feu vert. Il m'a dit : "Vas-y, fais-le", donc j'ai dit oui à Cédric." Une initiative du producteur Cédric Jimenez S'intéressant depuis longtemps au free fight, Cédric Jimenez avait envie de développer un film qui parlerait aussi de combat au sens général du terme. "On a tous un combat à mener, quel que soitnotre niveau social, confie-t-il. Je trouvais que l'idée était fédératrice, intemporelle et universelle. J'avais le sujet, le personnage principal, j'en ai écrit six pages, l'histoire était à peu près là, et Sylvie Verheyde m'a proposé d'écrire le scénario. Elle est partie au Mali et elle en est revenue avec un traitement de trente pages. C'était vraiment bien, beaucoup mieux que ce que j'avais envisagé : c'était beaucoup plus basé sur les émotions, moins sur les combats. Je l'ai proposé aux gens de Studio Canal, qui ont immédiatement adhéré au projet, on a commencé le développement mais ça n'a pas abouti tout de suite."Julien Seri a repris le projet, a retravaillé le scénario avec Cédric Jimenez et a rajouté des scènes de combat afin de tenir la promesse principale de Scorpion qui est d'être le premier film au monde à traiter du sport de combat ultime qu'est le free fight. Et le producteur de préciser : "C'est comme ça qu'on a trouvé l'équilibre entre les scènes de combat et les scènes d'émotion, un équilibre fragile qui fait toute l'originalité du film." Julien Seri motivé par le projet Quand Cédric Jimenez a relancé le projet Scorpion, il l'a proposé à plusieurs réalisateurs, dont Chris Nahon, qui est un des amis de Julien Seri. Chris a dit à ce dernier : "C'est un film pour toi, tu devrais appeler le producteur pour le rencontrer." "J'ai appelé Cédric, se souvient le cinéaste, on a dîné ensemble et je suis reparti avec le scénario. A deux heures du matin, j'avais fini de le lire et j'appelais Cédric pour lui dire que je voulais absolument faire le film. J'aurais pu écrire chaque ligne du scénario. Ca ressemblait énormément à mes courts métrages, ça en était perturbant de voir que quelqu'un d'autre avait écrit quelque chose d'aussi proche de moi. C'était comme un miroir. Ça m'a bouleversé." Des scènes de combat tournées en DV Pour les scènes de combat, Julien Seri souhaitait utiliser quatre caméras, or il n'en disposait que de deux et n'avait pas les moyens d'en louer d'autres. "Alors on s'est dit que comme il était question de combats diffusés sur Internet dans le film, il suffisait de prendre deux DV, confie le réalisateur. En plus, ça donnait un autre grain à l'image, un autre regard et ça nous permettait de filmer dans des endroits compliqués. Ce sont les seules scènes un peu storyboardées, sinon je n'avais aucun découpage. J'aime bien me laisser guider par les acteurs. Comme je cadre, je suis très réactif. Je filme à l'instinct, j'essaie de ne pas intellectualiser ma mise en scène, j'essaie de chercher la vérité, ma vérité. Je sais quand même où je vais, c'est de l'improvisation réfléchie, disons. En plus, on tournait en HD, parce que les caméras coûtaient moins cher, et je n'avais jamais utilisé de HD avant. On a dû s'adapter. Ce qui ne m'a pas empêché de faire entre trente et cinquante plans par jour. La plus grosse journée, on a fait cent deux plans totalement improvisés au niveau du cadrage." |
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Secret Des Poignards Volants (le) | House Of Flying Daggers | Chine/Hong-Kong | 2003 | Action | 119 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 20/01/2006 | |
Zhang Yimou | Andy Lau (Leo), Ziyi Zhang (Mei), Takeshi Kaneshiro (Jin), Song Dandan (Yee). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=56871.html | |||||
En cette année 859, la Chine est ravagée par les conflits. La dynastie Tang, autrefois prospère, est sur le déclin, et le gouvernement corrompu s'épuise à lutter contre les groupes de rebelles toujours plus nombreux qui se dressent contre lui. La plus puissante de ces armées révolutionnaires et la plus prestigieuse de toutes est la Maison des Poignards Volants. Deux capitaines, Leo et Jin, sont envoyés pour capturer le mystérieux chef de cette redoutable armée. | |||||
Note de la presse : 3/4 Note des spectateurs : 3/4 Fiche technique : Box Office France : 460 836 entrées Box Office Paris : 188 614 entrées N° de visa : 111612 Couleur Format du son : Dolby Digital DTS Format de projection : 2:35.1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : Mandarin Secrets de tournage : Une approche différente Zhang Yimou n'a jamais été un expert du film d'arts martiaux. Il se considérait jusqu'à présent seulement comme un fan du genre. Puis, "j'ai abordé le wuxia - genre mêlant épées et chevalerie chinoise - avec Hero, et je me suis fait happer..." Désormais rompu aux impératifs cinématographiques du genre, il a pu, avec Le Secret des Poignards volants, se montrer plus audacieux : "On pourrait dire que ce film est aussi un hommage au wuxia".Mais pour le réalisateur, c'est tout sauf un film d'arts martiaux ordinaire : "C'est une histoire d'amour sertie dans un film d'action." Conscient que de nombreux réalisateurs ont raconté ce genre d'histoires, Zhang Yimou a choisi de s'intéresser avant tout à l'instant et à la façon dont l'amour naît, et ce que hommes et femmes sont prêts à sacrifier au nom de ce sentiment. "Pour moi, finalement, l'amour est le triomphe de l'humanité..." Un héros superstar Dans le rôle de Jin, on retrouve un certain Takeshi Kaneshiro, l'un des plus célèbres acteurs asiatiques. De sa collaboration avec Zhang Yimou, l'acteur retient un homme étonnant : "Zhang s'est montré constamment encourageant et d'un soutien sans faille. Il expliquait ce qu'il voulait, et l'écouter était comme d'écouter un conteur. J'étais fasciné, en extase." Takeshi Kaneshiro n'en a pas pour autant fini avec le cinéma d'action puisqu'on pourra le voir bientôt à l'affiche de The Returner, un blockbuster japonais. Tombe la neige... Filmé pour partie en Ukraine, Le Secret des Poignards volants a été victime des aléas climatiques : la neige a fait son apparition dans le pays bien plus tôt que prévu. Pire, les flocons se sont mis à tomber en plein milieu d'une séquence. "Cela m'a beaucoup inquiété, raconte le réalisateur, parce que si la neige continuait à ce train, toutes les feuilles des arbres tomberaient." Ce qui n'aurait pas été sans poser de sérieux problèmes de raccord et de continuité...Mais après mûres réflexions, Zhang Yimou s'est résolu à tourner la séquence dans la neige, procédant à un grand nombre d'ajustement sur le script et le rythme. Au final, le résultat est impressionant : "Je me rends compte que j'ai eu énormément de chance. La neige a créé une tonalité parfaite. C'est le destin - quelque part là-haut, quelqu'un a décidé de m'apporter son aide." Le bois dont on fait les héros S'il est bien une scène que l'on retrouve dans nombre de films d'arts martiaux, c'est le combat dans la forêt de bambous. On se souvient bien sûr de la célèbre séquence de Tigre et dragon mais, comme le fait remarquer le réalisateur Zhang Yimou, "en fait, au cours de ces cinquante dernières années, tout le monde a tourné des scènes d'action dans une forêt de bambous ! A croire qu'il faut se battre dans une telle forêt pour pouvoir être considéré comme un vrai guerrier !" Soucieux de respecter la tradition, Zhang Yimou ne pouvait faire autrement que tourner une scène de ce type... Mais à sa façon ! "Dans ma forêt à moi, le combat se déroule simultanément sur le sol et au sommet des végétaux. Les deux amants en fuite se battent au sol tandis que l'ennemi leur fond dessus depuis les hauteurs." |
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Sin City | Sin City | USA | 2005 | Action | 123 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 23/01/2007 | |
Robert Rodriguez, Frank Miller, Quentin Tarantino | Bruce Willis (Hartigan), Mickey Rourke (Marv), Jessica Alba (Nancy), Benicio Del Toro (Jackie Boy), Josh Hartnett (L'Homme), Jaime King (Goldie), Brittany Murphy (Shellie), Carla Gugino (Lucille), Clive Owen (Dwight), Marley Shelton (La Cliente), Elijah Wood (Kevin), Rosario Dawson (Gail), Nick Stahl (Roark Jr.), Michael Clarke Duncan (Manute), Michael Madsen (Bob), Rutger Hauer (Cardinal Roark), Alexis Bledel (Becky), Jude Ciccolella (Le Commissaire Liebowitz), Devon Aoki (Miho), Rick Gomez (Monsieur Shlubb), Frank Miller (Le Prêtre), Jeff Schwan (Tommy). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=56067.html | |||||
Sin City est une ville infestée de criminels, de flics ripoux et de femmes fatales. Hartigan s'est juré de protéger Nancy, une strip-teaseuse qui l'a fait craquer. Marv, un marginal brutal mais philosophe, part en mission pour venger la mort de son unique véritable amour, Goldie. Dwight est l'amant secret de Shellie. Il passe ses nuits à protéger Gail et les filles des bas quartiers de Jackie Boy, un flic pourri, violent et incontrôlable. Certains ont soif de vengeance, d'autres recherchent leur salut. Bienvenue à Sin City, la ville du vice et du péché. |
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Interdit aux moins de 12 ans Fiche technique : Budget : 45 500 000 $ Box Office France : 1 236 272 entrées Box Office USA : 74 098 862 $ N° de visa : 112 632 Interdit aux moins de 12 ans Couleur Format du son : DTS Format de projection : 1.85 : 1 Format de production : HD Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Ce film a été présenté au Festival de Cannes 2005 en compétition officielle. |
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Territoire Des Morts (le) | Land Of The Dead | Canada/France | 2004 | Action | 93 min. |
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Disponible | 01 AVI | 27/12/2006 | ||
George A. Romero | Simon Baker Denny (Riley), Asia Argento (Slack), Dennis Hopper (Kaufman), John Leguizamo (Cholo) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=57722.html | |||||
Dans un avenir pas si lointain, une poignée de survivants barricadés dans une ville bunker vit encore dans le souvenir de l'ancien monde... Des zombies, qui désormais pensent et communiquent, s'organisent pour prendre d'assaut la ville bunker. Kaufman, autoproclamé chef des vivants, engage un commando de mercenaires pour contrer les attaques de ces morts-vivants d'un genre nouveau... |
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Interdit aux moins de 12 ans Fiche technique : Interdiction : Interdit aux moins de 12 ans Couleur : Couleur Format du son : Dolby SR + Dolby SR-DTS & SDDS Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Land of the dead est le quatrième épisode d'une saga sur les morts-vivants entamée en 1968 par George A. Romero. Marqué de l'empreinte du 11 septembre 2001, cet opus prend le relais du spectre de la guerre du Vietnam de La Nuit des morts-vivants, du consumérisme de Zombie (1978) et des germes du totalitarisme du Jour des morts-vivants (1985). Romero reprend donc sa saga vingt ans après son point final provisoire... Paradoxalement, c'est le premier film de morts-vivants réalisé par Romero dans lequel est prononcé le terme "zombie". Les créateurs de la parodie 02 Anglaise Shaun of the dead y font d'ailleurs référence dans leur film, lorsque l'un des héros signale qu'il est malpoli de parler des "zombies", préférant à cette formule le plus digne "Z word"... |
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Transporteur 2 (le) | The Transporter II | France | 2004 | Action | 87 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 20/01/2006 | |
Louis Leterrier, Corey Yuen | Jason Statham (Frank Martin), Amber Valetta (Audrey Billings), Alessandro Gassman (Gianni), Kate Nauta (Lola), Hunter Clary (Jack Billings), Jeff Chase (Vasily), François Berléand (Tarconi), Jay Amor (Gianni Thug), Scott Dale (Gianni Thug Speared), Vincent De Paul (Le Chef De La Sécurité De Billings), Keith David, Matthew Modine, Tim Ware (Hoffman). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=57125.html | |||||
A Miami pour dépanner un ami en vacances, Frank Martin doit conduire un enfant à l'école pendant quelques jours. Mais parce que le père du petit est désormais responsable de la lutte antidrogue, il va se retrouver malgré lui impliqué dans un incroyable complot... ** mauvaise qualité ** |
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Interdit aux moins de 12 ans Fiche technique : Budget : 32 millions de $ Box Office France : 1 227 577 entrées Couleur Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : On prend les mêmes... (ou presque) Le Transporteur II est la suite du Transporteur, sorti en 2002. Toujours produit et scénarisé par Luc Besson pour sa société EuropaCorp, il bénéficie cette fois d'un radical changement au niveau du casting et de l'équipe technique puisque, délocalisation aux Etats-Unis oblige, les Français sont majoritairement remplacés par des Américains. En revanche, la réalisation est toujours assurée par Louis Leterrier, secondé pour les scènes d'action par Corey Yuen. Dans la foulée, alors que le Français François Berléand reprend du service dans le rôle de l'inspecteur Tarconi, le rôle féminin principal est tenu cette fois par l'ancien mannequin Amber Valletta et non plus par la Taïwanaise Shu Qi. A propos du "Transporteur II" Louis Leterrier commente ainsi le succès du film : "Le studio a tout de suite senti que le public réagissait. Je pense que c'est vraiment le personnage qui a séduit les spectateurs. (...) Ce n'était pas un héros tout-puissant, mais un homme normal, sans gadgets, sans super pouvoirs, un type plutôt sympa qui fait des erreurs, qui n'a pas toujours la réplique idéale quand tout explose autour de lui." Un tournage cauchemardesque Selon Louis Leterrier, il était difficile de tourner le film en respectant le budget alors qu'il fallait tenir compte du déplacement aux Etats-Unis. "Nous n'avons eu que soixante jours de tournage, douze heures par jour plus quatre de préparation pour le lendemain. Toute la semaine, nous tournions les scènes de jeu avec l'ensemble du casting ; le week-end, on s'occupait des cascades et Corey tournait les combats pendant que je préparais la suite, le tout sous une chaleur à tomber et une humidité étouffante."Le planning de tournage était déjà serré et la météo ne nous a pas simplifié la vie. Jamais autant d'ouragans n'ont frappé la Floride ! Chaque jour, on m'affichait près du moniteur une carte avec la progression des ouragans. Deux (...) ont balayé la région avec des vents de 300 km/h !" Esprit de famille En-dehors des habitués (équipe technique, acteurs, réalisateurs) issus du premier épisode, on notera les retrouvailles de Jason Statham avec Jason Flemyng. Tous deux acteurs incontournables du renouveau du polar 02 Anglais, il s'étaient retrouvés ensemble à l'affiche des deux premiers films de Guy Ritchie, Arnaques, crimes et botanique (1998) et Snatch (2000), mais aussi dans Carton rouge - Mean Machine, une comédie policière sur le milieu du foot. Flemyng apparaît également dans le film Layer cake, de Matthew Vaughn (le producteur des films de Ritchie). Calendrier Le film a été tourné à l'été 2004 mais il ne sort que maintenant, entre autres parce que sa production, gérée par la société de Luc Besson (EuropaCorp), a dû cohabiter avec celle de nombreux autres projets, dont le film de Guy Ritchie ayant pour vedette, une fois encore, Jason Statham : Revolver ! |
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Tube | Tube | Corée Du Sud | 2003 | Action | 112 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 20/01/2006 | |
Baek Woon-Hak | Kim Seok-Hun ( Ii ), Park Sang-Min, Bae Du-Na, Kwon Oh-Jung ( I ), Jun Jeong. | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=60286.html | |||||
Do-Jun, un ancien agent d'élite au service d'un homme politique influent, est devenu un simple policier opérant dans l'enceinte du métro de Séoul, à la suite du décès accidentel de sa fiancée lors d'une mission. Un jour, Ki-Taek, son ennemi juré, assassine le maire de la ville, détourne une rame de métro et prend ses occupants en otages. Do-Jun va devoir intervenir... | |||||
Wanted Recherché Mort Ou Vif | Most Wanted | USA | 1997 | Action | 95 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 19/01/2007 | |
David Hogan | Keenen Ivory Wayans (Le Sergent James Dunn), Jon Voight (Le Général Adam Woodward), Jill Hennessy (Dr. Victoria Constantini), Paul Sorvino (Kenny Rackmill), Robert Culp (Donald Bickhart), Simon Baker Denny (Stephen Barnes), Wolfgang Bodison (Capitaine Steve Braddock), Eric Roberts (Spencer), John Diehl (Le Capitaine De Police), Eddie Velez (Sergent Peyton), Donna Cherry (First Lady), Tucker Smallwood (William Watson), Amanda Kravat (Charlie), Casey Lee (Randy), Dave Oliver (Lieutenant Scruggs). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=18345.html | |||||
Le sergent James Dunn, tireur d'élite et héros de la guerre du Golfe, est condamné à mort pour avoir abattu un de ses supérieurs. Le colonel Casey, qui dirige une unité d'élite secrète, lui rend visite dans sa cellule et lui offre la liberté en échange d'un contrat: assassiner un industriel soupçonné d'avoir vendu des renseignements technologiques à une puissance ennemie. Le jour J, c'est la Première Dame des Etats-Unis qui est assassinée par un tueur d'élite. Dunn comprend qu'il vient d'être manipulé. | |||||
Fiche technique : Couleur Format du son : Dolby Digital DTS Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais |
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Boulevard de la mort | Grindhouse: Death Proof | USA | 2007 | Action | 110 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 25/12/2010 | |
Quentin Tarantino | Kurt Russell (Stuntman Mike), Rose Mcgowan (Pam), Zoe Bell (Zoe), Rosario Dawson (Abernathy), Vanessa Ferlito (Arlene), Jordan Ladd (Shanna), Michael Bacall (Omar), Eli Roth (Dov), Mary Elizabeth Winstead (Lee), Tracie Thoms (Kim), Sydney Tamiia Poitier (Jungle Julia), Quentin Tarantino (Warren), Marley Shelton (Dr. Dakota Block), Michael Parks (Earl Mcgraw), Monica Staggs (Lanna Frank), Timothy V. Murphy (Le Patron Du Bar), Marta Mendoza (Sonia), Kelley Robins (Laquanda), Omar Doom (Nate), Jonathan Loughran (Jasper), Nicky Katt (L'Employé De La Superette), James Parks (Acteur), Electra Avellan (Actrice), Mikhail Sebastian (Docteur/ Médecin). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=108247.html | |||||
C'est à la tombée du jour que Jungle Julia, la DJ la plus sexy d'Austin, peut enfin se détendre avec ses meilleures copines, Shanna et Arlene. Ce TRIO INFERNAL, qui vit la nuit, attire les regards dans tous les bars et dancings du Texas. Mais l'attention dont ces trois jeunes femmes sont l'objet n'est pas forcément innocente. C'est ainsi que Mike, cascadeur au visage balafré et inquiétant, est sur leurs traces, tapi dans sa voiture indestructible. Tandis que Julia et ses copines sirotent leurs bières, Mike fait vrombir le moteur de son bolide menacant... | |||||
Interdit aux moins de 12 ans Note de la presse : 3/5 Note des spectateurs : 4/5 (Pour 10030 notes : 35 % de *****, 26 % de ****, 16 % de ***, 1 % de **, 22 % de *) Fiche technique : Box Office France : 627 459 entrées N° de visa : 118175 Couleur Format du son : Dolby SR + Digital SR-D + DTS & SDDS Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Un hommage vibrant au cinéma bis... Afin de rendre hommage aux films de séries B qui les ont bercés, les réalisateurs Quentin Tarantino et Robert Rodriguez ont décidé, à l'origine, de tourner Grindhouse, un double-programme identique à ceux diffusés dans le cadre des systèmes d'exploitation Grindhouse (ces salles de cinéma qui projetaient des doubles programmes déjantés, mêlant violence et érotisme, entrecoupés de bandes annonces). Les deux films, avec de fausses bandes annonces en guise d'entracte, empruntent aux genres populaires de cette époque : le Planète terreur - un film Grindhouse de Robert Rodriguez est un film de zombie, alors que le Boulevard de la mort - un film Grind House de Quentin Tarantino est un "slasher road-movie" meurtrier dans la veine de Duel ou Hitcher. ... avec une double exploitation Le concept du double-programme avec fausses bandes annonces en guise d'entracte, parfaitement en phase avec le système d'exploitation Grindhouse, fut jugé inhabituel pour les pays européens par la production du film et ne passa pas les frontières américaines. Les frêres Weinstein, producteurs du projet, décidèrent ainsi que le film serait coupé en deux pour tous les pays non-anglophones. Sortiraient ainsi en salles Boulevard de la mort - un film Grind House (le 13 juin 2007 pour la France) puis, quelques mois plus tard, Planète terreur - un film Grindhouse (le 15 août 2007 pour la France). Tarantino mélange les genres Quentin Tarantino, s'il qualifie en premier lieu Boulevard de la mort - un film Grind House de film "gore", précise néanmoins : "J'ai voulu intégrer des courses-poursuites effrénées au slasher-movie. Du coup, le film change de registre en cours de route. A une vingtaine de minutes de la fin, on ne sait même plus à quel genre exactement appartient le film. On s'identifie tellement aux personnages qu'on ne s'en aperçoit pas, mais ce n'est plus le même film." Un grain de folie Pour bien respecter le charme désuet de ce genre de films, les deux réalisateurs ont "vieilli" leurs films respectifs en imprimant un grain particulier sur les images ou encore en en se privant pas de pimenter le métrage d'intempestives -et voulues- sautes de pellicules. Quand Tarantino s'auto-référence... Dans Boulevard de la mort - un film Grind House, Quentin Tarantino rend hommage à tout un pan méconnu de la culture cinématographique américaine, mais n'en oublie pas de non plus de faire des clins d'oeil... à son propre cinéma. Ainsi, le long métrage est parsemé de références "tarantinesques" telles, entre (nombreuses) autres, la présence des cigarettes Red Apple ou encore la musique immédiatement reconnaissable de Kill Bill : Volume 1 retentissant comme sonnerie de téléphone portable. Fausses bandes annonces Pour respecter pleinement le concept du système d'exploitation Grindhouse, les deux films (seulement aux Etats-Unis, où le concept est proposé à 100%), sont entrecoupés de fausses bandes annonces, réalisées par des adeptes du genre: Eli Roth, le maître d'oeuvre d'Hostel, Rob Zombie, le réalisateur déjanté d'Halloween 9 et de Devil's Rejects ou encore Edgar Wright, le farceur de Shaun of the Dead. Une valeur ajoutée que ne pourront malheureusement pas découvrir les spectateurs européens avec le film coupé en deux parties. Rosario Dawson plus qu'enthousiaste Jouer sous la direction de Quentin Tarantino semble avoir été une véritable révélation et avoir procuré un plaisir total aux comédiens de Boulevard de la mort - un film Grind House. Ainsi, l'actrice Rosario Dawson ne cache pas son enthousiasme : "Dans ce film, vous allez voir les courses poursuites les plus impressionnantes de votre vie, les nanas les plus délurées que vous ayez jamais vues, et le personnage de tueur psychopathe le plus effrayant auquel vous ayez jamais été confronté. Et en prime, vous allez vous marrer ! Quentin n'avait encore amais fait un film pareil." Le double-effet Grind House Les comédiennes Rose McGowan et Marley Shelton présentent la particularité d'apparaître à la fois au générique de Boulevard de la mort - un film Grind House et à celui de Planète terreur - un film Grindhouse. Références Boulevard de la mort - un film Grind House multiplie les références au cinéma bis des années 70. Parmi ces références, citons notamment l'oeuvre de Russ Meyer et le long métrage Point limite zéro, réalisé en 1971 par Richard C. Sarafian. Une BOF toute tarantinesque A l'instar des précédents longs métrages de Quentin Tarantino, Boulevard de la mort - un film Grind House bénéficie d'une bande originale de haut vol, reflétant l'amour inconsidéré du cinéaste pour la musique, le septième art et leur union. Parmi les artistes présents sur cette BOF, beaucoup d'obscurs noms que Tarantino se fait un plaisir de faire découvrir aux spectateurs, mais également des pointures comme Ennio Morricone, le groupe T-Rex, le chanteur de blues Willy de Ville ou encore Serge Gainsbourg, dont l'un des morceaux (la version américaine de J'aime tomber les filles) habite le générique de fin. Une cascade de haut vol La scène de course-poursuite de Boulevard de la mort - un film Grind House, dans laquelle Zoe Bell chevauche le capot du bolide de Kurt Russell à pleine vitesse, est l'un des moments phares du long métrage. Quentin Tarantino raconte : "On a tenté de se rapprocher des courses-poursuites des années 70. On a visionné plusieurs scènes de courses-poursuites : des poursuites de films contemporains, de films des années 90, des années 80 et des années 70. Les poursuites des années 70 sont toujours les plus impressionnantes. Pour une simple raison : à l'époque, les cascadeurs exécutaient les acrobaties eux-mêmes. En ce qui me concerne, je ne voulais ni d'effets infographiques, ni de ralentis." Ainsi, dans cette logique, l'actrice-cascadeuse Zoe Bell a effectué elle-même cette périlleuse acrobatie. Un directeur photo nommé... Tarantino Avec Boulevard de la mort - un film Grind House, le réalisateur Quentin Tarantino fait ses débuts en tant que directeur de la photographie. Il raconte avoir souhaité vieillir l'aspect de la pellicule tout en conservant une certaine authenticité : "J'ai tiré le film en noir et blanc. Je pense souvent au négatif comme à la créature de Frankenstein car il provient de plusieurs sources. De fait, le grain de la pellicule est épais, comme passé et "sale"." Les comédiens du long métrage ont été éclairés par des néons, des lampes fluorescentes, mais également par la lumière du soleil et la clarté de la lune. L'hommage de Tarantino à la gent féminine Avec Boulevard de la mort - un film Grind House, Quentin Tarantino poursuit sa déclaration d'amour cinématographique aux femmes, avec notamment de longues plages de dialogues entre les jeunes et belles héroïnes du long métrage. Mary Elizabeth Winstead, qui incarne l'une d'elles, déclare à ce propos : "Les protagonistes sont attachantes, mais elles n'en sont pas moins faillibles, et les dialogues sonnent juste. Tarantino n'a pas cherché à écrire des dialogues "de filles". C'est comme ça que les filles s'expriment dans la vie. Elles sont aussi grossières que les mecs. Je trouve qu'il a vraiment saisi cette dimension, ce qui est formidable." Le shérif est de retour L'acteur Michael Parks poursuit sa drôle de collaboration avec Quentin Tarantino et Robert Rodriguez. Il reprend en effet son personnage du shérif Earl McGraw dans Boulevard de la mort - un film Grind House après l'avoir incarné dans la Nuit en enfer de Rodriguez et le Kill Bill : Volume 1 de Tarantino. La gueule cassée de Stuntman C'est Mickey Rourke, vu en Marv dans le Sin City de Robert Rodriguez, qui devait à l'origine incarner le personnage de Stuntman Mike dans Boulevard de la mort - un film Grind House. D'autres acteurs, comme Sylvester Stallone ou encore Ving Rhames (le Marsellus Wallace de Pulp Fiction) furent également un temps considérés. C'est finalement Kurt Russell qui a obtenu le rôle de ce serial-killer écumant les routes à bord de sa voiture meurtrière. Des héros qui ont de la gueule Les deux segments des réalisateurs donnent la vedette à des acteurs connus pour des rôles charismatiques : Kurt Russell est le psychopathe de Boulevard de la mort - un gilm Grind House, en référence à l'anti-héros Snake Plissken de New York 1997 (auquel il emprunte d'ailleurs la même cicatrice sur le visage). Michael Biehn apparaît quant à lui en chasseur de zombies dans Planète terreur - un film Grindhouse, rappelant son rôle de sauveur dans Terminator. Et on aperçoit même dans ce dernier segment Naveen Andrews, le Sayid de Lost. Les réalisateurs Quentin Tarantino et Eli Roth font aussi de petites apparitions au générique de leurs films respectifs. Zoe Bell, la casse-cou de Tarantino Zoe Bell, qui incarne le personnage de la casse-cou Zoe dans Boulevard de la mort - un film Grind House, connaît ici sa première véritable expérience sur grand écran... en tant qu'actrice ! La jeune néo-zélandaise est surtout connue pour ses activités de cascadeuse : après avoir été la doublure d'Uma Thurman dans le dyptique Kill Bill, elle effectue elle-même toutes les cascades de Boulevard de la mort - un film Grind House en plus d'en tenir l'un des rôles majeurs. Faux réalisateurs Toujours dans l'esprit des fausses bandes annonces et d'un cinéma qui s'adresse aux fans, les réalisateurs Robert Rodriguez et Quentin Tarantino ont lancé, aux Etats-Unis, un concours de fausses bandes annonces réalisées par les internautes. La meilleure bande-annonce a gagné le droit d'être glissée parmi les autres fausses bandes annonces visible entre les deux films du concept Grindhouse. Présenté à Cannes Boulevard de la mort - un film Grind House est présenté en Compétition officielle du Festival de Cannes 2007. Emprunts musicaux Dans "Death Proof", Quentin Tarantino rend hommage à un de ses films préféres, "Blow Out" de Brian de Palma, en lui empreintant un des thèmes du film. |
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Elektra | Elektra | USA | 2004 | Action | 90 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 07/05/2005 | |
Rob Bowman | Jennifer Garner , Terence Stamp , Kirsten Prout , Goran Visnjic , Will Yun Lee | ||||
http://cinema.tiscali.fr/fichefilm.aspx?id=FI015560&file=http | |||||
Depuis la nuit des temps, le Bien et le Mal s'affrontent sans merci. Au centre de cette lutte, une femme aux capacités athlétiques et à la pureté d'âme sans précédent que chaque camp appelle le Trésor. Elektra, elle, a fui ce destin, devenant une redoutable tueuse à gages dont le talent et la détermination en ont fait une légende. À bout de nerfs, fatiguée, constamment traquée, elle décide que sa prochaine mission sera la dernière. Mais quand elle doit éliminer ses nouveaux voisins, Mark et sa fille Abby, elle ne peut s'y résoudre. Elle décide alors de les protéger de la terrible organisation du Mal que l'on appelle « La Main ». La jeune femme se lie rapidement avec ses anciennes proies et comprend qu'Abby est peut-être bien plus qu'une innocente enfant... | |||||
COMIQUE BOUSE Depuis BATMAN de Tim Burton et la multiplication des adaptations de « comic books », le film de super-héros est devenu un genre à part entière, avec ses bijoux et ses navets. Malheureusement, ELEKTRA s'inscrit dans la deuxième catégorie. Alors que la BD de Frank Miller (sous l'égide de Marvel) renfermait une noirceur et des tensions dramatiques prometteuses pour une version cinéma, le film en est à mille lieux. Conservant les atours risibles de DAREDEVIL dans lequel apparaissait déjà le personnage, ELEKTRA a le rare défaut d'excéder le spectateur dès ses premières minutes. Le scénario ne parvient en effet jamais à bâtir le moindre enjeu et se contente de multiplier des péripéties ennuyeuses et déjà maintes fois vues. Si encore l'écrin faisait illusion, mais la platitude (voire le ridicule) des dialogues, l'approximation de la réalisation et la pauvreté des effets spéciaux ne font qu'enfoncer le clou. Même Jennifer Garner, que l'on connaît immense et intense dans la série télé ALIAS, ne peut sauver le navire et chacun de ses regards suinte de son désarroi. Un navet comme on aimerait ne plus jamais en voir ! Mcinema.com (Aurélien Allin) |
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Revolver | Revolver | USA | 2004 | Action | 115 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 20/01/2006 | |
Guy Ritchie | Jason Statham (Jack Green), Ray Liotta (Dorothy Macha), Vinnie Pastore (Zack), Andre Benjamin (Avi), Terrence Maynard (French Paul), Andrew Howard (Billy), Mark Strong (Sorter), Francesca Annis (Lily Walker), Anjela Lauren Smith (Dorren), Elana Binysh (Rachel). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=53883.html | |||||
A force de traîner avec des voyous, Jake Green, joueur invétéré et arnaqueur professionnel, finit par écoper de sept ans de prison à la place du dangereux caïd Dorothy Macha. A sa sortie, Jake devient imbattable au jeu, grâce à une formule apprise auprès de deux mystérieux co-détenus. Il est prêt à prendre sa revanche. Empêtré dans une guerre des gangs avec son impitoyable rival, Lord John, Macha mise toute sa crédibilité sur un trafic de drogue avec le tout-puissant Sam Gold. Quand Jake rend visite à Macha dans son casino, il l'humilie en public lors d'un jeu de hasard. Ce dernier envoie ses hommes aux trousses de Jake, mais celui-ci est sauvé par l'énigmatique Zach qui propose de le protéger. Sceptique, Jake refuse leur aide, mais lorsqu'il découvre qu'il n'a plus que trois jours à vivre, il n'a plus le choix. Il va se retrouver pris au milieu d'un jeu risqué et dangereux... |
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Interdit aux moins de 12 ans Note de la presse : 1/4 Note des spectateurs : 1/4 Fiche technique : Box Office France : 164 849 entrées N° de visa : 112767 Interdit aux moins de 12 ans Couleur Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Genèse du projet Revolver repose sur une idée, celle de l'arnaque suprême. "Je suis fasciné par les ruses et les escroqueries, explique Guy Ritchie, mais celle-ci était tellement audacieuse,tellement radicale, qu'elle m'attirait plus particulièrement. La formule de l'arnaque est tout à fait simple : piéger les gens en s'appuyant sur leur cupidité. On peut tous se faire arnaquer mais à quel moment est-ce qu'on s'en rend compte et jusqu'à quel point est-ce qu'on se laisse faire ? Ensuite, le grand défi de ce film a été d'enrober ce concept intellectuel dans uneintrigue haletante avec beaucoup d'action car d'un point de vue visuel un concept n'est pas forcément très intéressant. Il est important que le film assure sur le plan du divertissement. Ainsi, j'ai mis trois ans à écrire ce film alors que Snatch ne m'avait pris que trois mois. A la base, c'est un film simple mais l'enrober dans une structure narrative s'est avéré compliqué." Pourquoi ce titre ? Guy Ritchie s'explique sur l'origine du titre Revolver : "Non seulement j'aime ce titre mais j'aime aussi le concept de se retrouver dans un jeu qui n'arrête pas de tourner jusqu'à ce qu'on se rende compte qu'on est en fait dans un jeu, et que c'est cette prise de conscience qui nous permet d'évoluer. Le film est construit sur une formule de jeu : où commence le jeu ? Où s'arrête-t-il ?Qui arnaque et qui se fait arnaquer ?" Retrouvailles Guy Ritchie / Jason Statham Pour ses retrouvailles avec le film d'arnaque, sept ans après Arnaques, crimes et botanique et cinq ans après Snatch, il paraissait tout naturel que Guy Ritchie fasse de nouveau appel à son acteur fétiche Jason Statham. A son sujet, le réalisateur déclare : "C'est un acteur d'un très grand potentiel et il incarnece que je veux voir quand je vais au cinéma. Jason est toujours partant pour faire lescascades. Moi, je le lui interdis au cas où il se casserait quelque chose, ce qui pourraitfoutre en l'air huit semaines de tournage." Une drôle de préparation pour Jason Statham Jason Statham se souvient de sa préparation au rôle de Jake Green : "Avec Guy , on faisait quelques combats pour brûler un peu d'énergie et puis on allait s'installer dans un pub pour en parler pendant des heures, en décortiquant lesdifférents niveaux du scénario. On peut en parler pendant des heures mais la condition préalable, c'est avoir l'esprit bien ouvert. Pour moi, c'était très instructif." Une ambiance "imaginaire" Contrairement à ses films précédents (Arnaques, crimes et botanique, Snatch), Guy Ritchie a énormément tourné en studio dans le but de créer un environnement "transcontinental". C'est pour cette raison que l'équipe de production a souvent utilisé la technique de "l'écran vert". Mais comme l'explique le réalisateur, "je ne suis pas plus que ça attaché aux effets spéciaux. Mon boulot est de faire des films intéressants et divertissants. Je ne me préoccupe guère du format ou de la technique à utiliser pour arriver à ce résultat. Je voulais que le film soit beau tout simplement." La scène de l'ascenseur Guy Ritchie se souvient du tournage de la scène de l'ascenseur, où Jake se confronte à son ennemi interne, comme celui qui lui a procuré le plus de plaisir. "Je l'ai tournée trois fois, raconte-t-il. Au départ, il y avait quatre lignes de dialogue. Une fois dans l'ascenseur, on a passé deux heures à délirer avec Jason , pour lui soutirer le plus possible. Je me suis rendu compte qu'on avait trouvé un truc très intéressant. A la fin, j'aurais pu le filmer pendant trois quarts d'heure en train de se gueuler dessus." Tournage à Londres et sur l'Isle de Man L'action de Revolver se déroule dans un no man's land. "C'est une destination imaginaire qui est censée être un point de rencontre entre Est et Ouest, quelque part au milieu de l'Océan Atlantique", explique Guy Ritchie. Avec cette idée en tête, le réalisateur a fait de Londres et de l'Isle de Man les principaux lieux de tournage de son film. |
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Rogue L'Ultime Affrontement | War | USA | 2006 | Action | 102 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 04/05/2008 | |
Philip Atwell | Jason Statham (Jack Crawford), Jet Li (Rogue), John Lone (Chang), Steph Song (Lisa), Kane Kosugi (Yakuza), Andrea Roth (Jenny Crawford), Devon Aoki (Kira), Lauro Chartrand (Agent Jade 1), Terry Chen (Tom Lone), Kenneth Choi (Takada), Nicholas Elia (Daniel Crawford), Luis Guzman (Benny), Ryo Ishibashi (Shiro), Paul Jarrett (Inspecteur Gleason), Sung Kang (Goi), Mark Louie (Lau), Aaron Pearl (Soldat Jade), Johnson Phan (Joey Ti), Peter Shinkoda (Katsura Shatei). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=109754.html | |||||
Depuis l'assassinat de son meilleur ami, l'agent du FBI Jack Crawford n'a plus qu'une obsession : retrouver Rogue, celui que tout désigne comme coupable, et faire justice lui-même. Mais comment attraper le plus redoutable des tueurs, un véritable fantôme capable d'apparaître n'importe où pour semer le chaos avant de s'évanouir dans la nature ?Lorsque Rogue refait surface, aussi mystérieux qu'insaisissable, il déclenche une guerre spectaculaire entre la mafia chinoise et les Yakuza japonais. Malgré les risques, Crawford est plus que jamais décidé à en finir avec Rogue et se jette dans la mêlée.Alors que la guerre des gangs fait rage, Crawford va s'approcher de plus en plus de son ennemi et découvrir le secret qui se cache derrière chaque combat... | |||||
Interdit aux moins de 12 ans Fiche technique : Budget : 25 000 000 $ Box Office France : 204 857 entrées N° de visa : 116434 Interdit aux moins de 12 ans Couleur Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Un rôle inédit pour Jet Li Producteur exécutif du film et agent de Jet Li, Steven Chasman déclare : "Quand j'ai lu le scénario pour la première fois, j'ai d'abord cru que cela n'allait pas intéresser Jet Li car le personnage de Rogue est l'antithèse de tous ceux qu'il a pu jouer auparavant. Pourtant, cette histoire et ce personnage l'ont beaucoup intéressé. Il était très enthousiaste à l'idée de faire ce film."Jet Li observe : "Je n'avais jamais joué ce genre de rôle avant. Je ne sais pas si, au fond de lui, Rogue est bon ou mauvais. Je sais seulement que cet homme violent a une raison bien précise d'agir comme il le fait. En tant que bouddhiste, j'essaye de jouer dans des films qui reflètent ma philosophie et mon point de vue sur la violence. Rogue est un homme qui cherche la vengeance et je dois dire que j'ai dû faire quelques efforts pour accepter la rudesse de ses méthodes ! Même si je ne suis pas d'accord avec ce qu'il fait, je devais être capable de le comprendre pour l'incarner. Quand j'entrais sur le plateau, je devais oublier qui j'étais pour mieux pénétrer dans son univers." Retrouvailles Jet Li / Jason Statham Attiré par la possibilité de jouer à nouveau avec Jet Li, avec qui il avait déjà travaillé en 2001 dans The One de James Wong, Jason Statham accepta de faire le film dès la première lecture du scénario. Il raconte : "J'étais resté un peu frustré de ne pas me battre avec Jet Li lors de notre première collaboration. Cette fois-ci, j'ai eu l'opportunité de retravailler avec lui avec une histoire plus fouillée, des personnages que je trouve plus intéressants à jouer, et surtout un tête-à-tête très musclé entre lui et moi. Je ne pouvais pas refuser une telle occasion !" Un réalisateur venu du clip vidéo Une fois les deux stars attachées au projet, les producteurs se sont tournés vers Philip Atwell pour le réaliser. Connu pour ses clips vidéo pour des artistes de rap comme Eminem ou 50 Cent, le style nerveux et élégant de Philip Atwell convenait parfaitement au rythme et à l'intensité de Rogue : l'ultime affrontement. Steven Chasman se souvient : "Quand Lionsgate a décidé de faire ce film, nous avons discuté des réalisateurs potentiels. Mon premier choix était Philip, car il a une sensibilité qui convient parfaitement à ce genre, il sait très bien jouer avec les nerfs des spectateurs." Corey Yuen à la chorégraphie Philip Atwell souhaitait que Rogue : l'ultime affrontement soit un film réaliste et très agressif. "Il fallait que les scènes d'action donnent l'impression d'être plausibles dans la vraie vie, explique le cinéaste. Je voulais absolument éviter que les spectateurs voient encore des personnages faire des quadruples sauts périlleux ou en train de marcher sur les murs."Le chorégraphe de cascades Corey Yuen a ainsi été appelé à la rescousse pour créer les séquences de combat du film. Le producteur Christopher Petzel raconte : "Tout autant que Jet Li, Corey Yuen est devenu une véritable légende dans l'art de mettre au point des scènes d'action absolument incroyables. Il est tout simplement l'un des meilleurs du monde." Pierre Morel à la photographie Philip Atwell a également engagé le directeur de la photographie Pierre Morel, qui avait déjà travaillé avec Jet Li sur Danny the dog de Louis Leterrier mais aussi avec Jason Statham sur Le Transporteur, toujours de Louis Leterrier. Formation au maniement des armes à feu Pour s'assurer que les scènes d'action soient les plus authentiques possible, Philip Atwell a demandé à ses acteurs de suivre une formation au maniement des armes à feu ainsi qu'un entraînement dans une unité de police. Sung Kang, qui interprète Goi, un sniper du groupe Jade, explique : "Nous avons appris à tenir une arme comme des pros, à tirer avec, nous avons aussi découvert concrètement comment pénétrer en force dans un bâtiment ou comment couvrir les arrières de son unité. D'une façon générale, nous avons appris tout ce qu'un policier du SWAT doit savoir." |
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Battle Royale 2 : Requiem | Batoru Rowaiaru Ii : Rekuiemu | Japon | 2002 | Action | 134 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 18/01/2007 | |
Kinji Fukasaku, Kenta Fukasaku | Tatsuya Fujiwara (Shuya), Aki Maeda (Noriko), Shugo Oshinari (Takuma), Ayana Sakai (Nao), Takeshi Kitano (professeur Kitano) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=47017.html | |||||
L'histoire se déroule un an après le premier film. On y suit les deux survivants rentrer chez eux et tenter d'alerter l'opinion publique sur ce qui s'est passé sur l'île. Leurs déclarations provoquent un chaos sur tout le pays, violemment réprimé par le pouvoir militaire. Ce dernier décide alors de faire participer les deux opposants à la deuxième session de Battle Royale en compagnie d'une classe beaucoup moins tendre que la précédente. | |||||
Fiche technique : Couleur Format de projection : 1.85 : 1 Format de production : 35 mm Tourné en : Japonais |
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Exorciste (l') - Au commencement | Exorcist : The Beginning | USA | 2003 | Action | 112 min. |
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Disponible | 01 AVI | 14/05/2005 | ||
Renny Harlin | Stellan Skarsgard , James D'arcy , Izabella Scorupco | ||||
http://cinema.tiscali.fr/fichefilm.aspx?id=FI015432&file=http | |||||
Traumatisé par les horreurs nazies perpétrées dans sa paroisse durant la guerre, Lankester Merrin a raccroché sa soutane pour devenir archéologue. Exilé au Caire, il est contacté par un mystérieux amateur d'antiquités qui lui apprend qu'une église byzantine parfaitement conservée vient d'être déterrée au Kenya. Se rendant sur les lieux pour récupérer une ancienne relique pour son troublant commanditaire, Merrin se retrouve confronté à une violence sans précédent. Entre folie, malaises, dérèglement climatique et agressivité de la faune, Merrin finit par croire que le lieu est maudit. Quand il découvre un souterrain hérétique sous l'église, il sait qu'il va devoir affronter le Démon, questionner sa foi et... devenir L'Exorciste. | |||||
VADE RETRO, NAVETAS Le démon est fatigué, voire fatigant, tel pourrait être l'adage de cette « prequel » au mythique EXORCISTE. Explorant les origines de la vocation du Père Merrin, ce film inutile possède tous les défauts irritants des superproductions ratées. Outre un rythme hésitant entre hystérie épuisante et lenteur horripilante, le scénario, qui aurait pu sonder l'origine de la foi et du Mal, n'est qu'un soufflé indigeste. Renny Harlin (PEUR BLEUE) n'insuffle par ailleurs aucune ambiance ni aucun frisson à son film. Pire, son désir de faire sursauter avec des effets éculés est navrant, relayé en cela par des images « gore » risibles et par un style effréné proche des pires clips. Si encore les effets spéciaux étaient réussis, le spectateur aurait au moins quelque chose à se mettre sous la dent, mais là encore, le niveau ne dépasse pas celui d'un téléfilm. La bande son, outrageusement bruyante, épuisera le plus enthousiaste des fans de Dolby grandiloquent. Cette « prequel » est donc l'exemple parfait de tout ce qu'il ne faut pas faire. On aurait préféré voir la version de Paul Schrader (TAXI DRIVER), récusée par le studio, dans laquelle la présence de Billy Crawford aurait au moins pu nous faire rire. Mcinema.com (Aurélien Allin) |
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Otage | Hostage | USA | 2004 | Action | 113 min. |
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Disponible | 01 AVI | 20/01/2006 | ||
Florent Siri | Bruce Willis (Jeff Talley), Kevin Pollak (Walter Smith), Ben Foster (Mars), Jonathan Tucker (Dennis Kelly), Marshall Allman (Kevin Kelly), Michelle Horn (Jennifer Smith), Jimmy Bennett (Tommy Smith), Serena Scott Thomas (Jane Talley), Rumer Willis (Amanda Talley). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=49350.html | |||||
Parce qu'il a été incapable d'empêcher le meurtre d'une jeune femme et de son enfant, Jeff Talley, ex-policier de Los Angeles spécialiste des négociations en cas d'enlèvement, a tout quitté pour devenir chef du bureau de police d'une ville reculée. Il ne pouvait pas prévoir que trois petits malfrats allaient prendre en otage la famille d'un expert comptable bien moins banal qu'il n'y paraît... Conscients des enjeux, les mystérieux commanditaires de ce comptable de plus en plus louche kidnappent la femme et la fille de Talley pour le contraindre à réendosser le rôle qu'il ne voulait surtout plus jamais jouer. Face au cauchemar qui recommence, il n'a pas le droit à l'erreur. |
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Interdit aux moins de 12 ans Note de la presse : 2/4 Note des spectateurs : 2/4 Fiche technique : Budget : 55 millions de $ Box Office France : 717 346 entrées N° de visa : 111739 Interdit aux moins de 12 ans Couleur Format du son : Dolby SR + Digital SR-D + DTS & SDDS Format de projection : 2:35.1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : L'adaptation d'un roman Otage est l'adaptation du roman Otages de la peur de Robert Crais. Ce dernier a d'ailleurs participé à l'écriture du scénario du film en compagnie de Doug Richardson . Un Français à Hollywood A l'instar de Jean-François Richet avec Assaut sur le central 13, Florent Emilio Siri, le réalisateur de Nid de guêpes, tente ici sa chance à Hollywood en jouant la carte de l'action. Il est le deuxième Français à diriger Bruce Willis dans une grosse production après Luc Besson pour Le Cinquième élément en 1997. Le film selon Siri Pour le réalisateur français Florent Emilio Siri, l'histoire d'Otage "vous implique sur le plan psychologique, tout en jouant sur le registre des films noirs classiques et des situations de prise d'otages. C'est un avant tout un thriller psychologique centré sur les personnages, une histoire réaliste et contemporaine, l'éprouvant parcours d'un homme à la recherche de lui-même. Pour tous, particulièrement pour Jeff Talley (le personnage de Bruce Willis), il s'agit de lutter contre ses propres fantômes." Et Bruce Willis appela Florent Siri... La présence de Florent Emilio Siri aux commandes du long-métrage est principalement due à l'insistance de Bruce Willis lui-même. Celui-ci, après avoir vu et avoir été très impressionné par Nid de guêpes, insista pour rencontrer le Français et lui confier la réalisation d'Otage. Siri se souvient : "Mon agent américain m'a dit que Bruce Willis allait m'appeler. J'ai été très surpris, et je lui ai dit : "C'est génial... mais t'es sûr que c'est bien Bruce Willis ?" (...) Pour nous, Européens, il est une icône, une star absolue. Le nouveau John Wayne. Mais pour moi, c'est avant tout un formidable acteur. Travailler avec lui est une expérience incomparable, c'est comme jouer d'un Stradivarius..." La carte "Nid de guêpes" Nid de guêpes, le précédent long-métrage de Florent Emilio Siri, a sans aucun doute largement penché dans la balance à l'heure de choisir un réalisateur pour Otage. Si Bruce Willis, fervent admirateur du film, insista lui-même pour embaucher le Français, l'impact ressenti à la vision de Nid de guêpes était le même du côté de la production. Le producteur David Wally explique ainsi : "Toute l'équipe de Cheyenne avait vu Nid de guêpes et nous nous sommes dit tout de suite que Florent serait parfait. (...) Il a une sensibilité, un style qui le place à part, et qui apporte au film quelque chose d'inédit. C'est un authentique visionnaire et un cinéaste vraiment singulier." Même son de cloche chez le producteur Mark Gordon, pour qui Nid de guêpes "alliait une histoire fantastique, originale, et un style visuel remarquable, idéal pour Otage." Le travail de réécriture Florent Emilio Siri, en collaboration avec le scénariste Doug Richardson, s'est appliqué à apporter quelques modifications par rapport au roman de Robert Crais. Ainsi, les trois voyous d'Otage sont plus jeunes que dans le récit d'origine et les références à la Mafia sont éliminées. Le scénario du film dresse un portrait de la jeune génération actuelle et, surtout, se concentre sur la personnalité de Jeff Talley, le négociateur spécialiste des prises d'otages incarné par Bruce Willis, sans pour autant appauvrir les autres personnages principaux. Un expert du SWAT en renfort Afin de s'assurer de l'authenticité des procédures et de la psychologie utilisées dans les négociations avec les preneurs d'otages, les producteurs d'Otage ont fait appel à un expert du SWAT en tant que consultant technique sur le film. Peter Weireter, membre de l'unité d'intervention d'élite SWAT de la police de Los Angeles durant 22 ans, est ainsi intervenu à la fois en amont, lors de l'écriture du scénario, mais également en aval, directement sur le tournage pour donner des consignes lors des scènes de négociation. Quand tombe la nuit... Otage se déroule en temps réel, élément qui renforce la tension selon Florent Emilio Siri. De plus, la majeure partie du film, à l'instar de Nid de guêpes, se déroule en un lieu unique et en pleine nuit. Un tournage dans l'obscurité apprécié par le réalisateur : "Cela aide à concentrer l'action sur les personnages. Ils sont plus mystérieux. On ne voit que les visages dans la nuit. Au plan technique, on peut tout contrôler, la lumière, la disposition dans l'image et ce que vous avez à dire. (...) Ce film pourrait se dérouler n'importe quand, n'importe où. La nuit donne l'impression de se trouver hors du temps. " Le producteur exécutif Hawk Koch rajoute, sur l'ambiance créée par le réalisateur : "L'attachement que porte Florent Emilio Siri aux films noirs des années 40 et 50 se prêtait parfaitement à Otage. Florent a mêlé cette passion avec celle qu'il éprouve pour les thrillers d'action, et il a combiné le tout au style visuel des clips vidéo du XXIe siècle. Le résultat est vibrant, spectaculaire." Paul McGuigan pressenti à la réalisation Paul McGuigan, le réalisateur de Gangster n° 1 et de Rencontre à Wicker Park était initialement pressenti pour mettre en scène Otage. C'est finalement le Français Florent Emilio Siri qui hérita du poste. Bruce Willis et son voisin Avec Otage, Bruce Willis retrouve Kevin Pollak, acteur à qui il avait donné la réplique en 2000 dans la comédie policière Mon voisin le tueur puis en 2004 dans la suite Mon voisin le tueur 2. Bruce Willis en famille Dans Otage, Rumer Willis, la fille de Bruce Willis, joue aux côtés de son père en incarnant... sa fille ! Ce n'est pas la première fois que Bruce Willis donne la réplique à sa progéniture : Rumer Willis avait aussi joué dans Mon voisin le tueur, alors que son autre fille, Tallulah Willis, figurait au générique de Mon voisin le tueur, Bandits et Mon voisin le tueur 2. |
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Tolérance Zéro | Walking Tall | USA | 2003 | Action | 86 min. |
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Disponible | 01 AVI | 27/12/2006 | ||
Kevin Bray | The Rock (Chris Vaughn), Neal McDonough (Jay Hamilton), Ashley Scott (Deni) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=50988.html | |||||
Après une brillante carrière dans les Forces Spéciales, Chris Vaughn fait un retour discret sur les lieux de son enfance. Nichée au coeur des forêts du nord-ouest des Etats-Unis, la communauté de Ferguson offre à ses yeux un spectacle de désolation. Cette bourgade, jadis si paisible et qu'il aimait tant, est tombée sous la coupe de l'homme d'affaires véreux Jay Hamilton, son ennemi de toujours... | |||||
Interdit aux moins de 12 ans Fiche technique : Interdiction : Interdit aux moins de 12 ans Couleur : Couleur Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : La première version de Tolérance zéro, inspirée par la vie et les exploits de Buford Pusser, shérif de McNeal County, dans le Tennessee, fut réalisée en 1973 par Phil Karlson avec Joe Don Baker. Pusser aurait dû y tenir son propre rôle, mais ce dernier disparut dans un accident de la route. |
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Catwoman | Catwoman | USA | 2004 | Action | 104 min. |
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Disponible | 03 Divers | 14/05/2005 | ||
Pitof | Lambert Wilson , Halle Berry , Benjamin Bratt , Sharon Stone , Frances Conroy , Alex Borstein | ||||
http://cinema.tiscali.fr/fichefilm.aspx?id=FI015254&file=http | |||||
Patience Philips aurait aimé être artiste mais, excessivement timide, elle se contente de travailler au service communication de Hedare Beauty. Dirigée par le tyrannique George Hedare et sa femme, cette grande société de cosmétiques s'apprête à lancer sur le marché un produit révolutionnaire. Patience découvre que la fameuse crème antirides est dangereuse. Découverte par le service sécurité de l'entreprise, la jeune femme est éliminée et son corps jeté à la mer. Elle finit par être déposé sur la terre ferme. Et là, un chat lui insuffle une force mystérieuse qui la ressuscite. Quand Patience se réveille, elle n'est plus la même. Elle est devenue féline, sensuelle, agressive, sûre d'elle, incroyablement forte et bien décidée à se venger. Voila Catwoman. | |||||
CHATTE DE GOUTTIERE Il y a des équations cinématographiques dont il faut se méfier. « Halle Berry + réalisateur français + Hollywood » en est un brillant exemple. Après Mathieu Kassovitz et son falot GOTHIKA, c'est au tour de Pitof de tenter sa chance outre-atlantique, en adaptant le comic « Catwoman ». Le résultat est absolument catastrophique mais permet au moins de tirer une conclusion intéressante : les supers héros ne font pas de bons films à tous les coups ! CATWOMAN est peut-être encore plus mauvais que DAREDEVIL, c'est dire, et on n'y trouve rien à sauver. Malgré son costume sexy et lacéré, Halle Berry a autant de charisme qu'un mérou. Tout en enchaînant les invraisemblances, le scénario est parfaitement indigent et ne réserve aucun moment de suspense ou de surprise. Et, en guise de mise en scène, Pitof se contente d'enchaîner les plans lourdement truqués, tournoyant dans tous les sens. On dit que les chats dorment 17h par jour. Pas étonnant quand on voit ces piteuses aventures plus pachydermiques que félines. Prions pour que Catwoman n'ait pas neuf vies ! Mcinema.com (Camille Brun) |
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Dernier Samouraï (le) | The Last Samurai | USA | 2002 | Action | 144 min. |
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Disponible | 01 AVI | 27/12/2006 | ||
Edward Zwick | Tom Cruise (le capitaine Nathan Algren), Billy Connolly (Zebulon Gant), Tony Goldwyn (le colonel Benjamin Bagley), Timothy Spall (Simon Graham) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=46943.html | |||||
En 1876, le capitaine Nathan Algren vit avec les souvenirs des batailles sanglantes menées contre les Sioux. Fort de son expérience au combat, il devient conseiller militaire pour le compte de l'empereur japonais soucieux d'ouvrir son pays aux traditions et au commerce occidentaux et d'éradiquer l'ancienne caste guerrière des samouraïs. Mais ceux-ci influent sur le capitaine Algren, qui se trouve bientôt pris entre deux feux, au coeur d'une confrontation entre deux époques et deux mondes avec, pour le guider, son sens de l'honneur. | |||||
Fiche technique : Budget : 100 millions de dollars Box Office France : 2 212 212 entrées Box Office Paris : 462 463 entrées Box Office USA : 111 127 263 $ N° de visa : 109498 Couleur : Couleur Format du son : Dolby SR + Digital SR-D + DTS & SDDS Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : Anglais Secrets de tournage : Le Dernier samouraï met en scène un véritable événement historique, la dernière grande révolte de l'ordre des samouraïs qui finit par disparaître à l'issue du conflit. Le personnage incarné par Tom Cruise est quant à lui partiellement fictif et s'inspire très librement de l'ouvrage La Noblesse de l'échec d'Ivan Morris centré sur le destin de Saigo Takamori, resté célèbre pour sa rébellion contre un gouvernement japonais qu'il avait aidé à mettre en place. Les costumes du Dernier samouraï sont signés Ngila Dickson, chef costumière sur la trilogie du Seigneur des anneaux. Sur ce projet, elle collabora avec Akira Fukuda-san, ancien costumier sur certains films d'Akira Kurosawa, et Sengoku Sensai, responsable de la garde-robe de la famille impériale. |
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From Paris With Love | From Paris With Love | France | 2008 | Action | 93 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 07/01/2011 | |
Pierre Morel | John Travolta (Charlie Wax), Jonathan Rhys-Meyers (James Reece / Richard Stevens), Kasia Smutniak (Carolina), Richard Durden (Ambassadeur Bennington), Amber Rose Revah (Nichole), Chems Dahmani (Rashid), Mostefa Stiti (Dir Yasin), Didier Constant (Le Fonctionnaire Des Douanes), Alexandra Boyd (Le Chef De La Délégation), Melissa Mars (La Prostituée ''wax''), Frédéric Chau (Le Serveur Chinois), Farid Elouardi (Le Barbu), David Clark (Un Agent De L'Ambassade Americaine), Eric Godon (Le Ministre Des Affaires Etrangères), Michael Vander-Meiren (Le Flic), David Gasman (Le Touriste Allemand), Safia Monney (Le Touriste Américain), Sami Darr (Le Maquereau Pakistanais), Bing Yin (M.Wong), François Bredon (Le Gros Dur), Tam Solo (Le Pakistanais Suicidaire), Luc Besson (L'Homme Qui Sort De La Voiture). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=135259.html | |||||
James Reese travaille comme assistant personnel de l'ambassadeur américain à Paris. Fort de cette position d'insider', il se voit parfois contacté par les Forces Spéciales, à qui il rend quelques menus services. Une vraie frustration pour lui qui se rêve en agent secret, et qui ne demande qu'à sortir de l'ombre pour jouer les gros bras. Alors que se prépare un sommet international, le miracle arrive : on lui confie une vraie mission, et un vrai partenaire, Wax, qu'il récupère le jour même à l'aéroport. Mais pour James, la confrontation aux méthodes musclées de cet agent surentraîné ne sera pas de tout repos... | |||||
Note de la presse : 2/5 Note des spectateurs : 3/5 (Pour 1738 notes : 18 % de *****, 18 % de ****, 27 % de ***, 9 % de **, 28 % de *) Fiche technique : Box Office France : 330 007 entrées Budget : 38 000 000 euros Couleur Format de production : 35 mm Tourné en : Français, Anglais Secrets de tournage : Un "buddy-movie" noir et violent Le réalisateur Pierre Morel résume From Paris With Love : "Lorsque j'ai lu le scénario, cela commençait comme un "buddy-movie" avec de l'humour, à l'image du personnage un peu déglingué de Wax (John Travolta), cet espèce de fou furieux complètement exubérant. Je me suis donc dit que c'était une comédie. Mais au milieu de l'histoire, il y a une petite dérive qui change la tonalité du film, qui le plonge dans un univers et une ambiance plus noirs. Finalement, quand j'y réfléchis, je trouve que ce qui fait la force des "buddy-movie" comme la quadrilogie de L'Arme fatale par exemple, c'est qu'ils revêtent toujours un aspect vraiment sombre. Je trouve que le contraste entre l'action noire et brutale et la comédie fonctionne bien en général. (...) Pour moi, From Paris With Love est donc un exercice de style intéressant, l'idée de faire un truc drôle qui dévie vers le franchement glauque me plaisait bien." Tournage à Paris et en banlieue parisienne Le tournage de From Paris With Love s'est notamment déroulé à Paris et en banlieue parisienne, à Poissy, dans les Yvelines. Les scènes tournées dans cette ville devaient initialement se dérouler à Montfermeil, en Seine-Saint-Denis, mais des échafourées près du lieu de tournage ont contraint la production à changer ses plans. Première français pour Travolta From Paris With Love offre à l'acteur John Travolta l'occasion de travailler pour la première fois en France. "Cela faisait des années que j'avais envie de tourner un film en France. En trente ans c'est le premier film que je fais ici", déclare-t-il. "J'ai adoré l'atmosphère des plateaux français. Je suis très attaché au côté affectif d'un tournage, mais ce qui compte le plus pour moi sur un plateau c'est la concentration, le travail et la complicité des équipes. En France, il y a une véritable éthique de travail. J'ai vraiment adoré cette expérience." Pierre Morel : action ! From Paris With Love est réalisé par le Français Pierre Morel, fidèle de l'écurie Besson et spécialiste du cinéma d'action. C'est en effet à lui que l'on doit Banlieue 13 et Taken. Il déclare, au sujet de ce nouveau film : "J'avais envie d'enchaîner avec encore plus d'action. C'est en partie pour cette raison que j'ai voulu réaliser From Paris With Love et aussi parce que ce film me permettait d'explorer le concept du duo. Taken est un film de solitaire. D'un bout à l'autre de son aventure, le personnage de Liam n'a pas de copains, pas de partenaires, rien ! Alors que dans From Paris With Love, c'est un échange entre deux personnages." Bons baisers de Paris ! Adi Hasak, qui a travaillé à l'adaptation du scénario de From Paris With Love, réconte l'origine du titre : "La production m'a confirmé ce titre alors que nous étions encore en train de travailler sur le plan du scénario. On m'a dit que le titre du film était From Paris With Love. Et c'est tout ! Luc Besson était à Paris, introuvable. De mon côté, je tentais de déchiffrer le message qu'il essayait de m'envoyer à travers ce titre. Allions-nous basculer vers une comédie romantique ? Je me suis arraché les cheveux pendant des heures en essayant de trouver. Je suis retourné à mes notes, au synopsis, etc.. Puis j'ai fini par revoir Luc et lui ai dit : "Luc, ce titre est génial mais pourquoi celui-là". Et il a répondu : "Tu ne comprends pas pourquoi ?". J'ai répondu : "Non. Je présume que c'est un hommage à From Russia with Love ?". Il m'a répondu : "Oui. Mais la principale raison vient d'une réunion avec mon comptable où nous avions besoin de trouver un titre pour ce projet. Nous nous sommes dits que ce serait drôle qu'au lieu de From Russia with Love, on l'appelle From Paris with love ??!!". Et du coup ce titre est resté !" Le nouveau Look de Travolta Avec From Paris With Love, John Travolta adopte un nouveau look : il est désormais chauve et porte le bouc. Une première pour l'acteur, qui a apprécié l'expérience : "Le look plutôt original de Wax est issu d'une réflexion commune de Pierre Morel, Luc Besson et moi-même. Je venais juste de finir L'Attaque du métro 123 où j'avais un look assez dur également. Je trouvais que cela fonctionnait bien, mais je voulais y rajouter quelque chose de plus. Du coup, j'ai décidé de me raser la tête, de me laisser pousser le bouc et de m'habiller comme les soldats de fortune. Vous savez, ces types sont presque tous stylés, maintenant. Nous avons regardé les images de ces gars qui portent des armes à feu, des écharpes, des vestes en cuir et des pantalons de parachutistes. Ils sont vraiment fascinants !" Un entraînement pour Travolta ? Pas besoin ! Pierre Morel, le réalisateur de From Paris With Love, raconte que John Travolta n'a pas eu besoin de beaucoup s'entraîner pour son rôle. "Même s'il est aujourd'hui un peu plus âgé, je crois que John a conservé une mémoire physique", explique-t-il. "C'est un atout parce que lorsqu'on lui montre une chorégraphie de combat, au bout de quatre, cinq ou six répétitions, il la connaît par coeur ! Il n'a pas ce besoin de dépassement que beaucoup d'acteurs ont. Il n'a pas vraiment besoin de s'entraîner énormément car il a encore ce côté très félin, très élastique. Les scènes avec des flingues, au bout de trois fois, il a compris. Il y a d'ailleurs dans le film quelques séquences qui sont volontairement chorégraphiées comme une danse entre lui et ses partenaires. Nous les avons travaillées pour cela et il les a assimilées rapidement." Un buddy-movie pour Rhys-Meyers L'acteur Jonathan Rhys-Meyers, qui s'essaie pour la première fois au cinéma d'action, évoque le "buddy-movie" qu'est From Paris With Love : "En fait c'est une sorte de relation d'amitié entre un adulte et un étudiant. James Reese doit passer au-delà de pas mal de trucs ringards et pas très moraux, alors qu'il est très attaché à l'éthique. On peut dire que c'est un "buddy movie" dans lequel vous avez des personnages qui ont des idéaux différents, tout en ayant un objectif commun qui est d'aller de l'avant." Révélation From Paris With Love permet de découvrir une jeune actrice italienne inconnue en la personne de Kasia Smutniak. La jeune femme réconte au sujet de cette expérience, la première de cette ampleur : "C'est mon premier tournage à Paris et j'ai été très chanceuse ! Avant From Paris With Love, je venais juste de terminer un tournage de deux mois dans une prison en Roumanie. C'était vraiment un changement d'être dans un endroit aussi incroyable que Paris." |
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Insaisissables 2 | Now You See Me 2 | USA | 2016 | Action | 130 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 29/08/2016 | |
Jon M. Chu | Jesse Eisenberg, Mark Ruffalo, Woody Harrelson, Dave Franco, Daniel Radcliffe, Lizzy Caplan, Jay Chou, Sanaa Lathan | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=223199.html | |||||
Un an après avoir surpassé le FBI et acquis l’admiration du grand public grâce à leurs tours exceptionnels, les 4 Cavaliers reviennent ! Pour leur retour sur le devant de la scène, ils vont dénoncer les méthodes peu orthodoxes d’un magnat de la technologie à la tête d’une vaste organisation criminelle. Ils ignorent que cet homme d’affaires, Walter Marbry, a une longueur d’avance sur eux, et les conduit dans un piège : il veut que les magiciens braquent l’un des systèmes informatiques les plus sécurisés du monde. Pour sortir de ce chantage et déjouer les plans de ce syndicat du crime, ils vont devoir élaborer le braquage le plus spectaculaire jamais conçu. | |||||
On prend quasiment les mêmes et on recommence. A part Lizzy Caplan qui remplace Isla Fisher dans le rôle de l'atout féminin du quatuor magique, « les quatre cavaliers » se reforment pour contrer les plans d'un millionnaire geek (Daniel Radcliffe) à la recherche d'une puce qui lui permettrait de pirater tous les ordinateurs de la planète. Les fans du premier « Insaisissables » en retrouveront tous les ingrédients : humour, tours spectaculaires, retournements de situation. Avec en prime de l'exotisme — la moitié du film se passe à Macao — et des révélations. Pas grand-chose de nouveau sous le chapeau, mais le tour de passe-passe s'avère toujours aussi distrayant. |
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John Wick 2 | John Wick: Chapter Two | USA | 2017 | Action | 123 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 25/02/2017 | |
Chad Stahelski | Keanu Reeves, Common, Laurence Fishburne | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=235341.html | |||||
John Wick est forcé de sortir de sa retraite volontaire par un de ses ex-associés qui cherche à prendre le contrôle d’une mystérieuse confrérie de tueurs internationaux. Parce qu’il est lié à cet homme par un serment, John se rend à Rome, où il va devoir affronter certains des tueurs les plus dangereux du monde. | |||||
La mise en scène d’action est un art aussi vieux que le cinéma lui-même, et “John Wick 2” le rappelle en ouverture avec un joli clin d’œil. Des images d’une cascade de la star du muet Buster Keaton sont projetées sur un grand mur, au son d’une “muscle car” rugissante et d’une moto qui finalement déboulent à l’écran. “C’est une façon de dire au public que vous êtes au cinéma, qu’on ne se prend pas au sérieux”, ont décrypté Keanu Reeves et le réalisateur Chad Stahelski pour “Paris Match”. “C’est un cool petit univers dans lequel on vous invite, un film d’action pour vous amuser”. C’est avec cet esprit que le premier John Wick avait ravi le public et la critique, il y a trois ans. D’une histoire rebattue et un rien ridicule sur le papier - un légendaire tueur à gage sort de sa retraite pour venger la mort de son chiot - Keanu Reeves et ses comparses avaient tiré un polar étonnamment bon, explosif, roublard, soigné. A l’épreuve de la suite, forcément dépourvue de l’effet de surprise, “John Wick 2” réussit en restant fidèle à cette ligne. Celle d’un film de genre assumé, et impeccablement exécuté. Keanu Reeves excelle en tueur ténébreux, monté sur ressort Comme le premier, ce “chapitre deux” est une série B de classe supérieure dans laquelle le réalisateur, ancienne doublure de Reeves sur “Matrix”, apporte à la mise en scène tout son savoir de cascadeur en chef. Ici, pas de montage épileptique, pas de caméra à l’épaule, secouée jusqu’à la nausée. Non, ici les poursuites, les affrontements, avec ou sans arme, sont méticuleusement chorégraphiés, puis cadrés, filmés et montés pour être vu, contrairement à la grande mode des dix dernières années (oui “Taken”, c’est de toi que l’on parle). Keanu Reeves, à qui “John Wick” a rendu ses galons de star de l’action, s’est entraîné quatre mois pour livrer cette performance de redoutable machine de mort, montée sur ressort. Entre deux coups de feu, il excelle encore dans ce personnage de tueur ténébreux, solitaire et réticent, taillé pour lui. Autour du rôle-titre, le scénario s’attache à développer le monde intriguant des tueurs à gages de haut niveau, pour éviter l'écueil de la redite - Oui Taken, encore toi... Enfin, l'esthétique et le ton empruntent toujours le meilleur du “kung-fu” et du “gun-fu” (la même chose, avec des armes à feu), du néo-noir et du western. |
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Kung Fu Jungle | Yi ge ren de wu lin | Chine/Hong-Kong | 2014 | Action | 100 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 17/04/2016 | |
Teddy Chan | Donnie Yen (Hahou Mo), Wang Baoqiang (Fung Yu-Sau), Charlie Yeung (Detective Luk Yuen-Sum), Bing Bai (Sinn Ying) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=230421.html | |||||
Hahou Mo, maître en arts martiaux, se rend à la police après avoir tué un homme à main nue. Trois ans plus tard, en prison, il apprend à la télévision qu'on a retrouvé le cadavre d'un autre homme tué lui aussi à main nue. Ce dernier était un spécialiste du combat aux poings et semble avoir été vaincu par cette même technique. Hahou Mo est certain de l'identité du tueur et des prochaines victimes, et cherche à sortir de prison à tout prix pour aider le capitaine Luk Yuen-Sum chargé de l'enquête… | |||||
Un bon petit film de kung-fu, ça fait toujours du bien ! Honnêtement, le scénario est mince, ne présente aucune originalité mais est prétexte à de nombreuses scènes de baston. Les scènes de combat sont le plus important dans ce genre de cinéma. De ce côté, on est plutôt gâté avec de belles chorégraphies. On a quand même connu Donnie Yen plus entreprenant et impressionnant mais il assure toujours le spectacle. Au final, le divertissement est correct, sans étincelle, et plutôt à réserver aux fans du genre. |
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Never Surrender (The Cage) | Never Surrender (The Cage) | USA | 2009 | Action | 87 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 08/01/2011 | |
Hector Echavarria | Hector Echavarria (Diego Carter), Patrick Kilpatrick (Seifer), James Russo (Jimmy), Silvia Koys (Sandra), Anderson Silva (Combattant), Quinton Rampage Jackson, Damian Perkins. | ||||
http://en.wikipedia.org/wiki/Never_Surrender_%28film%29 | |||||
Un champion de MMA décide de participer à des combats de freefight underground où la seule issue est de tuer son adversaire. Conscient qu’il joue sa vie, il peut plus reculer… | |||||
Note des spectateurs : 3/5 (Pour notes : ) Fiche technique : Couleur Tourné en : Anglais |
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The Green Hornet | The Green Hornet | USA | 2011 | Action | 117 min. |
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Disponible | 01 Français | 02 MKV | 30/03/2021 | |
Michel Gondry | Seth Rogen, Cameron Diaz, Jay Chou, Christoph Waltz, Edward Furlong, Edward James Olmos, Tom Wilkinson, David Harbour | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=28983.html | |||||
Le directeur du journal Daily Sentinel se transforme la nuit en super-héros connu sous le nom de Frelon Vert. Il est secondé par Kato, l'expert en arts martiaux. | |||||
Quand le réalisateur d'"Eternal Sunchine of the spotless mind" s'attaque à un super-héros rétro et iconique, le cocktail s'annonce pour le moins surprenant... Et le résultat dépasse en outrance toutes les attentes ! |
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The Master of kung-fu | Dao shi xia shan | Chine/Hong-Kong | 2015 | Action | 119 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 27/06/2016 | |
Chen Kaige | Wang Baoqiang, Aaron Kwok, Chang Chen, Chiling Lin, Wah Yuen, Jaycee Chan | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=240898.html | |||||
Après avoir été expulsé de son monastère, un jeune moine entame un périlleux voyage et se retrouve confronté à de nombreuses épreuves | |||||
Ce film n'a pas l'histoire la plus développée qui soit, bien qu'elle soit belle, mais comme indiqué sur sa page, c'est "un incontournable pour les fans du genre". Une superbe réalisation de kung-fu, à l'esthétisme la plus aboutie qu'il m'ait été donnée de voir, sans exagérer. Je pense que les scènes de combat ont été très dures à faire, et c'est ça que je récompense dans ma note, en plus du côté vraiment réussi de cet esthétisme asiatique de toute beauté. Et en plus, c'est bien joué. Je vous le recommande si vous aimez ce genre de film. |
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Zodiac | Zodiac | USA | 2007 | Action | 156 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 24/02/2016 | |
David Fincher | Jake Gyllenhaal, Mark Ruffalo, Anthony Edwards, Robert Downey Jr., Brian Cox, John Carroll Lynch, Richmond Arquette, Bob Stephenson | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=59320.html | |||||
Zodiac, l'insaisissable tueur en série qui sévit à la fin des années 60 et répandit la terreur dans la région de San Francisco, fut le Jack l'Eventreur de l'Amérique. Prodigue en messages cryptés, il semait les indices comme autant de cailloux blancs, et prenait un malin plaisir à narguer la presse et la police. Il s'attribua une trentaine d'assassinats, mais fit bien d'autres dégâts collatéraux parmi ceux qui le traquèrent en vain.Robert Graysmith, jeune et timide dessinateur de presse, n'avait ni l'expérience ni les relations de son brillant collègue Paul Avery, spécialiste des affaires criminelles au San Francisco Chronicle. Extérieur à l'enquête, il n'avait pas accès aux données et témoignages dont disposait le charismatique Inspecteur David Toschi et son méticuleux partenaire, l'Inspecteur William Armstrong. Le Zodiac n'en deviendrait pas moins l'affaire de sa vie, à laquelle il consacrerait dix ans d'efforts et deux ouvrages d'une vertigineuse précision... | |||||
Sollicité davantage par la réflexion que par l'action, le spectateur se trouve partie prenante de cette enquête quasiment ésotérique qui oblige les différents limiers à aller juqu'au bout de leurs limites. Cette traque usante pour les nerfs et pour les cerveaux est parfaitement rendue par un scénario marathon servi par des comédiens qui donnent à cette fiction le relief de la réalité. |
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Anna | Anna | France | 2019 | Action, Thriller | 119 min. |
![]() 1165 ![]() |
Vu mais non dispo | 01 Français | 12/01/2021 | ||
Luc Besson | Sasha Luss, Helen Mirren, Luke Evans, Cillian Murphy, Adrian Can, Alexander Petrov (II), Lera Abova, Eric Godon | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=259650.html | |||||
Les Matriochka sont des poupées russes qui s’emboîtent les unes dans les autres. Chaque poupée en cache une autre. Anna est une jolie femme de 24 ans, mais qui est-elle vraiment et combien de femmes se cachent en elle ? Est-ce une simple vendeuse de poupées sur le marché de Moscou ? Un top model qui défile à Paris ? Une tueuse qui ensanglante Milan ? Un flic corrompu ? Un agent double ? Ou tout simplement une redoutable joueuse d’échecs ? Il faudra attendre la fin de la partie pour savoir qui est vraiment ANNA et qui est “échec et mat”. | |||||
Et le rythme crépite d’autant plus que, agent simple, agent double, agent triple - car elle ne fait pas dans l’économie -, Anna a une virtuosité qui s’adapte avec la plus parfaite souplesse à la façon également virtuose dont Luc Besson mène son récit.ateurs : 3,5/5 (Pour notes) |
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Ile aux chiens (l') | Isle Of Dogs | USA | 2018 | Animation | 101 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 14/04/2018 | |
Wes Anderson | |||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=241680.html | |||||
En raison d’une épidémie de grippe canine, le maire de Megasaki ordonne la mise en quarantaine de tous les chiens de la ville, envoyés sur une île qui devient alors l’Ile aux Chiens. Le jeune Atari, 12 ans, vole un avion et se rend sur l’île pour rechercher son fidèle compagnon, Spots. Aidé par une bande de cinq chiens intrépides et attachants, il découvre une conspiration qui menace la ville. | |||||
Ségrégation, maltraitance, corruption : avec cette fable animalière inventive, le cinéaste américain réussit un film politique haletant et foisonnant. Il y avait déjà une île dans la filmographie de Wes Anderson : celle des amoureux fugueurs de 12 ans dans Moonrise Kingdom, un sanctuaire d’innocence et d’idéalisme. L’Ile aux chiens se situe à l’opposé. C’est une décharge, un cimetière, une jungle. On y abandonne massivement, systématiquement, les chiens, décrétés porteurs d’une grippe fatale, et on les laisse vivoter ou s’entretuer pour un peu de nourriture avariée au milieu des ordures. Comme les animaux de ce film d’animation parlent et sont dotés de caractéristiques humaines, ils sont aussi, évidemment, nos doubles. D’un succès à l’autre (il est particulièrement apprécié en France), le cinéaste américain est ainsi passé des tourments intimes de ses débuts (La Famille Tenenbaum) à la fable sociale (Fantastic Mr Fox), puis à l’épopée historique (The Grand Budapest Hotel). L’Ile aux chiens est son film le plus politique. Bien que situé dans un Japon futuriste, parfois rétro-futuriste comme pour brouiller les pistes, il fait songer, à travers une figure de dirigeant corrompu et autocrate, à Donald Trump ou Vladimir Poutine. Et l’île du titre évoque les zones insalubres où s’entassent, aujourd’hui, les populations déplacées, indésirables, refoulées. Avec cet arbitraire terrifiant qui frappe tel groupe, telle religion ou ethnie : ici, la déportation des chiens s’effectue au profit des chats, vénérés par le pouvoir en place. Fils adoptif de l’ignoble dirigeant, un préadolescent atterrit sur l’île pour y chercher son animal de compagnie disparu. Il s’allie alors avec une bande de cinq chiens errants, et découvre peu à peu la manipulation politique à l’origine de cette fourrière géante. Une aventure extraordinairement contrastée et foisonnante prend corps : le film sidère par sa profusion de détails visuels et narratifs, qui donne souvent l’impression de n’en capter, au vol, que quelques-uns. Wes Anderson mélange les estampes japonaises avec la haute technologie et l’art de Méliès avec les superpouvoirs numériques. Les gags alimentent la noirceur. Les marionnettes rappellent l’enfance par la naïveté de leur style, mais la violence sanglante qu’elles affrontent, les mutilations et les maladies qu’elles subissent destinent L’Ile aux chiens à un public adulte. Une guerre haletante se joue entre le cynisme (mot dont l’étymologie ramène, paradoxalement, au chien) des puissants et la soif de justice du petit héros, soutenu à distance par des lycéens engagés. Connaître les films précédents de Wes Anderson et leur douce mélancolie ne suffit pas à deviner à l’avance l’issue de ce combat, surprenante à tous points de vue. Le film tiendrait donc du sans-faute s’il n’avait deux défauts. La représentation conventionnelle des chiens femelles déçoit de la part d’un cinéaste aussi sophistiqué et contemporain, a fortiori dans un plaidoyer pour l’égalité. Heureusement que la bravoure d’une jeune fille corrige le tir… Et le film d’action brute prend le pas sur cette délicatesse qui a toujours fait la patte (si l’on ose dire) de l’auteur. En somme, face à la rudesse de l’époque, Wes Anderson redouble de maîtrise et d’inventivité, mais s’adonne aussi à la sauvagerie. |
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Livre de la jungle (le) | The Jungle Book | USA | 1967 | Animation | 78 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 19/04/2004 | |
Wolfgang Reitherman | pas d'acteurs | ||||
http://www.moviecovers.com/film/titre_LE%20LIVRE%20DE%20LA%20JUNGLE%20(1967).html | |||||
Perdu dans la jungle, un jeune garçon est recueilli par les animaux et en particulier par la louve Rashka qui l'élève comme son enfant et le nomme Mowgli. Avec ses amis animaux, Mowgli apprend de nombreuses choses. Mais un jour, il est capturé par les habitants d'un village qui tentent de rééduquer Mowgli. |
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Vice Versa | Inside Out | USA | 2015 | Animation | 95 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 24/02/2016 | |
Pete Docter, Ronaldo Del Carmen | |||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=196960.html | |||||
Au Quartier Général, le centre de contrôle situé dans la tête de la petite Riley, 11 ans, cinq Émotions sont au travail. À leur tête, Joie, débordante d’optimisme et de bonne humeur, veille à ce que Riley soit heureuse. Peur se charge de la sécurité, Colère s’assure que la justice règne, et Dégoût empêche Riley de se faire empoisonner la vie – au sens propre comme au figuré. Quant à Tristesse, elle n’est pas très sûre de son rôle. Les autres non plus, d’ailleurs… Lorsque la famille de Riley emménage dans une grande ville, avec tout ce que cela peut avoir d’effrayant, les Émotions ont fort à faire pour guider la jeune fille durant cette difficile transition. Mais quand Joie et Tristesse se perdent accidentellement dans les recoins les plus éloignés de l’esprit de Riley, emportant avec elles certains souvenirs essentiels, Peur, Colère et Dégoût sont bien obligés de prendre le relais. Joie et Tristesse vont devoir s’aventurer dans des endroits très inhabituels comme la Mémoire à long terme, le Pays de l’Imagination, la Pensée Abstraite, ou la Production des Rêves, pour tenter de retrouver le chemin du Quartier Général afin que Riley puisse passer ce cap et avancer dans la vie… | |||||
Un bijou de finesse et d'intelligence. (...) Plus la situation apparaît compliquée, abstraite, immensément subtile, et plus le film s’emballe, tout entier dévoué à résoudre l’équation que pose le réel, sa virtuosité monte d’un cran, et repousse par là toutes les frontières qui l’entourent. |
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Kaena | Kaena, la Prophétie | Canada | 2003 | Animation | 90 min. |
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Disponible | 01 AVI | 10/05/2005 | ||
Chris Delaporte | Les Voix De , Cécile De France , Michael Lonsdale , Victoria Abril , Jean Piat , François Siener | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=41305.html | |||||
Kaena vit avec sa tribu, sur un arbre-monde appelé Axis. Toute la société est organisée autour des offrandes de sève que le grand prêtre accorde aux Sélénites, une sorte de dieux esclavagistes et menaçants. Malheureusement, Axis se meurt et la sève est de plus en plus rare et difficile à récolter. Kaena, jeune fille rebelle et aventurière, est habitée par d'étranges visions où Axis l'appelle à l'aide. Elle décide donc de passer outre les menaces du grand prêtre et les tabous de sa tribu, pour partir en quête d'une solution qui sauverait l'arbre géant et son peuple. Kaena prend alors la direction des racines d'Axis, persuadée de finir un jour par atterrir sur un autre monde... | |||||
AUPRES DE MON ARBRE, JE VIVAIS HEUREUX Pour goûter pleinement la bonne sève que l'arbre de KAENA, LA PROPHETIE, peut offrir, il faudrait arriver dans la salle avec une bonne dizaine de minutes de retard... Et rater ainsi ce début tonitruant, tape-à-l'oeil et difficilement supportable, où les auteurs ont paru vouloir prouver toutes leurs compétences visuelles et sonores dans le moins de temps possible. Pour autant, résumer KAENA à ses premiers pas trébuchants et agressifs serait commettre une injustice. Le premier long métrage français en images de synthèse est une bonne surprise aux moyens techniques impressionnants. Chris Delaporte et Pascal Pinon ont réussi une oeuvre virtuose, au rythme trépidant, bourrée de bonnes idées et vraiment attachante. Mais il est regrettable que le scénario soit si vainement complexe. Et surtout, il est vraiment dommage que l'on ait du mal à se préoccuper des personnages. La faute à leur apparence un peu lisse qui les fait passer pour des acteurs monolithiques et rarement surprenants. Mais on ne brûle pas un arbre parce que quelques-uns de ses fruits sont moches. On ferme les yeux, et on déguste les autres, très bons. Mcinema.com (Camille Brun) |
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Lorax (le) | Dr. Seuss' The Lorax | USA | 2012 | Animation | 87 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 02/02/2021 | ||
Chris Renaud, Kyle Balda | Danny DeVito, Ed Helms, Zac Efron, Taylor Swift, Betty White, Rob Riggle, Jenny Slate, Nasim Pedrad, François Berléand, Kev Adams, Alexandra Lamy | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=170530.html | |||||
Pour conquérir le cœur de sa jolie voisine, Audrey, Ted va s’échapper de Thneedville, un monde totalement artificiel où toute végétation a définitivement disparu, pour partir en quête d’un arbre vivant. Ted va rencontrer le Gash-pilleur, un vieil ermite aigri reclus dans sa cabane au milieu de nulle part, et découvrir la légende du Lorax, cette créature aussi renfrognée que craquante qui vit dans la magnifique vallée de Truffala et lutte avec ardeur pour la protection de la nature. Avec l’aide de sa grand-mère, Mamie Norma, Ted va devoir déjouer les pièges de O’Hare et ses sbires pour rapporter à Audrey la dernière graine d’arbre vivant au monde. Sans le savoir, le jeune garçon va transformer le destin de Thneedville. | |||||
Cette fable 100% écolo réussit sur un mode rigolo et tonique à faire passer le message, sans discours rasoir. Séduisant sur le fond et la forme, voilà un manifeste en faveur de Dame Nature, auquel petits et grands souscriront dans un même élan. |
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Wallace Et Gromit Le Mystère Du Lapin-Garou | Wallace & Gromit : The Curse Of The Were-Rabbit | UK/USA | 2003 | Animation | 85 min. |
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Disponible | 01 AVI | 14/01/2007 | ||
Nick Park, Steve Box | les voix originales de Helena Bonham Carter (Lady Tottington), Peter Sallis (Wallace), Ralph Fiennes (Victor Quartermaine), Peter Kay (PC Mackintosh) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=55129.html | |||||
Une ''fièvre végétarienne'' intense règne dans la petite ville de Wallace et Gromit, et l'ingénieux duo a mis à profit cet engouement en inventant un produit anti-nuisibles humain et écolo, qui épargne la vie des lapins. L'astuce consiste simplement à capturer, à la main, un maximum de ces rongeurs et à les mettre en cage. A quelques jours du Grand Concours Annuel de Légumes, les affaires de Wallace et Gromit n'ont jamais été aussi florissantes, et tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes, si un lapin-garou géant ne venait soudain s'attaquer aux sacro-saints potagers de la ville. Pour faire face à ce péril inédit, l'organisatrice du concours, Lady Tottington, se tourne vers nos deux ''spécialistes'' et leur demande d'appréhender le monstre. |
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Fiche technique : Budget : 30 000 000$ Box Office France : 2 210 865 entrées N° de visa : 113661 Couleur Format du son : Dolby SR - Digital DTS - Digital Format de projection : 1.85 : 1 Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Le Mystère du lapin-garou est le premier long-métrage mettant en scène les célèbres personnages de pâte à modeler Wallace et Gromit. Nick Park, leur créateur, n'avait en effet réalisé que trois courts métrages avec eux auparavant : Une grande excursion, Un mauvais pantalon et Rasé de près. Ces deux derniers ont par ailleurs remporté l'Oscar du meilleur court-métrage d'animation, respectivement en 1994 et 1996. " Réaliser un Wallace & Gromit de 30 minutes exige déjà énormément de temps, de soin et de patience, explique Nick Park. Un long métrage de 85 minutes revient à bâtir... la Muraille de Chine avec des allumettes ! Il a fallu cinq ans d'efforts ininterrompus, parce que chaque détail compte, y compris les plus minuscules. Je pense toutefois que le défi majeur fut d'inventer l'intrigue qui nous permettrait de passer d'un coup de 30 minutes à 85." L'équipe de décorateurs a dû recréer plus de 700 légumes en plâtre ainsi qu'une centaine de plantes pour conférer le maximum d'authenticité au parc, à la forêt voisine et aux serres de Lady Tottington. Les outils de jardinages sont, quant à eux, pleinement opérationnels, de même que le Van de Wallace et Gromit, un modèle réduit d'Austin 35 dont chaque accessoire (phares, pneus, coffre) devait fonctionner comme dans une vraie voiture. Enfin, toutes les tapisseries ornant les murs de Tottington hall ont été peintes à la main. |
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1001 Pattes | A Bug's Life | USA | 1998 | Animation | 95 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 05/09/2004 | |
John Lasseter, Andrew Stanton | Dave Foley, Kevin Spacey, Julia Louis-Dreyfus, Hayden Panettiere, Phyllis Diller | ||||
Tilt, fourmie quelque peu tête en l'air, détruit par inadvertance la récolte de la saison. La fourmilière est dans tous ses états. En effet cette bévue va rendre fou de rage le Borgne, méchant insecte qui chaque été fait main basse sur une partie de la récolte avec sa bande de sauterelles racketteuses. Fou de rage, ce dernier annonce qu'il reviendra à l'automne prélever le double de sa ration habituelle. Tilt décide alors, pour se faire pardonner, de quitter l'île pour recruter des mercenaires capables de chasser le Borgne. |
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Anomalisa | Anomalisa | USA | 2015 | Animation | 91 min. |
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Disponible | 01 Français | 02 MKV | 25/05/2016 | |
Charlie Kaufman, Duke Johnson | David Thewlis, Jennifer Jason Leigh, Tom Noonan | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=223076.html | |||||
Michael Stone, mari, père et auteur respecté de « Comment puis-je vous aider à les aider ? » est un homme sclérosé par la banalité de sa vie. Lors d'un voyage d'affaires à Cincinnati où il doit intervenir dans un congrès de professionnels des services clients, il entrevoit la possibilité d’échapper à son désespoir quand il rencontre Lisa, représentante de pâtisseries, qui pourrait être ou pas l’amour de sa vie… | |||||
Comment se porte l'homme, le mâle occidental, modèle xxe siècle finissant, avec ses schémas rigides de réussite sociale et familiale ? Pas bien du tout. Le voici dans l'avion, en déplacement professionnel. Puis dans l'un de ces hôtels chic, mais totalement standard, du plan de la chambre au contenu du minibar, où l'on ne séjourne que pour le travail. Ce spécimen entre deux âges ressemble à beaucoup d'autres. Voilà pourquoi la technique de l'animation image par image, qui met en mouvement des pantins synthétiques, est d'emblée si fructueuse, si éloquente. Michael Stone (en français, il serait Michel Pierre) paraît subir sa vie comme si elle lui était entièrement dictée. L'uniformisation du monde se lit aussi dans la similitude entre tous les visages, tels des masques fabriqués à la chaîne. Taxi ou groom, des voix identiques vantent les mérites de cette ville de l'Ohio où l'homme est de passage. Le goût américain pour les procédures et les formules toutes prêtes n'a jamais semblé aussi étouffant et risible. Le travail du « héros » parachève le tableau : éminent spécialiste du service clientèle en entreprise, Michael Stone est là pour un congrès où il doit prêcher la bonne parole capitaliste, devant des commerciaux de tous secteurs d'activité. Mais, donc, le coeur n'y est pas. À la veille de sa conférence, l'homme se sent très seul dans sa chambre. Le coup de fil à la famille est sans âme. Les retrouvailles, au bar de l'hôtel, avec une femme probablement séduite et abandonnée dans cette même ville, cinq ans plus tôt, tournent à la catastrophe. C'est alors qu'il rencontre deux modestes télé-vendeuses venues spécialement, et de loin, assister à son intervention. Apparemment mû par une banale pulsion sexuelle, il attire et retient dans sa chambre l'une d'elles, Lisa, complexée et admirative. Elle seule, par sa capacité inattendue à vivre et à partager l'instant présent, viendra infléchir le nihilisme ambiant, et provoquer un court-circuit émotionnel, sinon existentiel. Anomalisa est d'une rareté absolue, au-delà même du recours à l'animation pour un sujet aussi adulte. Il faut imaginer un univers où se croiseraient Michel Houellebecq et David Lynch. De l'écrivain français, on retrouve une figure majeure des premiers romans (surtout Extension du domaine de la lutte) : le col blanc désillusionné, tourmenté par le sexe, cerné par le dégoût du monde et de lui-même. Au réalisateur de Lost Highway, le film semble emprunter ses décrochages oniriques, absurdes, cauchemardesques, révélant les abîmes qui guettent les personnages, derrière des attitudes et des mots de pure convention. Charlie Kaufman, l'auteur de cette histoire qu'il écrivit d'abord pour le théâtre, était jusqu'ici célèbre pour ses scénarios, dont celui d'Eternal Sunshine of the spotless mind (2004), de Michel Gondry. Après une première réalisation prometteuse mais d'une sophistication un peu abstraite, Synecdoche, New York (2008), il trouve, cette fois, la forme idéale (et le coréalisateur, Duke Johnson, responsable de l'animation) pour sa crudité, ses idées noires et son humour sardonique. Le résultat est bien cette superbe anomalie cinématographique, qui s'est glissée parmi les nominations à l'Oscar du meilleur film d'animation, entre les divertissements familiaux, alors qu'il s'agit d'une critique assassine de la vie américaine. -- Louis Guichard |
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Avril et le monde truqué | Avril et le monde truqué | France | 2015 | Animation | 105 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 26/03/2016 | |
Franck Ekinci, Christian Desmares | Marion Cotillard, Philippe Katerine, Jean Rochefort, Marc-André Grondin, Bouli Lanners, Olivier Gourmet, Anne Coesens, Macha Grenon | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=224355.html | |||||
1941. Le monde est radicalement différent de celui décrit par l’Histoire habituelle. Napoléon V règne sur la France, où, comme partout sur le globe, depuis 70 ans, les savants disparaissent mystérieusement, privant l’humanité d’inventions capitales. Ignorant notamment radio, télévision, électricité, aviation, moteur à explosion, cet univers est enlisé dans une technologie dépassée, comme endormi dans un savoir du XIXème siècle, gouverné par le charbon et la vapeur. C’est dans ce monde étrange qu’une jeune fille, Avril, part à la recherche de ses parents, scientifiques disparus, en compagnie de Darwin, son chat parlant, et de Julius, jeune gredin des rues. Ce trio devra affronter les dangers et les mystères de ce Monde Truqué. Qui enlève les savants depuis des décennies ? Dans quel sinistre but ? | |||||
Nous sommes en 1941, sous le règne de Napoléon V... Cela s'appelle une uchronie, un conte fondé sur la question « Et si ? ». En l'occurrence : et si, aux environs de 1870, tous les savants du monde s'étaient volatilisés avant d'avoir pu partager la moindre invention ? Sans eux, aucun progrès. On en est resté à l'ère de la vapeur et du charbon. Le phénomène a fait dérailler l'Histoire : ni guerres mondiales ni républiques. Dans cet étrange contexte, la jeune Avril, fille d'un couple de scientifiques, mène l'enquête sur leur disparition, aidée par Julius, un petit voyou aussi louche que charmant. Dans un monde stagnant, enfumé, asphyxié, où plus aucun arbre ne tient debout, cette aventure d'animation steampunk est d'abord un extraordinaire laboratoire pour l'imaginaire. Les deux réalisateurs ont entièrement « reconstruit » un Paris selon leur fantaisie, déployant les idées les plus débridées. Double tour Eiffel, voitures à vapeur, zeppelins et monumentale statue néo-napoléonienne, dans l'oeil de laquelle habite Avril avec Darwin, son délicieux chat parlant et intello. Visuellement, cet univers rétrofuturiste doit tout à la patte inimitable de Jacques Tardi, responsable de la conception graphique du décor et des personnages. Au-delà même du dessin, identifiable entre tous, le film entier est un hommage riche, drôle et intelligent à l'oeuvre du maître de la bande dessinée. Tout, ici, ressemble à une sorte d'album mutant d'Adèle Blanc-Sec, particulièrement réussi, et jubilatoire. A commencer par les personnages. Cette Avril fantasque, bourrue, véritable petite soeur d'Adèle ; ces flics à moustache obtus, acharnés à commettre un maximum d'erreurs judiciaires. Mais aussi Pops, le vieillard farfelu et génial, dernier spécimen d'une délirante collection de savants fous. On pourrait presque aussi, dans de brumeuses ruelles bordées d'entrepôts, sur des quais parisiens encombrés, croiser le fantôme de Nestor Burma, le héros de Léo Malet mis en images par Tardi. Un hommage, oui, mais pas une photocopie figée. Avril a des qualités singulières : le rythme, l'imagination en mouvement. Toute la puissance d'évocation du cinéma, à commencer par les voix malicieuses, virtuoses des comédiens derrière les dessins, de Philippe Katerine (le chat) à Marion Cotillard (Avril) et Jean Rochefort (Pops). Si chaque invention visuelle est si excitante, c'est qu'elle n'est pas un simple élément de décor, mais un vrai rouage dans une belle mécanique narrative. Il en va ainsi du dernier arbre vivant, exposé dans une immense verrière, lieu de rendez-vous mystérieux et poétique, qui renvoie à la nostalgie très écolo d'un monde perdu, comme un signe discrètement alarmiste à notre propre présent. Et lorsque le secret des savants disparus est enfin percé, les deux réalisateurs changent brusquement d'univers, s'affranchissent tout à coup de la planète Tardi, avec une liberté amusante, effrontée. Avril, ou l'hommage truqué. |
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Fantastic Mr. Fox | Fantastic Mr. Fox | USA | 2009 | Animation | 88 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 17/09/2018 | |
Wes Anderson | |||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=114976.html | |||||
M. Fox, le plus rusé des voleurs de poules, sa femme, Mme Fox, Ash, son fils, le cousin Kristofferson et tous les autres animaux de la forêt défient trois odieux fermiers. Ils vont vivre la plus périlleuse et délirante des aventures. | |||||
Wes Anderson nous offre un grand moment de bonheur. L'animation sous forme de marionnettes est un enchantement. La cellule familiale est au centre d'un récit célébrant le droit d'être à la fois solidaire et différent. On sort émerveillé de ce souriant poème aux couleurs automnales. |
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Indestructibles (les) | The Incredibles | USA | 2004 | Animation | 115 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 07/05/2005 | |
Brad Bird | Lorie , Amanda Lear , Patrick Poivre D'arvor , Marc Alfos | ||||
http://cinema.tiscali.fr/fichefilm.aspx?id=FI015427&file=http | |||||
Mr Indestructible et Elastigirl sont des super-héros. Mariés dans la vie civile, ils protègent les humains de toutes sortes de vilains, jusqu'à ce que l'Etat, suite aux plaintes de victimes sauvées, ne mette sur pied un programme de réinsertion à leur attention. Nos deux héros deviennent alors anonymes et priés de le rester. Mr Indestructible, alias Bob Parr, travaille pour une compagnie d'assurance et Elastigirl, alias Helen Parr, élève ses trois enfants, eux aussi dotés de supers-pouvoirs. La nostalgie des années glorieuses pèse sur la famille. Heureusement, 15 ans plus tard, débarque un nouveau super-vilain dont le but est de débusquer puis éliminer les ex-super-héros avant de s'attaquer aux humains. La famille Indestructible va pouvoir reprendre du service. | |||||
BIENVENUE DANS LE MONDE REEL LES INDESTRUCTIBLES marque un tournant dans la carrière des studios Pixar. Réalisé par Brad Bird, un transfuge de Warner Bros, ce n'est plus un film d'animation labellisé Pixar, avec son épure scénaristique, ses univers particuliers et ses personnages invraisemblables. C'est avant tout un film d'action mettant en scène des humains, film qui aurait pu ne pas être en 3D. Et cela change tout. La magie d'un monstre bleu sauvant une gamine (MONSTRES ET CIE) ou les yeux tristes d'un poisson qui parle (LE MONDE DE NEMO) ne font plus partie du casting. Aujourd'hui, le métrage s'allonge, le graphisme prend du muscle, et la qualité technique est poussée à son paroxysme. Situé dans les années 60, en référence à l'univers des James Bond que le film parodie (méchant mégalo milliardaire sur une île déserte, clins d'oeil musicaux), la perfection de l'animation et des scènes d'action fait oublier le démarrage longuet et les personnages moins drôles qu'à l'accoutumée. Y perd-on au change ? Certainement. Car, si bien foutues soient-elles, les scènes d'action existent dans les films du même nom, alors que la Pixar's touch est moins visible ici. De quoi regretter quelques secondes la « vielle école », comme le clame l'un des protagonistes. Mcinema.com (Guillaume Tion) |
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Pôle Express (le) | The Polar Express | USA | 2003 | Animation | 99 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 13/03/2006 | |
Robert Zemeckis | Tom Hanks (Le Garçon, Son Père, Le Chef De Train, Le Vagabond, Le Père Noël), Leslie Harter Zemeckis (La Mère), Eddie Deezen, Nona Gaye (La Fille), Peter Scolari, Brendan King, Michael Jeter (Smokey Et Steamer), Charles Fleischer (Le Général Des Elfes), Steven Tyler (Le Lieutenant Des Elfes). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=29144.html | |||||
Un jeune garçon qui se met à douter de l'existence du père Noël monte dans un train mystérieux en partance pour le pôle Nord. A mesure que le Pôle Express s'enfonce dans des contrées enchantées, l'aventure est au rendez-vous et les jeunes passagers prennent conscience de l'étendue de leurs dons. |
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Note de la presse : 2/4 Note des spectateurs : 2/4 Fiche technique : Budget : 150 millions de dollars Box Office France : 1 556 088 entrées Box Office Paris : 182 806 entrées Box Office USA : 162 775 358 $ N° de visa : 111615 Film pour enfants Couleur Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : L'adaptation d'un conte de Noël Le Pôle Express est l'adaptation en film d'animation du célèbre conte de Noël éponyme écrit et illustré par l'Américain Chris Van Allsburg (paru en 1985 et édité en France par l'École des Loisirs, sous le titre Boréal-Express). C'est la seconde fois que l'un de ses ouvrages est adapté sur grand écran après Jumanji, en 1995. Une oeuvre marquante Robert Zemeckis et Tom Hanks avouent avoir été fortement marqués par l'oeuvre d'origine de Chris Van Allsburg. Le premier, qui lisait le livre à son fils une fois par an, vante son "imagerie, quelque part entre rêve et réalité, qui capte admirablement les mystères et les attentes d'une nuit de Noël." Quant à Tom Hanks, il avoue : "Pendant près de dix ans, de novembre à décembre, j'ai lu le livre à mes enfants quatre fois par semaine, et souvent deux fois de suite ! J'en ai été totalement imprégné." A la rencontre du Père Noël... Le Pôle Express nous confronte au mythe du Père Noël. Robert Zemeckis explique : "C'est une histoire où chacun de nous peut se retrouver. Enfants ou adultes, nous sommes nombreux à avoir mis en doute nos croyances et refondé nos convictions. Les plus jeunes prennent ce récit au pied de la lettre, comme un voyage à la rencontre du Père Noël , les adultes y trouvent une métaphore d'une plus vaste portée. L'histoire s'appuie sur une symbolique chrétienne, mais c'est fondamentalement une fable universelle sur la croyance en des choses que nous ne pouvons totalement percevoir ou comprendre." Robert Zemeckis / Tom Hanks : troisième ! Le Pôle Express marque la troisième collaboration du réalisateur Robert Zemeckis et de l'acteur Tom Hanks après Forrest Gump (1994) et Seul au monde (2000). La "motion capture" à la rescousse Pour restituer l'ampleur des paysages imaginés par Chris Van Allsburg (avec leur texture très lumineuse) ainsi que la beauté et la richesse de ses illustrations, ni l'animation traditionnelle, ni des prises de vues réelles n'étaient suffisantes. Robert Zemeckis et le superviseur des effets spéciaux Ken Ralston, qui avaient déjà collaborés ensemble sur Retour vers le futur, décidèrent ainsi de recourir à la technique de la "Performance Capture". Avancée décisive dans la technologie du "motion capture", ce procédé permet de recréer à la perfection les expressions et les gestes des comédiens en infographie. Ainsi, les postures de Tom Hanks, le moindre de ses rictus sont reproduits à l'identiques à l'écran.Pour Robert Zemeckis, familier de ces innovations spectaculaires qu'il a toujours mises au service de l'histoire (Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, Forrest Gump), "la "Performance Capture", ? c'est le nom que nous lui donnâmes ? était LE procédé idéal pour réaliser Le Pôle Express. En fait, sans lui, je pense que j'aurais renoncé à faire le film." Voix de haute volée au générique Outre Tom Hanks, qui prête sa voix à pas moins de six personnage, Le Pôle Express accueille à son générique Nona Gaye (fille du chanteur Marvin Gaye, vue à l'affiche de Matrix reloaded et Matrix revolutions) et le chanteur Steven Tyler, leader du groupe de rock Aerosmith qui incarne pour l'occasion un elfe. Tom Hanks de tous les coups ! Dans Le Pôle Express, Tom Hanks prête sa voix à pas moins de six personnages, mais officie également en tant que producteur exécutif. Il interprète également deux chansons du long-métrage d'animation dans une bande-originale qui mélange entre autres chansons de Noël classiques et contemporaines et standards de Frank Sinatra et Bing Crosby. |
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Simpsons - Le Film (les) | The Simpsons Movie | USA | 2006 | Animation | 90 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 08/01/2011 | |
David Silverman | Dan Castellaneta (Homer / Krusty / Abraham / Barney / Willy / Maire Quimby / Itchy (Voix)), Julie Kavner (Marge / Patty / Selma / Grand-Mère Bouvier (Voix)), Nancy Cartwright (Bart / Nelson / Ralph / Todd / Kearney / Database (Voix)), Yeardley Smith (Lisa (Voix)), Hank Azaria (Apu, Moe, Wiggum (Voix)), Harry Shearer (Mr Burns, Smithers, Dr Marvin Monroe, Ned Flanders (Voix)), Albert Brooks (Voix), Minnie Driver (Voix), Erin Brockovich (Herself (Voix)), Joe Mantegna (Fat Tony (Voix)), Tress Macneille ((Voice)), Marcia Wallace (Edna Krabappel (Voix)), Pamela Hayden (Milhouse Van Houten/jimbo Jones/rod Flanders (Voix)), Russi Taylor ((Voice)), Maggie Roswell ((Voice)), Karl Wiedergott (Various (Voix)), Philippe Peythieu (Homer Simpson / Grand-Père Simpson / Otto (Voix Française)), Véronique Augereau (Marge Simpson (Voix Française)), Joëlle Guigui (Bart Simpson (Voix Française)), Aurélia Bruno (Lisa Simpson / Milhouse (Voix Française)), Pierre Laurent (Apu / Barney / Ned Flanders / Smithers (Voix Française)), Gilbert Levy (Moe (Voix Française)), Michel Modo (Montgomery Burns / Krusty Le Clown (Voix Française)), Regine Teyssot (Todd Flanders (Voix Française)), Tom Hanks (Lui-Même (Voix)), Albert Brooks (Russ Cargill (Voix)), Richard Darbois (Russ Cargill (Voix Française)), Billy Joe Armstrong (Lui-Même (Voix)), Frank Edwin Wright Iii (Lui-Même (Voix)), Michael Pritchard (Lui-Même (Voix)), Maggie Roswell (Helen Lovejoy (Voix)). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=111112.html | |||||
Lorsqu'Homer pollue gravement le lac de Springfield, une agence de protection de l'environnement décide de mettre la ville en quarantaine en l'isolant sous un énorme dôme. Les Springfieldiens, fous de rage, sont bien décidés à lyncher le coupable. Devant cette vague d'animosité, les Simpson n'ont d'autre choix que de fuir et de s'exiler en Alaska. | |||||
Note de la presse : 4/5 Note des spectateurs : 4/5 (Pour 17237 notes : 54 % de *****, 27 % de ****, 13 % de ***, 0 % de **, 6 % de *) Fiche technique : Box Office France : 3 550 358 entrées N° de visa : 118302 Couleur Format du son : Dolby Digital DTS Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : La longue vie des Simpson La série télévisée créée par Matt Groening bénéficie d'une longévité exceptionnelle : dix-huit saisons au compteur depuis la diffusion du premier épisode, en décembre 1989. L'adaptation cinématographique, Les Simpson - le film représente une suite logique que le créateur de la série a toujours souhaitée, et fait écho à un anniversaire très particulier : le 400e épisode, diffusé aux Etats-Unis en mai 2007. Les voix françaises Pour la sortie du film Les Simpson, la Fox a veillé à ce que les doubleurs français de la série reprennent leurs rôles respectifs. On retrouve donc Philippe Peythieu qui prête sa voix à Homer, Véronique Augereau dans la peau de Marge, Jöelle Guigui dans celle de Bart, et Aurélia Bruno qui fait Lisa. Une intrigue jalousement gardée Bien qu'on en connaisse les grandes lignes, l'intrigue du film a été jalousement gardée par les créateurs Matt Groening et Al Jean, désireux de conserver une part de mystère et de suspense jusqu'à la sortie officielle en salles. Une équipe qui gagne L'équipe qui a travaillé sur Les Simpson - le film est la même qui fabrique depuis 1989 les épisodes de la série télévisée, dont David Silverman, le réalisateur, qui faisait déjà partie de l'aventure à l'époque du "Tracey Ullman Show". Mais tous les scénaristes de la série n'ont pas participé à l'écriture du film : tandis qu'une équipe s'occupait des épisodes de la saison en cours, une autre s'attelait au script, tout en intégrant des idées proposées par la première équipe. Cette continuité artistique offre au film une cohérence à tous les niveaux - esthétique et scénaristique. Des doubleurs aux mille voix Derrière les voix des membres de la famille Simpson se cachent des doubleurs de talent, dont ce n'est pas là l'unique métier. Philippe Peythieu, qui incarne Homer, outre le doubleur régulier de Danny DeVito, est aussi intervenant en expression et communication à l'université Paris VII, lecteur au centre national Georges Pompidou, et s'investit dans la formation professionnelle. Véronique Augereau, qui fait la voix de Marge, est également comédienne de théâtre et prête son timbre à des actrices comme Jamie Lee Curtis, Linda Hamilton ou Rene Russo. Un producteur très éclectique Le producteur exécutif du film Les Simpson - le film (et de la série animée) est également un touche-à-tout de l'art : couronné par trois Oscars et dix-sept Emmy Awards, James L. Brooks a été successivement scénariste et producteur pour la télévision et pour le grand écran, réalisateur (avec, récemment, Pour le pire et pour le meilleur qui a rapporté à Jack Nicholson et Helen Hunt l'Oscar de la meilleure interprétation), ainsi que producteur et metteur en scène de théâtre. Al Jean, le second larron Producteur exécutif aux côtés de Matt Groening, Al Jean travaille sur Les Simpson depuis le début de la série en 1989 et a participé à plus de trois cent cinquante épisodes. Il en a écrit ou coécrit plusieurs, dont Ste Lisa Blues, Il était une fois Homer et Marge, Simpson Horror II & III, Mon pote Michael Jackson, Simpsoncalifragilisticexpiala(annoyed grunt)cious, Homer perd la boule, La vengeance du clown, La garderie d'Homer et HOMR. Vraie-fausse 2-D Les Simpson - le film profite d'une évolution technique jusque là inédite dans la série : bien que majoritairement animé dans une classique 2-D, certains plans bénéficient d'un traitement en 3-D, à l'image de certains décors ou objets. La différence n'est pas gênante mais se remarque à l'oeil nu. C'est un mélange technique que Matt Groening a déjà utilisé pour sa série Futurama. Bart fait encore des siennes Avant même sa sortie, Les Simpson - le film a provoqué un mini-scandale aux Etats-Unis lorsque le créateur de la série, Matt Groening, a dévoilé que, dans une séquence du film, Bart apparaît brièvement dans son plus simple appareil. Le long-métrage a tout de même échappé à l'interdiction aux moins de 16 ans, mais cette révélation a mis en émoi les ligues puritaines américaines ainsi que la commission de contrôle cinématographique. Ce n'est pourtant pas grand chose à côté de ce que Bart, l'enfant terrible et trash de la famille Simpson, fait subir à ses amis et parents tout au long des quelques quatre cents épisodes que compte la série... Première à Springfield La sortie américaine des Simpson - le film, fin juillet, devait être précédée d'une projection en avant-première à Springfield, en référence à la ville dans laquelle évolue la famille Simpson. Mais puisqu'il existe plus de deux cents Springfield aux Etats-Unis, depuis l'Oregon jusqu'au Massachusetts, la Fox avait lancé un concours pour déterminer celle qui accueillerait la projection parmi seize finalistes. C'est finalement le Springfield du Vermont qui a remporté la palme de la ville la plus "simpsonable". La fin des Simpson? Bien avant la sortie du film, la rumeur annonçait que cette aventure sur grand écran signerait la fin de la série. Matt Groening a lui-même tordu le coup à cette rumeur : "Nous ne l'avons pas fait pour terminer la série, au contraire, nous l'avons fait parce que son succès est toujours aussi vivace". En effet, la série est prévue pour continuer au moins jusqu'en 2009. Les Simpson se mettent au vert Dans la scène d'ouverture du film, le groupe Green Day tente de sensibiliser son public à la question écologique : le public répond par un jet de canettes de bière. Depuis les débuts de la série, Matt Groening a fait de l'environnement son cheval de bataille, face à l'apathisme de la population : ce n'est pas pour rien qu'il a fait travailler Homer dans une centrale nucléaire. Récemment, Al Gore est même apparu lors d'un épisode de la série, dans son propre rôle. "Ces questions sont importantes aujourd'hui mais, comme d'habitude avec les Simpson, nous ne voulons donner de leçons à personne" assure Groening. Les Simpson - le film raconte tout de même l'histoire d'une catastrophe écologique qui cause de gros soucis à Springfield et au monde entier... Un générique version punk C'est le groupe punk-rock "Green Day" qui a composé la nouvelle version du thème des Simpson, qui est joué au début du film. Il s'agit seulement d'une version électrisée du thème originel de la série, repris avec talent par le groupe californien - qui fait également une apparition dans le film à l'occasion d'un concert à Springfield. L'invasion des Kwik-E-Marts A l'occasion de la sortie des Simpson - le film, une dizaine de magasins américains se sont transformés en Kwik-E-Marts, la boutique tenue par Apu et fréquentée par les Simpson dans la série. En plus de ce nouveau decorum, ces magasins proposent des produits directement tirés de la série, comme les céréales KrustyO's, des Buzz Cola, des donuts ou des Squishees glacées, et bien sûr un grand nombre d'images des membres de la famille au teint jaune. Sans subir de transformation aussi radicale, plus de six mille magasins 7-Eleven vendent néanmoins les mêmes produits. Bart s'adresse aux spectateurs Comme pour chaque épisode depuis dix-huit ans, le générique des Simpson - le film nous montre Bart dans une salle de classe en train d'écrire sa punition (différente à chaque fois) au tableau : "Je ne dois pas télécharger ce film illégalement", manière subtile de s'adresser aux spectateurs et d'empêcher le téléchargement sauvage du film... Mieux vaut prévenir que guérir... Alors qu'il est devenu difficile d'obtenir un nom de domaine réservé sur le web, la Fox a fait preuve de prévention : elle a enregistré l'adresse "simpsonmovie.com" le 22 avril 1997, soit neuf ans avant que la production du film soit officiellement lancée... De nouveaux personnages Outre les personnages principaux de la série animée, Les Simpsons Le Film accueille de nouveaux personnages faits spécialement pour le film. Ainsi, on peut découvir Russ Cargill, Colin, le président Arnold Schwarzenegger, la vieille inuit et Spider-Cochon (ou Harry Crotteur). |
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Voyage de Chihiro (le) | Sen To Chihiro No Kamikakushi | Japon | 2001 | Animation | 125 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 19/04/2004 | |
Hayao Miyazaki | pas d'acteurs | ||||
Une erreur de parcours conduit Chihiro, dix ans, dans un parc d’attractions désaffecté où ses parents sont transformés en porcs après avoir avalé des mets succulents. Prise de panique, la fillette s’enfuit. À la tombée de la nuit, la ville fantôme reprend vie et se peuple de créatures fantastiques et effrayantes… Heureusement l’énigmatique Haku vient à sa rescousse et lui explique les règles de l’établissement de bains où vit une étrange communauté. Car Chihiro a atterri dans un monde violent, magique et onirique où les divinités viennent prendre un bain et se reposer après leur travail. N’étant pas admis, les humains risquent d’être métamorphosés en cochons afin d’être mangés ou désintégrés si leur inutilité est avérée. Pour échapper à ce funeste destin, Chihiro doit convaincre la cruelle sorcière Yubada, qui régit les Thermes, qu’elle est capable de travailler dur. La petite s’y engage et, pour gage de son obéissance, abandonne son nom, qu’elle oublie peu à peu alors qu’elle en aura besoin pour rentrer chez elle. Malgré les réticences des employés, qui détestent les humains, grâce à son rude labeur Chihiro est progressivement intégrée. Elle est soutenue par Lin, qui lui explique ses taches et par Kamaji, le vieux maître des chaudières. Émue par un mystérieux fantôme sans visage qui la suit partout, Chihiro finit par le faire pénétrer dans les bains. Satisfait, celui-ci se met pourtant à engloutir les serviteurs qui se trouvent sur son passage et devient énorme. Pour libérer ses nouveaux amis de ce dangereux fantôme, Chihiro lui fait tout régurgiter. Amaigri, le fantôme suit Chihiro à la reconquête de son identité, dans un long voyage en train qui les mène jusque chez Zeniba, sœur jumelle de Yubada. Celle-ci garde le fantôme auprès d’elle et délivre Haku du charme de Yubada. Haku se souvient enfin qui il est et pourquoi, avec Chihiro, ils ont toujours eu l’impression de se connaître. Haku est le diminutif du nom Kôhaku, qui signifie rivière et il y a bien longtemps Chihiro était tombée dans une rivière pour repêcher sa chaussure. Maintenant qu’elle sait de nouveau qui elle est, Chihiro doit laisser ses amis avec regret pour enfin retrouver ses parents… |
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Age de glace (l') | Ice Age | USA | 2001 | Animation | 80 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 18/04/2004 | |
Chris Wedge, Carlos Saldanha | les voix de Gérard Lanvin (Manfred), Elie Semoun (Sid), Vincent Cassel (Diego), Maureen Dor (une paresseuse) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=35784.html | |||||
Vingt mille ans avant notre ère, lorsque Scrat, un rongeur obstiné, fend la banquise et déclenche un nouvel Age de Glace, une vaste cohorte de mammifères s'assemble et commence à émigrer vers le sud. Manny, un mammouth solitaire qui n'en fait qu'à sa tête, choisit d'aller vers le nord et se voit bientôt rejoint par Sid, un petit paresseux volubile en quête de protecteur. Ce dernier l'oblige bientôt à recueillir un bébé humain, Roshan, que sa mère leur a confié avant de mourir, et à ramener celui-ci à son père, chasseur nomade parti vers le nord. Sur leur chemin, les deux compères devront protéger Roshan de Diego, un tigre aux dents de sabre chargé par son chef Soto de capturer le bébé. |
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Fiche technique : Budget : 60 millions de $ Box Office France : 3 031 516 entrées Box Office USA : 176 387 405 $ N° de visa : 104812 Couleur Format du son : Dolby Digital DTS Format de projection : 1.85 : 1 Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Tout animé par ordinateur qu'il soit, L'Age de glace a souvent trouvé son origine dans les crayons des animateurs, qui n'hésitaient pas à recourir aux techniques les plus classiques comme le crayonné et le modelé en terre glaise, ce dernier procédé étant appliqué pour chaque personnage, avant le passage au scanner puis en 3-D. |
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Alice au pays des merveilles | Alice in Wonderland | USA | 1951 | Animation | 75 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 18/04/2004 | |
Walt Disney | les voix de, Séverine Morisot, Guy Pierault, Jacques Ciron, Gérard Hernandez, Roger Carel, Jacques B | ||||
http://www.dvdfr.com/dvd/dvd.php?id=73 | |||||
Alice qui écoute distraitement la leçon d'histoire de sa sœur se laisse aller à sa rêverie. Elle voit passer un lapin blanc qui sort une montre de son gilet. A la poursuite de l'animal Alice pénètre dans son terrier, tombe dans un puits interminable et se retrouve devant une porte minuscule. Le contenu d'un flacon la fait rapetisser mais elle grandit à nouveau en mangeant un gâteau magique. Elle se met à pleurer et manque de se noyer dans ses larmes dont les flots l'emportent dans un monde peuplé d'insolites créatures. Alice rencontre des petits animaux qui pour se sécher tournent en rond et à chaque tour une nouvelle vague les mouille aussitôt. Deux jumeaux racontent à la petite fille l'histoire des huîtres qui acceptèrent l'invitation du morse et du charpentier sans savoir qu'elles étaient elles-mêmes le dîner. Alice découvre la maison du lapin blanc et grandit à nouveau et reste prisonnière de la demeure, qu'un voisin propose de brûler afin de se débarrasser d'elle. Alice parvient à s'échapper et rencontre des fleurs chantantes, une chenille aux propos déroutants et un chat. A l'heure du thé, Alice prend une collation en compagnie d'un chapelier et d'un lièvre. Elle visite ensuite le domaine de la reine de cœur et fait la connaissance de jardiniers qui veulent peindre des roses blanches en rouge. Poursuivie par une armée de cartes à jouer, Alice se réveille et c'est ainsi que se termine son cauchemar. |
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Astérix - Le Domaine des Dieux | Astérix - Le Domaine des Dieux | France | 2014 | Animation | 86 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 24/01/2015 | |
Louis Clichy | Roger Carel (Astérix), Guillaume Briat (Obélix), Lorànt Deutsch (Anglaigus), Laurent Lafitte (Duplicatha), Alexandre Astier (Centurion Oursenplus), Alain Chabat (Sénateur Prospectus), Bernard Alane (Panoramix), Philippe Morier-Genoud (César), Elie Semoun (Cubitus), Géraldine Nakache (Dulcia), Artus de Penguern (Petiminus), Lionnel Astier (Cétautomatix), François Morel (Ordralfabétix), Florence Foresti (Bonemine), Serge Papagalli (Abraracourcix), Baptiste Lecaplain (Gladiateur), Laurent Morteau (Agecanonix), Arnaud Léonard (Assurancetourix), Joëlle Sevilla (Ielosubmarine), Brice Fournier (Falerius), Olivier Saladin (Samus), Florian Gazan (Travaillerplus), Sébastien Lalanne (Radius), Franck Pitiot (Humerus), Damien Gillard (Medius), Oscar Pauwels (Apeldjus), Benjamin Gauthier (Médecin), Sébastien Lalanne (Mosaïste), Pascal Demolon (Gladiateur 1 (Goth)), Baptiste Le Caplain (Gladiateur 2 (Numide)), Benjamin Gauthier (Romain 1), Damien Gillard (Romain 2), Virginia Anderson (Romaine 1), Pauline Moingeon (Romaine 2), Brice Fournier (Citoyen 1), Virginia Anderson (Matrone 1), Joëlle Sevilla (Matrone 2), Damien Gillard (Brute romaine 1), Brice Fournier (Brute romaine 2), Benjamin Gauthier (Le Guide). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=187191.html | |||||
Nous sommes en 50 avant Jésus-Christ ; toute la Gaule est occupée par les Romains… Toute ? Non ! Car un village peuplé d'irréductibles Gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur. Exaspéré par la situation, Jules César décide de changer de tactique : puisque ses armées sont incapables de s’imposer par la force, c’est la civilisation romaine elle-même qui saura séduire ces barbares Gaulois. Il fait donc construire à côté du village un domaine résidentiel luxueux destiné à des propriétaires romains. : « Le Domaine des Dieux ». Nos amis gaulois résisteront ils à l’appât du gain et au confort romain ? Leur village deviendra-t-il une simple attraction touristique ? Astérix et Obélix vont tout faire pour contrecarrer les plans de César. | |||||
Note de la presse : 3,7/5 Note des spectateurs : 4/5 (Pour 3 483 notes : 15% de *****, 43% de ****, 28% de ***, 9% de **, 3% de *, 2% de °) Fiche technique : Distributeur : SND Année de production : 2014 Box Office France : 2 867 406 entrées Langue : Français Colorimétrie : Couleur Type de film : Long-métrage N° de Visa : 128634 Secrets de tournage : Astérix : un succès planétaire A ce jour, la série BD compte 35 albums, traduits dans plus de 110 langues et dialectes, 355 millions d'albums ont été vendus à travers le monde. Cela représente 13 000 tonnes de BD, soit l'équivalent en poids de 13 millions de sangliers. Adaptation Astérix - Le Domaine des Dieux est l’adaptation animée de la 17ème bande dessinée des aventures du petit gaulois. C’est également l’un des albums préférés d’Alexandre Astier qui signe le scénario et la coréalisation de la neuvième adaptation en dessin animé de l’œuvre de René Goscinny et Albert Uderzo. Albert Uderzo et la 3D Si Albert Uderzo admet avoir vu quelques films américains utilisant la 3D, il avait peur que cette technologie ne fasse pas ressortir les expressions et émotions de ses héros. C’est donc avec une certaine appréhension qu’il assista aux tests. Il commente : "Après plusieurs mois de tests de modélisation informatique et d’animation, j’ai finalement été convaincu par le travail du jeune réalisateur Louis Clichy et du directeur d’animation Patrick Delage. Leur personnage d’Obélix était formidable et j’ai senti que la technologie était maintenant suffisamment au point pour faire un très grand film des aventures d’Astérix en 3D Relief." Multitâches En plus d’être réalisateur et scénariste d’Astérix - Le Domaine des Dieux, Alexandre Astier prête sa voix à Oursemplus, le centurion responsable du camp de Babaorum et constamment en conflit avec le village gaulois. Festival d’Annecy Le 13 juin 2014, Alexandre Astier et Louis Clichy étaient présents au Festival du film d’animation d’Annecy. Une poignée d’irréductibles (et chanceux) professionnels du cinéma ont ainsi pu découvrir les 11 premières minutes d’Astérix - Le Domaine des Dieux (bien que pas tout à fait terminées). Il s’agissait surtout pour le scénariste et coréalisateur et le réalisateur de présenter le début de l’histoire pour voir si le scénario fonctionnait. Un ancien Pixar Si Alexandre Astier est particulièrement célèbre pour la mini-série Kaamelott qui l’a révélé, c’est la première fois qu'il est aux commandes d’un film d’animation. En revanche, Louis Clichy est un habitué du milieu. En effet, le Français a travaillé pour le géant de l’animation Pixar et notamment sur les très réussis Wall-E et Là-haut en tant qu’animateur. Astérix, plus tendre que jamais Roger Carel prête pour la neuvième fois sa voix au petit gaulois. Il l’a vu évoluer et, même si Astérix est toujours autant râleur, l’acteur le trouve ici plus tendre, plus attachant. Il commente : "Dans ce film, je le trouve plus tendre, plus sensible, plus ému qu’il ne l’a été même dans les bandes dessinées. C’est une nouvelle facette chez lui. Devant ce garçon, sa fibre paternelle s’éveille pour la première fois." Pas de doublage Particularité de ce film d’animation : il n’y a pas de doublage. Pas de panique, ce n’est pas un film muet ! En réalité, Alexandre Astier a enregistré les voix des acteurs avant que les images ne soient animées. En effet, le scénariste et coréalisateur a travaillé par le passé pour des fictions radiophoniques, et pensait que le procédé permettrait aux comédiens de ne pas se reposer sur les images et d’apporter la personnalité, le dynamisme et l’humour des personnages uniquement grâce à leur voix. Eviter un sentimentalisme américain Louis Clichy et Alexandre Astier ont rendu les Gaulois plus cupides et moins intouchables. Clichy précise : "On a fait d'Obélix une sorte de héros à la Hercule dans le regard de l'enfant. On voulait aussi rendre Astérix un peu défaitiste, et c'était d'autant plus intéressant que c'est difficile de jouer avec ce personnage emblématique. Les Gaulois constituent certainement le groupe le plus intéressant du film, ils se laissent happer par la petite mondialisation qui s’opère devant chez eux. Après leur cupidité et leur petite lâcheté, on a voulu qu’ils aient une vraie rédemption au final, et c’est cela qui les rend vraiment empathiques et touchants." Deuxième rencontre Alexandre Astier et Alain Chabat se sont rencontrés sur le tournage de Kaamelott. L’ancien interprète de César a en effet incarné le duc d'Aquitaine dans la saison 5 des aventures du roi Arthur. Respecter les dessins d'Uderzo La volonté de Louis Clichy était de respecter au maximum les dessins d’origine d’Albert Uderzo. Si la tâche de passer de la version papier au design numérique et 3D paraît ardue, les dessins d’Uderzo avaient déjà beaucoup de matière et de relief, ce qui facilita le travail des animateurs. Il ne restait plus qu’à amener de la cinématographie et du mouvement aux personnages pour leur donner vie. 4 ans Il s’est écoulé 4 années entre l’annonce du projet par son scénariste et co-réalisateur Alexandre Astier et la sortie dans les salles obscures d’Astérix - Le Domaine des Dieux. Lieu de tournage Astérix - Le Domaine des Dieux a été réalisé dans des studios de production à Levallois-Perret (Paris). Astérix depuis 1967 Roger Carel, voix officielle d’Astérix depuis 1967, interprète à nouveau le petit gaulois aux moustaches jaunes. La voix derrière Winnie l'ourson, Kaa dans Le Livre de la jungle, Jiminy Cricket dans Pinocchio et le chat de Chester dans Alice au pays des merveilles a annoncé, à 87 ans, qu’Astérix - Le Domaine des Dieux constituerait ses adieux au personnage drôle et intrépide du Gaulois au casque ailé. Un nouveau Obélix Si Roger Carel reprend pour la neuvième fois le rôle d'Astérix, son (enveloppé) compère tailleur de menhir change d'interprète. Guillaume Briat (inoubliable Burgonde de la série Kaamelott) succède ainsi dans le rôle d'Obélix à Jacques Morel, Pierre Tornade et Jacques Frantz. Il est d'ailleurs amusant de constater que les adaptations animées des aventures gauloises connaissent des évolutions de casting inverses des adaptations live : ainsi, le Astérix "live" a régulièrement changé (Christian Clavier, Clovis Cornillac, Edouard Baer) là où le Obélix "live" est resté le même (Gérard Depardieu). C'est l'inverse en animation, avec un Astérix fidèle au poste et plusieurs Obélix. Avé Astier... ix ! Alexandre Astier incarne pour la troisième fois de sa carrière un soldat romain : il a en effet endossé l'armure (réelle ou animée, c'est selon) dans Kaamelott (dans le Livre VI, où il incarne Arturus, futur Roi Arthur), dans Astérix aux jeux olympiques (Malosinus) et dans Astérix - Le Domaine des dieux (Oursemplus). Un Gaulois devenu Romain Lorant Deutsch, qui incarne l'architecte romain Anglaigus dans Astérix - Le Domaine des Dieux, avait déjà prêté sa voix à une aventure animée des irréductibles gaulois : Astérix et les Vikings, dans lequel il incarnait le Gaulois Goudurix. Il a par ailleurs failli coiffer le casque ailé dans deux adaptations live de la BD : Astérix aux Jeux Olympiques et Astérix et Obélix : au service de sa Majesté (Clovis Cornillac et Edouard Baer lui seront préférés). Kaamelott au casting Lors de l’écriture de l’adaptation, le scénariste, Alexandre Astier avait déjà en tête les voix qui allaient accompagner ses personnages. C’est donc naturellement que l’on retrouve des acteurs qu’il connait très bien : l’équipe de choc de la série Kaamelott (et membres de sa famille) dont Lionnel Astier, Joëlle Sevilla, Serge Papagalli, Guillaume Briat ou encore Brice Fournier. On retrouve également certains guests qui avaient fait quelques apparitions dans la série comme Alain Chabat, Elie Semoun, Géraldine Nakache et François Morel. Père et fils en collaboration Lionnel Astier, père d’Alexandre Astier, double Cétautomatix. Un acteur regretté Artus de Penguern (Petiminus dans Astérix - Le Domaine des Dieux), est décédé peu de temps après l’enregistrement. Il avait 56 ans. Un éternel méchant dans les aventures d’Astérix Après avoir incarné César dans Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, Alain Chabat est venu prêter sa voix au méchant de l'histoire de Astérix - Le Domaine des Dieux, un sénateur manipulateur et comploteur, Prospectus. Références musicales D’emblée, Philippe Rombi et les réalisateurs se sont mis d’accord : hors de question de proposer une musique trop enfantine. Le compositeur se souvient : "On souhaitait une partition plus ample et, dans les rêves de gosses de Louis et d'Alexandre, on allait pouvoir se référer à John Williams, Jerry Goldsmith ou Alan Silvestri, -- autrement dit, une musique symphonique issue de l'héritage de Ravel, Tchaïkovski, Prokofiev ou encore Stravinski. Ayant souvent eu l'occasion de composer pour de grandes formations symphoniques, cela faisait aussi partie de mon univers, de certaines couleurs de ma palette, et nous n'avons pas eu de mal à nous comprendre sur la tonalité à adopter." |
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Astérix le Gaulois | Astérix le Gaulois | France | 1967 | Animation | 68 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 02/10/2016 | |
Ray Goossens | Roger Carel, Jacques Morel, Pierre Tornade, Jacques Jouanneau, Lucien Raimbourg, Pierre Trabaud | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=2246.html | |||||
Nous sommes en l'an 50 avant Jésus-Christ. Un petit mais vaillant village gaulois résiste aux Romains. Dans ce petit bourg unique, le druide Panoramix est le créateur d'une potion magique dont il fait bénéficier le petit Astérix et l'imposant Obélix. | |||||
1ère adaptation animée de " asterix " . En 50 avant Jésus Christ toute la gaule est occuper par les romains . Toute ? Non un petit village gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur grâce à la potion magique du druide panoramix qui donne aux gaulois une force surhumaine . Le gaulois Asterix et son ami obelix font partit des meilleures guerriers du village et sont toujour près a repousser l'envahisseur Romain . Un jour le centurion romain caius bonus qui dirige un camp romain se trouvant à proximité du village gaulois agacer par la situation décide d'envoyer l'un de ses hommes déguisé en gaulois pour infiltrer le village et decouvrir le secret de leur force surhumaine pour pouvoir les vaincre ... Cette première adaptation en dessin animée de la célébre bande dessiné " asterix " est fort sympathique . Ils ont décider d'adapter la bd du même nom " asterix le gaulois " . L'animation a certe viellit ( le film datant tout de même de 1967) mais contient un charme désuet assez sympathique. L'histoire est bien sympa et très fidèle à la bande dessiné celle d'un village gaulois qui va donner bien du fil à retordre aux romains qui veulent les vaincre grâce à une potion magique qui leur donne une force surhumaine ce qui va donner lieu à quelques moment assez drôle et irrésistible . Le bémol c'est que l'histoire est peu être un peu trop fidèle à la bd car on se contente juste de faire un copié coller de la bande dessiné sans chercher à innover . Ceux qui on lu la bd avant n'auront donc aucune réel surprise . Et je trouve que certaines choses fonctionne un peu moins bien dans le dessin animé que dans la bd . Malgré tout on retrouve avec grand plaisir l'esprit de la bande dessiné grâce à un humour irrésistible et des personnages toujour aussi truculent qui font de ce dessin animé un bon divertissement pour petit et grand . De plus le doublage est très bon avec nottamant les voix de Roger carel et Jaques Morel qui double à merveille les personnages d´asterix et obelix . Et la musique est bien sympa et colle bien à l'ambiance du film et à l'esprit d'astérix. Un premier essai sur grand écran plutot réussit qui pose les base de la saga animé asterix . |
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Etrange Noël De M. Jack (l') | The Nightmare Before Christmas | USA | 1994 | Animation | 75 min. |
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Disponible | 01 AVI | 14/01/2007 | ||
Henry Selick, scénario Tim Burton | les voix de Olivier Constantin (Jack Skellington), Dorothée Jemma (Sally), Bernard Tiphaine (Dr. Fikleystein), Daniel Beretta (le Maire) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=27633.html | |||||
C'est l'histoire de Jack Skellington, un épouvantail aux allures de squelette vivant dans la petite ville d'Halloween. Il est le Roi des Citrouilles et son devoir est d'organiser, chaque année, la célèbre fête portant le même nom que la ville dans laquelle il vit. Mais il finit par se lasser de cette vie monotone et répétitive... jusqu'à ce qu'un jour, par hasard, il découvre le Village de Noël ! Jack va alors se lancer dans une bien étrange aventure... | |||||
Fiche technique : Budget : 18 000 000 $ Film pour enfants Couleur Format du son : Dolby numérique Format de projection : 1. 66 Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Mélange avoué de Marlene Dietrich et de Lisa Marie, à l'époque égérie de Tim Burton, Sally a été doublée par la chanteuse Nina Hagen dans la version germanophone de L'Etrange Noël de M. Jack. |
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Garfield Le Film | Garfield | USA | 2003 | Animation | 80 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 19/09/2004 | |
Peter Hewitt | Eve Brent, Breckin Meyer, Jennifer Love Hewitt, Stephen Tobolowsky, Evan Arnold, Mark Christopher Lawrence, Michael Monks, Vanessa Christelle, , | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=51612.html | |||||
Les aventures de Garfield, le chat le plus paresseux de la Terre et de Jon, son maître simplet mais sympathique. Le matou sarcastique va devoir apprendre à partager sa vie bien tranquille avec un nouveau colocataire, le chien fou Odie. D'abord excédé, il se révèlera par la suite responsable et héroïque. | |||||
Le chat délicieusement rosse de la BD devient ici, horreur, un héros gentil comme tout, fil " roux " d'une molle intrigue sous-dysnéenne, peuplée d'humains fantomatiques et d'animaux pas plus malins. |
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Ghost in the shell | Ghost in the shell | Japon | 1995 | Animation | 82 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 18/04/2004 | |
Mamoru Oshii | pas d'acteurs | ||||
http://www.dvdfr.com/dvd/dvd.php?id=2372 | |||||
La section 9 est une unité hautement professionnelle, impliquée dans les affaires d'espionnage les plus sales. Kusanagi n'est pas un agent comme les autres. Son corps cybernétique lui donne une force surpuissante et des arc-réflexes encore plus rapides. Une mystérieuse cyber-pirate pénètre les réseaux les mieux protégés. Elle est recherchée pour terrorisme, manipulation de la bourse et détournement de données. Kusanagi suspecte le ministère des affaires étrangères et surtout un programme top secret : le projet 2501. Mais alors qu'elle enquête, Kusanagi expérimente des sentiments étranges sur sa propre humanité... |
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Jack et la mécanique du cœur | Jack et la mécanique du cœur | France | 2013 | Animation | 90 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 15/02/2016 | |
Mathias Malzieu, Stéphane Berla plus | |||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=134061.html | |||||
Édimbourg 1874. Jack naît le jour le plus froid du monde et son cœur en reste gelé. Le Docteur Madeleine le sauve en remplaçant son cœur défectueux par une horloge mécanique. Il survivra avec ce bricolage magique à condition de respecter 3 lois: premièrement ne pas toucher à ses aiguilles, deuxièmement maîtriser sa colère et surtout ne jamais Ô grand jamais, tomber amoureux. Sa rencontre avec Miss Acacia, une petite chanteuse de rue, va précipiter la cadence de ses aiguilles. Prêt à tout pour la retrouver, Jack se lance tel un Don Quichotte dans une quête amoureuse qui le mènera des lochs écossais, à Paris jusqu'aux portes de l'Andalousie. | |||||
Si le film s’avère si réussi, ce n’est pas seulement grâce à son scénario et à sa partition : il bénéficie d’une animation incroyablement inventive, qui mixe intelligemment les genres. Tantôt pleine de poésie, à la façon des grands classiques comme « le Roi et l’Oiseau », tantôt proche du manga, elle offre des plages audacieuses de scènes en grand large qui s’animent en pop-up à la façon d’un livre pour enfants, tout en sachant s’arrêter sur un détail plein écran comme une larme ou un sourire. Un charme graphique qui opérera tant sur les adultes que sur les enfants. |
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Merlin l'enchanteur | The Sword in the Stone | USA | 1963 | Animation | 76 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 18/04/2004 | |
Wolfgang Reitherman | Pasquali, Jean-Dominique Maurin, Hieronimus | ||||
http://www.dvdfr.com/dvd/dvd.php?id=951 | |||||
Depuis longtemps, l'Angleterre est plongée dans la guerre, la violence et l'obscurantisme. Au centre de Londres, une épée magique, scellée dans une enclume, attend qu'un être d'exception vienne la retirer : il apportera à son pays la paix, la justice et l'harmonie. A quelques lieues de là, le jeune Arthur, dit " le moustique ", un orphelin d'humble origine, travaille dans les cuisines du Sire Hector. Au cours d'une partie de chasse avec Kay, le fils de son maître, il échoue dans la cabane de Merlin l'enchanteur. Avec son fidèle compagnon Archimède le hibou, le mage décide de raccompagner Arthur et d'entreprendre son éducation. Sur ces entrefaites, on annonce un tournoi à Londres, dont le vainqueur sera sacré roi d'Angleterre. Dès lors, Arthur passe le plus clair de son temps à préparer Kay à l'épreuve. A ses moments perdus, il suit l'enseignement de Merlin qui le transforme en divers animaux. Poisson, Arthur apprend à nager et à échapper aux mâchoires carnassières du brochet. Ecureuil, il doit repousser les avances d'une demoiselle de sa race. Oiseau, il est poursuivi par un épervier et tombe dans la cheminée de la sorcière Madame Mim. Merlin vient à la rescousse de son pupille et se livre à un éblouissant duel de magie avec Madame Mim. Lorsque celle-ci se change en dragon, Merlin réussit à la vaincre en pénétrant son organisme sous la forme d'un microbe pernicieux. Le jour du tournoi, Arthur accompagne Kay à Londres en qualité d'écuyer. Ayant oublié l'épée de son maître, il s'empare sans effort de celle fichée dans l'enclume. Devant l'incrédulité générale, il renouvelle l'exploit. Ses compatriotes reconnaissent alors en lui le bon roi qu'ils appelaient de leurs voeux. |
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Monstres & cie | Monsters, Inc. | USA | 2001 | Animation | 92 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 18/04/2004 | |
Pete Docter | les voix de, Billy Crystal, John Goodman, James Coburn, Jennifer Tilly, Frank Oz, Steve Buscemi | ||||
http://www.dvdfr.com/dvd/dvd.php?id=5948 | |||||
Géant velu, Sulli est une « terreur d’élite ». Assisté de son ami Bob, globe oculaire monté sur pattes, il effraie les enfants en sortant des placards. Chaque nuit, des monstres de toutes sortes font de même, recueillant les hurlements indispensables au fonctionnement de Monstropolis. Mais voilà, en dépit de leurs cornes, griffes ou crocs, les employés de « Monstres & Cie » ont tous terriblement peur d’approcher les « dangereux » gamins, ce qui leur vaudrait une spectaculaire décontamination. Pour rendre service à Bob, sorti avec la belle Célia, Sulli retourne à « l’effrayodrome » pour récupérer les dossiers que Germaine, revêche limace, forcenée de la bureaucratie, a réclamé à son collègue. Il y trouve une petite fille surgie d’une porte qui n’a pas été désactivée. N’arrivant pas à se débarrasser d’elle, Sulli l’emmène dans le restaurant où Bob mange avec Célia. Bob et Sulli laissent le quartier sens dessus dessous, fuyant les décontaminateurs qui se sont déjà chargés de Célia. Alors que Bob se méfie de l’intruse, à qui il ne veut pas donner de nom de peur de s’attacher, Sulli la baptise « Bouh ». Une fois Bouh déguisée en monstre pour passer inaperçue dans l’entreprise, ils cherchent la porte qui leur permettra de la renvoyer chez elle. Inconsciente du chaos qu’elle engendre et des inquiétudes qu’elle suscite, Bouh échappe à la surveillance de ses protecteurs… Responsable de la présence de Bouh, Léon, un fourbe caméléon, kidnappe Bob à la place de l’enfant pour tester son « arracheur de cris » et « révolutionner l’industrie de l’effroi ». Libéré par Sulli de cette machine diabolique, Bob dénonce les agissements de Léon à Waternousse, paternaliste patron qui n’est autre que le commanditaire. Une fois de retour du Tibet, où ils ont été bannis, Bob et Sulli passent de porte en porte, récupèrent Bouh et éliminent Léon. Waternousse ayant avoué qu’il était prêt à enlever des milliers d’enfants pour sauver sa société, Germaine révèle alors sa mission : démasquer le cerveau du complot. Une fois Bouh reconduite dans sa chambre, Germaine, au grand désespoir de Bob, détruit sa porte. Bob vit enfin le parfait amour avec Célia et les monstres récoltent dix fois plus d’énergie depuis qu’ils font rire les enfants. Mais Sulli est morose. Heureusement, Bob reconstitue la porte qui lui permettra de revoir Bouh… |
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Le tandem "Disney/Pixar" prouve qu’il est encore capable de surprendre. MONSTRES & CIE, peut-être pas aussi drôle que ses précédentes productions, 1001 PATTES ou TOY STORY 2, est néanmoins enlevé et esthétiquement épatant. L’originalité et la diversité de Sulli et ses amis sont réjouissantes à souhait. |
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Pinocchio | Pinocchio | USA | 1940 | Animation | 87 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 18/04/2004 | |
Walt Disney | Marc Lesserre, Roger Carel, Teddy Bilis | ||||
Geppeto, un vieil artisan, sculpte le bois et fabrique des jouets. Il partage sa solitude avec Figaro le chat et Cléo le poisson rouge. Son rêve est d'avoir un fils. Aussi, il imagine de créer une marionnette à l'image d'un garçonnet. Satisfait de son œuvre qu'il baptise Pinocchio, il organise une fête. À la nuit tombée, la fée bleue visite la maison de Geppeto et d'un coup de baguette magique elle insuffle la vie à la marionnette et lui procure une conscience morale : Jiminy le criquet. Geppeto, heureux, envoie Pinocchio à l'école. En route le garçon se fait intercepter par deux escrocs, Grand coquin le renard et Gédéon le chat, qui s'empressent de vendre Pinocchio à Stromboli, le montreur de marionnettes. Il faut toute l'astuce de Jiminy et l'intervention de la fée bleue pour sortir l'enfant de ce mauvais pas. La liberté reconquise, Pinocchio se fait ramasser une fois de plus par les deux horribles ravisseurs qui l'acheminent avec d'autres garçons vers un parc d'attraction dans l'île enchantée. Les enfants après avoir été drogués sont transformés en ânes. Jiminy s'aperçoit de la supercherie et sauve son protégé. Geppeto, fou d'inquiétude, s'en est allé sur mer à la recherche de l'enfant. Voyage au terme duquel Monstro, une baleine, avale Geppeto, Figaro et Cléo. Pinocchio va au secours de ses amis en construisant un radeau. Il allume un feu qui oblige la baleine à éternuer. Les prisonniers sont ainsi éjectés et libérés. La fée bleue confirme le statut d'être humain de Pinocchio. Geppeto a un fils. |
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Belle et le clochard 2 (la) - l'appel de la rue | Lady and the Tramp II: Scamp's Adventure | USA | 2000 | Animation | 66 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 18/04/2004 | |
Darrell Rooney | Avec les voix de Emmanuel Garijo, Emmanuel Dahl, Ludivine Sagnier, Veronica Antico, Jacques Frantz | ||||
http://www.dvdfr.com/dvd/dvd.php?id=2669 | |||||
Quelques mois se sont écoulés depuis que Lady a donné naissance à quatre chiots : trois d'entre eux - Prudence, Constance et Clémence - ressemblent à s'y méprendre à leur maman, tandis que le garçon, Scamp, a déjà l'esprit rebelle etl'apparence physique de son père. Tous vivent heureux et paisibles dans la maison de la famille Darling. Tous, non... Car Scamp est visiblement en pleine crise d'adolescence, se montrant rétif au port du collier et à toutes sortes de règles de vie civilisée. Il veut être libre, saccager les objets qui tombent sous ses dents et sauter dans les mares boueuses, sans avoir à subir ensuite ces horribles bains. Ses jeux avec Junior, le fils du couple Darling, transforment régulièrement la maison en un vrai champ de bataille. Si bien qu'un jour, en guise de punition, il se retrouve enchaîné à la niche, au fond du jardin. |
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Final Fantasy, Les Créatures De L'Esprit | Final Fantasy, The Spirits Within | Japon | 2001 | Animation | 106 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 13/01/2007 | |
Hironobu Sakaguchi, Monotori Sakakibara | les voix originales de Ming-Na Wen (Aki Ross), Alec Baldwin (Gray Edwards), Donald Sutherland (le docteur Sid), James Woods (le général Hein) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=26885.html | |||||
En 2065, la plus grande confusion règne sur notre planète. Seuls les plus résistants des humains vivent encore dans un univers de désolation dominé par l'ennemi absolu : de mystérieux fantômes qui se nourrissent en extrayant l'énergie de toute forme de vie terrestre. Le futur de notre espèce repose sur le courage et la volonté de quelques-uns. Déjouant les complots, évitant les pièges, ils doivent reconquérir la Terre en usant de toutes les magies. Deux clans s'opposent sur la manière la plus efficace d'éliminer les spectres : les premiers, commandés par un général belliqueux, souhaitent utiliser une arme de destruction totale ; les autres, conduits par le docteur Aki Ross, s'engagent dans une voie difficile : la reconstitution d'un rythme spirituel qui devrait chasser les fantômes et protéger les êtres vivants. L'aventure est risquée, mais ils n'ont plus rien à perdre. |
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Fiche technique : Budget : 137 millions de $ Couleur Format du son : SDDS Format de projection : 1.85 : 1 Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Entièrement conçu sur ordinateur et tourné en images de synthèse, Final Fantasy atteint un incroyable degré de réalisme. Réalisée par Hironobu Sakaguchi, cette aventure de science-fiction est inspirée de la célèbre série de jeux vidéos. L'animation des personnages est supervisée par Andy Jones, qui a précédemment travaillé sur les images digitales de Godzilla et Titanic. |
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Gang de requins | Sharktale | USA | 2004 | Animation | 91 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 07/05/2005 | |
Eric Bergeron | Robert De Niro , Will Smith , Renée Zellweger , Jack Black , Angelina Jolie , Martin Scorsese , Virginie Ledoyen , Patrick Timsit | ||||
http://cinema.tiscali.fr/fichefilm.aspx?id=FI015364&file=http | |||||
Quelque part au fond des océans, de nos jours. Oscar, jeune poisson branché et beau parleur, travaille comme employé dans un « Whale-Wash », garage à récurer les baleines. Lassé de son quotidien, Oscar rêve de grandeur et d'argent. De son côté, Lenny est un requin timide et inoffensif. Son père, Lino, redoutable prédateur et vrai parrain des mers, se désole du comportement de son fils cadet et demande à son frère aîné, Frankie, de lui montrer le chemin. Les deux frangins partent en chasse pour que Lenny fasse ses preuves. Leur proie : Oscar, qui passe sur leur chemin. Mais quand Frankie est accidentellement tué, Oscar, avec la complicité de Lenny, endosse la responsabilité de sa mort. Il devient la star des océans, le tueur de requins. Lino, lui, prépare sa vengeance... | |||||
20 000 LIEUES SOUS NEMO On le sait, les studios d'animation Dreamworks et Pixar se livrent une terrible bataille. Les uns sortent FOURMIZ , les autres répliquent avec 1001 PATTES. La bande à John Lasseter nous livre LE MONDE DE NEMO, les équipes de Jeffrey Katzenberg produisent GANG DE REQUINS. Un an après le jubilatoire film d'animation Pixar, nous revoilà donc plongés en plein océan. Mais cette fois, la baignade est beaucoup plus dispensable. Bien sûr, la recette Dreamworks, déjà rôdée dans la saga SHREK, fonctionne et réserve quelques séquences rigolotes (le « whale wash »), des clins d'oeil bien vus (les méduses rastas) et des tonnes de références cinématographiques particulièrement à propos (LE PARRAIN, LES DENTS DE LA MER...) Rien à dire non plus sur le casting voix original : Will Smith, Robert de Niro, Jack Black ou Martin Scorsese rendent l'intrigue vivante et sympa. Malgré tout, GANG DE REQUINS n'a ni le rythme, ni le relief, ni la force comique du MONDE DE NEMO. Techniquement aussi, le film est un ton en dessous, avec ses couleurs trop criardes et des décors souvent dépouillés. Et puis la pénible bande son R'n'B et l'univers « branchouille » très toc finissent de nous agacer. Pas difficile, dans ces conditions, de choisir son camp. Mcinema.com (Hugo de Saint Phalle) |
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Age De Glace 2 (l') | Ice Age 2 : The Meltdown | USA | 2005 | Animation | 86 min. |
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Disponible | 01 AVI | 13/01/2007 | ||
Carlos Saldanha | les voix de Gérard Lanvin (Manny), Elie Semoun (Sid), Vincent Cassel (Diego), Christophe Dechavanne (Crash) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=60180.html | |||||
Pour Manny le mammouth, Sid le paresseux et Diego le tigre à dents de sabre, la vie est beaucoup plus douce depuis que les glaces fondent et que la température remonte. Mais les problèmes ne sont pas terminés pour autant !Manny rêve de fonder une famille, mais la toute dernière femelle de son espèce, Ellie, se prend pour un opossum... Plus grave encore, un immense barrage de glace qui retient l'océan est sur le point de se rompre sous l'effet du réchauffement et menace d'engloutir leur petit coin de paradis. Leur seule chance de survie se trouve à l'autre bout de la vallée...Voilà nos trois héros, accompagnés d'Ellie et de ses deux insupportables frères, Crash et Eddie - de vrais opossums, eux ! - lancés dans un périlleux voyage vers la vie... | |||||
Fiche technique : Budget : $80 000 000 Box Office France : 6 547 844 entrées N° de visa : 114922 Couleur Format du son : Dolby SR + Dolby SR-DTS & SDDS Format de projection : 1.85 : 1 Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Chris Wedge, réalisateur de L'Age de glace, passe le flambeau à Carlos Saldanha pour diriger ce nouvel opus. Celui-ci avait travaillé avec Wedge sur le premier épisode, ainsi que sur Robots, où il occupait le poste de co-réalisateur. |
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Monde De Nemo (le) | Finding Nemo | USA | 2003 | Animation | 101 min. |
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Disponible | 01 AVI | 14/01/2007 | ||
Andrew Stanton, Lee Unkrich | les voix de Samy Naceri (Crush la tortue verte), David Ginola (Jacques la crevette), Kevin Sommier (Nemo le poisson-clown), Edmond van Duren (Dory le poisson chirurgien bleu) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=29057.html | |||||
Dans les eaux tropicales de la Grande Barrière de corail, un poisson-clown du nom de Marin mène une existence paisible avec son fils unique, Nemo. Redoutant l'océan et ses risques imprévisibles, il fait de son mieux pour protéger son fils. Comme tous les petits poissons de son âge, celui-ci rêve pourtant d'explorer les mystérieux récifs. Lorsque Nemo disparaît, Marin devient malgré lui le héros d'une quête unique et palpitante. Le pauvre papa ignore que son rejeton à écailles a été emmené jusque dans l'aquarium d'un dentiste. Marin ne s'engagera pas seul dans l'aventure : la jolie Dory, un poisson-chirurgien bleu à la mémoire défaillante et au grand coeur, va se révéler d'une aide précieuse. Les deux poissons vont affronter d'innombrables dangers, mais l'optimisme de Dory va pousser Marin à surmonter toutes ses peurs. |
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Fiche technique : Budget : 94 000 000 $ Box Office France : 9 387 283 entrées Box Office Paris : 1 445 253 entrées Box Office USA : 339 714 978 $ N° de visa : 107961 Couleur Format du son : Dolby SR + Dolby SR-DTS & SDDS Format de projection : 1.85 : 1 Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Sorti sur les écrans américains le 1er juin 2003, Le Monde de Nemo a engrangé plus de 70 millions de dollars de recettes dès son premier week-end d'exploitation et fait tomber quelques semaines plus tard, un record vieux de presque dix ans et détenu par Le Roi lion, devenant avec plus de 330 millions de dollars le plus grand succès de tous les temps pour un film d'animation. |
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Team America Police Du Monde | Team America : World Police | USA | 2004 | Animation | 97 min. |
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Disponible | 01 AVI | 14/01/2007 | ||
Trey Parker, Matt Stone | les voix originales de Dian Bachar (voix off), Alec Baldwin (lui-même), Paul Louis (les habitants du Middle East) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=57826.html | |||||
Team America est une unité d'élite qui se bat sous toutes les latitudes pour assurer notre sécurité. Apprenant qu'un dictateur mégalo s'apprête à livrer des armes de destruction massive à une organisation terroriste, le groupe se lance une fois de plus dans la bataille... | |||||
Fiche technique : N° de visa : 111754 Couleur Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Team America : world police est issu de l'imagination débridée de Trey Parker et Matt Stone, plus connus pour avoir donné naissance à la série d'animation culte South Park et au film qui en fut dérivé en 1999, South Park, le film. |
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9 vies de Fritz le chat (les) | The Nine Lives of Fritz the Cat | USA | 1974 | Animation | 76 min. |
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Disponible | 02 Anglais | 01 AVI | 21/03/2017 | |
Robert Taylor | Skip Hinnant, Reva Rose | ||||
https://en.wikipedia.org/wiki/The_Nine_Lives_of_Fritz_the_Cat | |||||
It is the 1970s; Fritz the Cat is now married, on welfare, and has a child named Ralphie, who casually masturbates. As his wife screams at him for being an irresponsible father and husband, Fritz sits on the couch, staring off into space, smoking a joint. Tired of listening to his wife nag at him, he fades off into his own little world, imagining what life would be like for him if things were different | |||||
Astérix chez les Bretons | Astérix chez les Bretons | France | 1986 | Animation | 79 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 02/10/2016 | |
Pino van Lamsweerde | Roger Carel, Pierre Tornade, Serge Sauvion, Pierre Mondy, Nicolas Silberg, Henri Labussière, Roger Lumont | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=2373.html | |||||
Les Romains ont volé un peu de la célèbre potion magique de Panoramix. Astérix et Obélix vont tout faire pour récupérer ce bien précieux. | |||||
5ème adaptation animée de Asterix . Jules Cesar a décidé de conquérir la Grande Bretagne . Mais il se retrouve confronter à un petit village de coriace bretons qui lutte contre l'envahisseur . les romains sont sur le point de gagner et de soumettre les bretons . Jolitorax l'un des habitants du village décide alors de partir en gaule demander de l'aide à Asterix son cousin germain . Asterix et obelix décide de partir pour la Grande Bretagne avec un tonneau de potion magique pour aider jolitorax et les bretons à lutter contre l'envahisseur romain . Leur périple jusqu'en Grande Bretagne va leur réserver bien des mésaventures ... Cette 5ème adaptation en dessin animée de la célébre bande dessinée " asterix " est bien sympa . Ils ont décidé d'adapter la bd " Asterix chez les bretons " . Le film est très fidèle à la bd . On trouve meme quelques ajouts sympathique qui ne figurait pas dans la bd. Pour cette nouvelle aventure Asterix et obelix vont partir en Grande Bretagne pour aider un breton nommer jolitorax et son village à lutter contre l'envahisseur romain ce qui va les embarquer dans quelques péripéties hilarantes . L'humour est bien présent pour notre plus grand plaisir avec quelques gags hilarants. L'animation est correct . Le doublage est une fois de plus réussit avec les voix de Roger carel et Pierre tornade qui double à merveille les personnages d'astérix et obelix . La musique est bien sympa et colle très bien à l'ambiance du film . Un bon divertissement pour petits et grands . |
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Astérix et Cléopâtre | Astérix et Cléopâtre | France | 1968 | Animation | 72 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 02/10/2016 | |
René Goscinny, Albert Uderzo | Roger Carel, Jacques Morel, Jacques Balutin, Micheline Dax, Henri Labussière, Bernard Lavalette, Serge Sauvion, Pierre Trabaud | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=106.html | |||||
Cléopâtre ne peut pas supporter les remarques désobligeantes de Jules César : depuis les pyramides, a remarqué l'empereur romain, plus aucune construction majeure n'a vu le jour sur le sol égyptien. L'architecte de la reine, Numérobis, a donc trois mois pour bâtir le plus beau des palais. En plus du peu de temps qui lui est accordé, il doit faire face aux attaques des Romains. Il décide donc de faire appel à son vieil ami Panoramix et à sa potion magique. C'est aussi l'occasion pour Astérix et Obélix de venir donner un coup de main... | |||||
2ème adaptation animée de " asterix " . En Égypte la reine cleopatre a fait le pari avec Jules césar que son peuple égyptien serait capable de construire un palais gigantesque en seulement 3 mois . Pour gagner son pari cleopatre fait appelle à l'architecte numérobis . Ce dernier décide de demander de l'aide aux irréductibles gaulois . Il espère que la potion magique de panoramix , la ruse d'Asterix et la force de obelix l'aideront a acomplir sa tâche . Les 3 gaulois se rendent en Égypte pour tenter de construire le palais a tant . Mais les romains de Jules cesar ainsi que amonbofis un architecte concurent qui est jaloux que numérobis est été choisi par cleopatre pour construite le palais vont leur mettre bien des bâtons dans les roues pour empêcher la construction du palais ... Cette deuxième adaptation en déssin animée de la célébre bande dessinée " asterix " est réussit . Albert Uderzo et René coscinny les créateur de la bd Asterix ont décidé d'adapter sur grand écran la bd " Asterix et cleopatre " . Un très bon choix vu qu'il s'agit d'une des meilleures bd . Le dessin animée est très fidèle à la bd . De plus le film réussit a se démarquer de la bd grâce à des ajouts sympathique qui ne figurait pas dans la bd et a quelques numéros musicaux assez sympathique . On retrouve avec grand plaisir l'esprit de la bd grâce nottamant a sont lot d'humour et de personnages hilarants . L'animation est réussit et même si elle a viellit ( le film date quand même de 1968 ) elle garde un charme désuet très sympathique . Le doublage est encore une fois tres réussit grâce notamment aux voix de Roger carel , jaques Morel ou encore Micheline Dax qui donne superbement vie aux personnages de Asterix , obelix et cleopatre . La musique est très sympa et colle tres bien a l'ambiance du film et a l'esprit d'Asterix . Un bon divertissement pour petit et grands . |
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Astérix et la surprise de César | Astérix et la surprise de César | France | 1985 | Animation | 121 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 02/10/2016 | |
Paul Brizzi, Gaëttan Brizzi | Roger Carel, Serge Sauvion, Henri Labussière, Roger Lumont, Michel Barbey, Séverine Morisot, Patrick Prejean, Jean-Pierre Darras | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=1079.html | |||||
Lorsque Falbala et Tragicomix sont kidnappés, celui qui leur a porté atteinte n'imagine pas qu'il vient de réveiller la colère du petit village gaulois. D'autant qu'Obélix est amoureux de Falbala... | |||||
Quatrième adaptation animée de " asterix " . Asterix et obelix se lance dans une folle aventure pour retrouver falbala et son amour tragicomix deux gaulois du village qui ont été enlever par les romains pour être offert en cadeau a césar a Rome ... Cette 4ème adaptation en dessin animée de la célébre bande dessinée " asterix " est bien sympa . Le film est l'adaptation de deux bandes dessinées à savoir " asterix légionnaire " et " asterix gladiateur " . L'histoire est donc un bon mix des deux albums . Le dessin animé est bien fidèle à la bd " Asterix légionnaire " . Un peu moin fidèle à la bd " asterix gladiateur " même si il reprend quelques passages de la bd . Mais bon ce mix des deux albums donne une bonne histoire à la fois trépidante et drole. L'histoire est bien sympa avec Asterix et obelix qui vont se lancer dans une folle aventure pour tenter de retrouver falbala et tragicomix enlever par les romains . Va commencer alors pour eux une série de mésaventures hilarantes et trépidante . L'humour est bien présent grâce à quelques passages assez drole ( Asterix et obelix engager dans la légion romaine ... ) et repliques hilarantes ( Asterix je peut être aimable avec lui ? ) . Il y a aussi une bonne dose d'aventure et d'action ( la course de char ... ) . Tout les ingrédients pour passer un bon moment donc pas le temps de s'ennuyer . On voyage avec plaisir avec Asterix et obelix entre les déserts d'Afrique et les arène de rome . L'animation est réussit . Le doublage est encore une fois très réussit avec les voix de roger carel et Pierre tornade qui double à merveille les personnages d'astérix et obelix . Sans oublier la musique très sympa avec nottament la chanson " Asterix est la " de plastic Bertrand qui colle bien a l'ambiance du film . Un bon divertissement pour petit et grand. |
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Astérix et le coup du menhir | Astérix et le coup du menhir | France | 1989 | Animation | 81 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 02/10/2016 | |
Philippe Grimond | Roger Carel, Pierre Tornade, Henri Labussière, Marie-Anne Chazel, Julien Guiomar, Henri Poirier, Roger Lumont, Patrick Prejean | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=5014.html | |||||
Lorsqu'Obélix percute le pauvre Panoramix avec un menhir, le druide s'évanouit et, au réveil, devient incapable de retrouver la formule de sa potion magique. Astérix et son fidèle compagnon vont alors devoir s'employer pour déjouer les tours des Romains et d'un étrange devin... | |||||
6e adaptation animée de asterix . Après avoir reçu accidentellement un menhir sur la tête le druide panoramix a perdu la raison et est incapable de préparer la potion magique . Asterix et obelix tenteront de trouver une solution au problème et seront confronter à un devin qui profite de la naïveté des gens du village pour les escroquer ... Cette 6e adaptation en dessin animée de la célèbre bd asterix est très sympa . Pour cette nouvelle adaptation ils ont décider d'adapter deux bd a savoir " le combat des chefs " et " le devin " . Le film est très fidèle a l'album " le devin " , un peu moins fidèle à l'album " le combat des chefs " même si ils reprends quelques bons passage de la bd . Mais bon ce mix des deux albums forment une histoire très sympa . Asterix et obelix vont devoir trouver une solution pour aider le druide qui a totalement perdu la raison et qui est incapable de préparer la potion magique et parallèlement ils vont être confronter à un devin sans scrupule qui escroque les gens du village ce qui va les embarquer dans de nouvelles mésaventures hilarantes . L'humour est bien présent avec son lot de gag cocasse et de répliques hilarantes . L'animation est très réussie . Le doublage est encore une fois niquel avec Roger carel et Pierre tornade toujour parfait pour doubler les personnages d'Asterix et obelix .sans oublier Marie Anne Chazel qui double a merveille bonemine la femme du chef abraracourcix . La musique est bien sympa et colle bien à l'ambiance du film . Un bon divertissement. |
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Astérix et les Indiens | Astérix et les Indiens | France | 1994 | Animation | 85 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 02/10/2016 | |
Gerhard Hahn | Yves Pignot, Roger Carel, Pierre Tornade, Craig Charles, Howard Lew Lewis, Henry McGee, Geoffrey Bayldon, Christopher Biggins | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=12011.html | |||||
Jules César, excédé d'être humilié par les irréductibles Gaulois, décide de faire enlever Panoramix. Les romains l'emmènent au bout du monde afin qu'il tombe dans le vide, or en le catapultant, le druide attérit en Amérique et est recueilli par une tribu d'indiens. Astérix et Obélix, ayant assisté à l'enlèvement de leur ami, ont suivi la galère des ravisseurs et débarquent eux aussi sur ces terres mystérieuses, dont personne ne soupçonnait l'existence. | |||||
7e adaptation animée de Asterix . En 50 avant Jésus Christ toute la gaule est occuper par les romains . Toute ? Non car un petit village gaulois continue de résister à l'envahisseur grâce à la potion magique du druide panoramix qui leur donne une force surhumaine . Jules césar exaspérer par la situation décide de faire kidnapper le druide pour l'emmener au bout du monde . Asterix et obelix vont alors tenter de le ramener mais Ils vont échouer aux Amériques ou ils vont vivre quelques péripéties hilarantes ... Cette 7e adaptation en dessin animée de la bd asterix est pas mal et assez sympathique . Le film est l'adaptation de la bd " la grande traversée " . Le film est assez fidèle à la bd dans l'ensemble même si sa diffère sur la fin mais sa donne lieu à un scénario assez sympathique à la fois drole et trépidant . Asterix et obelix vont se lancer à la poursuite d'une galère romaine qui a kidnapper le druide . Mais ils vont échoué bien malgré eux aux Amériques ou ils vont vivre quelques péripéties hilarantes quand ils vont être confronter à une tribu indienne . Le film contient pour notre plus grand plaisir son lot de gag sympathique et de repliques amusantes . L'animation est assez réussie . Ce changement de décor aux Amérique est bien sympa et assez dépaysant grâce à des dessins assez soigné qui nous montre les vastes étendues américaines . Le doublage est une nouvelle fois niquel grâce aux voix de Roger carel et Pierre tornade qui double toujour à merveille les personnages d'Asterix et obelix . Le film contient quelques numéros musicaux assez sympathique qui devrait plaire au jeune public . Un bon petit divertissement pour petits et grands. |
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Astérix et les Vikings | Astérix et les Vikings | France | 2006 | Animation | 78 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 02/10/2016 | |
Stefan Fjeldmark, Jesper Møller | Roger Carel, Jacques Frantz, Lorànt Deutsch, Sara Forestier, Pierre Palmade, Pierre Tchernia, Bernard Alane, Marc Alfos | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=54220.html | |||||
C'est l'événement ! Le petit village gaulois accueille Goudurix, le neveu du chef, et Astérix et Obélix sont chargés d'en faire un homme, un vrai. Sous ses airs arrogants, cet ado qui arrive de Lutèce n'est qu'un gros froussard et l'entraînement de choc qu'il va subir risque de ne pas y changer grand-chose...Au même moment, les Vikings débarquent en Gaule, décidés à trouver un "champion de la peur" qui pourra, comme l'a promis leur mage, leur apprendre à voler, puisque, selon lui, "la peur donne des ailes"...Lorsque Goudurix est enlevé par les Vikings, c'est la catastrophe ! Astérix et Obélix doivent tout faire pour le retrouver. Pendant qu'ils se lancent à sa recherche jusque dans le Grand Nord, leur jeune protégé, embarqué malgré lui dans un infâme complot, va découvrir la belleet intrépide Abba et s'apercevoir que l'amour fait parfois l'effet d'un coup de poing...D'après l'oeuvre de René Goscinny et Albert Uderzo. Droits d'adaptation : les Editions Albert René. | |||||
Trempez l'album d'Astérix et les Normands dans une potion numérique, vous verrez apparaître une colombe voyageuse baptisée SMS, un Viking bas du casque sosie de Schwarzenegger, une donzelle sans cervelle pseudo-féministe, une boîte de nuit où l'on se déhanche sur du funk et du rap... Innovations inutiles qui ne perturbent pas les deux héros de la célèbre BD de Goscinny et d'Uderzo, dont les gauloiseries d'usage restent fidèles à leur réputation. En résumé : quand ils sont là, on s'amuse, quand ils s'éclipsent, on se crispe |
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Douze Travaux d'Asterix (les) | Douze Travaux d'Asterix (les) | France | 1976 | Animation | 82 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 02/10/2016 | |
René Goscinny, Albert Uderzo plus | Roger Carel, Jacques Morel, Pierre Tornade, Henri Labussière Micheline Dax Jean Martinelli | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=4365.html | |||||
L'Empereur César ne supporte plus que le petit village gaulois résiste encore et toujours. Il propose alors un défi à Astérix, Obélix et tous leurs amis : s'ils remportent les douze épreuves qu'il leur soumet, il ne les attaquera plus. | |||||
Troisième adaptation animée de " asterix ". L'histoire se déroule en 50 avant Jésus Christ . Toute la gaule est occuper par les romains . Toute ? Non un petit village peupler d'irréductible gaulois résiste encore et toujour a l'envahisseur grâce a la potion magique du druide panoramix qui donnent aux gaulois une force surhumaine . Jules césar commence a être vraiment exaspéré de la situation . Dans son entourage certains pensent que ses gaulois sont des dieux et qu'il est impossible de les vaincres . Jules césar qui ne croit pas du tout que ses gaulois sont des dieux propose alors aux gaulois de participer a 12 épreuves que seuls les dieux pourrait réussir . Si ils réussissent les épreuves Jules césar reconnaîtra que c'est des dieux et se soumettra a eux . Si ils échouent ils devront se soumettre a césar . Les gaulois asterix et obélix se lance alors dans l'aventure pour tenter de remporter les 12 travaux imposer par césar ... " les 12 travaux d'asterix " est l'une des meilleures adaptations en dessin animée de la célébre bd " asterix " . Cette 3ème adaptation en dessin animée d'astérix est très réussit . Ils ont eu la très bonne idée de ne pas adapter une bande dessinée mais d'écrire une histoire totalement originale pour le film . Et ce que l'on peut dire c'est que c'est très réussit .on a pas de déception de voir une de nos bande dessinée préférer être mal adapter a l'écran . Non on se laisse embarquer dans une histoire totalement originale et inventif dont on ne connaît rien a l'intrigue et qui nous réserve bien des surprises . L'animation est très réussit . L'histoire est très prenante . L'humour est très présent avec des répliques hilarantes et quelques séquences vraiment drôles ( la maison qui rend fou , l'épreuve avec les crocodiles , l'épreuve du restaurant , les fantômes ...) . On prend plaisir a suivre nos personnages préférés dans une successions de mésaventures hilarantes . L'esprit de la bd est totalement respecter et c'est très agréable . Le doublage est très réussit nottament grâce a Roger carel et pierre tornade qui double a merveille les personnages d'asterix et obélix et qui leur donnent une vrai personnalité . Pierre tornade remplace avec brio jaques Morel pour le doublage d'obélix. Un très bon divertissement pour petits et grands . |
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Fritz le chat | Fritz the Cat | USA | 1972 | Animation | 80 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 21/03/2017 | |
Ralph Bakshi | Skip Hinnant, Rosetta LeNoire, John McCurry, Judy Engles, Ralph Bakshi | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=38835.html | |||||
Les errances de Fritz the Cat, etudiant contestataire a la recherche du plaisir sexuel. Un personnage d'une B.D. underground, chef de file de la contre-culture americaine des annees soixante | |||||
Incroyable qu'un cartoon soit aussi subversif, et pourtant, c'est le cas. Sorte de mélange en version dessin animé de "Orange mécanique" et de "If...", mélangé à du porno, "Fritz The Cat" est u ndes plus grands dessins animés de l'histoire. A mettre, absolument, hos de portée des moins de 18 ans, même si je l'ai vu, pour la première fois, à l'âge de 12 ans et me suis bien marré à l'époque quand même. |
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Immortel | Immortel (ad vitam) | France | 2003 | Animation | 102 min. |
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Disponible | 01 AVI | 14/05/2005 | ||
Enki Bilal | Charlotte Rampling , Linda Hardy , Thomas Kretschmann , Frédéric Pierrot , Thomas Polard | ||||
http://cinema.tiscali.fr/fichefilm.aspx?id=FI014808&file=http | |||||
2095. Pour conserver son immortalité, Horus, le dieu à tête de faucon, ne dispose que de sept jours. Son plan : séduire la troublante Jill, une femme mutante aux cheveux bleus, apparue mystérieusement à New York. Pour cela, il prend possession du corps de Nikopol, un prisonnier politique, condamné trente ans plus tôt et congelé dans un pénitencier géostationnaire. Jill est prise en charge par un médecin de la résistance qui enquête sur des malversations et s'inquiète d'une dérive eugénique de la société. Au même moment, New York, où cohabitent humains, mutants et extraterrestres, est en ébullition. La période électorale a commencé... | |||||
HEUREUX MORTELS Enki Bilal le dit lui-même, IMMORTEL est une libre adaptation de ses bandes dessinées. Mieux vaut alors ne pas chercher à retrouver tous les éléments marquants de sa « trilogie Nikopol ». En fait, IMMORTEL est plus qu'une transposition : une excroissance du même univers. Une zone floue à la frontière des genres. Et c'est dans ce mystère que le film trouve sa force. Film d'action dont on ne comprend pas les enjeux, visite virtuelle d'un monde imaginaire, histoire d'amour contrarié, IMMORTEL est tout cela à la fois. Dès les premières minutes, on est plongé dans un trip hallucinatoire et sublime où chaque image mériterait d'être stoppée et contemplée. Même les défauts indéniables participent au charme de l'ensemble. Ainsi, les plans numériques ont beau être à tomber, il n'en reste pas moins qu'un comédien en chair et en os ne peut être confondu avec son avatar animé. Et grâce à cette différenciation, les trois véritables rôles de comédiens (Jill, Nikopol et Elma Turner) gagnent en épaisseur et en pouvoir fascinant Maquillée de bleu, Linda Hardy, ex-Miss France, est splendide et captivante. On ne sait pas si Horus accède à l'immortalité, mais Enki Bilal et son film ont l'air bien partis ! Mcinema.com (Camille Brun) |
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J'ai perdu mon corps | J'ai perdu mon corps | France | 2019 | Animation | 81 min. |
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Disponible | 01 Français | 02 MKV | 13/11/2019 | |
Jérémy Clapin | Hakim Faris, Victoire Du Bois, Patrick d'Assumçao, Bellamine Abdelmalek | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=227493.html | |||||
A Paris, Naoufel tombe amoureux de Gabrielle. Un peu plus loin dans la ville, une main coupée s’échappe d’un labo, bien décidée à retrouver son corps. S’engage alors une cavale vertigineuse à travers la ville, semée d’embûches et des souvenirs de sa vie jusqu’au terrible accident. Naoufel, la main, Gabrielle, tous trois retrouveront, d’une façon poétique et inattendue, le fil de leur histoire... | |||||
Au défi de signer un film d’animation pour les grands en guise de premier long-métrage, Jérémy Clapin ajoute celui d’en faire un puzzle sensoriel. S’y entremêlent deux parcours. Celui de Naoufel, un livreur de pizzas, issu de l’immigration marocaine, dont la sensibilité et l’attention au monde ont été aiguisées par une vie parsemée de drames (mort prématurée de ses parents, accident du travail). Et celui d’une main baladeuse qui s’échappe d’un laboratoire de dissection et survit aux agressions urbaines (pigeons, rats, trafic automobile) pour retrouver son propriétaire. Lequel n’est autre que Naoufel. Cette adaptation du roman « Happy Hand » de Guillaume Laurant est un pur triomphe de cinéma. Portrait tendre et lucide d’un rêveur amoureux traversé par une poésie de série B horrifique, il n’a pas volé ses prix à Annecy et à la Semaine de la Critique. Nicolas Schaller |
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James Et La Pêche Géante | James And The Giant Peach | USA | 1996 | Animation | 80 min. |
![]() 570 |
Disponible | 02 Anglais | 01 AVI | 08/01/2011 | |
Henry Selick | Paul Terrry (James), Pete Postlethwaite (Vieil Homme), Mike Starr (Beat Cop), Mario Yedidia (Street Kid), Joanna Lumley (Aunt Spiker), Steven Culp (James' Father), Michael Girardin (Journaliste # 1), Tony Haney (Journaliste # 3), Kathryn Howell (Woman In Bathrobe), Jeff Mosley (Hard Hat Man), Al Nalbandian (Cabby), Chae Kirby (Newsboy), Cirocco Dunlap (Girl With Telescope), J. Stephen Coyle (Acteur), Sue Turner-Cray (Actrice), Emily Rosen (Actrice), Pete Postlethwaite (Vieil Homme), Richard Dreyfuss (Centipede (Voix)), David Thewlis (Earthworm (Voix)), Simon Callow (Grasshopper (Voix)), Jane Leeves (Ladybird (Voix)), Susan Sarandon (Miss Spider (Voix)), Pierre Hatet (Le Vieux Monsieur (Voix Française)), Michel Mella (Le Mille-Pattes (Voix Française)), Gérard Surugue (Le Ver De Terre (Voix Française)), Bernard Alane (La Sauterelle (Voix Française)), Joanna Lumley (Aunt Spiker), Evelyne Grandjean (La Coccinelle (Voix Française)), Lucienne Charoni (Le Ver Luisant (Voix Française)), Miriam Margolyes (Aunt Sponge), Frédérique Tirmont (L'Araignée (Voix Française)). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=11674.html | |||||
A la mort de ses parents James tombe sous la coupe de ses tantes, Eponge et Piquette, deux abominables megeres qui le reduisent en esclavage. Un soir, un mysterieux personnage lui offre un sac rempli de langues de crocodile phosphorescentes aux vertus magiques. | |||||
Note des spectateurs : 3/5 (Pour 988 notes : 12 % de *****, 44 % de ****, 27 % de ***, 0 % de **, 17 % de *) Fiche technique : Couleur Format du son : Dolby Digital Format de projection : 1. 66 Format de production : 35 mm Tourné en : Anglais Secrets de tournage : CD audio Jeremy Irons est le narrateur du CD audio du film James et la pêche géante. |
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Persepolis | France/USA | 2007 | Animation | 95 min. | |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 18/04/2012 | |
Marjane Satrapi, Vincent Paronnaud | Sean Penn (Ebi, Marjane'S Father (English Voice)), Iggy Pop, Gena Rowlands (Grandmother (English Voice)), Chiara Mastroianni (Marjane (Voix)), Catherine Deneuve (Tadji, Marjane'S Mother (Voix)), Danielle Darrieux (Marjane'S Grandmother (Voix)), Simon Abkarian (Ebi, Marjane'S Father (Voix)), Gabrielle Lopes Benites (Marjane As A Child (Voix)), François Jerosme (Anouche, Marjane'S Uncle (Voix)), Mathias Mlekuz ((Voice)), Arié Elmaleh ((Voice)), Sophie Arthuys, Jean-Francois Gallotte, Stéphane Foenkinos, Amethyste Frezignac, Lexie Kendrick, Aoife Stone. | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=110204.html | |||||
Téhéran 1978 : Marjane, huit ans, songe à l'avenir et se rêve en prophète sauvant le monde. Choyée par des parents modernes et cultivés, particulièrement liée à sa grand-mère, elle suit avec exaltation les évènements qui vont mener à la révolution et provoquer la chute du régime du Chah. Avec l'instauration de la République islamique débute le temps des ''commissaires de la révolution'' qui contrôlent tenues et comportements. Marjane qui doit porter le voile, se rêve désormais en révolutionnaire. Bientôt, la guerre contre l'Irak entraîne bombardements, privations, et disparitions de proches. La répression intérieure devient chaque jour plus sévère. Dans un contexte de plus en plus pénible, sa langue bien pendue et ses positions rebelles deviennent problématiques. Ses parents décident alors de l'envoyer en Autriche pour la protéger. A Vienne, Marjane vit à quatorze ans sa deuxième révolution : l'adolescence, la liberté, les vertiges de l'amour mais aussi l'exil, la solitude et la différence. |
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Note de la presse : 5/5 Note des spectateurs : 4/5 (Pour 12289 notes : 58% de *****, 26% de ****, 3% de ***, 7% de **, 3% de *, 3% de °) Fiche technique : Récompenses : 11 prix et 24 nominations Distributeur : Diaphana Films Box Office France : 1 208 587 entrées Année de production : 2007 Budget : 8 000 000 € Date de sortie DVD : 27 décembre 2007 Langue : Français, Anglais, Perse, Allemand Date de sortie Blu-ray : 27 novembre 2008 Format de production : 35 mm Colorimétrie : N&B Format audio : Dolby Digital Type de film : Long-métrage Format de projection : 1.85 : 1 Secrets de tournage : |
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Pinocchio Le Robot | Pinocchio Le Robot | Canada/France | 2004 | Animation | 80 min. |
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Disponible | 01 AVI | 14/01/2007 | ||
Daniel Robichaud | les voix de Maxime Baudoin (Pinocchio), Marc Alfos (Scamboli), Maïc Darah (Cyberina), Georges Aubert (Geppetto) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=58041.html | |||||
An 3000. Dans la cité de Scamboville se dresse une jolie maisonnette avec un petit jardin. C'est ici que vit Gepetto. Grâce à l'aide du pingouin Spencer et de la fée Cyberina, il vient de créer un prototype de robot ultraperformant : Pinocchio. Le petit robot sait parler, danser, chanter et même rire sans toutefois être un véritable enfant. La fée Cyberina lui fait la promesse de le changer en vrai petit garçon quand il aura appris à faire la distinction entre le bien et le mal. Pour cela, elle lui fait don d'un nez magique qui grandira à chacun de ses mensonges. Pendant ce temps, le diabolique maire de la ville, Scamboli, nourrit de sombres desseins : transformer tous les enfants en robots. Pinocchio, Gepetto, Spencer et Marlène, la fille de Scamboli, liguent alors leurs forces pour empêcher les plans maléfiques du maire. Mais ils ne sont pas au bout de leurs surprises... |
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Fiche technique : N° de visa : 95 650 Couleur Format du son : Dolby numérique Format de projection : 1.85 : 1 Format de production : 35 mm Tourné en : Français Secrets de tournage : Bien que les adaptations cinématographiques de Pinocchio soient très nombreuses, le mythe est à l'origine une création purement littéraire, dûe à Carlo Collodi. Sa première apparition eut lieu dans un journal pour enfant, Giornale per bambini, sous le nom de La storia di un burattino (L'histoire d'une marionnette), en 1881. Peu après l'interruption de l'histoire, l'auteur fut contraint de reprendre son récit jusqu'au dernier épisode, sous la pression des fans. Le récit ne s'acheva qu'en 1883. |
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Vincent | Vincent | USA | 1982 | Animation | 6 min. |
![]() 575 |
Disponible | 03 Espagnol | 01 AVI | 08/01/2011 | |
Tim Burton | Henri Virlogeux (Narrateur Français), Vincent Price. | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=12291.html | |||||
Le petit Vincent Malloy, âgé de sept ans, possède une imagination débordante. Il s'imagine être le comédien Vincent Price. | |||||
Note des spectateurs : 4/5 (Pour 1652 notes : 63 % de *****, 23 % de ****, 8 % de ***, 3 % de **, 3 % de *) Fiche technique : N&B Format du son : stéréo Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Un invité clin d'oeil Le chat héros de Vincent, le premier court réalisé par Tim Burton en 1982, fait une rapide apparition au début de L'Etrange Noël de M. Jack, en sautant d'une poubelle qu'il était en train de fouiller. |
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Wall-E | Wall-E | U.S.A. | 2008 | Animation | 97 min. |
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A charger | 17/10/2022 | |||
Andrew Stanton | Ben Burtt, Elissa Knight, Jeff Garlin, Fred Willard, John Ratzenberger, Kathy Najimy, Sigourney Weaver, Paul Eiding | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=123734.html | |||||
Faites la connaissance de WALL•E (prononcez "Walli") : WALL•E est le dernier être sur Terre et s'avère être un... petit robot ! 700 ans plus tôt, l'humanité a déserté notre planète laissant à cette incroyable petite machine le soin de nettoyer la Terre. Mais au bout de ces longues années, WALL•E a développé un petit défaut technique : une forte personnalité. Extrêmement curieux, très indiscret, il est surtout un peu trop seul... Cependant, sa vie s'apprête à être bouleversée avec l'arrivée d'une petite "robote", bien carénée et prénommée EVE. Tombant instantanément et éperdument amoureux d'elle, WALL•E va tout mettre en oeuvre pour la séduire. Et lorsqu'EVE est rappelée dans l'espace pour y terminer sa mission, WALL•E n'hésite pas un seul instant : il se lance à sa poursuite... Hors de question pour lui de laisser passer le seul amour de sa vie... Pour être à ses côtés, il est prêt à aller au bout de l'univers et vivre la plus fantastique des aventures ! |
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On ressort de là délicieusement diverti et interpellé comme rarement sur le sort de l'humanité. Sans avoir jamais senti la leçon passer. |
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Wonderful Days | Sky Blue | Corée du Sud | 2004 | Animation | 87 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 19/01/2007 | |
Kim Moon-Saeng | |||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=54081.html | |||||
En 2142, la civilisation a été détruite par la guerre et la pollution mais les survivants qui maîtrisaient la technologie ont construit une ville où la nature est restituée : Ecoban. La seule énergie d'Ecoban provient de la pollution. Les habitants d'Ecoban envisagent de détruire ceux de Marr pour emmagasiner encore plus de produits polluants. Un seul homme se dresse contre Ecoban : il veut juste retrouver le bleu du ciel ! | |||||
Fiche technique : Couleur Format de production : 35 mm Tourné en : Coréen Secrets de tournage : Wonderful days a remporté le Grand Prix Anim'arts du Festival du Film Fantastique de Gérardmer 2004. |
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Adèle Blanc-Sec | Adèle Blanc-Sec | France | 2010 | Aventure | 107 min. |
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Disponible | 01 AVI | 19/11/2010 | ||
Luc Besson | Louise Bourgoin (Adèle Blanc-Sec), Gilles Lellouche (Inspecteur Caponi), Mathieu Amalric (Dieuleveult), Jean-Paul Rouve (Justin De Saint Hubert), Jacky Nercessian (Espérandieu), Nicolas Giraud (Andrej Zborowski), Philippe Nahon (Professeur Ménard), Gerard Chaillou (Le Président Armand Fallières), Laure De Clermont-Tonnerre (Agathe Blanc-Sec), Moussa Maaskri (Akbar), Frédérique Bel (Actrice), Grégory Ragot (L'Assistant De Bertrand), Swann Arlaud (Crieur De Journaux 4), Christophe Dimitri Réveille (La Momie Shelsoüt), Jean-Michel Molé (Acteur), Eric Naggar (Acteur). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=133917.html | |||||
En cette année 1912, Adèle Blanc-Sec, jeune journaliste intrépide, est prête à tout pour arriver à ses fins, y compris débarquer en Égypte et se retrouver aux prises avec des momies en tout genre. Au même moment à Paris, c'est la panique ! Un œuf de ptérodactyle, vieux de 136 millions d'années, a mystérieusement éclos sur une étagère du Jardin des Plantes, et l'oiseau sème la terreur dans le ciel de la capitale. Pas de quoi déstabiliser Adèle Blanc-Sec, dont les aventures révèlent bien d'autres surprises extraordinaires... | |||||
Note de la presse : 3/5 Note des spectateurs : 3/5 (Pour 3363 notes : 19 % de *****, 17 % de ****, 28 % de ***, 9 % de **, 26 % de *) Fiche technique : Box Office France : 1 602 720 entrées Budget : 31 000 000 euros N° de visa : 123 765 Couleur Format du son : Dolby SRD/DTS Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Format de production : 35 mm Tourné en : Français Secrets de tournage : Adaptation d'une BD Le film est l'adaptation de la célèbre BD de Jacques Tardi, publiée pour la première fois en 1976 et qui relate les aventures d'une journaliste intrépide dans le Paris de la Belle Epoque. Luc Besson a décidé de mettre en scène deux des neuf albums dans Adèle Blanc-Sec et prévoit de décliner la saga en trois volets:" J’ai écrit une première adaptation en m’efforçant de rester très fidèle à la BD, à l’univers de Jacques Tardi, aux caractéristiques profondes du personnage d’Adèle Blanc-Sec. C’est avec une angoisse non dissimulée que j’ai remis mon script à Tardi ! C’était angoissant dans la mesure où il est un auteur de BD et que je m’étais approprié son personnage en l’adaptant. Et puis j’ai eu beaucoup de chance parce qu’il a lu le script et il m’a dit… : « Voilà c’est super ! ». Il reconnaissait complètement sa BD, complètement son personnage et en même temps il découvrait l’adaptation cinématographique de sa BD et pas une simple transposition de sa BD en images. C’est cela qui l’a vraiment séduit. La seule modification qu’il m’ait demandée est de changer le prénom d’un des personnages." Un premier grand rôle C'est le premier grand rôle incarné par Louise Bourgoin, ancienne miss météo de Canal+, au cinéma, puisqu'elle incarne l'héroïne éponyme du film. Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que Luc Besson lance la carrière d'une actrice au cinéma, on pense notamment à Anne Parillaud dans Nikita ou encore Milla Jovovich dans Le Cinquième élément. Pour interpréter Adèle Blanc-Sec, le réalisateur dit avoir hésité entre quatre actrices françaises, dont Sylvie Testud, qui a elle-même incarné une héroïne de BD, le personnage de Calamity Jane dans Lucky Luke aux côtés de Jean Dujardin. Luc Besson raconte sa rencontre avec Louise Bourgoin: "Cela faisait pas mal de temps que j’observais Louise Bourgoin, la Miss Météo fantasque de Canal + que l’on connaît puis tête d’affiche au côté de Luchini dans le film d’Anne Fontaine. Le fait qu’elle soit capable d’interpréter toutes sortes de personnages différents m’a séduit car cette aptitude là est rare. Son talent est parfaitement adapté au rôle d’Adèle pour lequel elle doit avoir une quinzaine de déguisements. Nous nous sommes rencontrés, elle m’a plu tout de suite, j’étais sûr que c’était elle Adèle. Louise est une personne très ouverte, toujours sur le coup, capable de passer du chaud au froid en un clin d’oeil tout comme le personnage d’Adèle en moins folle… Elle est une jeune femme extrêmement sérieuse sur qui l’on peut compter. Avec Adèle c’est un peu plus compliqué parce qu’elle poursuit sa route et rien ne peut l’arrêter ! Sur le tournage, l’équipe avait surnommé Louise « la comptable » parce qu’elle passait son temps à vérifier les raccords, les nombres de plans, elle savait tout. Notre collaboration a été une vraie révélation." Retrouvailles Ce film marque les retrouvailles devant la caméra de Gilles Lellouche et Jean-Paul Rouve qui avaient déjà travaillé ensemble sur le film réalisé par l'ancien Robin des Bois, Sans arme, ni haine, ni violence. Décors et lieux de tournage L’essentiel du tournage s'est fait en studio. Les décors ont nécessité près de huit mois de préparation et ont été développés sur près de 800 m2, comprenant des reconstitutions de lieux historiques tels que le Louvre ou encore la grande pyramide d’Egypte. La rencontre de Luc Besson et de Tardi "C'est une longue histoire. En fait, je suis tombé amoureux de son personnage il y a une dizaine d'années. J'avais essayé de contacter Tardi une première fois mais malheureusement il voulait faire Adèle avec un autre metteur en scène. Sur le moment, j’étais un peu triste mais comme c’était un « grand » réalisateur, j’ai trouvé cela bien et lui ai souhaité bon courage. J’ai attendu avec impatience un film qui n’est jamais venu. Au bout de trois ou quatre ans, j’ai rappelé Tardi qui m’a dit être très fâché contre ce metteur en scène, contre le cinéma tout entier. Bref, il ne voulait plus entendre parler de rien. J’ai dû le convaincre de revoir sa position. Nous nous sommes rencontrés plusieurs fois. Il a fallu lui redonner confiance, montrer patte blanche et attendre encore un an pour récupérer les droits que son agent avait cédés à quelqu’un d’autre. Après six années d’attente et de négociations, Tardi a fini par accepter de me céder les droits de son Adèle." Mathieu Amalric en méchant Ce n'est pas la première fois que l'acteur Mathieu Amalric joue les méchants; on a pu le voir notamment dans Quantum Of Solace en 2008, face à James Bond joué par Daniel Craig. Luc Besson explique les raisons pour lesquelles il l'a choisi pour incarner le redoutable Dieuleveult: " Mathieu Amalric est l’un des premiers acteurs que j’ai choisi sur Adèle. J’aime beaucoup Mathieu, aussi bien l’homme que l’acteur, l’un des plus doués de sa génération, capable de se métamorphoser d’une manière incroyable. Sa performance dans Le Scaphandre et le papillon est prodigieuse ! J’ai donc vu Mathieu pour lui proposer le rôle de Dieuleveult. Il m’a dit qu’il avait décidé de ne plus faire l’acteur, qu’il se consacrait à la mise en scène. Et puis en fait, je l’ai eu aux sentiments et avec l’aide de ses enfants. Il est rentré chez lui et je crois qu’il en a parlé à son fils qui lui a dit : « Mais tu es fou, Tardi, Adèle Blanc-Sec c'est génial, il faut que tu le fasses ! ». Il m’a rappelé pour me dire qu’il ferait une exception pour Adèle. Voilà pour la petite histoire et ce tournage a été un réel plaisir. Maintenant, quand on découvre le personnage de Dieuleveult dans le film, je pense que si on ne sait pas que c’est Mathieu qui interprète ce rôle, c’est impossible de le reconnaître, sa physionomie a changé, même son timbre de voix est modifié. C’est une composition totale et assez exceptionnelle du personnage." Le personnage de Caponi Pour camper Caponi, Gilles Lellouche dont la rencontre avec Luc Besson date de 2003 sur le tournage de son premier court métrage Pourkoi... passkeu, a dû prendre un peu de poids. "Je ne lui ai pas demandé de prendre trente kilos en deux mois comme Scorsese l’a exigé de De Niro pour Raging Bull, nous lui avons simplement mis des coussins un peu partout ", précise le cinéaste. Il ajoute: " Il a un comique de situation en permanence, il est toujours un peu décalé. C’est l’un des personnages charnière de l’histoire et c’est un bon contre poids au personnage de Louise et à son enquête." Une équipe qui gagne! Luc Besson a travaillé sur Adèle Blanc-Sec avec d'anciens collaborateurs à la technique, s'entourant de Thierry Arbogast à la lumière, avec qui il travaille depuis Nikita, mais aussi d'Olivier Beriot pour les costumes avec qui il a notamment travaillé sur la trilogie Arthur. Pour les décors qui occupent une place prépondérante, le réalisateur a fait appel à Hugues Tissandier (Jeanne d'Arc, la trilogie Arthur ): "Nous avons travaillé, comme à chaque fois, sur des maquettes de décors assez petites. Le fait de préparer sur des volumes réduits permet de mieux définir les angles de la caméra. On s’aperçoit rapidement si les plafonds sont trop hauts, trop bas, les murs trop loin les uns des autres. Hugues utilise à présent le numérique pour préparer et pré-visualiser ses décors. Cela me permet de m’y balader virtuellement, de définir les axes de tournage, d’affiner mes choix de focales très en amont. Nous faisons aussi des économies grâce à cette nouvelle technologie dans la mesure où nous réduisons la construction des décors à ce qui sera filmé. Notre travail de recherche a été facilité par l’abondance de documents sur l’Egypte et par la collaboration précieuse de Tardi qui nous a ouvert sa bibliothèque personnelle. Jacques possède un appartement rempli d’ouvrages et de documents d’époque et Hugues a passé beaucoup de temps avec lui. Je crois que Tardi a été assez impressionné par la qualité de notre travail si j’en juge par sa réaction lorsqu’il a découvert l’appartement d’Adèle. C’était une scène très émouvante. Jacques arrive sur le décor et pénètre dans l’appartement d’Adèle qu’il a donc dessiné et tout à coup, Adèle / Louise en costume vert avec son chapeau à plumes vient à sa rencontre et lui tend un livre d’Adèle qu’elle venait de lui dédicacer. C’était vraiment un beau moment." La naissance d'Adèle Blanc-Sec par Tardi Tardi raconte que le personnage d'Adèle Blanc-Sec lui est venu en tête avant tout parce qu'il n'y avait pratiquement que des héros masculins dans l'univers de la bande dessinée, hormis quelques exceptions comme Barbarella, dans un registre érotique, ou encore Bécassine. Il raconte ainsi comment il a construit le personnage de femme émancipée et moderne qu'est son Adèle: "J’ai par ailleurs toujours été très intéressé par le roman-feuilleton dont la grande époque se situe à la fin du XIXe, début du XXe siècle. Un des plus célèbres romans-littéraires parus en 1910 est Arsène Lupin par exemple. Du coup, j’ai décidé que mon héroïne serait contemporaine de ces années là. La question était aussi de savoir ce qu’elle allait bien pouvoir faire comme métier (...) elle pouvait faire le même métier que moi et transposer en 1910, elle serait feuilletoniste. On la voit de temps en temps sur sa machine à écrire, on la voit chez son éditeur, elle en parle et même si, au bout du compte on la voit très peu travailler, cela nous donne une indication sur son style et son niveau de vie. Elle n’est pas une grande bourgeoise, elle travaille, c’est une femme émancipée, une femme résolument moderne qui n’a pas du tout la mentalité des femmes de cette époque. Enfin, il me fallait un décor de base. J’utilise les lieux de Paris car j’aime les dessiner. J’aime beaucoup les musées car ils m’inspirent et en particulier le jardin des plantes avec sa verrière, ses vitrines et tout le bazar scientifique qu’il renferme. Dès lors, j’avais mon personnage et le point de départ d’une histoire : le jardin des plantes et bien avant Jurassic Park et Indiana Jones je précise, un oeuf de ptérodactyle vieux de 136 millions d’années qui allait éclore et semer la terreur sur le Paris de 1900." Les droits d'adaptation Cela faisait dix ans que Luc Besson souhaitait acquérir les droits d'adaptation de la bande dessinée de Tardi. A l'époque, ils avaient été cédés à un réalisateur de renom mais le projet n’a jamais vu le jour. Lorsque le réalisateur a appris que les droits étaient de nouveau disponibles, il a immédiatement proposé de les racheter. Adèle Blanc-Sec par Louise Bourgoin "L’Adèle de Luc est un peu moins antipathique que dans la bande dessinée. Elle est plus humaine, elle a une vraie sensibilité. Au fil de l’histoire, on se rend compte qu’il y a des choses qui la blessent, qu’Adèle a des failles qu’elle essaye évidemment de dissimuler. Elle est opiniâtre, effrontée, touchante, franche et elle a beaucoup d’humour. C'est une sorte d'Indiana Jones au féminin. Tout au long du scénario, elle vit des aventures rocambolesques comme chevaucher un ptérodactyle, réveiller des momies, naviguer sur le Nil dans un sarcophage, sauver le Président de la République et traverse des moments plus intimes, plus émouvants, avec sa soeur notamment. C’est agréable de jouer une héroïne aussi physique et aussi courageuse. C’est rare dans ce genre de cinéma. Les femmes sont plus souvent les faire-valoir des hommes. Elles répondent à des stéréotypes, elles sont les passe-plats du rôle principal qui est la plupart du temps masculin. Dans le film de Luc, il y a une héroïne qui contrôle l’histoire du début à la fin. C’est un vrai beau rôle !" En famille, c'est mieux! La productrice d'Adèle Blanc-Sec n'est autre que la femme de Luc Besson, Virginie Besson-Silla. Le réalisateur confie la satisfaction qu'il a eue à, pour la première fois, n'avoir qu'à se concentrer sur la mise en scène, sans se préoccuper de la production de son film. La dimension fantastique d'Adèle Blanc-Sec Tardi avoue s'être inspiré de Fritz Lang pour le côté fantastique de son oeuvre ainsi que de Jules Verne pour son côté " bricolage et inventions", ce qui explique une ambiance poético-scientifique, ainsi que "des histoires délirantes qui ne tiennent pas debout mais dans lesquelles on se laisse embarquer de manière presque enfantine". Tardi, incontournable! La productrice Virginie Besson-Silla, explique la nécessité pour Besson et elle-même d'impliquer Tardi dans le processus d'écriture du scénario afin de rester davantage en cohérence avec sa bande-dessinée: " Luc avait son idée en tête de l’adaptation et des éléments cinématographiques qui se devaient d’exister dans le film. Néanmoins, il tenait à ne pas dénaturer l’oeuvre de Tardi avec qui nous avons organisé quelques séances de travail, la question étant de savoir ce que Tardi voulait voir à l’image. Cela étant, Luc voulait aussi étoffer le personnage d’Adèle et la rendre plus émouvante. C’est une des raisons pour laquelle il a intégré le personnage d’Agathe, la soeur d’Adèle. L’écriture a été assez rapide, il faut dire que Luc avait ce projet en tête depuis dix ans ! Tardi a aimé le scénario dès la première lecture. C’était essentiel pour nous qu’il ne se sente pas trahi et qu’on ne dénature pas son oeuvre".Le dessinateur a été également sollicité durant le tournage du film : "Dès la préparation, Hugues Tissandier, le chef décorateur, et Olivier Beriot, le créateur des costumes, sont allés chez Tardi pour consulter ses archives et s’imprégner de son univers. Pendant le tournage, Tardi est venu régulièrement voir les décors qui se montaient et nous donner ses remarques", raconte t-elle. De la BD au film L'adaptation d'une bande dessinée au cinéma est un pas de géant qui exige de faire des choix. La productrice Virginie Besson-Silla, revient sur la façon dont l'adaptation des aventures d'Adèle a été abordée: "Je pense qu’au départ, il est essentiel de jauger les éléments qui nous font aimer la bande dessinée et qui la rendent unique. Il faut ensuite élaborer la structure narrative d’un long métrage et déterminer toutes les scènes de la bande dessinée que l’on veut garder. Pour Adèle, nous nous sommes attachés à conserver les personnages de la bande dessinée avec leurs physionomies tellement particulières, les décors incroyables, l’ambiance et nous avons pioché dans différents albums.…", explique t-elle. |
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Délivrance | Deliverance | USA | 1972 | Aventure | 110 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 25/07/2013 | |
John Boorman | Jon Voight (Ed Gentry), Burt Reynolds (Lewis Medlock), Ned Beatty (Bobby Trippe), Ronny Cox (Drew Ballinger), Ed Ramey (le vieil homme), Billy Redden (Lonny), James Dickey (Sheriff Bullard), Bill McKinney (Mountain Man), Charley Boorman (Le Fils d'Ed), Belinda Beatty (Martha Gentry), Grace Fair (la propriétaire d'une maison), Macon McCalman (Deputy Queen), Christopher Dickey (Dead body pulled out of river), Seamon Glass (Acteur), Hoyt Pollard (Acteur), Herbert 'Cowboy' Coward (Acteur), Johnny Popwell (Acteur), John Fowler (Acteur), Kathy Rickman (Actrice), Ken Keener (Acteur), Lewis Crone (Acteur), Louise Coldren (Actrice), Pete Ware (Acteur), Randall Deal (Acteur). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=166.html | |||||
Quatre Américains de classe moyenne, Ed Gentry, Lewis Medlock, Bobby Trippe et Drew Ballinger décident de consacrer leur week-end à la descente en canöe d'une impétueuse rivière située au nord de la Géorgie. Ils envisagent cette expédition comme un dernier hommage à une nature sauvage et condamnée par la construction d'un futur barrage. Mais les dangers qu'ils affronteront ne proviendront pas uniquement des flots tumultueux de la rivière... | |||||
Interdit aux moins de 12 ans Note de la presse : 5/5 Fiche technique : Récompenses : 4 nominations Box Office France : 1 471 180 entrées Budget : 2 000 000 $ Année de production : 1972 Date de reprise : 20 novembre 2002 Langue : 02 Anglais Date de sortie DVD : 18 août 2008 Colorimétrie : Couleur Type de film : Long-métrage Secrets de tournage : |
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Django Unchained | Django Unchained | USA | 2012 | Aventure | 164 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 30/06/2014 | |
Quentin Tarantino | Jamie Foxx (Django), Christoph Waltz (Dr. King Schultz), Leonardo DiCaprio (Calvin Candie), Kerry Washington (Broomhilda), Samuel L. Jackson (Stephen), Jonah Hill (Le régulateur), Don Johnson (Spencer ''Big Daddy'' Bennett), Walton Goggins (Billy Crash). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=190918.html | |||||
Dans le sud des États-Unis, deux ans avant la guerre de Sécession, le Dr King Schultz, un chasseur de primes allemand, fait l’acquisition de Django, un esclave qui peut l’aider à traquer les frères Brittle, les meurtriers qu’il recherche. Schultz promet à Django de lui rendre sa liberté lorsqu’il aura capturé les Brittle – morts ou vifs.Alors que les deux hommes pistent les dangereux criminels, Django n’oublie pas que son seul but est de retrouver Broomhilda, sa femme, dont il fut séparé à cause du commerce des esclaves…Lorsque Django et Schultz arrivent dans l’immense plantation du puissant Calvin Candie, ils éveillent les soupçons de Stephen, un esclave qui sert Candie et a toute sa confiance. Le moindre de leurs mouvements est désormais épié par une dangereuse organisation de plus en plus proche… Si Django et Schultz veulent espérer s’enfuir avec Broomhilda, ils vont devoir choisir entre l’indépendance et la solidarité, entre le sacrifice et la survie… | |||||
Interdit aux moins de 12 ans Note de la presse : 4,5/5 (Pour : 44% de *****, 37% de ****, 10% de ***, 5% de **, 2% de *, 3% de °) Fiche technique : Récompenses : 8 prix et 10 nominations Distributeur : Sony Pictures Releasing France Box Office France : 4 292 940 entrées Année de production : 2012 Budget : ca. 100 000 000 $ Date de sortie DVD : 17 mai 2013 Langue : 02 Anglais, Allemand, Français Date de sortie Blu-ray : 17 mai 2013 Colorimétrie : Couleur Type de film : Long-métrage Secrets de tournage : Western Spaghetti Quentin Tarantino voulait réaliser depuis longtemps un western spaghetti en hommage à une de ses idoles, le cinéaste Sergio Leone. Le titre de départ du projet était même "The Angel, The Bad And The Wise" en référence au Bon, la brute et le truand. Ils étaient pressentis Parmi les acteurs qui ont failli tourner dans Django Unchained figurent Kevin Costner, Kurt Russell, Sacha Baron Cohen ou encore Anthony LaPaglia. L'amour au temps de l'esclavage Quentin Tarantino a décidé de situer son western à la période de l'esclavage, choix courageux de la part du cinéaste, le sujet étant toujours très sensible aux USA : "J’aimerais faire un western, mais plutôt que de le situer au Texas, faisons-le à l’époque de l’esclavage. Ce sujet, tout le monde a peur de le traiter. Il faut qu’on l’éclaire nous-mêmes", déclare le metteur en scène. DiCaprio a failli être un Nazi ! Au départ, Leonardo DiCaprio était le premier choix de Quentin Tarantino pour le rôle de Hans Landa dans Inglourious Basterds. Finalement, le natif de Knoxville a décidé qu'il serait plus judicieux qu'un germanophone campe le redoutable "chasseur de juifs" en la personne de Christoph Waltz. Déterminé à offrir un rôle de méchant à "Leo", le metteur en scène de Reservoir Dogs lui a spécialement réservé celui de Calvin Candie, l'esclavagiste de Django Unchained, un "sacré rôle de méchant" d'après Tarantino ! Encore un tour de Waltz Révélé par son rôle de Colonel SS dans Inglourious Basterds (qui lui a valu le Prix d'interprétation à Cannes et Un Oscar du Meilleur second rôle), Christoph Waltz est dirigé pour la deuxième fois par Quentin Tarantino. Un "Men in black" sur la liste Parmi les six acteurs pressentis pour jouer le rôle de Django figurait Will Smith, mais le cinéaste a finalement choisi Jamie Foxx. D'autres acteurs ont également été approchés, il s'agit d'Idris Elba, Chris Tucker, Terrence Howard, Michael K. Williams et Tyrese Gibson. Jamie et Kerry ne se quittent plus C'est la deuxième fois que Jamie Foxx et Kerry Washington forment un couple à l'écran. La première fois se passait devant la caméra de Taylor Hackford pour Ray, le biopic sur le chanteur Ray Charles. Par ailleurs, Kerry Washington tourne également pour la troisième fois avec Samuel L. Jackson après Mother & Child de Rodrigo Garcia et Harcelés de Neil LaBute : "Je suis toujours ravi de faire un film avec Kerry. Elle est douce et gentille ; elle possède également une certaine fragilité qui masque en fait une grande force intérieure", s'enthousiasme le comédien. Mon ami Sam Django Unchained marque la cinquième collaboration entre Quentin Tarantino et Samuel L. Jackson. Le comédien a déjà tourné Pulp Fiction, Jackie Brown, Kill Bill : Volume 2 et Inglourious Basterds sous la houlette du cinéaste américain. Jamie Foxx commente ainsi la relation entre le cinéaste et le comédien : "La relation de Quentin et Samuel a de quoi rendre jaloux ! C’est incroyable, ils se connaissent par cœur. J’espère avoir ce genre de relation avec Quentin maintenant que nous avons tourné ensemble. Ils se connaissent, se soutiennent et s’entraident. Ils ont trouvé des idées géniales qui n’étaient même pas dans le scénario mais qui ont amélioré l’ensemble du film. Samuel Jackson nous a fait la démonstration de toute l’étendue de son talent." Made in Japan Quentin Tarantino a eu l'idée du film... au Japon, où il se trouvait pour la promotion de Inglourious Basterds. Les spectateurs japonais étant friands de westerns-spaghettis, le cinéaste s'est procuré plusieurs dvd de films de ce genre, ce qui lui a donné l'envie de réaliser un film qui s'inspire de cette tradition. Joseph Gordon-Levitt trop occupé Joseph Gordon-Levitt devait jouer dans le long métrage de Quentin Tarantino mais a finalement dû annuler sa participation en raison du tournage de son premier film en tant que réalisateur. Le comédien-réalisateur avoue regretter de ne pas pouvoir se libérer pour tourner avec Tarantino qui est l'un de ses réalisateurs préférés. Joseph Gordon-Levitt affirme par ailleurs que le réalisateur de Django Unchained l'a soutenu dans sa démarche de réalisateur. Leo el diablo ! Le chef-décorateur J. Michael Riva a révélé que les couleurs jouent un rôle prépondérant dans Django Unchained et qu'une partie de son travail a consisté à retranscrire une ambiance en adéquation avec chaque personnage : "Pour moi, le personnage de Leo représente très clairement le diable, je voulais donc qu’il soit autant que possible entouré de rouge. Quant à Django et Schultz, que je vois comme des héros de western, ils sont associés aux tons chauds de jaune et d’ambre. J’ai essayé de rappeler ces couleurs dans tous les décors. La fin du film est plus sombre, les couleurs se teintent de rouge, les choses deviennent plus sérieuses. Ça n’est pas très complexe, ce qui à mon sens permet d’identifier clairement les deux univers qui s’affrontent", explique l'artiste. Ce talentueux technicien est malheureusement décédé en 2012 à l'âge de 63 ans ; Stacey Sher lui rend hommage : "J’ai beaucoup de chance d’avoir pu travailler et côtoyer Michael Riva au quotidien. C’était un artiste et un homme merveilleux, espiègle, inventif, brillant et attentionné", déclare la productrice. Un si long tournage Le tournage de Django Unchained a duré 130 jours. Il s'agit du tournage le plus long de la carrière de Quentin Tarantino. Il faut y aller Franco ! Django Unchained s'inspire du western spaghetti ultra-violent, Django, réalisé par Sergio Corbucci en 1965. Franco Nero y tenait le rôle principal. Quentin Tarantino étant un grand fan du film, il a proposé à l'acteur italien de faire un caméo dans Django Unchained en tant que patron de bar. Sally nous Menke Quentin Tarantino travaille pour la première fois avec le chef-monteur Fred Raskin. Sa fidèle collaboratrice qui avait monté tous ses films, Sally Menke, est décédée brutalement en 2010 à l'âge de 56 ans. Un chef-opérateur chevronné Django Unchained marque la quatrième collaboration entre Quentin Tarantino et le directeur de la photographie Robert Richardson. Cet artiste de la lumière est une figure reconnue dans la profession ; il travaille notamment régulièrement avec Martin Scorsese (Casino, Aviator, Hugo Cabret) et Oliver Stone (Platoon, Tueurs nés, Nixon). Killing Zoe L'actrice et cascadeuse Zoe Bell, qui avait tourné sous l'égide de Quentin Tarantino pour Boulevard de la mort en 2007, a d'abord été considérée pour camper Lara Lee Candie-Fitzwilly, rôle finalement échu à Laura Cayouette. Toutefois, Bell joue le rôle de Peg dans Django Unchained. Pas trouvé sous le sabot d'un cheval Un des chevaux qu'on voit dans le film appartient à Jamie Foxx, qui l'a reçu comme cadeau d'anniversaire. L'équidé répond au nom de Tony. Tarantino taquin Une rumeur a circulé selon laquelle Sid Haig (connu pour son rôle du Capitaine Spaulding dans The Devil's Rejects et La Maison des 1000 morts) aurait été choisi par Quentin Tarantino pour jouer le rôle de M. Stonesipher. L'agent d'Haig l'a même contacté pour lui annoncer la bonne nouvelle. Plus tard, Tarantino a engagé David Steen pour ce rôle. Le cinéaste, connu pour être blagueur, aurait organisé ce canular afin de se venger du refus de Sid Haig de jouer le rôle de Marsellus Wallace dans Pulp Fiction en 1994. Pour toi Kenneth Quentin Tarantino a écrit un rôle spécialement pour Michael K. Williams mais celui-ci a dû décliner à cause de son emploi du temps chargé sur la série TV Boardwalk Empire. Quentin Tarantino présente Pendant le tournage dans la ville de Jackson Hole, Wyoming, Quentin Tarantino a loué une salle de cinéma afin de projeter à son équipe des films de samouraï et des westerns de sa collection personnelle. Shaft ! Quentin Tarantino a dévoilé lors du Comic-Con 2012 que les personnages campés par Jamie Foxx et Kerry Washington étaient les arrières-arrières-arrières grands parents de John Shaft, personnage emblématique de la blaxploitation (Shaft, les nuits rouges de Harlem). Cette information est corroborée par le nom complet du personnage de Kerry Washington dans le film : Broomhilda Von Shaft. A noter que Samuel L. Jackson (Stephen dans Django) a interprété le rôle de Shaft dans le film du même nom sorti en 2000. Bad Romance ? L'extravagante chanteuse Lady GaGa a été considérée pour le rôle de Lara Lee Candie-Fitzwilly. Jonah est finalement là ! L'adolescent gras du bide et libidineux de SuperGrave, Jonah Hill, a fait du chemin. En effet, le comédien tient le rôle du régulateur dans Django Unchained. Rôle qu'il a failli ne jamais jouer pour un problème d'emploi du temps finalement résolu. L'acteur sera également à l'affiche de The Wolf of Wall Street de Martin Scorsese en 2013, rien que ça ! L'époque des comédies potaches made in Judd Apatow semble bel et bien révolue pour Jonah. Du sang, pas de larmes ! Leonardo DiCaprio est un dur à cuir ! Lors de la scène du dîner à Candyland, Calvin Candie brise un verre de la main. Cet effet n'était pas voulu et a eu pour conséquence d'entailler sévèrement la main de l'acteur. Toutefois, celui-ci a continué la scène comme si de rien n'était déclamant ses répliques et incluant même cette "erreur" dans la scène en touchant Kerry Washington lui laissant quelques traces de sang, ajoutant encore plus de tension à la scène. A la fin de la prise, Leo a eu droit aux applaudissements de l'assemblée et s'est fait poser des points de suture. Il en garde une cicatrice encore aujourd'hui ! De père en fille Amber Tamblyn joue le rôle de "la fille du fils d'un hors-la-loi" dans Django Unchained. Il s'agit d'une référence au long-métrage où joue son père, Russ Tamblyn, intitulé Le fils d'un hors-la-loi (1965). Le Parrain du gore au casting Tom Savini, qui campe Chaney dans Django, est principalement connu pour sa carrière de maquilleur effets spéciaux. L'artiste, surnommé "Le parrain du gore", est un collaborateur fidèle de George A. Romero pour qui il signera les effets spéciaux du Jour des morts-vivants et de La Nuit des morts-vivants notamment. On a pu le voir récemment à la réalisation d'un segment du film à sketches, The Theatre Bizarre. En haut de l'affiche C'est la première fois en 16 ans que Leonardo DiCaprio n'a pas le haut de l'affiche pour un film. Décors Django Unchained a été tourné à Jackson Hole dans le Wyoming, à La Nouvelle-Orléans et en Californie, à Santa Clarita, Alabama Hills et Independence. L'équipe a par ailleurs utilisé certains décors construits auparavant pour la série TV Deadwood. Caméos en pagaille Selon le producteur Harvey Weinstein, Django Unchained contient de nombreux caméos d'acteurs connus... Dont un certain Brad Pitt. Ce qui n'est finalement pas le cas. Léonide Moguy Un des personnages (campé par Dennis Christopher) s'appelle Léo Moguy. Il s'agit d'un hommage rendu par Quentin Tarantino au cinéaste français Leonide Moguy, connu pour être le précurseur du sous-genre des films de prison, style que "QT" apprécie beaucoup. Bonanza ! Dans le film, Django porte une veste verte et un chapeau entouré d'une bande de clous ; il s'agit de la même tenue que portait Little Joe alias Michael Landon dans la série Bonanza. Pas de compositeur attitré ! Encore une fois, Quentin Tarantino ne s'attache pas les services d'un compositeur pour les musiques de son film mais préfère les choisir lui-même parmi sa collection de musiques et chansons déjà existantes. Comme pour chacun de ses films, gageons que cette nouvelle bande-originale choisie par le cinéaste soit détonnante. On retrouve notamment des morceaux de l'inévitable Ennio Morricone et du compositeur Argentin Luis Enriquez Bacalov qui avait composé la musique du film original Django de Sergio Corbucci. Bienvenue au saloon ! Le saloon dans le film s'appelle "Le Minnesota Clay" qui est le titre 02 Anglais d'un western spaghetti de Sergio Corbucci (Le Justicier du Minnesota). Clarita's Way Une partie du tournage s'est déroulée au Melody Ranch de Santa Clarita en Californie. De grands classiques du cinéma y ont été tournés comme Le Train sifflera trois fois de Fred Zinnemann et La Chevauchée fantastique de John Ford. Par ailleurs, une autre partie du tournage a eu lieu dans un lieu culte, à Alabama Hills vers la ville de Lone Pine. Ces décors ont accueillis moult tournages dont La Grande évasion de Raoul Walsh, Un homme est passé de John Sturges ou L' Etrange incident de William A. Wellman. Au pays de Candie La partie de Django Unchained qui se déroule à Candyland, la plantation que possède Calvin Candie (Leonardo DiCaprio) dans le film, a été tournée en décors réels dans la plantation Evergreen, un lieu qui a vraiment été le théâtre de la traite négrière : "Il est impossible de ne pas verser de larmes, de ne pas être bouleversé dans un tel endroit. J’y ai emmené mes deux enfants, de 3 ans et demi et 18 ans, et je les ai laissés parcourir les lieux. Je leur ai expliqué qu’ils venaient de là. C’était le lieu idéal pour véritablement nous imprégner de l’histoire", confie Jamie Foxx. Cartoon Django Don Johnson a révélé s'être inspiré du personnage de dessin animé, le coq Foghorn Leghorn créé par Robert McKimson, afin d'avoir l'accent adéquat pour camper Big Daddy. Leonardo Di Caligula Quentin Tarantino voyait au départ le personnage Calvin Candie plus vieux ; mais l'intérêt de Leonardo DiCaprio pour le film l'a forcé à reconsidérer la question : "Je me suis mis alors à reconfigurer Candie comme une sorte de Caligula jeune. Son arrière-grand-père a créé cette affaire d’exploitation de coton, et son grand-père a continué après lui et en a fait une entreprise rentable. Son père, ensuite, a encore augmenté les profits. Calvin est le quatrième Candie à diriger l’entreprise et il s’est lassé. Il se moque du coton, c’est pour cela qu’il s’occupe de combats d’esclaves. C’est une sorte de jeune prince flamboyant, un Louis XIV à Versailles", révèle le metteur en scène. A la Hitchcock A l'instar d'Alfred Hitchcock, Quentin Tarantino aime faire des caméos dans ses films ; on se souvient avec bonheur de celui de Pulp Fiction notamment, haut en couleurs. "QT" ne déroge pas à la règle dans Django avec un caméo tenu secret mais qui s'annonce déjà mémorable d'après les acteurs du film. Lawrence Bender out Une fois n'est pas coutume, Lawrence Bender ne produit pas le film de Quentin Tarantino. Le producteur a toujours été de la partie en produisant chaque long-métrage du déjanté cinéaste (Il n'a toutefois pas produit Boulevard de la mort qui faisait partie du diptyque Grindhouse avec Planète terreur de Robert Rodriguez). Parks maître Michael Parks, qui campe le Texas Ranger Earl McGraw pour Quentin Tarantino et Robert Rodriguez depuis Une nuit en enfer et qui a repris ce rôle pour Kill Bill et Boulevard de la mort, a rempilé pour Django Unchained. Privilégier l'authentique Quentin Tarantino préfère se passer autant que possible d'images de synthèse dans ses films. C'est pourquoi il a tenu à tourner les scènes d'hiver dans un endroit où il faisait réellement un froid glacial : "C’était vraiment très important aux yeux de Quentin parce qu’il croit à l’efficacité des effets autres que les images de synthèse ; il croit à l’impact du cinéma authentique sur le public. Nous nous sommes donc rendus sur le lieu de tournage de la scène d’ouverture du film, et un assistant de production a dû s’assurer qu’il faisait assez froid et que le degré d’humidité était suffisant pour que notre haleine forme de la buée", raconte Stacey Sher, la productrice. La folie Django s'empare de Twitter Les premières réactions à la vision de Django Unchained sont dithyrambiques et ont déchaîné le réseau social Twitter. Par exemple, la productrice Julie Seureau a déclaré : "Je suis ravi d’avoir été une des premières à voir Django. Christoph Waltz est un si grand acteur… Il vole réellement la vedette aux autres !" Quant au réalisateur de Looper, Rian Johnson, il s'est enflammé à son tour sur son compte twitter : "Django est formidable !" |
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Indiana Jones 1 - Les aventuriers de l'arche perdue | Raiders of the Lost Ark | USA | 1981 | Aventure | 75 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 20/05/2004 | |
Steven Spielberg | Harrison Ford, Karen Allen, Paul Freeman, Ronald Lacey, John Rhys-Davies, Anthony Higgins | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=121.html | |||||
Indiana Jones, un professeur universitaire d'archéologie doublé d'un aventurier, parcourt le monde à la recherche de trésors. Son principal adversaire est l'archéologue français René Belloq, qui loue ses services à l'Allemagne hitlérienne. Le chancelier du Reich s'est en effet mis en tête de retrouver l'Arche d'Alliance contenant les Tables de la Loi brisées par Moïse, voilà trois mille ans. Jones sait que les dossiers allemands indiquent que le professeur Ravenwood, aujourd'hui décédé, a été en possession d'une curieuse médaille, la "Mire de Râ" qui, installée à l'endroit requis, doit dévier un rayon de soleil vers le lieu où se trouve l'Arche Sainte. "Indy", qui a eu jadis une liaison avec Marion, la fille de Ravenwood, retrouve celle-ci au fin fond du Népal, afin de la questionner. Marion tient un bar et provoque les hommes dans des concours de boissons. Elle ne porte pas Indiana dans son cœur, mais ce dernier la sauve des griffes de Toht, un agent de la Gestapo qui voulait récupérer le médaillon. Ensemble, ils rejoignent Le Caire et se font aider par un vieux complice, Sallah. Les fouilles allemandes ont commencé mais Indy est persuadé que Belloq s'est trompé dans ses calculs et, en effet, il découvre le véritable emplacement. Aussitôt, les Allemands s'emparent de l'Arche et entreprennent son transport jusqu'en Allemagne. Indy parvient à la récupérer mais celle-ci lui échappe à nouveau et lorsque Toht et son complice Dietrich l'ouvriront au cours d'une cérémonie mise en scène par Belloq, des phénomènes surnaturels anéantiront toute l'assemblée. Seuls, Indy et Marion, ayant fermé les yeux pendant cette manifestation divine, seront épargnés. L'Arche est ramenée aux États-Unis, classée "Secret Militaire" dans un vaste hangar qui en contient déjà des milliers... |
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Into The Wild | Into The Wild | USA | 2007 | Aventure | 147 min. |
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Disponible | 02 Anglais | 01 AVI | 18/04/2012 | |
Sean Penn | Emile Hirsch (Christopher Mccandless), Marcia Gay Harden (Billie Mccandless), William Hurt (Walt Mccandless), Jena Malone (Carine Mccandless), Brian Dierker (Rainey), Catherine Keener (Jan Burres), Vince Vaughn (Wayne Westerberg), Kristen Stewart (Tracy Tatro), Hal Holbrook (Ron Franz), Jim Gallien (Lui-Même), James J. O'Neill (L'Orateur À La Remise Des Diplômes), Malinda Mccollum (La Serveuse), Zach Galifianakis (Kevin), Paul Knauls (Le Chef De Chantier), Robin Mathews (Gall Borah), Steven Wiig (Le Ranger Du Ferry Steve Koehler), Candice Campos (La Fille Au Bar), Thure Lindhardt (Mads), Signe Egholm Olsen (Sonja), Floyd Wall (L'Homme Dans La Cabine Téléphonique), Bryce Walters (Chris Mccandless À L'Âge De 4 Ans), Jim Davis (Iii) (L'Officier De L'Immigration), Cheryl Francis Harrington (L'Assistante Sociale), R.D. Call (Bull), Leonard Knight (Lui-Même), Haley Ramm (Carine Enfant), Haley Sweet (Le Caissier De Banque), Dan Burch (Un Passant), Joe Dustin (La Bête), John Jabaley (Le Présentateur), Kathleen Mattice (Un Élève Du Lycée), J. Nathan Simmons (Un Touriste), Merritt Wever (Lori), Susan Spencer (Parent), Kyle Kwon (Ted Turner), Parris Mosteller (Young Boy (Voix)). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=110101.html | |||||
Tout juste diplômé de l'université, Christopher McCandless, 22 ans, est promis à un brillant avenir. Pourtant, tournant le dos à l'existence confortable et sans surprise qui l'attend, le jeune homme décide de prendre la route en laissant tout derrière lui. Des champs de blé du Dakota aux flots tumultueux du Colorado, en passant par les communautés hippies de Californie, Christopher va rencontrer des personnages hauts en couleur. Chacun, à sa manière, va façonner sa vision de la vie et des autres. Au bout de son voyage, Christopher atteindra son but ultime en s'aventurant seul dans les étendues sauvages de l'Alaska pour vivre en totale communion avec la nature. |
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Note de la presse : 4/5 Note des spectateurs : 4/5 (Pour 26590 notes : 63% de *****, 21% de ****, 2% de ***, 6% de **, 4% de *, 3% de °) Fiche technique : Récompenses : 2 prix et 9 nominations Distributeur : Pathé Distribution Box Office France : 1 412 977 entrées Année de production : 2007 Budget : 15 000 000 $ Date de sortie DVD : 16 juillet 2008 Langue : 02 Anglais Date de sortie Blu-ray : 20 juillet 2011 Format de production : 35 mm Colorimétrie : Couleur Format audio : DTS, SDDS, Dolby numérique Type de film : Long-métrage Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Secrets de tournage : |
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Ip Man | Ip Man | Chine/Hong-Kong | 2008 | Aventure | 105 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 01/12/2010 | |
Wilson Yip | Donnie Yen (Ip Man), Simon Yam (Zhou Qing Quan), Siu-Wong Fan (Jin Shan Zhao), Ka Tung Lam (Li Zhao), Yu Xing (Maître Zealot Lin), You-Nam Wong (Shao Dan Yuan), Chen Zhi Hui (Maître Liao), Lynn Hung (Zhang Yong Cheng), Hiroyuki Ikeuchi (Miura), Yu-Hang To (Hu Wei). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=146717.html | |||||
Film biographique sur la vie de Ip Man, un maître de Kung-Fu spécialisé dans le style Wing Chun et qui fut le mâitre de Bruce Lee. Dans les années 30, Ip Man vit à Foshan dans le sud de la Chine, lors de l'occupation japonaise. Face à ses indéniables talents en matière d'arts martiaux, les japonais lui demandent d'entraîner les soldats, ce qu'il refuse catégoriquement. Il va alors devoir lutter pour sa survie. | |||||
Note des spectateurs : 4/5 (Pour 306 notes : 78 % de *****, 12 % de ****, 6 % de ***, 3 % de **, 2 % de *) Fiche technique : Couleur Format du son : Dolby Digital DTS Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Format de production : 35 mm Tourné en : Chinois Secrets de tournage : Inspiré d'une histoire vraie Le film s'inspire de la vie d'Ip Man, un expert en Kung Fu Wing Chun. Durant la seconde guerre sino-japonaise, dans les années 30 et 40, face à son indéniable talent pour les arts martiaux, l'armée japonaise lui a demandé d'entraîner les soldats, ce qu'il refusa catégoriquement par patriotisme. Un peu plus tard, et suite aux tensions politiques régnant en Chine, Ip Man s'exile à Hong Kong. Sur place, il va enseigner son art à quelques disciples dans un restaurant, avant de créer une école et d'étendre son enseignement à plusieurs élèves, dont le célèbre Bruce Lee. Une première ! Bien qu'il soit très célèbre en Chine, c'est la première fois qu'un film basé sur la vie de Ip Man est réalisé. Mais il faut noter que Wong Kar-Wai est également en train de préparer un film sur le maître : The Grand Master, avec Tony Leung Chiu Wai en vedette. Des chorégraphes reconnus Les scènes de combat du film ont été chorégraphiées par Sammo Hung Kam-Bo et Tony Leung Siu-Hung. Ces deux derniers ont d'ailleurs déjà collaboré avec Wilson Yip et Donnie Yen sur SPL, mais en tant qu'acteurs. Récompenses Ip Man a été un immense succès au box office chinois et hong kongais. En 2009, le film a remporté le prix du meilleur film aux Hong Kong Awards. Sammo Hung Kam-Bo et Tony Leung Siu-Hung ont reçu celui de la meilleur chorégraphie pour un film d'action. Une suite de prévue Ip Man se centre sur la résistance du maître face aux japonais. Fort de son succès, une suite est déjà en tournage. Cette séquelle sera centrée sur la vie de Ip Man à Hong Kong et devrait donc voir apparaître le jeune Bruce Lee. Fidélité Dans le rôle de Ip Man, on retrouve la star hong kongaise des films d'action, Donnie Yen, alors que Wilson Yip s'est occupé de la réalisation. Avec ce film, c'est la quatrième fois que les deux hommes travaillent ensemble, après SPL en 2005, Dragon Tiger Gate en 2006 et Flashpoint en 2007. Un compositeur de talent L'homme à l'origine de la bande originale du film n'est autre que le compositeur japonais Kenji Kawai, célèbre pour avoir signé la musique de films tels que Ghost in the Shell, Ring, Avalon... C'est la deuxième fois qu'il travaille avec Wilson Yip et Donnie Yen puisqu'en 2006 il s'était chargé de la bande originale de Dragon Tiger Gate. |
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Jungle | Jungle | USA | 2017 | Aventure | 115 min. |
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Vu mais non dispo | 02 Anglais | 11/03/2018 | ||
Greg McLean | Daniel Radcliffe, Alex Russell, Thomas Kretschmann, Yasmin Kassim, Joel Jackson, Lily Sullivan, Jacek Koman, Luis Jose Lopez | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=107637.html | |||||
In the pursuit of self-discovery and authentic experiences, the Israeli backpacker, Yossi Ghinsberg, meets a cryptic Austrian geologist in La Paz, Bolivia, and captivated by his engrossing stories of lost tribes, uncharted adventures and even gold, decides to follow him, circa 1981. Without delay and accompanied by the good friends, Kevin, an American photographer, and Marcus, a Swiss teacher, they join an expedition led by their seasoned trail-leader, deep into the emerald and impenetrable Amazonian rainforest. However, as the endless and inhospitable jungle separates the inexperienced team, before long, Yossi will find himself stranded in the depths of a nightmarish environment crawling with formidable and tireless adversaries. How can one escape this green maze? | |||||
You like movies about survival, Adventure, Friendship, what's it like to live for days in a jungle? Welcome to the Jungle of Bolivia and believe me, this is one ride you'd never forget. Saw this movie today and I totally fell flat on my nose for how brilliantly it was made. The Cinematography, camera angles, music, direction etc.., everything is beyond par! I really felt like I was lost in a jungle, felt every pain, agony, despair and what not. It's so well made that you'd think you are right there with them! I've seen a lot of survival movies and without a shadow of doubt, this by far is the best in 2017. If you're looking for mindless action, please ignore this. You really need to go skin deep into the dialogues, scenes and ambiance to get a feel of how brilliant this movie is. 10/10 for me! |
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Lion | Lion | USA | 2017 | Aventure | 118 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 08/03/2017 | |
Garth Davis | Dev Patel, Rooney Mara, Nicole Kidman | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=229070.html | |||||
Une incroyable histoire vraie : à 5 ans, Saroo se retrouve seul dans un train traversant l’Inde qui l’emmène malgré lui à des milliers de kilomètres de sa famille. Perdu, le petit garçon doit apprendre à survivre seul dans l’immense ville de Calcutta. Après des mois d’errance, il est recueilli dans un orphelinat et adopté par un couple d’Australiens. 25 ans plus tard, Saroo est devenu un véritable Australien, mais il pense toujours à sa famille en Inde. Armé de quelques rares souvenirs et d’une inébranlable détermination, il commence à parcourir des photos satellites sur Google Earth, dans l’espoir de reconnaître son village. Mais peut-on imaginer retrouver une simple famille dans un pays d’un milliard d’habitants ? |
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L’histoire de ce jeune Indien, égaré à Calcutta et adopté en Australie, atteint des sommets mélodramatiques. Avec ses six nominations aux oscars, dont celui du meilleur film, Lion de Gareth Davies n’est peut-être pas tout à fait en mesure de supplanter la vague La La Land ou Moonlight, mais il peut toujours y avoir des surprises, surtout quand on sait que le film est produit par Harvey Weinstein, faiseur de roi dans «l’oscar circus» depuis longtemps. Le film est un mélo dickensien pas possible : le truc, inspiré d’une histoire vraie, vous essore dans tous les sens et vous ne pouvez pas faire grand-chose à part vous éponger le visage avec des serpillières ultra-absorbantes. Qu’on en juge : Saroo, 5 ans, petit garçon adorable et pauvre dans un village de l’Etat du Madhya Pradesh, se perd un soir qu’il accompagne son frère aîné Guddu dans une gare. Monté dans un train à l’arrêt, il s’est endormi sur une banquette et se réveille à Calcutta, à 1 500 kilomètres de chez lui. Livré à lui-même (on est dans l’Inde du début des années 80), sans moyen de se faire comprendre (il parle hindi et non le bengali de Calcutta), il survit avec d’autres enfants des rues, est récupéré par la police après des mois d’errance et placé dans un orphelinat d’où il sera expédié en Tasmanie, pour y être adopté par un couple australien, les Hobart. Le gamin va ainsi grandir dans une culture, un milieu social complètement différent de celui d’où il vient, surmontant par force l’arrachement à ses proches perdus de vue au gré d’une odyssée de l’éloignement tout à fait stupéfiante. Devenu adulte, Saroo passe l’essentiel de ses loisirs à zoomer sur Google Earth à la recherche des vagues points d’accroches localisables de sa mémoire traumatisée. Gareth Davies avait signé quelques-uns des épisodes de l’excellent Top of the Lake, la série de Jane Campion. On le sent attentif à ne pas manipuler trop grossièrement le spectateur, au vu de la densité en sucre rapide mélodramatique que contient ce récit. La deuxième partie avec Dev Patel (révélé dans Slumdog Millionaire et qui semble passer beaucoup de temps en salle de gym) est moins convaincante que la première, avec Sunny Pawar, un enfant d’un quartier pauvre de Bombay choisi parmi 2 000 autres et trimballé depuis de plateaux télé en fêtes à Hollywood et jusqu’à la Maison Blanche, où il a pu rencontrer Obama. |
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Little Big Man | Little Big Man | USA | 1970 | Aventure | 147 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 19/04/2004 | |
Arthur Penn | Dustin Hoffman, Martin Balsam, Faye Dunaway, Richard Mulligan, Amy Eccles, Jeff Corey | ||||
http://www.cinemovies.fr/fiche_film.php?IDfilm=8249 | |||||
Jack Crabb a cent vingt-et-un ans. Dans son asile de vieillards, il se souvient... Rescapé d'un massacre alors qu'il était encore un petit enfant, Jack est élevé par les Cheyennes qui lui donnent le nom de " Little Big Man". Revenu parmi les Blancs dans son adolescence, il est pris en charge par un pasteur, Mr. Pendrake, et son épouse, désireux de donner à ce sauvage une éducation chrétienne. Cependant, le jeune homme n'apprendra pas que la religion auprès de Mrs. Pendrake: au cours d'un bain mémorable, il commencera aussi ses expériences sentimentales. Ensuite Jack Crabb s'essaie à divers métiers: charlatan, tireur au pistolet, épicier. Il épouse une Suédoise, Olga, qui se fait enlever par les Indiens peu après les noces. De retour chez les Cheyennes, il se marie avec une Indienne, Sunshine... et ses trois soeurs, mais sa femme et son fils seront massacrés sous ses yeux par Custer et ses hommes à la rivière Washita. Balloté d'un camp à l'autre, Jack Crabb assiste à la déchéance de la civilisation blanche et à la destruction du peuple indien. Une seule consolation pour lui: avoir vu mourir Custer à la bataille de Little Big Horn dont il se dit être le dernier survivant. |
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Little Buddha | Little Buddha | France/USA | 1993 | Aventure | 135 min. |
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Disponible | 01 Français | 02 MKV | 26/07/2017 | |
Bernardo Bertolucci | Keanu Reeves, Ruocheng Ying, Bridget Fonda, Chris Isaak, Alex Wiesendanger, Raju Lal, Sogyal Rinpoche, Jo Champa | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=8832.html | |||||
Jesse Conrad, neuf ans, vit à Seattle avec un père ingénieur, Dean, et une mère enseignante, Lisa. Un jour, ils reçoivent la visite surprise d'une délégation de moines bouddhistes venue du royaume himalayen du Bhoutan sous la conduite du lama Norbu et de son adjoint Champa. Les moines sont persuadés que Jesse pourrait être la réincarnation d'un de leurs plus éminents chefs spirituels. | |||||
Dans un dèluge d'images rouge et or, le prince oriental Siddhârta se lance dans une spectaculaire quête mystique! Deux mille cinq cents ans plus tard, des moines tibètains visitent une famille bourgeoise amèricaine (sublime Bridget Fonda) dont le jeune fils qui pourrait être la rèincarnation d'un grand lama! Dècidè à s'adresser d'abord aux enfants, Bernardo Bertolucci a choisi de raconter le destin du prince Siddhârta (le futur Bouddha) a travers les yeux èmerveillès d'un petit amèricain qui dècouvre cette lègende dans un livre! Serait-il devenu bouddhiste? C'est en tout cas à la dècouverte de cette religion sans dieu qu'il invite dans cette double èpopèe spirituelle! Bertolucci a longtemps cherchè en Inde l'acteur idèal pour incarner le jeune prince Siddhârta avant de rencontrer Keanu Reeves, ascendance chinoise, hawaïenne et europèenne, qui a tout de suite frappè le cinèaste italien pour son extrême candeur! Le visage, les yeux, les mouvements de Keanu reflètent la plus parfaite innocence! Bertolucci clôt ici sa trilogie orientaliste sur ce magnifique voyage dans le temps et l'espace des origines de la foi bouddhique... |
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Milarépa, la voie du bonheur | Milarepa | ++ Autres | 2006 | Aventure | 90 min. |
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Disponible | 05 Autres | 01 AVI | 30/08/2017 | |
Neten Chokling | Jamyang Lodro, Orgyen Tobgyal, Kelsang Chukie Tethtong | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=120322.html | |||||
Mille ans après sa mort, l'histoire initiatique de Milarépa fait partie du patrimoine spirituel mondial.Tibet, 11ème siècle, originaire d'une famille de riches marchands, Milarépa mène une enfance privilégiée. Sur son lit de mort, le père confie la richesse familiale à son frère jusqu'à la majorité de Milarépa.Cependant, l'oncle s'arroge la fortune familiale et exploite la nouvelle misère de Milarépa, sa mère et sa jeune soeur, quasiment réduits en esclavage. Humiliée et désespérée, la mère projette de venger cette injustice en instrumentalisant son fils dévoué. Après avoir vendu son dernier champ, elle envoie Milarépa en apprentissage auprès du maître Yongten Trogyal afin qu'il l'initie à la magie noire. Aidé par les démons, il invoque un sortilège et détruit une partie du village, tuant une trentaine de personnes. Immédiatement, une foule en colère le poursuit. Pour échapper à une mort certaine, Milarépa trouve refuge auprès d'un vieux moine bouddhiste.Alors que la vengeance a rempli sa mère de joie, le sang sur les mains de Milarépa ne lui laisse plus de paix. C'est à ce moment qu'il reçoit le conseil qui changera le cours de sa vie : "Les ennemis naissent de ton esprit. Pour les vaincre, cesse les actions négatives, cultive les actions positives et maîtrise ton esprit..." | |||||
Voici donc le troisième film réalisé au Bhoutan, ce petit royaume himalayen devenu par la force de l'Histoire, le conservatoire de la civilisation tibétaine qui agonise dans son propre pays sous notre regard apitoyé mais vite détourné. Milarepa est une grande figure du bouddhisme tibétain et Neten Chokling a entrepris de raconter la vie de ce personnage en deux parties, la seconde partie, promise pour 2011, n'étant finalement jamais sortie. Thopaga (ainsi s'appelait-il avant de prendre le nom de Milarepa) vivait au 11e siècle dans un petit village de l'Himalaya et son père était riche. Malheureusement, celui-ci mourut prématurément, après avoir eu la mauvaise idée de confier ses biens et sa famille à son frère et à sa belle-soeur, deux rapaces au coeur sec. Le jeune garçon, sa mère et sa soeur furent spoliés et réduits à une vie de misère, moins bien nourris que le chien! La mère envoya donc Thopaga étudier la sorcellerie dans le but d'acquérir les moyens de punir leurs ennemis. Le jeune homme obéit et revint pour déchaîner sur le village la foudre de la vengeance. Mais ceux qui en réchappèrent l'obligèrent à fuir et surtout, le remords ne lui laissa plus de repos. Son maître spirituel lui conseilla alors de renoncer à l'action négative pour se tourner vers les actes positifs, seule source de bonheur. Thopaga prit donc la route pour accomplir son destin. Toute imprégnée d'une atmosphère mystérieuse où la vie la plus quotidienne côtoie un surnaturel qui semble n'étonner personne, cette histoire nous transporte à la fois à travers le temps et l'espace. Les paysages himalayens, grandioses, austères et magnifiques, nous font comprendre comment la spiritualité a pu naître chez ceux qui côtoyaient en permanence tant de beauté. Faites un geste concret pour aider les Tibétains : allez voir le film de Neten Chokling, moine bouddhiste, acteur (dans "La coupe" en 1999) et désormais réalisateur, afin qu'il puisse nous offrir la suite de cette aventure humaine et spirituelle. |
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Mission (la) | News of The World | USA | 2020 | Aventure | 119 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 07/09/2021 | ||
Paul Greengrass | Tom Hanks, Helena Zengel, Elizabeth Marvel, Ray McKinnon, Mare Winningham, Thomas Francis Murphy, Bill Camp, Gabriel Ebert | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=256220.html | |||||
Cinq ans après la fin de la Guerre de Sécession, le capitaine Jefferson Kyle Kidd, vétéran de trois guerres, sillonne le pays de ville en ville en qualité de rapporteur public et tient les gens informés, grâce à ses lectures, des péripéties des grands de ce monde, des querelles du gratin, ainsi que des plus terribles catastrophes ou aventures du bout du monde. En traversant les plaines du Texas, il croise le chemin de Johanna, une enfant de 10 ans capturée 6 ans plus tôt par la tribu des Kiowa et élevée comme l’une des leurs. Rescapée et renvoyée contre son gré chez sa tante et son oncle par les autorités, Johanna est hostile à ce monde qu’elle va devoir rejoindre et ne connait pas. Kidd accepte de la ramener à ce domicile auquel la loi l’a assignée. Pendant des centaines de kilomètres, alors qu’ils traversent une nature hostile, ils vont devoir affronter les nombreux écueils, aussi bien humains que sauvages, qui jalonnent la route vers ce que chacun d’entre eux pourra enfin appeler son foyer. | |||||
Magnifiques paysages, quête de rédemption, récit initiatique et règlements de comptes : tous les ingrédients conventionnels du western sont réunis dans La Mission, adaptation du roman Des nouvelles du monde de Paulette Jiles. |
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Mon Oncle Benjamin | Mon Oncle Benjamin | France | 1969 | Aventure | 90 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 25/12/2010 | |
Edouard Molinaro | Jacques Brel (Benjamin), Claude Jade (Manette), Bernard Alane (Hector De Pont-Cassé), Robert Dalban (L'Aubergiste), Paul Frankeur (Minxit), Lyne Chardonnet (Arabelle), Rosy Varte (Bettine), Bernard Blier (Cambyse), Armand Mestral (Machecourt), Alfred Adam (Le Sergent), Gérard Boucaron (Monsieur Fata), Luce Fabiole (Une Vieille Femme), Henri Guégan (Un Domestique), Guy Delorme (Un Laquais), Daniela Surina (La Marquise De Cambyse), Eric Vasberg (Un Laquais), Christine Aurel (Madame Chapelle), Pippo Merisi (Monsieur Bonteint), Dominique De Keuchel (Gaspard, Neveu De Benjamin), Paul Préboist (Parlenta), Yvon Sarray (Le Mari), Jacques Provins (Le Domestique De Minxit). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=4091.html | |||||
Dans la France d'avant la Révolution française, Benjamin Rathery est médecin de campagne doublé d'un bon vivant. Volontiers frondeur, il s'attaque aux noblions, frôle les galères et chavire les coeurs. | |||||
Note des spectateurs : 4/5 (Pour 96 notes : 77 % de *****, 15 % de ****, 8 % de ***, 0 % de **, 0 % de *) Fiche technique : Couleur Format du son : Mono Format de projection : 1.33 : 1 Format de production : 35 mm Secrets de tournage : Lieux de Tournage Le film a été tourné :sur le causse Méjan, en Lozère,en Bourgogne à Vézelay et aux environs de Corbigny, et à l'abbaye de Royaumont, et pour la toute dernière scène, en forêt de Rambouillet dans la vallée de Chevreuse |
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Nom de la Rose (le) | Nom de la Rose (le) | France | 1986 | Aventure | 131 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 25/07/2013 | |
Jean-Jacques Annaud | Sean Connery (Guillaume de Baskerville), Christian Slater (Adso de Melk), Helmut Qualtinger (Remigio de Varagine), Elya Baskin (Severinus), Valentina Vargas (la fille), Michael Lonsdale (l'abbé), William Hickey (Ubertino de Casale), Feodor Chaliapin Jr (Jorge de Burgos), Michael Habeck (Berengar), Urs Althaus (Venantius), Ron Perlman (Salvatore), Leopoldo Trieste (Michele de Cesena), Franco Valobra (Jérôme de Kaffa), F. Murray Abraham (Bernardo Gui), Lucien Bodard (le cardinal Bertrand), Kim Rossi Stuart (un novice), Vernon Dobtcheff (Hugh de Newcastle), Andrew Birkin (Cuthbert de Winchester), Volker Prechtel (Malachia), Donald O'Brien (Pietro d'Assisi), Peter Berling (Jean d'Annaux), Pete Lancaster (l'évêque d'Alborea), Ludger Pistor (un moine), Mark Bellinghaus (Acteur), Peter Welz (Nero). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=2402.html | |||||
En l'an 1327, dans une abbaye bénédictine, des moines disparaissent. Un franciscain, Guillaume de Baskerville aidé du jeune novice Adso von Melk mène l'enquête. C'est l'époque ou l'Eglise, en pleine crise, se voit disputer son pouvoir spirituel et temporel. C'est aussi l'apogée de l'inquisition. Un thriller moyenageux très attendu préparé avec soin pendant trois ans, respectant le mieux possible l'époque et qui a coûté la bagatelle de dix-neuf millions de dollars. C'est également un film de Jean-Jacques Annaud toujours passionnément entraîné par ses sujets. | |||||
Note de la presse : 4,8/5 Fiche technique : Récompenses : 3 récompenses Distributeur : Artistes Auteurs Associés (A.A.A.) Box Office France : 4 959 436 entrées Année de production : 1986 Budget : 20 000 000 $ Date de sortie DVD : 6 octobre 2004 Langue : 02 Anglais Colorimétrie : Couleur Type de film : Long-métrage Secrets de tournage : |
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Oracle (l') | The Physician | USA | 2013 | Aventure | 155 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 06/01/2016 | |
Philipp Stölzl | Tom Payne (II) (Rob Cole), Ben Kingsley (Ibn Sina), Stellan Skarsgård (Bader), Olivier Martinez (Schah Ala ad-Daula), Emma Rigby (Rebecca), Elyas M'Barek (Karim), Makram Khoury (Imam), Michael Marcus (Mirdin), Michael Jibson (Stratford Monk), Stanley Townsend (Bar Kappara), Mohamen Mehdi Ouazanni (Mirdin's Father), Adam Thomas Wright (Young Rob Cole), Mourad Zaoui (The shah messenger), Manuela Biedermann (Older Whore), Natalia Witmer (Mirdin's Sister), Tom Paladin Bareck (Man), Fahri Yardim (Davoud Hossain). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=207809.html | |||||
Londres, début du XIème siècle. Le jeune Rob Cole découvre à la disparition de sa mère qu’il possède un don particulier lui permettant de ressentir par le toucher l’imminence de la mort. Seul et sans ressource, c’est auprès d’un barbier ambulant qu’il découvre l’art de guérir. Se jurant de devenir médecin et de vaincre la mort elle-même, il décide de se rendre en Perse afin d’étudier auprès du « prince des savants », Avicenne. Face aux invasions barbares, aux guerres de religion, et aux épidémies dévastatrices, parviendra-t-il à accomplir son destin ? | |||||
Note des spectateurs : 3,5/5 (Pour 55 notes : 8% de *****, 62% de ****, 8% de ***, 15% de **, 8% de *, 0% de °) Fiche technique : Distributeur : Condor Entertainment Année de production : 2013 Date de sortie DVD : 4 janvier 2016 Langue : 02 Anglais, Allemand Date de sortie Blu-ray : 4 janvier 2016 Colorimétrie : Couleur Type de film : Long-métrage |
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Prophétie des Andes (la) | Celestine Prophecy (the) | USA | 2006 | Aventure | 99 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 09/03/2010 | |
Armand Mastroianni | Matthew Settle, Thomas Kretschmann, Sarah Wayne Callies | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=111726.html | |||||
A l'origine, un manuscrit fabuleux rédigé 600 ans avant Jésus Christ et une prophétie : notre société va subir un grand bouleversement. Intrigué, le héros de cette histoire s'envole pour le Pérou à la recherche du mystérieux grimoire, objet de toutes les convoitises, qui va transformer sa vie. Commence alors une aventure magique et enchanteresse, une dangereuse initiation : une quête en neuf étapes qui le mène au sommet des Andes au coeur de la forêt amazonienne sur la voie des révélations de la vie... | |||||
Pour celles et ceux qui ne connaissent pas, ce peut être une bonne occasion d'en savoir plus en lisant le roman, car le film ne fait que survoler l'histoire.. on passe quasiment de le 1ère à la 8ème prophétie, presque sans transition ! Il eût fallu au moins 3 parties comme pour "Le Seigneur des Anneaux", et des moyens plus considérables, au moins ce film a le mérite d'exister et de donner envie de se (re)plonger dans ce best-seller vendu à plus de vingt millions d’exemplaires dans plus de trente-cinq pays.. "La prophétie des Andes" est un "roman fantastique" appelant à une plus grande ouverture au moment présent et aux signes qui nous sont envoyés afin de nous guider dans notre vie. C'est l’histoire d’un homme qui part au Pérou afin de découvrir les révélations contenues dans un ancien manuscrit. Cet homme, embarqué "au hasard" dans cette aventure extraordinaire, comprend peu à peu le sens des évènements qu’il traverse et donc, le sens de la vie. Mêlé à de surprenantes aventures, il prend conscience de l’énergie divine qui coordonne le monde, bien au-delà de ce que les humains peuvent "voir". |
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Sept ans au Tibet | Seven Years in Tibet | UK/USA | 1997 | Aventure | 135 min. |
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Disponible | 01 Français | 02 MKV | 06/02/2016 | |
Jean-Jacques Annaud | Brad Pitt, David Thewlis, Jamyang Wangchuck, B.D. Wong, Victor Wong, Tenzin Jangchub, Mako, Lhakpa Tsamchoe | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=9104.html | |||||
A la fin de l'été 1939, l'alpiniste autrichien Heinrich Harrer, premier vainqueur de la face Nord de l'Eiger et qui rêve de conquérir le Nanga Parbat, sommet inviolé de l'Himalaya, accepte de l'argent nazi pour y planter le drapeau à croix gammée. La guerre éclate. Prisonnier des Britanniques à la frontiere de l'Inde, il s'évade. Commence alors la véritable aventure de sa vie: une longue errance qui se termine a Lhassa, résidence du jeune dalai-lama avec qui il se lie d'amitié. | |||||
Sept ans au Tibet est l'adaptation du roman du même nom qui est un roman autobiographique de Heinrich Harrer, alpiniste Autrichien qui fit la rencontre du dalaï-lama . Tout commence en 1939 ou il part explorer l'Himalaya pour le Reich, mais son expédition ne va pas se passer comme prévu ou il sera fait prisonnier par les Britanniques . A partir de la va commencer une grande aventure, de l'Inde jusqu'au Tibet . Un voyage qui nous mène dans des paysages magnifiques en compagnie d'un Brad Pitt vraiment bon, un voyage humain ou la guerre fait rage et ou l'on rencontrera un jeune Dalaï-lama plein de sagesse . Ce film est plus qu'un simple voyage, c'est une épopée rafraichissante dans les hautes montagnes du Tibet . C'est beau et parfois touchant, les acteurs sont excellents et la réalisation formidable, Alors il est vrai que le film est très romancé, le personnage de Harrer était un nazi, dans le film on dirait plus qu'il est contre le nazisme avec la scène du début ou il semble se forcer a prendre un petit drapeau a croix gammée . Mais qu'importe l'essentiel dans ce film est que Jean-Jacques Annaud arrive a offrir deux choses, une grande aventure dépaysante et une dénonciation de l’oppression Chinoise sur le Tibet, et le fait avec brio . |
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The Way, La route ensemble | The Way | USA | 2010 | Aventure | 128 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 02/06/2018 | |
Emilio Estevez | Martin Sheen, Emilio Estevez, Deborah Kara Unger | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=134076.html | |||||
Tom Avery, médecin américain à l’existence confortable, se rend d’urgence en France où son fils Daniel vient de disparaître lors d’un accident en montagne. Il découvre sur place que ce fils qu’il n’a jamais compris avait entrepris le pèlerinage de Compostelle. Tom décide alors de prendre le « camino ». Sur sa route, il croise Jack l’irlandais, Sarah la canadienne ou encore le hollandais Joost, pèlerins aux caractères bien trempés. D’abord fuyant, Tom s’ouvre pas à pas, à mesure qu’il apprend enfin à « marcher ensemble ». | |||||
Ce road-movie pédestre distille ses charmes doucement, mais sûrement, tout en évitant le piège du pathos et de l’excès de religiosité. Sympathique, malgré une durée excessive. Très pieux, Martin Sheen n’a jamais caché sa ferveur catholique, au point de souhaiter rencontrer le pape, de visiter la grotte de Lourdes et même d’entamer le pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle avec son petit-fils durant l’été 2003. N’ayant pas eu le temps de parcourir l’intégralité du chemin pour des raisons professionnelles, l’acteur s’était juré de revenir plus longuement dans cette région d’Espagne qui l’a séduit. Ce sont ces raisons purement personnelles qui ont poussé Emilio Estevez (fils de Sheen) à s’emparer du roman de Jack Hitt qui se déroule justement sur le chemin de Compostelle. Cette très belle histoire raconte le parcours atypique d’un homme qui vient identifier le cadavre de son fils, mort en plein pèlerinage. Afin de respecter la mémoire de sa progéniture, l’homme entame alors un périple de plus de 800 kilomètres à pied afin de faire La route ensemble une dernière fois. Sur ce canevas chargé en pathos, le pire était à craindre de la part d’un réalisateur très croyant qui risquait de se laisser aller à un prosélytisme de mauvais aloi. Heureusement pour le spectateur, il n’en est rien. Dès le départ, The Way se débarrasse de la question religieuse en insistant davantage sur le parcours personnel d’un homme tenant à accompagner son fils lors de son dernier voyage avant la dispersion de ses cendres. Si l’on note bien ça et là quelques réflexions sur la spiritualité et une déférence générale envers l’Eglise – qui, au passage, a autorisé pour la première fois une équipe de cinéma à filmer l’intérieur de la cathédrale Saint-Jacques – le propos du cinéaste se veut à la fois plus général (il s’agit de parler de la filiation) et plus intime (qu’est-ce qui rattache chacun de nous à l’existence ?). Grâce à la sobriété de jeu de Martin Sheen et à l’implication de ses compagnons de route qui viennent se greffer à sa marche rédemptrice (excellent James Nesbitt et formidable Deborah Kara Unger en femme blessée par la vie), The Way n’est jamais pontifiant, préférant se lover dans une ambiance à mi-chemin entre comédie sympathique et drame intimiste. Certes, on peut reprocher au cinéaste un excès de confiance envers la richesse émotionnelle de son histoire et trouver les deux heures dix de ce road-movie pédestre un peu longues, mais le charme opère tout de même grandement. Il faut simplement se laisser emporter par la beauté des paysages traversés et, tout comme dans The Wild de Sean Penn, se prendre au jeu du globe-trotter qui redécouvre le monde sous un angle différent. La pause que nous offre The Way est donc loin d’être désagréable. |
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Cent mille dollars au soleil | Cent mille dollars au soleil | Italie, France | 1964 | Aventure | 130 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 25/12/2010 | |
Henri Verneuil | Jean-Paul Belmondo (Rocco), Lino Ventura (Hervé Marec Dit 'Le Plouc'), Bernard Blier (Mitch-Mitch), Andrea Parisy (Pepa), Gert Fröbe (Castigliano), Reginald Kernan (Hans Steiner), Doudou Babet (Khenouche, Le Serveur Chez Halibi), Pierre Mirat (Halibi, Le Sourdingue), Anne-Marie Coffinet (Angèle Bameste, La Jeune Femme Volage), Henri Lambert (Le Client Chez Orlando), Pierre Collet (Un Ouvrier Chez Castigliano), Jacky Blanchot (Un Consommateur Chez Halibi), Louis Bugette (Orlando, Le Bistrot), Christian Brocard (Un Mécano Du 'Plouc'), Marcel Bernier (Marcel, Un Garagiste Chez Castigliano), Paul Bonifas (Le Docteur Magnart, Ex Professeur), Marcel Policard (Le Routier Du Raccourci). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=6946.html | |||||
Aux portes du désert, Castigliano dirige une entreprise de transports routiers. Hans doit conduire un chargement clandestin de cent mille dollars au coeur de l'Afrique. L'apprenant, Rocco élimine le chauffeur, vole son véhicule et part avec sa complice. Castigliano promet alors une forte récompense à Marec s'il récupère le camion. Commence une folle poursuite... | |||||
Note des spectateurs : 4/5 (Pour 422 notes : 49 % de *****, 39 % de ****, 7 % de ***, 0 % de **, 5 % de *) Fiche technique : N&B Format du son : Mono Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Format de production : 35 mm Tourné en : Français Secrets de tournage : A propos de l'auteur Sorti le 17 avril 1964, Cent mille dollars au soleil est l'adaptation de "Nous n'irons pas au Nigéria", un roman de Claude Veillot paru en 1962. Veillot, qui fit ici ses premiers pas dans le monde du cinéma, deviendra par la suite l'un des collaborateurs privilégiés d'Yves Boisset. C'est à lui que l'on doit notamment les scénarios du Le Juge Fayard dit le shérif et de R.A.S.. Acteur fétiche Quelques mois après la fin du tournage de Cent mille dollars au soleil, Henri Verneuil retrouva Jean-Paul Belmondo pour Week-end à Zuydcoote. Au total, l'acteur joua 7 fois sous la direction du cinéaste. Opération restauration Soucieuse de préserver son patrimoine cinématographique, la Gaumont a choisi de restaurer entièrement certains films de son catalogue avec un haut standard de qualité audio et vidéo. En marge de ressorties en salles sont donc sortis en DVD Les Tontons flingueurs ainsi que les Les Barbouzes. Tout comme l'édition de Cent mille dollars au soleil, ceux-ci bénéficient d'un label THX, certifiant la qualité du traitement audio et vidéo. Dans le cadre des ressorties en salle, à raison d'une par mois, Gaumont a signé avec les laboratoires Eclair un accord pour la restauration numérique de 150 films sur 30 mois. Cela se traduit pour Eclair par la mise en oeuvre d'une filière de traitement 2K pour 50 de ces films promis à une ressortie numérique en salles et d'une filière HD pour les 100 autres films promis quant à eux à une exploitation TV. Chacun des 150 films disposera de deux masters HD, un à 24 i/s (image / seconde) et un à 25 i/s, permettant à Gaumont de répondre à toutes les formes d'exploitation vidéo. Le tournage Le film fut tourné entre la France et le Maroc, "sur les traces de Lawrence d'Arabie" comme le disait Henri Verneuil, plus particulièrement à Marrakech et dans l'oasis de Ouarzazate. Pour éviter de multiplier des allers-retours longs et coûteux des camions entre la France et le Maroc, la production disposait des mêmes 30 tonnes des deux côtés de la Méditerranée. Une logistique lourde mais indispensable à la réalisation d'un western à la française. Partie de carte enflammée Le soir, après le tournage, les comédiens se retrouvaient pour dîner et jouer aux cartes. Les repas étaient placés sous le signe de la convivialité. Mais, au cours de ces parties, le ton changeait. Les joueurs avaient pris l'habitude de s'insulter avec la dernière des grossièretés tout en gardant un calme olympien. Bernard Blier excellait dans cette étrange discipline. Une fois la partie achevée, les acteurs redevenaient les meilleurs amis du monde. Du scandale au succès Cent mille dollars au soleil représenta la France au Festival de Cannes 1964 aux côtés de La Peau douce de François Truffaut et Les Parapluies de Cherbourg de Jacques Demy, qui décrocha la Palme d'or. Sur la Croisette, la critique française et internationale se montra particulièrement dure avec le film, le jugeant vulgaire et colonialiste. Pour beaucoup, Cent mille dollars au soleil n'était qu'un sous Salaire de la peur. De retour à Paris, la virulence laissa place à l'enthousiasme. Les journalistes voyaient finalement dans le film un solide divertissement. Le public, quant à lui, lui réserva un bon accueil, avec 3 400 000 spectateurs en France. Cette année-là, Le Gendarme de Saint-Tropez s'octroya la première du box-office national avec 7 800 000 entrées. L'équipe du film Avec Cent mille dollars au soleil, Lino Ventura et Jean-Paul Belmondo font équipe pour la seconde et dernière fois. Les deux comédiens s'étaient donné la réplique dans Classe tous risques de Claude Sautet. Par ailleurs, le 1er assistant du film n'est autre que Claude Pinoteau, qui allait devenir réalisateur en 1973 avec Le Silencieux, un ambitieux film d'espionnage dont la vedette était Lino Ventura. Les deux hommes se retrouveront par la suite pour La Gifle, L'Homme en colère et La 7ème cible. |
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Chair Et Le Sang (la) | Flesh And Blood | USA | 1985 | Aventure | 126 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 23/01/2007 | |
Paul Verhoeven | Rutger Hauer (Martin), Jennifer Jason Leigh (Agnès), Tom Burlinson (Steven), Jack Thompson (Hawkwood), Fernando Hilbeck (Arnolfini), Susan Tyrrell (Céline), Ronald Lacey (Cardinal), Brion James (Karsthans), John Dennis Johnston (Summer), Simon Andreu (Miel), Bruno Kirby (Orbec). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=52650.html | |||||
Au XVIème siècle, une bande de mercenaires, s'estimant lésés par un seigneur, enlèvent et violent la promise de son fils avant de semer la terreur dans son château. | |||||
Fiche technique : Couleur Format du son : Dolby Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais |
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Chemins de la liberté (les) | The Way Back | USA | 2010 | Aventure | 134 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 16/08/2016 | |
Peter Weir | Jim Sturgess, Ed Harris, Saoirse Ronan, Colin Farrell, Mark Strong, Gustaf Skarsgård, Alexandru Potocean, Sebastian Urzendowsky | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=140000.html | |||||
En 1940, une petite troupe de prisonniers décide de s’évader d’un camp de travail sibérien.Pour ces hommes venus de tous les horizons, s’échapper de cet enfer ne sera que le début de l’aventure…Ensemble, ils vont parcourir plus de 10 000 kilomètres, à travers la toundra sibérienne glacée, traversant les plaines de Mongolie, les fournaises du désert de Gobi puis les sommets de l’Himalaya pour franchir la Grande Muraille de Chine.Certains s’arrêteront en chemin, d’autres ne survivront pas aux épreuves. L’Inde - alors sous contrôle 02 Anglais - est le but ultime.vMais la route est longue, les rencontres risquées, les conditions physiques épouvantables, et chacun a ses secrets… | |||||
Le road-movie pédestre est un genre délicat. Dans le meilleur des cas, il suppose une incertitude et une forme d’errance où s’estompe peu à peu la notion de destination. Le nouveau film de Peter Weir n’appartient pas à la même logique. Il raconte la cavale homérique d’évadés du goulag depuis la Sibérie jusqu’aux contreforts de l’Himalaya indien, soit une chouette balade de plusieurs milliers de kilomètres à pinces et sans gourde. Si ces braves gens ont choisi la direction du Sud, c’est que toutes les autres sont encombrées de nazis ou d’armée Rouge puisque nous sommes en 1941. Et le film s’en tient là. S’il ne vient à l’idée de personne de contester la pénibilité de l’entreprise en question, toute la dramaturgie tient dans son énoncé. Les péripéties et les rencontres deviennent anecdotiques, les relations entre personnages sont prévisibles et ne semblent servir qu’à donner du rythme à ce Koh Lanta de l’évasion. Certes, les paysages sont magnifiques, du lac Baïkal jusqu’aux cols du Tibet en passant par les dunes du désert de Gobi, et c’est d’ailleurs une relative surprise de voir National Geographic en coproducteur du film, mais l’exposition sur tous les modes de la souffrance physique et morale qui étreint les participants au marathon finit par rapidement tourner à vide. Le film n’est pas déshonorant pour autant, et Weir touche parfois des zones sensibles inattendues. Comme le franchissement de la frontière entre l’Union soviétique et la Mongolie, simple poteau de fer rouillé planté dans un océan de caillasses. On peut aussi se montrer sensible à la composition des comédiens qui ont l’air d’en avoir bavé des ronds de chapeaux, à commencer par Ed Harris, toujours impérial, dont le masque de douleur et la sécheresse font singulièrement écho à Viggo Mortensen dans la Route. Plus incertain, Colin Farrell, supposément un voyou moscovite chatouilleux du surin (en dépit du fait qu’il s’exprime en 02 Anglais), n’a pas forcément eu raison de se brosser les dents à la suie pour composer son personnage. |
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Deux Frères | Deux Frères | France | 2004 | Aventure | 109 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 10/05/2005 | |
Jean-jacques Annaud | Guy Pearce , Jean-claude Dreyfus , Philippine Leroy-beaulieu , Freddie Highmore | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=48229.html | |||||
Deux tigres, deux frères. Auprès de leurs géniteurs, au coeur de la jungle indochinoise, Koumal, le courageux, et Sangha, le timoré, coulent des jours heureux. A l'autre bout du monde, un chasseur reconnu se rend compte que l'Afrique ne paie plus : les défenses d'éléphant ayant fait sa renommée sont supplantées dans le coeur des acheteurs par des têtes de Bouddhas ramenées d'Asie. Qu'à cela ne tienne, le chasseur entame un nouveau périple et se rend dans les ruines du temple, où vivent les deux tigres. Au contact des humains, les deux frères sont chassés. Leurs destinées bifurquent : Koumal sera dompté et deviendra vedette de cirque, Sangha sera recueilli par le fils d'un administrateur colonial avant de devenir dangereux... | |||||
DEUX TIGRES VIVAIENT EN PAIX De toute évidence, sur l'aspect félin, le but de DEUX FRERES est atteint : les tigres sont géniaux, et leurs scènes fascinent. Le travail énorme du réalisateur, du dresseur et de l'équipe paie : l'humanisation des tigres fonctionne, sans être ridicule. On n'a jamais vu des fauves mis en scène de cette façon, notamment dans les scènes des arènes et du dressage. Le problème de ce film, puissant mais raté, est ailleurs. Malgré une saine volonté de suivre le genre « aventures pour enfants », DEUX FRERES perd son cap en s'engluant dans un mauvais scénario, peuplé de personnages bâclés. Deux histoires et deux univers (tigres et humains) sont menés de front, pour le plus grand malheur du spectateur, qui observe surtout le film s'emmêler les pinceaux entre passages spectaculaires sur les fauves et séquences colonialistes difficilement convaincantes. L'évolution du héros est déroutante, la galerie de personnages elliptique, la route-prétexte serpentant la jungle superflue, et la musique monomaniaquement fadasse. DEUX FRERES se solde sur un demi-échec : loin d'être un grand film, il reste un incroyable défi pour les amoureux des fauves, ce qui est déjà bien. Mcinema.com (Guillaume Tion) |
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Easy Rider | Easy Rider | USA | 1969 | Aventure | 94 min. |
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Disponible | 02 Anglais | 01 AVI | 18/04/2004 | |
Dennis Hopper | Peter Fonda, Dennis Hopper, Antonio Mendoza, Jack Nicholson, Luke Askew, George Fowler Jr | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=178.html | |||||
Billy et Wyatt, surnommé "Captain America", viennent de négocier une importante quantité de drogue. Ils ont enfin réalisé le rêve de leur vie : ils sont riches. Wyatt cache les billets dans le réservoir de sa moto et les deux amis partent pour la Nouvelle-Orléans afin d'y être à temps pour Mardi Gras. Leurs longs cheveux et leurs motos aux peintures psychédéliques inquiètent les populations locales qui leur refusent régulièrement le gîte. Billy et Wyatt se retrouvent finalement en prison pour avoir participé à une parade illicite et ils y font la connaissance d'un avocat alcoolique, George Hanson, qui décide de les suivre dans leur randonnée. Mais les trois hommes, qui sont devenus trois amis, sont attaqués en pleine nuit par un groupe d'hommes décidés à les lyncher. Hanson meurt après avoir été sauvagement frappé. Billy et Wyatt continuent leur route et atteignent la Nouvelle-Orléans. Ils y assistent avec deux prostituées au carnaval puis prennent du LSD. Ils repartent ensuite mais un conducteur de camion qui voulait faire peur à Billy tire et le blesse mortellement. Wyatt trouve la mort de la même manière, abattu par le conducteur du camion. |
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Enola Holmes | Enola Holmes | USA | 2020 | Aventure | 123 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 05/09/2022 | ||
Harry Bradbeer | Millie Bobby Brown, Henry Cavill, Sam Claflin, Helena Bonham Carter, Louis Partridge, Fiona Shaw, Frances de la Tour, Burn Gorman | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=261721.html | |||||
Enola, la jeune sœur de Sherlock Holmes, met ses talents de détective à l'épreuve pour tenter de retrouver sa mère disparue et déjouer une dangereuse conspiration. | |||||
Le réalisateur de la série "Killing Eve" signe une comédie d'aventures baroque et survitaminée, emmenée par la pétulante Millie Bobby Brown. |
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Etreinte du serpent (l') | El abrazo de la serpiente | ++ Autres | 2015 | Aventure | 124 min. |
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Disponible | 03 Espagnol | 01 AVI | 05/11/2016 | |
Ciro Guerra | Nilbio Torres (Karamakate jeune), Jan Bijvoet (Theo), Antonio Bolivar (Karamakate), Brionne Davis (Evan), Yauenkü Migue (Manduca), Nicolás Cancino (Anizetto), Luigi Sciamanna (Gaspar) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=236295.html | |||||
Karamakate, un chaman amazonien puissant, dernier survivant de son peuple, vit isolé dans les profondeurs de la jungle. Des dizaines d’années de solitude ont fait de lui un chullachaqui, un humain dépourvu de souvenirs et d’émotions. Sa vie est bouleversée par l’arrivée d’Evans, un ethnobotaniste américain à la recherche de la yakruna, une plante sacrée très puissante, possédant la vertu d’apprendre à rêver. Ils entreprennent ensemble un voyage jusqu’au cœur de la forêt Amazonienne au cours duquel, passé, présent et futur se confondent, et qui permettra à Karamakate de retrouver peu à peu ses souvenirs perdus. | |||||
Il guette sur la rive du fleuve, presque nu : un pagne, un grand collier, des bracelets de plumes autour des biceps. En noir et blanc, sa peau semble se confondre avec le feuillage et l'eau : l'homme et la forêt, même matière vivante... Dès le premier plan, Karamakate, chaman amazonien, ermite tourmenté, s'empare du film. Il en est le guide, à travers l'espace et le temps. C'est lui qui conduit tour à tour vers l'inconnu, à des décennies de distance, deux scientifiques occidentaux venus le solliciter : un ethnologue allemand et un botaniste américain. Leurs voyages dans les méandres de l'Amazone se répètent, se répondent et se confondent dans une même quête obsédante. Les deux étrangers veulent dénicher la yakruna, une fleur mythique, curative et hallucinogène. Karamakate, lui, veut retrouver son peuple et, peut-être, renouer avec une identité que sa solitude a fini par dissoudre, faisant de lui un « chullachaqui », une enveloppe sans âme. De son troisième long métrage, le Colombien Ciro Guerra fait une immense rêverie aussi énigmatique, dense et luxuriante que cette jungle dans laquelle il est le premier, depuis une trentaine d'années, à poser sa caméra. L'Etreinte du serpent est un film d'aventures, dont le parcours sinueux, contemplatif et hypnotique glisse vers les confins de la folie, dans une Amazonie hantée : ici, la violence des colons exploitant le caoutchouc ; plus loin, une mission catholique où des orphelins sont fouettés au coeur de la nuit ; ailleurs, un messie dément qui s'offre à ses adeptes dans une eucharistie cannibale... Tout ce périple, entre violence historique et vertige spirituel, semble suivre les traces d'un Werner Herzog (Aguirre ou la colère de Dieu, Fitzcarraldo). Et de Joseph Conrad dans son roman Au coeur des ténèbres. Avec son noir et blanc hiératique, le cinéaste cherche, pourtant, l'exact opposé de cet exotisme à l'occidentale. Il teste notre perception, notre représentation de ce monde opaque et fascinant. Jusqu'à la toute dernière image, au centre du mystère. — Cécile Mury |
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Fanfan La Tulipe | Fanfan La Tulipe | France | 2003 | Aventure | 95 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 22/12/2004 | |
Gérard Krawczyk | Vincent Pérez , Penelope Cruz , Michel Muller , Hélène De Fougerolles , Didier Bourdon | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=44653.html | |||||
Au coeur de la France du XVIIIe siècle, Fanfan est un jeune homme qui aime se battre et convoiter de belles jeunes femmes. Il les aime tellement qu'il manque de peu en épouser une... Pour échapper au mariage, il s'enfuit, s'engage dans les armées du roi Louis XV, et rencontre une série de personnages hauts en couleurs : la séduisante Madame De Pompadour, le truculent Tranche-Montagne, ou la craquante Adeline. | |||||
LA TULIPE A VIEILLI Il est plus rapide, plus moderne, plus roublard que celui de 1952, mais il manque au FANFAN LA TULIPE 2003 le charme de son illustre prédécesseur. Vincent Pérez, qui offre au personnage de Fanfan sa fougue et son énergie, n'y est pour rien. Il fait lui-même la plupart de ses cascades et semble prendre un réel plaisir dans l'action (comme il l'avait fait dans LE BOSSU) et dans la comédie. Son personnage l'autorise même à cabotiner, ce dont il ne se prive pas. En revanche, on croit beaucoup moins à sa romance avec Adeline / Pénélope Cruz. Il faut dire que la naïveté affichée des sentiments des personnages passe beaucoup moins bien à l'écran qu'il y a une cinquantaine d'années. En revanche, le choix des comédiens qui paraissait saugrenu sur le papier constitue plutôt la bonne surprise du film. Didier Bourdon en Louis XV, Michel Muller alias Tranche-Montagne, et surtout Guillaume Gallienne dans le personnage de La Houlette, sont parfaitement à l'aise avec les dialogues remis au goût du jour par Jean Cosmos et Luc Besson. Ce parti-pris de modernisation n'est pas vraiment scandaleux mais il finit par lasser à force d'anachronismes. FANFAN LA TULIPE souffre d'un décalage trop important entre sa forme et son fond. Dopé par un montage survitaminé (trop !), le film de Gérard Krawczyk est un divertissement honnête, mais parfois un peu désuet. Dommage ! Mcinema.com (Jean-Luc Brunet) |
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Frères Sisters (les) | The Sisters Brothers | France | 2018 | Aventure | 121 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 25/07/2020 | ||
Jacques Audiard | John C. Reilly, Joaquin Phoenix, Jake Gyllenhaal, Riz Ahmed, Rutger Hauer, Rebecca Root, Carol Kane, Ian Reddington | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=240435.html | |||||
Charlie et Eli Sisters évoluent dans un monde sauvage et hostile, ils ont du sang sur les mains : celui de criminels, celui d'innocents... Ils n'éprouvent aucun état d'âme à tuer. C'est leur métier. Charlie, le cadet, est né pour ça. Eli, lui, ne rêve que d'une vie normale. Ils sont engagés par le Commodore pour rechercher et tuer un homme. De l'Oregon à la Californie, une traque implacable commence, un parcours initiatique qui va éprouver ce lien fou qui les unit. Un chemin vers leur humanité ? | |||||
Du Bien et du Mal Les frères Sisters doivent débusquer et abattre Hermann Kermit Warm, un homme qui aurait trahi le mystérieux Commodore, leur commanditaire. Ombre maléfique filmée de loin, ce dernier semble faire office de figure paternelle (une obsession audiardienne) pour nos deux solitaires qui lui obéissent aveuglément. Le Bien et le Mal, ils s’en fichent comme de leur première cartouche. On est dans le ‘Wild Wild West’. Dans un premier temps, Audiard respecte humblement les conventions du genre, avec ses durs à cuire poussiéreux, ses grands espaces (en réalité roumains et espagnols !) filmés sans esbroufe. À mesure que la parole des protagonistes se libère, la chevauchée se transforme en conversation, le cadre se resserre, les plans “à l’iris”, cette marque de fabrique du réalisateur, surgissent, les visions oniriques aussi. La fable à la Dheepan se précise pour cet admirateur de Little Big Man, le grand western contestaire et pacifiste d’Arthur Penn. Guidé par le projet utopique de Warm (alchimiste qui a trouvé une formule chimique assurant potentiellement sa richesse destinée à bâtir une société fouriériste), le scénario d’Audiard et Thomas Bidegain dévoile ses véritables intentions qui consistent à rendre leur humanité et leur dignité à des personnages victimes de leur déterminisme familial et social. Une certaine naïveté est à l’œuvre comme dans cette scène où Eli Sisters découvrant les vertus du dentifrice -invention du monde civilisé- entame sa révolution intérieure. Une façon imagée, typiquement cinématographique, de proclamer l’immanence du Bien que l’aîné des frères ressent confusément et qu’il va tenter de transmettre à son cadet. L’occasion pour Audiard d’aborder pour la première fois la question de la fraternité -son inconscient biblique meurtrier, ses déchirements freudiens. Il le fait avec une sincérité et une tendresse folles que la dédicace du film à son frère aîné disparu vient renforcer. Big Bang La réussite d’une telle entreprise tient énormément au charisme de ses interprètes qui incarnent moins des personnages que des idées : l’héritage de la violence pour Charlie (Joaquin Phoenix, torturé comme jamais), la possibilité de la rédemption pour Eli (John C. Reilly, la bonté et la barbarie mêlés), le prophétisme zen pour Warm (Riz Ahmed, gueule d’ange faussement fragile), l’apostolat opportuniste pour John Morris (Jake Gyllenhaal, dans le rôle le plus ambigu d’un détective converti aux thèses de Warm). À rebours de Dheepan cette fois, plus taiseux et plus graphique, Audiard a choisi de grands acteurs pour sa peinture assez littéraire d’un monde finissant, comme un écho lointain au Nouvel Hollywood et à ses préoccupations progressistes teintées de mélancolie. |
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Hugo Cabret | Hugo | USA | 2011 | Aventure | 128 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 28/07/2017 | |
Martin Scorsese | Asa Butterfield, Chloë Grace Moretz, Ben Kingsley, Sacha Baron Cohen, Ray Winstone, Emily Mortimer, Jude Law, Christopher Lee | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=136181.html | |||||
Dans le Paris des années 30, le jeune Hugo est un orphelin de douze ans qui vit dans une gare. Son passé est un mystère et son destin une énigme. De son père, il ne lui reste qu’un étrange automate dont il cherche la clé - en forme de cœur - qui pourrait le faire fonctionner. En rencontrant Isabelle, il a peut-être trouvé la clé, mais ce n’est que le début de l’aventure… | |||||
On nous l'avait annoncé comme un film pour enfants, une histoire de Noël, une œuvre de commande pour le grand Martin Scorsese, et pourtant... J'ai rarement eu l'occasion de voir quelque chose d'aussi beau, émouvant, époustouflant qu' « Hugo Cabret », la plus belle déclaration d'amour que l'on pouvait faire au cinéma et à Georges Méliès. C'est drôle, alors que des dizaines d'émotions m'ont traversé et que je m'apprêtais à écrire des centaines de choses, je me retrouve un peu bête, comme s'il y avait trop de choses à exprimer. Je me contenterais donc de dire que c'est visuellement merveilleux, que cet hommage au cinéma muet est à la fois éblouissant de modernité technique et narrative, tout en évoquant brillamment tout ce qui faisait l'émotion et l'inventivité du septième art à l'époque, comme en témoigne plusieurs scènes citant subtilement aussi bien le slapstick que le burlesque. Mais c'est surtout un univers entier que le réalisateur des « Affranchis » retranscrit à travers cette gare, ces commerces, ses personnages décalés souvent délicieux. On dirait un parfum enivrant, élégant, à la fois doux et apaisant que porterait une femme sublime et délicate. Traité presque comme une enquête vue à travers le regard de deux enfants aussi avides d'émotions que de cinéma (les deux marchent ensemble, me direz-vous), le résultat est presque miraculeux, comme si Méliès avait transcendé un metteur en scène qui est pourtant juste l'un des plus grands de sa génération... Une oeuvre inoubliable, assurément le dernier (et l'un des seuls) grand film de 2011. |
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Indiana Jones 2 - et le temple maudit | Indiana Jones and the Temple of Doom | USA | 1984 | Aventure | 118 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 19/04/2004 | |
Steven Spielberg | Harrison Ford, Kate Capshaw, Ke Huy Quan, Amrish Puri, Roshan Seth, Phillip Stone | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=638.html | |||||
1935. Dans un luxueux cabaret de Shanghai, Indiana Jones est en mauvaise posture. Il est pris dans une querelle de gangsters et aventuriers en tout genre qui se disputent un fabuleux bijou. Indiana se défend surtout par la ruse et s'en tire - tout juste ! - avec l'aide d'un jeune Chinois du nom de Short Round. La chanteuse du cabaret - Willie Scott - est elle aussi entraînée dans ce tourbillon. Tous trois Indiana, Willie et Short Round - sont contraints de quitter la ville à bord d'un avion de fortune. Et, comme les pilotes leur faussent compagnie, ils sont forcés d'atterrir en plein cœur de l'Inde... Là, dans un petit village perdu, Indiana, Willie et Short Round vont être émus par le triste sort des habitants : le village en question n'a plus aucune vie depuis le vol d'une pierre magique qui faisait office de symbole religieux... Indiana Jones et ses deux comparses repartent donc encore une fois, en direction du "temple maudit", qui abrite une secte cruelle et dangereuse, responsable du vol de la pierre magique. Après mille et une aventures dans la jungle, Indiana, Willie et Short Round arrivent dans le fameux temple et sont tout de suite aux prises avec les féroces dirigeants de la secte rebelle. Un tout jeune maharadjah est à la tête de celle-ci, mais il s'avère que le jeune souverain a subi une sorte de lavage de cerveau, et que le vrai pouvoir est entre les mains d'une poignée de redoutables individus - notamment le mollah Ram et Chattar Lal. Ceux-ci vont jusqu'à exploiter une masse d'enfants, originaires, d'ailleurs, du petit village indien où ont atterri Indiana, Willie et Short Round. Nos trois héros réussiront non seulement à libérer ces enfants opprimés, mais aussi à rendre le pouvoir au jeune maharadjah et surtout à ramener la pierre magique dans le petit village indien... |
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Indiana Jones 3 - et la dernière croisade | Indiana Jones and the Last Crusade | USA | 1989 | Aventure | 125 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 20/05/2004 | |
Steven Spielberg | Harrison Ford, Sean Connery, Denholm Elliott, Alison Doody, River Phoenix, John Rhys-Davies | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=5032.html | |||||
Utah, 1912 : l'adolescent Indiana Jones surprend dans une caverne des pilleurs de trésors archéologiques. Il subtilise leur plus belle pièce afin de la remettre à un musée. Poursuivi par les trafiquants, il acquiert ses signes distinctifs : le fouet le feutre cabossé, la cicatrice au menton et une phobie tenace des reptiles. Vingt-six ans plus tard, Indiana partage son temps entre ses cours d'archéologie et des chasses au trésor qui le conduisent dans les endroits les plus reculés de la planète. Un jour, le riche collectionneur Walter Donovan lui apprend que son père, le professeur Henry Jones, parti à la recherche du Saint Graal, a disparu. Indiana se rend à Venise, où son père a été vu pour la dernière fois. Avec son ami Marcus Brody et Elsa Schneider, l'assistante d'Henry, il décrypte certains indices attestant l'existence du Graal. Indy et Elsa retrouvent Henry prisonnier des Allemands dans un château à la frontière germano-autrichienne. Mais Elsa, en fait, une espionne de mèche avec les Nazis et Donovan, les trahit. Ils réussissent cependant à s'enfuir et rejoignent au Moyen-Orient leur ami Sallah et Marcus Brody. Après un combat à bord d'un tank contre les Nazis, ils arrivent aux ruines d'un temple où se trouve le Graal. Les Nazis sont déjà là et, pour obliger Indy à aller. au péril de sa vie, chercher le Graal, Donovan blesse mortellement Henry. En utilisant son intelligence et son pouvoir de déduction. Indy déjoue tous les pièges. Donovan tente de s'approprier sa découverte, mais périt atrocement. Indy rapporte la coupe miraculeuse grâce à laquelle il arrache son père à la mort. Mais le Graal ne doit pas quitter ces lieux. Elsa, qui veut l'emporter, provoque un séisme et périt dans une crevasse. Henry et "Junior " renonceront à l'objet tant convoité, ayant appris que la vraie richesse du Graal n'est pas dans sa possession, mais dans la sagesse qu'il permet d'acquérir. |
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Inglorious Bastards | Inglorious Bastards | USA | 2008 | Aventure | 153 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 07/01/2011 | |
Quentin Tarantino | Brad Pitt (Lieutenant Aldo Raine), Mélanie Laurent (Shosanna Dreyfus), Christoph Waltz (Colonel Hans Landa), Eli Roth (Sergent Donnie Donowitz), Diane Kruger (Bridget Von Hammersmark), Michael Fassbender (Lieutenant Archie Hicox), Daniel Brühl (Fredrick Zoller), Til Schweiger (Sergent Hugo Stiglitz), Gedeon Burkhard (Caporal Wilhelm Wicki), Mike Myers (General Ed Fenech), Maggie Cheung (Madame Mimieux), B.J. Novak (Smithson Utivich), Samm Levine (Gerold Hirschberg), Paul Rust (Andy Kagan), Julie Dreyfus (Francesca Mondino), Denis Ménochet (Perrier Lapadite), Léa Seydoux (Charlotte Lapadite), Anne-Sophie Franck (Mathilda), Michael Bacall (Michael Zimmerman), Omar Doom (Omar Ulmer), Sylvester Groth (Joseph Goebbels), Martin Wuttke (Adolf Hitler), August Diehl (Major Deiter Hellstrom), Christian Berkel (Eric Le Propriétaire), Soenke Möhring (Butz), Rod Taylor (Winston Churchill), Cloris Leachman (Mme Himmelstein), Marie De Villepin (Actrice), Richard Sammel (Sergent Werner Rachtman), Jana Pallaske (Babette), Jean-Jacques Ido (Marcel), Ludger Pistor (Capitaine Wolfgang), Enzo G. Castellari (Le Général Nazi), Petra Hartung (Anastasia Schifler), Anastasia Schifler (Marie), Michael Kranz (Herrmann #3), Samuel L. Jackson (Narrateur), Arndt Schwering-Sohnrey (Le Soldat Allemand/winnetou), Volker Michalowski (Le Soldat Allemand/edgar Wallace), Ken Duken (Le Soldat Allemand/mata Hari), Christina Rodriguez (Julie Lapadite), Lena Friedrich (Suzanne Lapadite), Wolfgang Lindner (Herman #1), Rainer Bock (General Schonherr), André Penvern (Le Vieux Vétérinaire Français), Sebastian Hülk (Le Chauffeur D'Hellstrom), Buddy Joe Hooker (Gaspar), Carlos Fidel (Simon Sakowitz), Hilmar Eichhorn (Emil Jannings), Patrick Elias (Jakob Dreyfus), Eva Löbau (Miriam Dreyfus), Salvadore Brandt (Bob Dreyfus), Wilfried Hochholdinger (Le Sergent Allemand), Olivier Girard (Ii) (Le Serveur De Chez Maxim'S), Michael Scheel (General Frank), Leo Plank (Le Motocycliste #1), Andreas Tietz (Le Motocycliste #2), Bo Svenson (Le Colonel Américain), Alexander Fehling (Sergent Wilhelm), Harvey Keitel (L'Officier Américain À La Radio (Non Crédité)), Quentin Tarantino (Le Premier Cadavre Allemand Scalpé (Non Crédité)), Olivier Girard (Kellner Im Maxims), Gregory Nicotero (Major De La Gestapo), Christian Brückner (Kliest (Voix)). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=60208.html | |||||
Dans la France occupée de 1940, Shosanna Dreyfus assiste à l'exécution de sa famille tombée entre les mains du colonel nazi Hans Landa. Shosanna s'échappe de justesse et s'enfuit à Paris où elle se construit une nouvelle identité en devenant exploitante d'une salle de cinéma.Quelque part ailleurs en Europe, le lieutenant Aldo Raine forme un groupe de soldats juifs américains pour mener des actions punitives particulièrement sanglantes contre les nazis. ''Les bâtards'', nom sous lequel leurs ennemis vont apprendre à les connaître, se joignent à l'actrice allemande et agent secret Bridget von Hammersmark pour tenter d'éliminer les hauts dignitaires du Troisième Reich. Leurs destins vont se jouer à l'entrée du cinéma où Shosanna est décidée à mettre à exécution une vengeance très personnelle... | |||||
Interdit aux moins de 12 ans Note de la presse : 4/5 Note des spectateurs : 4/5 (Pour 17366 notes : 56 % de *****, 21 % de ****, 10 % de ***, 2 % de **, 12 % de *) Fiche technique : Box Office France : 2 847 740 entrées Couleur Format du son : Dolby SR + Dolby SR-DTS & SDDS Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais, Français, Allemand Secrets de tournage : Les Basterds bullent Parallèlement à la sortie du film, les Basterds de Tarantino se sont affichés dans le magazine Playboy, qui a publié leurs aventures sous forme de bande-dessinée. Court ou long ? Contrairement à bon nombre de réalisateurs, qui choisissent de réduire leur film après l'avoir présenté à Cannes, Quentin Tarantino a décidé de rallonger Inglourious Basterds de quelques scènes supplémentaires. QT volume 6 (ou 7) Si l'on compte Kill Bill : Volume 1 et 2 comme un seul et même film, Inglourious Basterds est le sixième mis en scène par Quentin Tarantino. Si non, c'est le septième. Sa place est dans un musée ? Ironie, quand tu nous tiens : Quentin Tarantino a présenté le film au Musée de l'Holocauste de Mahnattan, devant un public composé d'enfants de survivants, et même de rescapés. Cannes 2009 En habitué du Festival de Cannes, Quentin Tarantino à présenté Inglourious Basterds en compétition, lors de la 62è édition, en mai 2009. L'interprète du Colonel Hans Landa, Christoph Waltz, est même reparti de la Croisette avec le Prix d'Interprétation Masculine. Avant "Inglourious Basterds"... ... le long métrage a bien failli s'appeler "Once Upon a Time in Nazi-Occupied France", dans la mesure où Quentin Tarantino souhaitait autant faire un film de guerre qu'un western spaghetti. Après avoir finalement opté pour Inglourious Basterds, il a néanmoins donné ce titre au premier des cinq chapitres que compte le film. Réalisateur prévoyant Quentin Tarantino avait commencé à écrire Inglourious Basterds avant de s'attaquer à Kill Bill : Volume 1. Mais faute de trouver une fin qui le satisfasse, le réalisateur l'avait laissé de côté pour mettre en boîte le second, dont il avait eu l'idée pendant le tournage de Pulp Fiction, en 1994. Une première... ou pas Si c'est bien la première fois que Quentin Tarantino dirige Brad Pitt, le comédien n'est en revanche pas un néophyte de l'univers du réalisateur, puisqu'il avait tourné dans True Romance, écrit par QT en personne. Le gang des déserteurs David Krumholtz (Numb3rs), Simon Pegg, Adam Sandler et Isabelle Huppert se sont vus proposer des rôles qu'ils ont du refuser pour des questions de conflit d'emploi du temps. Le feu ça brûle... ... et ça, Eli Roth et Omar Doom en savent quelque chose, puisqu'ils sont sortis du tournage de la scène de l'incendie du cinéma avec des blessures mineures. Un bilan qui aurait pu être pire pour les deux comédiens, puisque la température a grimpé jusqu'à 1200 degrés et que, selon les pompiers, il n'aurait fallu que 15 secondes supplémentaires de tournage pour que la structure métallique s'effondre et incinère les deux hommes. Réalisateur bis C'est Eli Roth qui a réalisé Nation's Pride, le "film dans le film" qui met en scène Daniel Brühl. Tourné en 3 jours, il dure en tout 5 minutes 30, mais n'apparaît que par bribes dans le long métrage final. Une croix disparaît En Allemagne, le croix gammée du logo a été effacée sur les affiches, car il n'était pas sûr qu'elles ne violent pas la loi locale (qui interdit l'exhibition de symboles nazis, sauf lorsqu'il est question d'art ou de science). Ennio, c'est non ! Alors que Quentin Tarantino avait réussi à le convaincre de signer la bande-originale d'Inglourious Basterds, Ennio Morricone a du se désengager du projet pour cause de conflit d'emploi du temps. Hommages en série Comme à son habitude, Quentin Tarantino a parsemé son film de clins-d'yeux : le nom du personnage joué par Mike Myers, Ed Fenech, est ainsi un hommage à l'actrice Edwige Fenech, tandis qu'Enzo G. Castellari et Bo Svenson, réalisateur et acteur principal d'Une Poignée de salopards (modèle du film de Tarantino), fontt une petite apparition. De la même façon, le nom d'Hugo Stiglitz (joué par Til Schweiger) est un hommage à l'acteur mexicain Hugo Stiglitz. De la suite dans les idées... Selon ses dires, Quentin Tarantino aurait commencé à écrire un prequel à Inglourious Basterds (alors qu'il lui aura fallu près de 10 ans pour venir à bout du script de ce dernier), avant même que le montage de celui-ci soit achevé. Invité surprise Le réalisateur Tom Tykwer (Cours, Lola, cours) a collaboré au scénario d'Inglourious Basterds, en traduisant les dialogues américains en allemand. Une participation néanmoins non créditée au générique du film. Quand Tarantino remonte le temps... Inglourious Basterds est le premier film de Quentin Tarantino situé dans une époque ancienne (celle de la Seconde Guerre mondiale, en l'occurence), puisque tous ses précédents longs métrages se déroulaient de nos jours. Je l'ai déja vu quelque part Les acteurs Eli Roth et Omar Doom était déjà présents dans Boulevard de la mort, le précédent film de Quentin Tarantino. Donowitz : un nom qui ne vous rappelle rien ? En effet, le maestro a encore fait une petite référence à son propre univers en choisissant le nom de Donnie Donowitz, le Basterd campé par Eli Roth. Tarantino a répondu à ses fans, en leur confirmant qu'il s'agissait bien là du père du personnage de producteur Lee Donowitz, dans son script de True Romance réalisé par Tony Scott en 1993. Goebbels : c'est lui ! L'acteur Sylvester Groth prêtant ses traits à Joseph Goebbels, Second d'Hitler et Ministre de la Propagande, a déjà interprété ce même rôle au cinéma dans Mon Führer, une comédie allemande de Dani Levy sortie en 2008. Samuel L. Jackson, une constante du cinéma Tarantinien Inglourious Basterds, dans lequel l'acteur interprète le narrateur (en VO), marque la quatrième collaboration entre ce dernier et le cinéaste. En effet les deux amis ont déjà eu l'occasion de travailler ensemble sur Pulp Fiction (1994), Jackie Brown (1998) et Kill Bill : Volume 2 (2004). Et Luc Besson créa un film... Lors de la présentation du film aux États-Unis, Quentin Tarantino a donné une masterclass dans laquelle il a expliqué que si le film existait "en tant que tel" c'était plus ou moins grâce à Luc Besson. Tarantino explique que lors d'un dîner avec le français, celui-ci lui a demandé quel était son prochain projet. Tarantino lui a donc présenté son idée, qui était, à l'époque, de faire une mini-série de 12 épisodes sur la seconde guerre mondiale. Luc Besson trouvant que cela était une mauvaise idée ne manqua pas de le dire à son confrère en précisant "Tu es l'un des derniers réalisateurs qui me donne envie d'aller au cinéma, alors je n'ai pas envie d'attendre cinq ans de plus pour voir l'un de tes films. Il faut en faire un film et pas une série." Le lendemain, Tarantino recommençait son scénario pour en faire un long métrage... Il y 10 ans Quentin Tarantino a débuté l'écriture du scénario il y a 10 ans. Le film a failli s'intituler "Il était une fois dans la France occupée par les nazis", en guise de clin d'oeil au célèbre film de Sergio Leone "Il était une fois dans l'ouest". |
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Perdus dans l'Arctique | Against The Ice | ++ Autres | 2021 | Aventure | 102 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 25/04/2022 | ||
Peter Flinth | Nikolaj Coster-Waldau, Joe Cole, Charles Dance, Heida Reed, Ed Speleers, Diarmaid Murtagh, Gísli Örn Garðarsson, Sam Redford | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=289682.html | |||||
En 1909, une expédition danoise en Alabama, menée par le Capitaine Ejnar Mikkelsen, a pour but de réfuter l'appartenance du nord-est du Groenland aux Etats-Unis, une appartenance ancrée dans l'idée que le Groenland est divisé en deux territoires différents. Laissant son équipage à bord du bateau, Mikkelsen part en traîneau sur la glace en compagnie de son novice Iver Iversen. De retour avec la preuve que le Groenland forme une seule et même île, ils peinent à rejoindre le bateau. Après s'être battus contre la faim, la fatigue et une attaque d'ours polaire, ils trouvent le navire abandonné et échoué dans la glace. |
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Against the ice se distingue des productions du même genre par son réalisme et sa sobriété. Le duo d’acteur formé par Nikolaj Coster-Waldau et Joe Cole est tout à fait remarquable, et le réalisateur Peter Flinth parvient peu à peu à installer une atmosphère spécifique, un peu lunaire, au sein de ces paysages enneigés. La fin du film est assez touchante (en particulier lorsque Mikkelsen sombre dans la démence, avant son soulagement) et laisse songeur. Il y a quelque chose de très étonnant dans cette histoire qui se déroule aux antipodes des sociétés urbaines. |
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Robin Des Bois | Robin Hood | UK/USA | 2010 | Aventure | 140 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 08/01/2011 | |
Ridley Scott | Russell Crowe (Robin Longstride), Cate Blanchett (Marianne Loxley), Max Von Sydow (Sire Walter Loxley), William Hurt (William Marshal), Mark Strong (Godefroy), Oscar Isaac (Le Prince Jean), Danny Huston (Richard Coeur De Lion), Eileen Atkins (Aliénor D'Aquitaine), Mark Addy (Frère Tuck), Kevin Durand (Petit Jean), Scott Grimes (Will L'Ecarlate), Alan Doyle (Allan A'Dayle), Douglas Hodge (Sire Robert Loxley), Léa Seydoux (Isabelle D'Angoulême), Jonathan Zaccaï (Le Roi Philippe), Robert Pugh (Le Baron Baldwin), Gerard Mcsorley (Le Baron Fitzrobert), Velibor Topic (Belvedere), Ciaran Flynn (Loop), Simon Mcburney (Le Père Tancred), Denise Gough (Une Mère Au Village), John Nicholas (Le Fermier Paul), Thomas Arnold (Le Capitaine De La Barge Royale), Pip Carter (L'Écuyer Royal), Mark Lewis Jones (Longstride Le Maçon), Bronson Webb (Jimoen), Denis Ménochet (Adhemar), Jamie Beamish (Le Diacre), John Atterbury (Le Chancelier De L'Echiquier), Luke Evans (L'Homme De Main Du Shérif), Roy Holder (Gaffer Tom), Mark David (Le Petit-Fils Du Baron Baldwin), Ruby Bentall (La Servante De Margaret Walter), Ned Dennehy (La Sentinelle), Nicolas Simon (Le Cuisinier Français Négligé), Lisa Millett (La Cuisinière De Walter), Stuart Martin (Le Messager), Jessica Raine (La Princesse Isabel De Gloucester), Steve Evets (Le Messager En Haillons), Eric Rulliat (Le Rustre), Abraham Belaga (L'Aide De Camp Du Roi Philippe), Jack Downham (Robin Enfant), Richard Riddell (Une Sentinelle), David Bertrand (Le Capitaine Français), Arthur Darvill (Le Chambellan), Giannina Facio (La Dame D'Honneur), Hannah Barrie (Une Femme, Au Marais), Lee Battle (Un Enfant Soldat), Nicky Bell (Le 2ème Soldat), Andrea Ware (La Compagne De Petit Jean), John O'Toole (Tom The Pig Man), Ralph Inneson (Un Homme Du Nord), Zuriel De Peslouan (Le Délateur Français), Jake Curran (Un Étrange Personnage), Samuel Dupuy (Le Capitaine Du Vaisseau Amiral Français), Nick Lucas (Le Cardinal Roger), Lothaire Gérard (Le Garçon Français), Mat Laroche (Le Soldat Français Hilare), Chris Jared (L'Écuyer), Joseph Hamilton (L'Enfant Sauvage 1), James Hamilton (Iv) (L'Enfant Sauvage 2), James Burrows (L'Enfant Sauvage 3), Danny Clarke (L'Enfant Sauvage 4), Tom Blyth (L'Enfant Sauvage 5), Matthew Macfadyen (Sheriff Of Nottingham), Vanessa Redgrave (Actrice). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=126127.html | |||||
À l’aube du treizième siècle, Robin Longstride, humble archer au service de la Couronne d’Angleterre, assiste, en Normandie, à la mort de son monarque, Richard Coeur de Lion, tout juste rentré de la Troisième Croisade et venu défendre son royaume contre les Français.De retour en Angleterre et alors que le prince Jean, frère cadet de Richard et aussi inepte à gouverner qu’obnubilé par son enrichissement personnel, prend possession du trône, Robin se rend à Nottingham où il découvre l’étendue de la corruption qui ronge son pays. Il se heurte au despotique shérif du comté, mais trouve une alliée et une amante en la personne de la belle et impétueuse Lady Marianne, qui avait quelques raisons de douter des motifs et de l’identité de ce croisé venu des bois.Robin entre en résistance et rallie à sa cause une petite bande de maraudeurs dont les prouesses de combat n’ont d’égal que le goût pour les plaisirs de la vie. Ensemble, ils vont s'efforcer de soulager un peuple opprimé et pressuré sans merci, de ramener la justice en Angleterre et de restaurer la gloire d'un royaume menacé par la guerre civile. Brigand pour les uns, héros pour les autres, la légende de ''Robin des bois'' est née. | |||||
Note de la presse : 3/5 Note des spectateurs : 3/5 (Pour 7005 notes : 24 % de *****, 21 % de ****, 26 % de ***, 9 % de **, 21 % de *) Fiche technique : Box Office France : 2 337 160 entrées Couleur Format du son : Dolby SR + Digital SR-D + DTS & SDDS Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Avis prononcé... Russell Crowe avoue que s'il existait à ce jour une bonne adaptation de Robin des Bois au cinéma, il ne se serait pas engagé sur ce film. Il a également dit que Robin des Bois, prince des voleurs, avec Kevin Costner, ressemblait à un clip de Bon Jovi... Dans le même genre, Ridley Scott a fourni un avis tout aussi radical que son acteur, puisqu'il dit n'avoir aimé aucun Robin des Bois au cinéma, excepté la parodie Sacré Robin des Bois avec Cary Elwes. On prend les mêmes... Un grand nombre de techniciens de l'équipe de tournage de Robin des Bois avaient déjà travaillé avec Ridley Scott et Russell Crowe sur Gladiator, comme le directeur de la photographie John Mathieson, le monteur Pietro Scalia, le chef décorateur Arthur Max ou le chef costumier Janty Yates. Un nouveau départ Ridley Scott insiste sur sa volonté d’ancrer l’histoire de Robin des Bois dans un contexte historique spécifique, et d'en finir avec l'image stéréotypée que les gens se font de ce personnage. Il a donc situé l'intrigue du film au sein d'une époque particulièrement délicate pour l'Angleterre, celle du financement des croisades d’Henri II et de Richard Cœur de Lion. Il s'agit d'une période de crise pour ce pays, tant d'un point de vue économique que politique : "L'Angleterre, aux mains de l'inepte roi Jean, était alors proche de la faillite, en proie à une guerre civile et à la menace française", nous explique le producteur Brian Grazer. Russell Crowe et ses cheveux A la base, Russell Crowe comptait incarner Robin des Bois avec les cheveux longs (les mêmes que ceux de Jeux de Pouvoir, son film précédent ), mais une telle coiffure le gênait pour le tir à l'arc. Il a donc décidé d'opter pour une coupe rappelant celle qu'il avait dans Gladiator, quitte à ressembler un peu trop à Maximus. Des habitués du genre Comme souvent dans ce genre de grosses productions, une grande partie des acteurs avait déjà joué dans des films se rattachant aux thématiques historiques et guerrières. Il y a bien sûr Russell Crowe qui, après Gladiator et Master & Commander : de l'autre côté du monde, est à nouveau à l’affiche d’un film mêlant histoire et action. De même pour Cate Blanchett, qui avait incarné Elisabeth 1ère dans les deux films réalisés par Shekhar Kapur. Mark Addy avait joué un rôle important dans Chevalier, aux côtés d’Heath Ledger en 2001. Quand à Mark Strong, il était présent dans Tristan & Yseult, mis en scène par Kevin Reynolds (et produit par Ridley Scott). Le très demandé Danny Huston avait interprété l'Empereur Joseph dans Marie-Antoinette de Sofia Coppola, et tient également un rôle important dans Le Choc des Titans de Louis Leterrier. Enfin Oscar Isaac, interprétant ici le cruel Prince Jean, s'était fait connaître grâce au récent Agora. Tout ceci sans oublier Ridley Scott, réalisateur de Gladiator, Kingdom of Heaven, 1492 : Christophe Colomb. Une passion pour le Moyen Age Passionné par le Moyen Age, Ridley Scott avait voulu faire une suite à Kingdom of Heaven, mais le film n’ayant pas rencontré le succès escompté, il fut contraint d'y renoncer. Robin des Bois lui a donc permis de se plonger à nouveau dans cette période. Gros budget Le budget du film est estimé à 130 millions de dollars, ce qui représente donc 30 millions de plus que pour Gladiator. Robin des Bois au cinéma Le personnage de Robin des Bois a bénéficié de plusieurs adaptations cinématographiques. Parmi les plus connues, il y a Robin des Bois réalisé par Allan Dwan en 1922, Les Aventures de Robin des Bois par Michael Curtiz et William Keighley en 1938, le Walt Disney Robin des Bois en 1973, La Rose et la Flèche par Richard Lester en 1976, Robin des Bois, prince des voleurs par Kevin Reynolds en 1991 et enfin Sacré Robin des Bois par Mel Brooks en 1993. Une nouvelle Marianne Nouvelle histoire, nouvelle Marianne : Ridley Scott explique avoir à tout prix voulu éviter de faire de ce personnage le cliché de la dame à sauver, autrement dit celui d'un archétype féminin un peu léger. La Marianne de ce film, interprétée avec intensité par Cate Blanchett, est une sorte d'alter ego du personnage de Russell Crowe, une guerrière qui fait face à l'adversité. Ça donne envie… Le producteur Brian Grazer (American Gangster, Un Homme d'exception, etc.) explique que la parenté de ce film avec Gladiator est volontaire, un peu comme si Robin des Bois était au film sur le Moyen Age ce que Gladiator fut au péplum. Des débuts laborieux Russell Crowe, pourtant habitué aux films à gros budget, a qualifié la production de Robin des Bois comme étant la plus fastidieuse et la plus laborieuse qu’il ait connue. Sans doute parce que plusieurs imprévus avaient repoussé la création du projet, comme la grève des scénaristes, le choix des interprètes et les multiples retouches du scénario. Pistonnés ! Kevin Durand, Scott Grimes et Alan Doyle, interprétant chacun un second rôle dans le film, ont tous les trois été pistonnés par Russell Crowe. Les deux premiers avaient joué à ses côtés dans Mystery, Alaska, une comédie dramatique réalisée par Jay Roach en 1999 (Kevin Durand avait également retrouvé Crowe quelques années plus tard dans 3h10 pour Yuma). En ce qui concerne Alan Doyle, il s'agit d'un musicien confirmé qui a écrit plusieurs chansons avec Russell Crowe (l'acteur étant aussi chanteur dans un groupe de rock). Et de 5 ! Robin des Bois constitue le 5ème film pour lequel Russell Crowe et Ridley Scott ont fait équipe, après Mensonges d'Etat (2009), American Gangster (2007), Une grande année (2006) et Gladiator (2000). Ouverture à Cannes Robin des Bois fera l'ouverture du 63ème Festival de Cannes, le 12 mai 2010, soit une semaine avant sa sortie en France. Sienna Miller pressentie Avant Cate Blanchett, le rôle de Marianne avait été confié à Sienna Miller, qui dû finalement renoncer pour des raisons d’emploi du temps. De plus, Ridley Scott la trouvait trop jeune pour incarner ce personnage. Un professionnel du tir à l’arc Russell Crowe s’est entraîné au tir à l’arc pendant quatre mois pour rendre son personnage le plus crédible possible. L'acteur a acquis un très bon niveau dans cette discipline : "Vous devez vous approprier ce qui fait partie intégrante du personnage. Si celui-ci est archer, vous devez vous servir d'un arc, y compris dans des situations défavorables (...) Je devais, par exemple, être en mesure de décocher une flèche au pas de course et en un point précis. Certains jours, je lançais jusqu'à 200 flèches (l’équivalent d'un archer olympique en période de préparation)", confie-t-il. Mark Strong à la mode ! Après avoir joué les grands méchants de Sherlock Holmes et Kick-Ass, Mark Strong interprète, dans le film de Ridley Scott, le Seigneur Godefroy, un homme de main du Prince Jean. C'est aussi la deuxième fois qu'il joue aux côtés de Russell Crowe et sous la direction de Ridley Scott, après Mensonges d'Etat en 2009. Tournage La plupart des scènes ont été tournées dans les forêts du comté de Surrey, au sud de Londres. Le tournage du film débuta au mois d'avril 2009, pour s'achever quatre mois plus tard. Préparation physique et intellectuelle Pour incarner Robin des Bois, Russell Crowe fut contraint de prendre du muscle et de perdre le poids qu’il avait pris pour interpréter ses personnages dans Mensonges d'Etat et Jeux de Pouvoir. Pour ce, les producteurs ont dépensé plus de 100 000 dollars de matériel sportif (appareils de musculation, etc.). A cette préparation physique s'ajoute la préparation intellectuelle, puisque pendant plusieurs mois, l'acteur s'est documenté de manière très sérieuse sur son personnage et sur la période du Moyen Age en Angleterre. Remaniements Le scénario de Robin des Bois, depuis son achat par Universal Pictures au début de l'année 2007 jusqu'au tournage du film en 2009, a été remanié à plusieurs reprises. Il a d'abord été question d'un projet intitulé Nottingham, dans lequel il s'agissait d'une sorte de triangle amoureux entre le shérif (qui avait le « beau rôle »), Robin des Bois et Marianne. La réécriture du scénario par Brian Helgeland (réalisateur de Chevalier), à la demande de Ridley Scott, fit du shérif un valeureux guerrier qui, après avoir combattu aux côtés de Richard Coeur de Lion au moment des Croisades, se voit confronté au tyrannique Prince Jean et au hors-la-loi Robin des Bois. Le scénariste Paul Webb, chargé de revoir le travail de Brian Helgeland (Scott n'étant toujours pas convaincu !), imagina ensuite une histoire dans laquelle Robin des Bois usurpe l'identité du shérif après l'avoir vu mourir au combat. Finalement, Ridley Scott laissa tomber cette idée, et décida de revenir à une trame plus classique. Par la suite, Tom Stoppard (Brazil, Shakespeare in Love) fut également engagé pour réécrire quelques scènes du script, dont certaines au moment même du tournage. Le moins jeune Né en avril 1964, Russell Crowe est l'acteur le plus âgé à avoir incarné Robin des Bois, puisqu'il avait 45 ans au moment du tournage. Le compositeur Compte tenu de la ressemblance entre l'équipe technique de Gladiator et celle de Robin des Bois, au aurait pu penser que le compositeur Hans Zimmer soit à nouveau en charge de la création de la bande originale du nouveau film de Ridley Scott. Mais c'est finalement Marc Streitenfeld qui endossa cette fonction. Il avait d'ailleurs déjà composé les musiques d'American Gangster et de Mensonges d'Etat, les deux films précédents réalisés par Ridley Scott. Métamorphoses Comme c'est le cas dans Robin des Bois, Russell Crowe s'est plusieurs fois "métamorphosé" physiquement durant sa carrière, pour incarner tel ou tel personnage. Il avait pris du muscle pour son rôle de policier teigneux dans L.A. Confidential, et pour son personnage de guerrier dans Gladiator. L'acteur avait aussi suivi un entraînement intensif de boxe 02 Anglaise en 2004 pour apparaître de manière crédible dans De l'ombre à la lumière de Ron Howard. Dans Révélations (1999) et Mensonges d'Etat (2008), il s'était fait plaisir en forçant sur la nourriture calorique (cheeseburgers selon lui...), afin de rentrer dans la peau de personnages ayant quelques kilos en trop. 3h10 pour Robin Dans la première version du scénario, Russell Crowe devait jouer le shérif de Nottingham et Christian Bale Robin des Bois. Le moins que l'on puisse dire, c'est que si ce film avait vu le jour, sa tête d'affiche aurait fait penser à celle de 3h10 pour Yuma, un western centré sur le face à face entre les deux acteurs. Une ovation C'est après avoir participé, avec Cate Blanchett, au lancement public de nouveaux timbres-poste australiens que Russell Crowe (qui est également producteur de Robin des Bois) pensa à engager l'actrice pour incarner Marianne. Au moment de cette cérémonie, Crowe se tourna vers la foule en demandant si les gens aimeraient le voir jouer aux côtés de Cate Blanchett dans le même film : "Cela déclencha une immense ovation (...) Je vis le visage de Cate s'illuminer ; l'idée lui plaisait manifestement", se remémore l'acteur. En finir avec les clichés Ridley Scott, Russell Crowe et plus globalement toute l'équipe du film ont donc donné forme à ce nouveau Robin des Bois dans une optique profondément différente de tout ce qu'il a été possible de voir jusqu'à présent sur ce même sujet : "Ce qui m'intéressait le plus était d'humaniser la légende. Ridley voulait que l'homme Robin prenne le pas sur le mythe", explique le scénariste Brian Helgeland. Le producteur Brian Grazer confirme cette nouvelle approche, fondée aussi bien sur un ancrage rigoureux dans une période historique délimitée, que sur plusieurs approfondissements concernant les personnages de cette histoire : "Notre film explique qui sont le shérif de Nottingham, Marianne, son beau-père, etc. Il nous éclaire sur la société du nord de l'Angleterre, ses barons, ses institutions. A la fin, vous saurez tout de Robin. C'est là que notre histoire s'arrête, car chacun connaît la suite", commente-t-il. Robin par Crowe L'une des préoccupations principales des créateurs du film était d'approfondir au maximum la question de l'identité de Robin des Bois, et plus précisément celle des facteurs événementiels qui ont façonné son profil et déterminé ses actions : après avoir assisté à l'exécution de son père par le roi Henri II à l'âge de cinq ans, "Robin échoue en France dans un monastère des Templiers. Il y sera victime de mauvais traitements avant de s'en échapper, trainant derrière lui la pesante cuirasse de son père. Le Robin adulte que nous découvrons au début du film n'a aucun souvenir de ces épisodes (...) il croit que ses parents se sont débarrassés de lui par désaffection. C'est avec cette souffrance qu'il vit depuis plus de trente ans. Entre-temps, il a sillonné l'Europe et le Moyen-Orient et s'est familiarisé avec d'autres modes de vie. L'Angleterre qu'il redécouvre lui paraît un pays étonnamment répressif. Son passé lui revient par bribes, sa quête se précise, Robin prend la mesure de sa destinée et décide de poursuivre le travail de son père", nous explique Russell Crowe. Perfectionniste... Dans le cadre de sa préparation physique intensive pour incarner Robin des Bois, Russell Crowe a chassé pieds nus dans les forêts australiennes pendant trois mois... Filmer les batailles Pour filmer les scènes de guerre, Ridley Scott et son équipe sont allés jusqu'à utiliser douze caméras, dans le but de rendre compte des batailles avec un minimum de prises, facilitant ainsi les choses aux acteurs (mis à mal par les intempéries, le poids des costumes, etc.). En dépit des difficultés induites par ce type de scènes, certains comédiens avouent tout de même avoir été grisés par ces moments intenses. C'est le cas de Mark Strong par exemple, interprétant le personnage de Godefroy : "En faisant faire demi-tour à mon cheval, j'ai vu 130 cavaliers se ruer sur moi. J'ai foncé sur les deux que j'étais censé combattre. J'ai frappé le premier à la tête, le second à la poitrine. Ils sont tombés de cheval. C'était tellement exaltant que j'ai continué sur ma lancée et je me suis jeté dans la mêlée, cognant sur tout ce qui bougeait, y compris mes troupes!", se rappelle-t-il. Et Tomer aussi ? Selon ses propres dires, Tomer Sisley aurait refusé le petit rôle de Français (peut-être celui joué par Denis Ménochet au final) qui lui avait été proposé par Ridley Scott. |
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Seul au monde | Cast Away | USA | 2000 | Aventure | 143 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 24/02/2016 | |
Robert Zemeckis | Tom Hanks, Helen Hunt, Nick Searcy, Chris Noth, Lari White, Geoffrey Blake, Jenifer Lewis, David Allen Brooks | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=27770.html | |||||
Chuck Noland, un cadre de Fedex, sillonne le monde pour améliorer les performances de son entreprise et la productivité de ses équipes. Il ne trouve la tranquillité qu'auprès de sa compagne Kelly. Mais à la veille de Noël, il reçoit un appel lui annonçant qu'il doit contrôler la livraison d'un colis urgent pour la Malaisie. Il n'en a que pour quatre jours et reviendra pour fêter le Nouvel An avec sa dulcinée. Chuck quitte Los Angeles à bord d'un petit avion. Mais au-dessus de l'Océan Pacifique, un orage éclate et prend par surprise l'équipage. Le crash est inévitable. Agrippé à un radeau de sauvetage, Chuck s'échoue sur une île déserte. Les jours passent et aucun secours en vue. Pendant quatre ans, le naufragé va tenter de s'adapter à cet environnement sauvage en surmontant l'épreuve terrible de la solitude. | |||||
Inoubliable voyage au bout du monde, vèritable tèmoignage d'espoir, de courage et de survie, le "Cast Away" de Robert Zemeckis est une parfaite illustration de l'extraordinaire savoir-faire du cinoche hollywoodien! Un naufragè sur une île dèserte se bat pour survivre en apprenant à pêcher, à faire du feu...et dècouvre que son propre voyage vient seulement de commencer! Seul face à la camèra, dans un film presque sans dialogue, Tom Hanks livre en Robinson moderne une prestation intense et enfièvrèe et aurait mèritè de remporter son troisième Oscar du meilleur acteur, tant sa performance est impressionnante! il faut avouer que l'on ne s'ennuie pas une seule minute à le suivre dans cette fable èloquente sur la fragilitè de l'être humain livrè à la solitude et à l'hostilitè de la nature sauvage! La mise en scène de Zemeckis est d'une virtuositè stupèfiante, notamment ce crash d'avion plus vrai que nature. "Cast Away", c'est aussi Monuriki, île volcanique paradisiaque situèe aux nord-ouest des îles Fidji! De plus, cette grande aventure pousse à la rèflexion et nous montre que la nature contrôle tout et la simple vision d'une baleine peut nous apprendre la sagesse, loin du Net ou du tèlèphone portable! Signalons en dehors de l'île, l'èmouvante interprètation d'Helen Hunt (tout comme Wilson, un ballon de volley attachant) et la très belle musique d'Alan Silvestri qui pointe rèellement le bout de son nez dans sa dernière partie! Une fantastique leçon de vie... |
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Sherlock Holmes | Sherlock Holmes | UK/USA | 2009 | Aventure | 128 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 30/12/2020 | |
Guy Ritchie | Robert Downey Jr. (Sherlock Holmes), Jude Law (Docteur John H. Watson), Mark Strong (Lord Blackwood), Rachel Mcadams (Irene Adler), Kelly Reilly (Mary Morstan), James Fox (Sir Thomas), Eddie Marsan (Inspector Lestrade), Robert Maillet (Dredger), William Hope (John Standish), Hans Matheson (Lord Coward), William Houston (L'Agent Clark), Geraldine James (Mme Hudson), David Garrick (Mcmurdo), Robert Stone (Ii) (Prizefighter), Joe Egan (Big Joe), James A. Stephens (Capitaine Philips), Clive Russell (Le Capitaine Tanner), Oran Gurel (Reordan), Kylie Hutchinson (La Bonne), Andrew Brooke (Le Capitaine De La Garde), Tom Watt (Le Chauffeur Du Carrosse), John Kearney (Le Chauffeur Du Carrosse), Sebastian Abineri (Le Chauffeur De La Voiture), Jonathan Gabriel Robbins (Le Garde), Terry Taplin (Le Gardien), Bronagh Gallagher (Le Diseuse De Bonne Aventure), Ed Tolputt (L'Anonyme), Jefferson Hall (Le Jeune Garde), Miles Jupp (Le Serveur), Marn Davies (L'Officier), Andrew Greenough (Le Garde De La Prison), Ned Dennehy (L'Homme Avec Des Roses), Martin Ewens (L'Homme Extractible), Amanda Grace Johnson (La Jeune Femme Du Sacrifice), James Greene (Le Gouverneur), David Emmings (Le Policier Solennel), Ben Cartwright (Le Policier Solennel), Chris Sunley (Le Policier Solennel), Michael Jenn (Le Prêcheur), Timothy O'Hara (Porter/smith), Guy Williams (Iv) (L'Émissaire Du Golden Dawn), Peter Miles (Le Truand). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=127179.html | |||||
Aucune énigme ne résiste longtemps à Sherlock Holmes... Flanqué de son fidèle ami le Docteur John Watson, l'intrépide et légendaire détective traque sans relâche les criminels de tous poils. Ses armes : un sens aigu de l'observation et de la déduction, une érudition et une curiosité tous azimuts; accessoirement, une droite redoutable...Mais une menace sans précédent plane aujourd'hui sur Londres - et c'est exactement le genre de challenge dont notre homme a besoin pour ne pas sombrer dans l'ennui et la mélancolie.Après qu'une série de meurtres rituels a ensanglanté Londres, Holmes et Watson réussissent à intercepter le coupable : Lord Blackwood. A l'approche de son éxécution, ce sinistre adepte de la magie noire annonce qu'il reviendra du royaume des morts pour exercer la plus terrible des vengeances.La panique s'empare de la ville après l'apparente résurrection de Blackwood. Scotland Yard donne sa langue au chat, et Sherlock Holmes se lance aussitôt avec fougue dans la plus étrange et la plus périlleuse de ses enquêtes... | |||||
Note de la presse : 3/5 Note des spectateurs : 4/5 (Pour 11880 notes : 37 % de *****, 26 % de ****, 22 % de ***, 4 % de **, 10 % de *) Fiche technique : Box Office France : 2 143 123 entrées Couleur Format de projection : 1.85 : 1 Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : "Sherlock Holmes" par sa productrice "Ce film était l'occasion d'explorer la merveilleuse mythologie Holmesienne avec les moyens techniques actuels", explique la productrice Susan Downey. "Aujourd'hui, toute une génération ne connaît de Sherlock Holmes que le nom, tandis que les fans de longue date sont restés focalisés sur certains accessoires fétiches (le fameux chapeau), certaines répliques passées à la postérité ("Elémentaire, mon cher Watson"). Ils ne retrouveront pas cela dans le film, mais y découvriront des personnages beaucoup plus proches du matériau original, beaucoup plus dynamiques en terme d'action. Nous avons donné à ces histoires une ampleur inusitée et nous avons montré à l'écran ce qui n'était que suggéré dans les livres." Un rôle en or ? Sa prestation dans Sherlock Holmes a valu à Robert Downey Jr. une nomination au Golden Globe du Meilleur Acteur dans une Comédie ou une Comédie Musicale en 2010. Entendu dans la bande-annonce La musique que l'on peut entendre à la fin de la seconde bande-annonce de Sherlock Holmes (et qui n'est pas dans la bande-originale du film) est "Unstoppable", du groupe E.S. Posthumus, dont les compositions sont régulièrement utilisées pour accompagner des bandes-annonces. De Sirius à Sherlock Avant d'être la maison de Sherlock Holmes dans le film de Guy Ritchie, le décor avait servi pour celle de Sirius Black dans Harry Potter et l'Ordre du Phénix. Un rôle élémentaire ? L'univers de Sherlock Holmes n'est pas complètement étranger à Jude Law, qui avait tenu un petit rôle dans un épisode de la série Sherlock Holmes, au début des années 90. Le héros y était d'ailleurs joué par Jeremy Brett, dont Robert Downey Jr. s'est beaucoup inspiré pour composer son personnage. 20 ans plus tard Ce Sherlock Holmes est le premier film mettant en scène le célèbre détective à sortir dans les salles américaines depuis la comédie Elementaire, mon cher... Lock Holmes (1988) avec Michael Caine. Ils auraient pu jouer dedans Robert Downey Jr. a bien failli faire équipe avec Colin Farrell, en pourparlers avant que Jude Law ne soit casté... et que Sienna Miller refuse du coup le rôle qui lui avait été proposé. Fidélité Si Robert Downey Jr. et Jude Law évoluent pour la première fois devant la caméra de Guy Ritchie, ce n'est pas le cas de Mark Strong, déjà présent dans les deux précédents films du réalisateur (Revolver et RockNRolla). Grande(s) première(s) En plus de diriger Robert Downey Jr. et Jude Law pour la première fois de sa carrière, Guy Ritchie signe avec Sherlock Holmes le premier de ses longs métrages situé dans une autre époque (le XIXème siècle en l'occurence). Et de 6 ! Sherlock Holmes est le sixième long métrage réalisé par Guy Ritchie. Accidentel mon cher Watson ? C'est ce qu'on appelle "payer de sa personne" : lors d'une scène de combat l'opposant à l'acteur Robert Maillet, Robert Downey Jr. a en effet été assommé après avoir reçu un violent crochet au menton de la part de son partenaire. Après avoir repris ses esprits, le comédien a pourtant tenu à continuer le tournage, sans passer par la case "hôpital". Tournage londonien Très logiquement, le tournage de Sherlock Holmes, adapté de l'oeuvre so british d'Arthur Conan Doyle, s'est déroulé à Londres, en Angleterre. Les premiers tours de manivelle ont été donnés le 6 octobre sous la direction de Guy Ritchie, avec Robert Downey Jr. dans le rôle du célèbre détective et Jude Law dans celui de son assistant Watson. |
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Taxi Pour Tobrouk (un) | Taxi Pour Tobrouk (un) | France | 1961 | Aventure | 90 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 25/12/2010 | |
Denys De La Patellière | Hardy Krüger (Le Capitaine Ludwig Von Stiegel), Lino Ventura (Brigadier Theo Dumas), Maurice Biraud, Charles Aznavour (Samuel Goldmann), German Cobos (Paolo Ramirez), Enrique Ávila, Ellen Bahl, Roland Malet, Roland Menard, Carlos Mendy, Jacques Preboist (Acteur), Lorenzo Robledo (Acteur), Dominique Rozan (Actrice), Fernando Sancho (Acteur). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=4542.html | |||||
En octobre 1942, à Tobrouk, un commando français fait sauter des dépôts d'essence allemands. Quatre soldats parviennent à s'enfuir et se retrouvent bientôt perdus en plein désert. Après une journée de marche harassante, ils repèrent une auto-mitrailleuse allemande et ses cinq occupants. Un seul échappe à la mort et est fait prisonnier. C'est le début d'une aventure étonnante où, face au danger, chacun découvrira la solidarité. | |||||
Note des spectateurs : 4/5 (Pour 439 notes : 40 % de *****, 33 % de ****, 20 % de ***, 0 % de **, 7 % de *) Fiche technique : N° de visa : 23761 N&B Format du son : Mono Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Format de production : 35 mm Tourné en : Français, 02 Anglais, Allemand Secrets de tournage : Collaborations régulières Que ce soit en tant que scénariste ou en tant que dialoguiste Michel Audiard a régulierement collaboré avec le réalisateur Denys de La Patellière avec des films comme Les Grandes Familles (1958), Rue des Prairies (1959) ou Le Bateau d'Emile (1961). Histoire vraie Selon Pierre Bellemare, l'histoire d'Un Taxi pour Tobrouk serait fortement inspirée par une aventure réelle vecu par deux soldats danois et allemand qui se seraient perdus au Groenland en 1943. |
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The Lost City of Z | The Lost City of Z | USA | 2016 | Aventure | 141 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 21/03/2017 | |
James Gray | Charlie Hunnam, Sienna Miller, Tom Holland, Robert Pattinson, Angus Macfadyen, Edward Ashley, Daniel Huttlestone, Harry Melling | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=223754.html | |||||
L’histoire vraie de Percival Harrison Fawcett, un des plus grands explorateurs du XXe siècle.Percy Fawcett est un colonel britannique reconnu et un mari aimant. En 1906, alors qu’il s’apprête à devenir père, la Société géographique royale d'Angleterre lui propose de partir en Amazonie afin de cartographier les frontières entre le Brésil et la Bolivie. Sur place, l’homme se prend de passion pour l’exploration et découvre des traces de ce qu’il pense être une cité perdue très ancienne. De retour en Angleterre, Fawcett n’a de cesse de penser à cette mystérieuse civilisation, tiraillé entre son amour pour sa famille et sa soif d’exploration et de gloire… | |||||
Signer un film intimiste avec toute la matière d'une fresque d'aventure : voilà l'exploit inattendu de James Gray, le réalisateur de Little Odessa (1995) et de Two Lovers (2008). Depuis qu'il avait annoncé, il y a une petite décennie, vouloir adapter la biographie de l'explorateur britannique Percy Fawcett (1867-1925), mystérieusement disparu, le doute était permis. Qu'allait faire dans cette galère amazonienne ce cinéaste identifié à New York (décor et personnage central de ses cinq premiers films) ? Aujourd'hui, le résultat, majestueux et subtil, déjoue les catégories existantes. Derrière son classicisme apparent, The Lost City of Z est un prototype. D'abord, la jungle équatoriale n'envahit pas tout, bien au contraire. L'ancrage familial et social de l'explorateur prime. L'histoire commence à Londres, dans la haute société, en 1906. Toute la suite découle d'allers-retours entre l'Amérique et le Vieux Continent. Le premier voyage, Fawcett (Charlie Hunnam) l'effectue presque à contrecoeur. La mission que lui confie la Royal Geographic Society — cartographier une zone limitrophe de la Bolivie et du Brésil — lui semble un pis-aller par rapport à son désir de reconnaissance. Et déjà, les discussions, préalables au départ, avec l'épouse enceinte (Sienna Miller) reflètent la complexité profonde de ce héros aristocrate. Se laissent deviner à la fois l'ambition et la dérision de l'ambition ; en même temps, l'appel du large et les derniers feux de l'indolence juvénile. Au milieu du faste d'époque, l'attention portée aux visages par le cinéaste (et son chef opérateur, lire ci-contre) est d'emblée bouleversante. Nombre de réalisateurs qui disposent d'un budget inhabituel se laissent dévier de leur trajectoire artistique. Pas James Gray, qui, depuis ses débuts, filme avant tout des dilemmes intimes, des tourments existentiels. Même en Amazonie, il tient son cap. Loin de Francis Ford Coppola (Apocalypse now) ou de Werner Herzog (Aguirre, la colère de Dieu ; Fitzcarraldo) : la jungle, avec ses multiples dangers, n'est pas, cette fois, le lieu de la folie explicite. Les tempêtes demeurent contenues sous les crânes de Fawcett et de son aide de camp — Robert Pattinson, méconnaissable derrière sa barbe. En pleine nature hostile, parmi les Indiens imprévisibles, l'explorateur reste hanté par l'image de la famille naissante qu'il a laissée en Angleterre. A peine se laisse-t-il griser par la découverte imprévue des vestiges d'une ancienne civilisation. Mais, plus tard, revenu parmi les siens, il ne songe qu'à cette cité inconnue, qu'il appelle Z. Il affronte l'élite intellectuelle 02 Anglaise, qui nie sa découverte. Il demeure comme absent à sa famille, qui pourtant ne cesse de s'agrandir. Il interdit à sa femme de le suivre dans sa nouvelle expédition, la jugeant trop fragile. Ainsi, il la déconsidère comme la communauté scientifique le mésestime, lui. Quant à l'existence réelle de cette civilisation perdue, un léger doute persiste. Trop peu d'indices sont mis en évidence. De sorte que l'obsession de l'explorateur ouvre à plusieurs lectures possibles. Elle devient métaphore d'une aspiration humaine à l'ailleurs. D'un besoin impérieux de diversion, de transcendance. D'un désir de croire. L'aventurier, au-delà même de la cité de Z, idéalise les indigènes. Il leur prête, non sans paternalisme, la grandeur d'âme qui manque à ses congénères britanniques. Durant la Première Guerre mondiale, alors qu'il dirige une brigade d'artillerie en France, dans les tranchées, Percy Fawcett est, de nouveau, rattrapé par cette croyance : la jungle lui apparaît comme un pays perdu, un sanctuaire de paix. Une autre dimension vient encore ajouter à l'ampleur de cette histoire : le temps. Près de vingt ans s'écoulent entre la première et la troisième expédition, en 1925. Le fils aîné, que l'explorateur n'a pas voulu voir grandir, est, soudain, un disciple inespéré, un alter ego possible. En tout cas, un compagnon de voyage ultime. James Gray, refusant toujours le spectaculaire, orchestre alors un finale grandiose, à bas bruit. Une cérémonie nocturne, au milieu de la forêt, où culmine le mysticisme du héros. Il s'agit, aussi, du legs ambigu d'un père à son enfant. Comme une leçon de vie et de mort. La transmission, dans le même mouvement, de la joie d'être au monde, de s'y abandonner et de s'y dissoudre. — Louis Guichard |
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The Proposition | The Proposition | UK | 2005 | Aventure | 104 min. |
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Disponible | 02 Anglais | 01 AVI | 22/12/2010 | |
John Hillcoat | Guy Pearce (Charlie Burns), Emily Watson (Martha Stanley), Ray Winstone (Capitaine Stanley), David Wenham (Eden Fletcher), John Hurt (Jellon Lamb), Richard Wilson (Mike Burns), Boris Brkic (Officier Holloway), Danny Huston (Arthur Burns), Garry Waddell (Officier Davenport), David Gulpilil (Jacko), Leah Purcell (Queenie), Tommy Lewis (Two Bob), Jerry Solomon (Blinky), Max Age (Thommo), Ralph Cotterill (Dr. Bantrey), Noah Taylor (Brian O'Leary), Mick Roughan (Mad Jack Bradshaw), Shane Watt (John Gordon), Robert Morgan (Lawrence), Bryan Probets (L'Officier Dunn), Oliver Ackland (Patrick Hopkins), David Vallon (Tom Cox), Daniel Parker (Henry Clark), Bogdan Koca (Paul Broussard), Tom Budge (Samuel Stoat), Sue Dwyer (Mrs. Broussard), Lance Medlin (Dan O'Reilly), Jae Mamuyac (Asian Prostitute), Carl Rush (Robert Borland), Iain Gardiner (Acteur), Rodney Boschman (Acteur), Ned Rose (Acteur). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=57886.html | |||||
Dans l'arrière-pays australien, à la fin du XIXème siècle, deux hommes situés aux deux extrémités de la loi passent un marché secret et décisif...Le Capitaine Stanley s'est juré de ''civiliser'' le pays sauvage australien. Ses hommes ont capturé deux des quatre frères du gang Burns : Charlie et Mike. Les bandits ont été jugés responsables de l'attaque de la ferme Hopkins et de l'assassinat de toute une famille.Arthur, le plus âgé des frères Burns et chef du gang, s'est réfugié dans la montagne. Le Capitaine Stanley propose alors un marché à Charlie : retrouver son frère aîné en échange de son pardon, et de la vie sauve pour le jeune Mike. Charlie n'a que neuf jours pour s'exécuter... | |||||
Note de la presse : 4/5 Note des spectateurs : 4/5 (Pour 254 notes : 37 % de *****, 37 % de ****, 16 % de ***, 3 % de **, 8 % de *) Fiche technique : Couleur Format du son : Dolby numérique Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Nick Cave au scénario Le scénario de The Proposition est intégralement écrit par le chanteur Nick Cave, qui en a également composé la musique. Le film est la deuxième collaboration du compositeur avec son compatriote John Hillcoat après Ghosts... of the Civil Dead en 1988 dont il était scénariste et dans lequel il jouait aussi un rôle. Un western australien John Hillcoat, le réalisateur de The Proposition, explique avoir "toujours été obsédé par l'idée de réaliser un western australien situé dans l'outback, mettant en scène le conflit avec les aborigènes, les Bushrangers, tous ces éléments. Je me suis mis à développer cette idée et Nick Cave était de la partie en tant que compositeur. Mais les années passaient et Nick devenait de plus en plus frustré de voir que ça trainait, donc je lui ai demandé s'il voulait tenter d'écrire le scénario. Je me doutais qu'il en sortirait quelque chose de bon, à cause du songwriting très narratif de Nick qui installe des personnages si marquants..." Et Nick Cave de poursuivre : "Pour John Hillcoat, l'Australie possède aussi une histoire de western. Le pays a eu son wild west, mais ça n'avait jamais été exploité au cinéma. Il n'y a pas eu de films de genre sur cette période, hormis des biographies d'Australiens célèbres tels que Ned Kelly, Mad Dog ou d'autres. (...) On ne voulait pas donner l'impression d'un western américain catapulté en Australie. L'identité australienne possède aujourd'hui une forme de platitude, derrière laquelle se cachent en vérité une sauvagerie et une cruauté. L'humour ici est aussi sec que le désert. Ceci vient du fait que les gens ne vivent probablement pas où ils devraient vivre. Et ce film parle d'une communauté isolée, de gens qui se battent dans un endroit où ils n'ont aucun droit d'être." Un autre regard sur les aborigènes Avec La Proposition, le réalisateur John Hillcoat souhaitait proposer autre chose que le discours habituel sur les aborigènes dans les films australiens, qui laisse entendre qu'ils se sont contentés d'être là et de se laisser exterminer. Les acteurs indigènes étaient ravis de figurer dans un filmoù ils avaient la possibilité de riposter. Nick Cave explique la particularité historique du film : "Les personnages indigènes de The Proposition ne font pas partie du simple décor, ils sont essentiels au climat mystique du film et constituent un lien ambivalent entre les deux camps qui s'affrontent ici : les bandits et la loi. Qu'ils soient violemment écrasés par la domination des Blancs ou contraints à accepter la soumission qu'on leur impose, ils demeurent tous animés par un esprit de rébellion contenu mais inébranlable." Un tournage par... 57 degrés ! Le tournage de The Proposition s'est effectué dans des conditions de chaleur étouffantes. Selon le réalisateur John Hillcoat, "les acteurs étaient complètement assommés par les conditions de tournage. Ils portaient trois couches de vêtements sous une chaleur de 57 degrés." Nick Cave, lui, déclare : "On était la meilleure blague du moment là-bas, parce qu'on se dirigeait de plus en plus vers le coeur de l'été, et les habitants locaux se disaient que ça allait être très drôle de regarder des gens essayer de tourner un film dans ces conditions. Personne ne pouvait ouvrir la bouche sans qu'une mouche ne vienne s'y terrer." Une lumière française La lumière de The Proposition est signée par le Français Benoît Delhomme (Cyclo, L'Odeur de la papaye verte). Primé à Valenciennes The Proposition a obtenu le Grand Prix du Jury au Festival de Valenciennes 2009. |
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Vie aquatique (la) | The Life Aquatic | USA | 2003 | Aventure | 118 min. |
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Disponible | 01 Français | 02 MKV | 03/09/2016 | |
Wes Anderson | Bill Murray, Owen Wilson, Cate Blanchett, Willem Dafoe, Anjelica Huston, Jeff Goldblum, Michael Gambon, Robyn Cohen | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=53109.html | |||||
Steve Z., le chef de l'équipe océanographique "Team Zissou", sait que l'expédition qu'il conduit est sans doute la dernière, et son plus cher désir est de graver son nom dans l'Histoire. Parmi les membres de son équipe figurent Ned Plimpton, qui est peut-être - ou peut-être pas - son fils, Jane Winslett-Richardson, une journaliste enceinte dépêchée par le magazine Oceanographic Explorer, et Eleanor, sa femme, que l'on prétend être "le cerveau de la Team Zissou".Tandis qu'ils affrontent tous les dangers, depuis une mutinerie jusqu'à l'attaque de pirates en passant par un "requin jaguar" plus ou moins imaginaire, Zissou est bien forcé d'admettre que tout ne peut pas être planifié comme il l'aimerait... | |||||
Cette loufoquerie - qui risque de laisser certains perplexes - n'est jamais loin de la tristesse. Rien n'est dramatisé mais tout va plus ou moins de travers, de mal en pis.[...] Jusqu'à ce que, merveille d'artifice cinématographique, l'océan ne rende à cette humanité désenchantée le spectacle miraculeux de la beauté du monde, et l'extase enfantine qui va avec. |
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7 mercenaires (les) | The Magnificent Seven | USA | 2016 | Aventure | 133 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 07/12/2016 | |
Antoine Fuqua | Denzel Washington (Sam Chisolm), Chris Pratt (Josh Farraday), Ethan Hawke (Goodnight Robicheaux), Vincent D'Onofrio (Jack Horne), Byung-Hun Lee (Billy Rocks), Manuel Garcia-Rulfo (Vasquez), Martin Sensmeier (Red Harvest), Haley Bennett (Emma Cullen) |
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http://www.telerama.fr/cinema/films/les-sept-mercenaires,502698.php | |||||
L’industriel Bartholomew Bogue règne en maître sur la petite ville de Rose Creek. Pour mettre fin au despotisme de l’homme d’affaires, les habitants, désespérés, engagent sept hors-la-loi, chasseurs de primes, joueurs et tueurs à gages – Sam Chisolm, Josh Farraday, Goodnight Robicheaux, Jack Horne, Billy Rocks, Vasquez, et Red Harvest. Alors qu’ils se préparent pour ce qui s’annonce comme une confrontation sans pitié, ces sept mercenaires prennent conscience qu’ils se battent pour bien autre chose que l’argent… | |||||
On n'aurait pas parié un penny sur ce remake du classique de John Sturges (lui-même remake des Sept Samouraïs, de Kurosawa) confié au très inégal Antoine Fuqua. Surprise : on savoure cette version ultra violente (multipliez par dix le nombre de cadavres), coscénarisée par Nic Pizzolatto (True Detective). Fini le hameau mexicain pillé par les bandidos d'Eli Wallach. Place à Peter Sarsgaard, capitaliste assassin qui surexploite un village minier, donnant des accents néolibéraux à la réplique d'origine : « Dieu a inventé les moutons pour qu'ils se fassent tondre. » Face à ce profiteur, les sept sauveurs, engagés, cette fois, par une femme, prennent les traits de l'Amérique contemporaine, avec, à leur tête, un chasseur de primes noir (Denzel Washington, marmoréen), qui sait s'entourer sans sectarisme : un tireur je-m'en-foutiste (Chris Pratt), un dandy fâché avec la violence, un Mexicain, un Chinois, un Indien et un trappeur fou de Dieu... Ça dégaine aussi vite que dans un jeu vidéo et les chorégraphies des gunfights lorgnent vers Tarantino, mais c'est bien cette union interraciale qui fait la force du tableau. Les visages des trois survivants de cette guerre contre le pouvoir de l'argent ? Un joli pied de nez à l'Amérique wasp... |
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Free State Of Jones | The Free State Of Jones | USA | 2016 | Aventure | 139 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 24/09/2016 | |
Gary Ross | Matthew McConaughey, Gugu Mbatha-Raw, Mahershala Ali, Keri Russell, Christopher Berry, Sean Bridgers, Jacob Lofland, Thomas Francis Murphy | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=232911.html | |||||
En pleine guerre de Sécession, Newton Knight, courageux fermier du Mississippi, prend la tête d’un groupe de modestes paysans blancs et d'esclaves en fuite pour se battre contre les États confédérés. Formant un régiment de rebelles indomptables, Knight et ses hommes ont l'avantage stratégique de connaître le terrain, même si leurs ennemis sont bien plus nombreux et beaucoup mieux armés… Résolument engagé contre l'injustice et l'exploitation humaine, l'intrépide fermier fonde le premier État d'hommes libres où Noirs et Blancs sont à égalité. | |||||
L’histoire authentique de Newton Knight, un petit fermier de Jones County (Mississippi) qui déserte des rangs des sudistes pendant la guerre de Sécession pour prendre le maquis avec les Noirs en cavale. Révolté par l’injustice de l’esclavage, il organise une milice secrète et s’empare d’une partie du Mississippi, qu’il surnomme "l’Etat libre de Jones". Le film est entrecoupé avec une autre histoire, celle d’un arrière-petit-fils de Knight, qui épouse une métisse dans les années 1940, et qui tombe sous le coup de la loi (mariages interraciaux interdits). Deux beaux sujets qui auraient dû faire deux films, et non un seul : l’ensemble est long, trop long, malgré l’intensité de l’interprétation de Matthew McConaughey. Dommage : il y a là un film formidable, si le réalisateur consentait à couper quarante-cinq minutes. |
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Indiana Jones 4 - et le royaume du crâne de cristal | Indiana Jones and the Kingdom of the Crystal Skull | USA | 2008 | Aventure | 123 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 07/05/2010 | |
Steven Spielberg | Harrison Ford, Cate Blanchett, Karen Allen | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=45890.html | |||||
La nouvelle aventure d'Indiana Jones débute dans un désert du sud-ouest des Etats-Unis. Nous sommes en 1957, en pleine Guerre Froide. Indy et son copain Mac viennent tout juste d'échapper à une bande d'agents soviétiques à la recherche d'une mystérieuse relique surgie du fond des temps. De retour au Marshall College, le Professeur Jones apprend une très mauvaise nouvelle : ses récentes activités l'ont rendu suspect aux yeux du gouvernement américain. Le doyen Stanforth, qui est aussi un proche ami, se voit contraint de le licencier. A la sortie de la ville, Indiana fait la connaissance d'un jeune motard rebelle, Mutt, qui lui fait une proposition inattendue. En échange de son aide, il le mettra sur la piste du Crâne de Cristal d'Akator, relique mystérieuse qui suscite depuis des siècles autant de fascination que de craintes. Ce serait à coup sûr la plus belle trouvaille de l'histoire de l'archéologie. Indy et Mutt font route vers le Pérou, terre de mystères et de superstitions, où tant d'explorateurs ont trouvé la mort ou sombré dans la folie, à la recherche d'hypothétiques et insaisissables trésors. Mais ils réalisent très vite qu'ils ne sont pas seuls dans leur quête : les agents soviétiques sont eux aussi à la recherche du Crâne de Cristal, car il est dit que celui qui possède le Crâne et en déchiffre les énigmes s'assure du même coup le contrôle absolu de l'univers. Le chef de cette bande est la cruelle et somptueuse Irina Spalko. Indy n'aura jamais d'ennemie plus implacable... Indy et Mutt réuissiront-ils à semer leurs poursuivants, à déjouer les pièges de leurs faux amis et surtout à éviter que le Crâne de Cristal ne tombe entre les mains avides d'Irina et ses sinistres sbires ? | |||||
Morsure du lézard (la) | Holes | USA | 2002 | Aventure | 117 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 07/05/2005 | |
Andrew Davis | Sigourney Weaver , Shia La Beouf , Jon Voight , Patricia Arquette , Tim Blake Nelson | ||||
http://cinema.tiscali.fr/fichefilm.aspx?id=FI014686&file=http | |||||
Le jeune Stanley Yelnats vit au sein d'une famille excentrique, victime d'une vieille malédiction. Un jour, au coin d'une rue déserte, l'adolescent reçoit sur le crâne une paire de baskets, mystérieusement tombée du ciel. Accusé d'avoir dérobé celle-ci au légendaire champion Clyde Livingstone, Stanley est condamné à passer dix-huit mois au Camp de Green Lake, au milieu d'un désert torride. Ce centre de rééducation pour adolescents désaxés est dirigé par une cruelle directrice qui oblige ses "pensionnaires" à creuser de grands trous dans le sable. Raison officielle : forger leur tempérament. Mais Stanley comprend que cette épuisante corvée a un but secret : retrouver le trésor de la légendaire "bad girl" de l'Ouest, Kissin' Kate Barlow, devenue hors-la-loi pour venger le meurtre de son amant... | |||||
QUAND T'ES DANS LE DÉSERT... Au départ, LA MORSURE DU LEZARD est un best-seller de la littérature américaine pour les 8-12 ans, qui n'est pas sans rappeler la saga HARRY POTTER. Evidemment, les productions Walt Disney ne pouvaient laisser passer une telle aubaine ! Louis Sachar a donc accepté d'adapter son livre en scénario. Erreur. En voulant trop respecter son oeuvre, il s'est pris les pieds dans le tapis. Le mélange des genres et la construction alambiquée passent très mal à l'écran : on a droit à trois intrigues peu crédibles, espacées sur plus d'un siècle, à de la comédie, du fantastique, du western, et plein de métaphores lourdaudes sur la vie. Tout ça en deux heures ! Les enfants risquent fort de bâiller et les adultes de se sentir frustrés de ne pas voir davantage Sigourney Weaver et Patricia Arquette, visibles seulement pendant vingt minutes à elles deux. On se consolera avec les performances complètement "barrées" de Jon Voigt et d'Eartha Kitt. Côté mise en scène, c'est Andrew Davis qui s'y est collé. Dix ans après le formidable FUGITIF, il faut désormais se résoudre à une terrible évidence : c'est un tâcheron sans idées. Mcinema.com (Marc Kressmann) *** DECALAGE DU SON ET DE L'IMAGE *** |
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O'Brother | O'Brother, Where Are Thou? | UK/USA | 2000 | Aventure | 106 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 24/12/2010 | |
Joel Coen | George Clooney (Ulysses Everett Mcgill), John Turturro (Pete), Tim Blake Nelson (Delmar), John Goodman (Big Dan Teague), Wayne Duvall (Homer Stokes), Ray Mckinnon (Vernon T. Waldrip), Daniel Von Bargen (Sheriff Cooley), Holly Hunter (Penny Wharvey), Charles Durning (Pappy O'Daniel), J.R. Horne (Pappy'S Staff), Del Pentecost (Junior O'Daniel), Brian Reddy (Pappy'S Staff), Michael Badalucco (George ''babyface'' Nelson), Chris Thomas King (Tommy Johnson), Stephen Root (Radio Station Man), Musetta Vander (Siren), Lee Weaver (Blind Seer), Frank Collison (Wash Hogwallop), Cheryl White (Acteur), Ed Gale (Acteur), Mia Tate (Siren), Royce D. Applegate (Man With Bullhorn), John Mcconnell (Woolworths Manager), Christy Taylor (Siren), David Holt (Village Idiot), John Locke (Mr. French), A. Ray Ratliff (Record Store Clerk), April Hardcastle (Serveuse), Buck White (Acteur), Ed Snodderly (Acteur), Evelyn Cox (Actrice), Georgia Rae Rainer (Actrice), Gillian Welch (Actrice), Issac Freeman (Acteur), Robert Hamlett (Acteur), Sidney Cox (Acteur), Sharon White (Actrice), Suzanne Cox (Actrice), Willard Cox (Acteur), Wilson Waters Jr. (Acteur), (Acteur), Millford Fortenberry (Acteur), Natalie Shedd (Actrice), Lindsey Miller (Actrice), Marianna Breland (Actrice). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=29785.html | |||||
Dans le Mississippi profond, pendant la Grande Depression. Trois prisonniers enchainés s'évadent du bagne : Ulysses Everett McGill, le gentil et simple Delmar et l'éternel râleur Pete. Ils tentent l'aventure de leur vie pour retrouver leur liberté et leur maison. N'ayant rien à perdre et unis par leurs chaînes, ils entreprennent un voyage semé d'embuches et riche en personnages hauts en couleur. Mais ils devront redoubler d'inventivité pour échapper au mysterieux et rusé shérif Cooley, lancé à leur poursuite... | |||||
Note de la presse : 4/5 Note des spectateurs : 4/5 (Pour 9360 notes : 44 % de *****, 33 % de ****, 13 % de ***, 2 % de **, 8 % de *) Fiche technique : Budget : 26 000 000 $ N° de visa : 100423 Couleur Format du son : DTS Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Adapté de Homère O' Brother se présente comme la libre adaptation de «L'Odyssée» de Homère dans le Deep South des années 30.Joel Coen ironise : «Ce projet est né il y environ 3000 ans, depuis qu'Homère a commencé à en parler ici et là.» avant de reconnaître qu'«il s'agit d'un sujet très américain, comme tous nos sujets. Il est inséré dans une époque e une région précises. Mais, en même temps, il se fonde sur une histoire universelle, connue de tous.» Les yeux fermés George Clonney, enthousiaste à l'idée de jouer sous la direction des frères Coen, a accepté le projet sans même lire le scénario. La lecture du script n'a fait que confirmer ses a priori favorables. Et de quatre ! O'Brother marque la quatrième collaboration entre John Turturro et Joel Coen. Le comédien était auparavant apparu aux génériques de Miller's crossing (1990), Barton Fink (1991) et The big Lebowski (1998). Une B.O. composite L'action de O'Brother se déroule dans le Deep South, région où le musique la plus populaire est le "bluegrass", une forme traditionnelle de blues. La bande-originale traduit cette ambiance musicale à travers des enregistrements originaux des années 30 et des titres de l'époque réenregistrées. De plus, une chanson a spécialement été composée pour les besoins du film. Joel Coen écrit en musique « Dès le début de l'écriture, la musique a occupé une place très importante, qui n'a cessé d'augmenter. Il y a très peu de scènes dans le film sans élément musical. » Tim Blake Nelson (Delmar) Dirigé notamment par Hal Hartley (Amateur en 1994) et Mike Newell (Donnie Brasco en 1997), Tim Blake Nelson a joué dans La ligne rouge (Terrence Malick, 1999).Tim Blake est également réalisateur. Il a mis en scène trois longs métrages, tous inédits en France. Quelques gouttes de réalité Certains personnages que rencontrent les trois héros de O'Brother ont réellement existé. Ainsi, George «Babyface» Nelson, incarné par Michael Badalucco, était-il un gangster extrêmement dangereux des années 30. Mais le personnage décrit dans le film n'a que peu de points communs avec son modèle. Comme le confesse Michael Badalucco, «ce qu'il devient dans l'esprit des frères Coen est très différent de ce qu'on a pu voir dans le vieux films policiers.»Tommy Johnson, le personnage qu'interprète Chris Thomas King, était l'un des bluesmen les plus célèbres de l'époque. Le comédien réunissait les qualités d'acteur, de musicien et de chanteur indispensables pour rendre son personnage crédible.Chris Thomas King, qui dut apprendre la technique de jeu des musiciens de l'époque, s'estime chanceux d'avoir décroché le rôle et avoue qu'«il y a dû avoir une intervention divine ou quelque chose comme ça ! Il fallait qu'ils aient drôlement confiance en moi pour me donner le rôle.» |
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Postman | The Postman | USA | 1997 | Aventure | 178 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 25/07/2013 | |
Kevin Costner | Kevin Costner (Le Facteur), Will Patton (Le Général Bethlehem), Larenz Tate (John Stephens), Olivia Williams (Abby), James Russo (Idaho), Daniel von Bargen (Le shérif Briscoe), Tom Petty (Le Maire), Scott Bairstow (Luke), Giovanni Ribisi (Bandit 20), Roberta Maxwell (Irene March), Joe Santos (Le colonel Getty), Ron McLarty (Le vieux George), Peggy Lipton (Ellen March), Brian Anthony Wilson (Woody), Todd Allen (Gibbs), Rex Linn (Mercer), Shawn Hatosy (Billy), Ryan Hurst (Eddie March), Charles Esten (Michael), Daniel van Bargen (Pineview Sheriff Briscoe). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=16169.html | |||||
En 2013, dans l'Ouest americain, une guerre d'une ampleur sans précédent a fait voler en éclats les structures de la société et bouleverse l'écosystême. Les survivants vivent dans des hameaux de fortune sous le joug d'un général auto-proclamé du nom de Bethlehem, qui fait régner la terreur. Un vagabond anonyme croise un jour le chemin du despote. | |||||
Fiche technique : Distributeur : Warner Bros. France Box Office France : 167 792 entrées Année de production : 1997 Date de sortie DVD : 1 août 2008 Langue : 02 Anglais Format de production : 35 mm Colorimétrie : Couleur Format audio : DTS stéréo Type de film : Long-métrage Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope |
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Sahara | Sahara | USA | 2005 | Aventure | 125 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 26/03/2022 | ||
Breck Eisner | Matthew McConaughey, Steve Zahn, Penélope Cruz, William H. Macy, Lambert Wilson, Lennie James, Glynn Turman, Delroy Lindo | ||||
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=52501.html | |||||
Pour Dirk Pitt, explorateur, scientifique et aventurier, découvrir cette pièce de légende n'était que le premier pas vers l'aventure la plus risquée de sa vie et une incroyable légende historique... Avec son inséparable partenaire et ami, Al Giordino, Dirk se lance dans une chasse au trésor qui va les conduire dans les régions les plus reculées d'Afrique, sur les traces d'un navire mystérieusement disparu avec sa cargaison secrète. Ils vont rencontrer le Dr. Eva Rojas, une femme médecin persuadée que le trésor caché a un lien avec une menace redoutable pour le monde... Face aux obstacles, aux mystères et aux pièges, Dirk, Al et Eva ne pourront compter que sur eux-mêmes. Ce n'est pas à une énigme qu'ils s'attaquent mais à deux, et chacune peut leur coûter la vie... |
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Vingt-quatre ans après Les Aventuriers de l'arche perdue, la recette aventure, exotisme, mystère et humour fonctionne toujours aussi bien. Breck Eisne signe un film énergique et d'une bonne humeur communicative. Le scénari accumule les situations les plus étonnantes. Les comédiens se dépensent sans compter. Le décor naturel est de toute beauté. Que demander de plus ? |
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The Revenant | The Revenant | USA | 2015 | Aventure | 156 min. |
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Disponible | 02 Anglais | 01 AVI | 24/02/2016 | |
Alejandro González Iñárritu | Leonardo DiCaprio, Tom Hardy, Domhnall Gleeson, Will Poulter, Paul Anderson, Kristoffer Joner, Brendan Fletcher, Lukas Haas | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=182266.html | |||||
Dans une Amérique profondément sauvage, Hugh Glass, un trappeur, est attaqué par un ours et grièvement blessé. Abandonné par ses équipiers, il est laissé pour mort. Mais Glass refuse de mourir. Seul, armé de sa volonté et porté par l’amour qu’il voue à sa femme et à leur fils, Glass entreprend un voyage de plus de 300 km dans un environnement hostile, sur la piste de l’homme qui l’a trahi. Sa soif de vengeance va se transformer en une lutte héroïque pour braver tous les obstacles, revenir chez lui et trouver la rédemption. | |||||
Après le faux plan-séquence unique (Birdman), le survival ultime, l’expérience plastique la plus démente que vous verrez cette année. Chaque nouveau film d’Iñárittu convoque l’hyperbole, comme si le réalisateur mexicain se faisait un devoir de renverser la planète cinéma dès qu’il passe derrière la caméra. Et ça marche puisqu’il est encore une fois le favori des Oscars. D’emblée, le ton est donné : une attaque d’Indiens visant un camp de base de trappeurs, filmée en plan-séquence au plus près des chasseurs, donne le vertige. Le phénoménal combat qui suit contre un ours (tellement réaliste qu’il a valu à ses spécialistes en images de synthèse une nomination dans la catégorie meilleurs effets spéciaux) laisse groggy. Sale et amoché, bavant et éructant, Leonardo DiCaprio rampe dans la neige pour avoir son Oscar et atteindre ce traître de Tom Hardy, personnage moins manichéen qu’il n’y paraît. Mais on s’en fout, on est devant un véritable survival doublé d’un revenge movie bien crade comme on les aime. Frissons assurés, grand spectacle garanti. Il ne manque rien à The Revenant, sinon, peut- être, une conscience moins affichée de sa propre grandeur, par ailleurs indiscutable. |
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Blanche | Blanche | France | 2001 | Aventure | 94 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 25/12/2010 | |
Bernie Bonvoisin | Lou Doillon (Blanche), Carole Bouquet (La Reine De France), Roschdy Zem (Bonange), Jean Rochefort (Le Cardinal Mazarin), Antoine De Caunes (Le Capitaine Kkk), José Garcia (Le Roi De France), Antoine Basler (Etranger), Bernie Bonvoisin (Cindarella Le Conseiller), Chick Ortega (Killdefer), Pierre Laplace (Nez De Braise), Daniel Benoin (M. De Péronne), Marc Lavoine (Tesmoulènes), Albert Dray (Doriphore), Isabelle Obispo (Solange), Manolo Lanes (Grosbec Le Cocher), Yves Nadot (Le Fermier), Valérie Renaud (La Fermière), Djemel Amel (Mme Chetane), Valérie Steffen (Mme Arnouna), Philippe Lazoore (Le Géant), Pascal Guegan (Le Noble Marche), Dominique Besnehard (Le Duc), Stéphane Gildas (Athos), Patrick Messe (Porthos), Gérard Depardieu (D'Artagnan), Marc Rioufol (Aramis), Albert Goldberg (Le Complice De Blanche 1), Gaëlle Cohen (La Complice De Blanche 2), Michel Carliez (Le Complice De Blanche 3), Isabelle Lardin (La Fan Du Roi 1), Cybèle Villemagne (La Fan Du Roi 2), Sophie Tzyetan (La Fan Du Roi 3), Sybille Claudel (La Duchesse Prokofievitch), Bénédicte Loyen (La Comtesse Valentinovitch), Roger Lumont (Le Cardinal Pompini), Miguel Borras (Don Pablo), Luis Miguel Murtado (Tomaso), Alvaro Luna Porras (Leder), Selma El Mouissi (Blanche Enfant), Yannick Gicquel (L'Homme De Bonange À La Ferme), Maïssa Baros-Gras (La Femme Au Serpent). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=29222.html | |||||
Au XVIIe siècle, Blanche De Péronne, une gamine de quatorze ans, est témoin du meurtre sauvage de ses parents par le capitaine KKK, responsable des ''Escadrons de la mort'', milice privée du cardinal Mazarin.Quinze ans plus tard, elle se retrouve à la tête d'une bande de malfrats et souhaite venger la mort de ses parents. Se présente alors à elle celui qu'on nomme ''Etranger'', un mercenaire solitaire, qui lui propose de braquer un convoi spécial destiné au cruel cardinal.L'embuscade réussit. La joyeuse troupe découvre alors deux biens précieux très convoités par son Eminence : une substance farineuse, appelée ''poudre du Diable'', aux effets dévastateurs, et une lettre codée que seul Bonange, un espion à la solde de Mazarin, est capable de décrypter. Une fois déchaînée sa colère, le cardinal va tout mettre en oeuvre pour récupérer la fameuse missive ainsi que la poudre rougeâtre. | |||||
Note de la presse : 2/5 Note des spectateurs : 2/5 (Pour 638 notes : 3 % de *****, 9 % de ****, 10 % de ***, 3 % de **, 75 % de *) Fiche technique : Box Office France : 670 709 entrées Budget : 14,09 millions d'euros N° de visa : 101636 Couleur Format du son : Dolby SR Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Format de production : 35 mm Tourné en : Français Secrets de tournage : Un film de cape et d'épée Bernie Bonvoisin entendait faire un film de genre "cape et épée" avec Blanche même si la thématique et les dialogues devaient rester contemporains. Il a pour cela situé l'histoire au XVIIe siècle en reprenant les figures historiques de Mazarin (Jean Rochefort), Anne d'Autriche (Carole Bouquet) et Louis XIV (José Garcia). La vengeance de Blanche et le trafic de poudre du diable fait par Mazarin sont des prétextes à des scènes de combats qui ont obligé Lou Doillon a prendre des cours d'escrime et d'équitation plusieurs mois avant le début du tournage. Les lieux de tournage Les scènes d'intérieur ont été tournées à Paris et dans sa région. Pour toutes les scènes extérieures l'équipe du film s'est installée dans les Cévennes sur le Causse Méjean, puis à Beaulieu le Vieux. La dernière scène a été tournée au Fort Napoléon à La Seyne-sur-Mer. Un film insolent Bernie Bonvoisin entendait faire un film insolent. Il déclare : "Concernant les puissants, il y a beaucoup à dire, surtout en ce moment. Trop souvent, ces gens osent tout avec une totale assurance. Beaucoup pourraient reprendre à leur compte ce que le Mazarin du film dit sur l'Eglise lorsqu'il s'adresse à Dieu: "J'avais une caisse, j'ai tapé dedans, c'est un acte de raison". Quelle que soit l'époque, l'excès de pouvoir corrompt. J'ai utilisé des images, comme celle du lynchage du duc et de la duchesse de Bretagne. On y découvre la folie de ceux qui se pensent intouchables, qui ont un pouvoir sur la vie des gens." Le troisième film de Bonvoisin Après Les Demons de Jesus et Les Grandes bouches, Blanche est le troisième long métrage de Bernie Bonvoisin. Lou Doillon interprète Blanche Lou Doillon raconte comment elle a été choisie pour interpréter le rôle de Blanche : "Tout a commencé par un casting ordinaire. J'ai rencontré Bernie une première fois pour discuter. J'ai tout de suite eu envie de participer à ce film à cause de lui. Je me souviendrai toujours que, derrière son bureau, s'amoncelaient des dizaines de livres, des petits croquis, des photos des Cévennes, qu'il commentait avec une passion communicative. Il m'a remis le scénario. Nous avons bien sûr discuté du film, mais aussi des choses de la vie, des gens, des enfants, de l'avenir, de ce qui était important ou non dans un film. Nous nous sommes très bien entendus. C'est quelqu'un de droit, d'humain." Blanche en roman Bernie Bonvoisin a été contacté par Fayard pour faire du scénario de Blanche un roman. Il dit à propos de son premier livre : "C'est surtout narratif. Il y a peu de dialogues. Je n'ai pas de code, pas de règles, c'est la première fois que je le fais et je ne me prétends pas écrivain". |
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Conan Le Barbare | Conan The Barbarian | USA | 1982 | Aventure | 129 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 19/04/2004 | |
John Milius | Arnold Schwarzenegger (Conan), James Earl Jones (Thulsa Doom), Max Von Sydow (Le Roi Osric), Sandahl Bergman (Valeria), Ben Davidson (Rexor), Cassandra Gaviola (La Sorcière), Gerry Lopez (Subotai), Mako (L'Enchanteur), Valérie Quennessen (La Princesse Yasmina), William Smith (Le Père De Conan), donald Gibb (le Garde D'Osric), sven-Ole Thorsen (thorgrim), jorge Sanz (young Conan), cassandra Gava (the Witch), jack Taylor (priest), franco Columbu (pictish Scout), nadiuska (conan'S Mother), akio Mitamura (mongol General), luis Barboo (red Hair), kiyoshi Yamasaki (sword Master), erik Holmey (turanian War Officer). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=37176.html | |||||
Encore enfant, Conan assiste impuissant au massacre de ses parents par le cruel Thulsa Doom, et est réduit en esclavage. Enchaîné à la roue de douleur, il y acquiert une musculature peu commune qui lui permet, adulte, de gagner sa liberté comme lutteur. Désireux d'assouvir sa soif de vengeance, il part accompagné de deux voleurs, Subotai et Valeria, à la recherche de Thulsa Doom... | |||||
Note des spectateurs : 3/4 (Pour 2184 notes : 54 % de ****, 15 % de ***, 15 % de **, 7 % de *, 8 % de °) Fiche technique :b Couleur Format du son : Mono Format de projection : 2.35 : 1 Cinemascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Une adaptation d'un roman de Robert E.Howard Solomon Kane est l'adaptation cinématographique du roman éponyme de Robert E. Howard. L'auteur décrit son héros ainsi : " Solomon Kane était un homme grand et maigre; son visage pâle et ténébreux, ses yeux profonds et rêveurs étaient rendus encore plus sombres par le costume foncé et austère de Puritain qu'il aimait porter." Michael J. Bassett, le réalisateur du film s'est largement inspiré du personnage de Howard à la différence près qu'il dit avoir rendu plus humain Solomon que son équivalent littéraire. Ce n'est pas la première fois que les héros des romans de Robert E. Howard inspire les réalisateurs. Il y a également eu Conan le barbare de John Milius avec Arnold Schwarzenegger en 1982 (dont le remake est successivement passé entre les mains de Rob Zombie et John Mc Tiernan ) puis Red Sonja de Douglas Aarniokoski remake du film Kalidor : la légende du talisman (1985) de Richard Fleischer. Un couple muet Bien qu'ils soient côte à côte durant tout le film, les personnage de Conan et de Valeria ne se parlent qu'à une seule reprise. Cette " événement " intervient lors de leur première rencontre où 5 mots sont en fait échangés: - Tu es un garde ? - Non. Des doublures inadéquates Malgré de nombreuses scènes dangereuses, Arnold Schwarzenegger et Sandahl Bergman ont réalisé eux-même leurs cascades. En effet, les deux acteurs possédant des mensurations si imposantes, la production a été incapable de trouver des doublures suffisamment ressemblantes. Une épée de poids Le tournage du film a été très éprouvant pour tous les acteurs et particulièrement pour Arnold Schwarzenegger. En effet, son épée était si lourde qu'il pouvait à peine à la porter. En outre, son encombrante armure l'empêchait de s'asseoir correctement et donc de se reposer entre les prises. |
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Disparues (les) | The Missing | USA | 2002 | Aventure | 137 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 20/01/2006 | |
Ron Howard | Tommy Lee Jones (Samuel Jones), Cate Blanchett (Maggie Gilkeson), Eric Schweig (Pesh-Chidin), Evan Rachel Wood (Lilly Gilkeson), Jenna Boyd (Dot Gilkeson), Val Kilmer (Le Lieutenant Jim Ducharme), Simon Baker (Honesco), Jay Tavare (Kayitah), Aaron Eckhart (Brake Baldwin). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=47977.html | |||||
En 1886, dans le Nouveau-Mexique, un père de famille tente de se réconcilier en vain avec Maggie Gilkeson, sa fille qu'il a abandonnée lorsqu'elle était plus jeune. Celle-ci a grandi, est mariée et a deux petites filles. Lorsque l'aînée d'entre elles est kidnappée, Maggie demande à son père de venir à son secours. Celui-ci tentera de mettre la main sur les ravisseurs avant qu'ils ne passent la frontière mexicaine. | |||||
*** mauvaise qualité sonore *** Note de la presse : 2/4 Note des spectateurs : 2/4 Fiche technique : Couleur Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Tommy Lee Jones chez les Apaches Pour donner à son personnage un maximum d'authenticité, Tommy Lee Jones approfondit sa connaissance du Vieil Ouest et fréquenta pendant plusieurs mois des Apaches afin de se familiariser avec leur culture. Il apprit également à parler le Chiricahua, un dialecte du langage apache.Comme Jay Tavare et Simon Baker, Tommy Lee Jones s'entraîna par ailleurs à charger et manipuler des fusils et pistolets du XIXe siècle, à tirer à l'arc et à monter à cheval. Cate Blanchett se documente Pour préparer son personnage, Cate Blanchett s'est documentée sur les femmes de l'époque. Elle explique : "Leur expérience quotidienne de pionnières, leur lutte contre la nature sauvage pour survivre, leur a donné une sagesse. A travers ce que j'ai appris, j'ai été impressionnée par leur résistance et l'impact de leurs conditions d'existence sur leur féminité." Jenna Boyd bouquine Jenna Boyd s'est préparée à son rôle en lisant les livres que Ron Howard lui avait donnés sur les enfants de l'époque des pionniers. Eric Schweig se maquille Afin de prendre l'allure menaçante de son personnage, Pesh-Chidin, Eric Schweig a dû porter une perruque, un ensemble de prothèses pour déformer son visage ainsi que des fausses dents. Jay Tavare pressenti pour Pesh-Chidin Jay Tavare, qui incarne Kayitah, avait d'abord auditionné pour le rôle de Pesh-Chidin. Ron Howard explique : "Je suis sûr qu'il aurait fait un magnifique méchant, mais il a en lui une sorte de vibration positive qui m'a semblé parfaite pour Kayitah". Lieux et difficultés de tournage Le tournage eut lieu au Nouveau-Mexique dans des conditions difficiles liées à une météo versatile et à d'extrêmes variations de température. Durant les deux semaines de tournage dans la Valles Caldera, où se trouve le ranch de Maggie, l'équipe a notamment essuyé des tempêtes de glace et de neige, et pendant les prises de vue à Zia Pueblo, des vents de sable et de poussière de 65 km/h se sont brusquement levés, aveuglant toute l'équipe. La construction du ranch Le ranch de Maggie, avec enclos, forge, grange, étables et écuries, a été construit dans un bassin environné de cratères volcaniques, Valles Caldera, au nord de Santa Fe, près du parc national de Los Alamos. La séquence du ranch a couvert trois jours d'hiver dans le film, mais a été tournée en treize jours. Présenté au Festival de Berlin Les Disparues a été présenté en compétition officielle au Festival de Berlin 2004. |
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Dumbo | Dumbo | USA | 2019 | Aventure | 112 min. |
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Disponible | 01 Français | 02 MKV | 10/04/2019 | |
Tim Burton | Colin Farrell, Danny DeVito, Michael Keaton, Eva Green, Alan Arkin, Nico Parker, Finley Hobbins, Roshan Seth | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=230141.html | |||||
Les enfants de Holt Farrier, ex-artiste de cirque chargé de s’occuper d’un éléphanteau dont les oreilles démesurées sont la risée du public, découvrent que ce dernier sait voler... | |||||
“Dumbo” renaît de ses cendres et Tim Burton avec ! Enfin ! On retrouve le grand Tim Burton, poétique et ironique, avec un remake en prises de vues réelles du fameux dessin animé de Walt Disney. C’est un peu comme ce restaurant en bas de chez nous où l’on aimait tant aller, ébloui par sa cuisine si singulière. Et puis ça s’est gâté, les plats sont devenus standards, le chef a perdu la main. On y va une dernière fois, en souvenir, et, miracle !, tout remarche comme avant, qualité des mets, ambiance de la salle… Ce rassérénant Dumbo nous réconcilie avec Tim Burton, idole d’il y a trente ans qu’on pensait en roue libre, ayant épuisé son inspiration, vidé de sa fameuse galerie aux monstres nichée quelque part sous ses cheveux en pétard… De fait, il n’y avait rien de glorieux, a priori, à signer pour le remake en prises de vues réelles (plus deux éléphants, mère et fils, en effets 100 % numériques) d’un classique de Disney. Le studio n’en finit pas d’exploiter son catalogue façon Picsou, le cinéaste en a déjà fait les frais, commettant, en 2010, un peu regardable Alice au pays des merveilles. Mais, comme le dit la fable de l’éléphant volant, il suffit peut-être de croire en soi — avec ou sans plume magique — pour être, à nouveau, le meilleur. Le scénario replace l’action au lendemain de la guerre de 14. Dans le cirque provincial de Max Medici (Danny DeVito, impérial), le petit éléphant né avec de trop grandes oreilles est confié à la garde d’un ex-cow-boy star (Colin Farrell), revenu d’Europe avec un bras en moins, incapable de reprendre son numéro de voltige à cheval. Mais ce sont ses enfants, et surtout la petite Milly, qui croient au pouvoir singulier du bébé pachyderme. Entraînement, échec et moqueries, tristesse infinie d’être séparé de sa mère, la célèbre Madame Jumbo (achetée à un patron de cirque allemand qu’interprète le grand Lars Eidinger, venu de sa Schaubühne berlinoise). Le terrain est connu pour les fans du dessin animé de 1941, auquel Tim Burton fait référence de façon exemplaire : reprise ou citation des morceaux musicaux, y compris la géniale suite psychédélique Pink Elephants on parade, clins d’œil subtils, une cigogne ici, un corbeau là. “Michael Keaton, ex-Beetlejuice pour Burton, joue avec une verve malicieuse qui emmène le récit vers la satire.” Quand l’éléphant volant attise la concupiscence d’un magnat du spectacle qui veut y jucher son écuyère fétiche (Eva Green, parfaite), le film, de charmant, devient irrésistible. Rachetés, les circassiens sont transportés dans un parc d’attractions rétrofuturiste, un Disneyland géant des années 1920. Les artistes les plus atypiques du cirque Medici sauveront-ils Dumbo et ses amis ? Car l’entrepreneur est un dangereux mégalo, et Michael Keaton, ex-Beetlejuice pour Burton, le joue avec une verve malicieuse qui emmène le récit vers la satire. Le ton, toujours juste, est une grande réussite : poétique sans mièvrerie, puis ironique avec le sourire. King Kong ou Freaks, c’est comme si les chefs-d’œuvre quasi contemporains de l’époque du récit étaient là, en arrière-plan, pour contribuer en douce à faire de Dumbo un futur classique. Dans l’éloge du cirque artisanal, famille d’éclopés de la normalité à laquelle Burton pourrait appartenir, on s’amuse à lire, aussi, une critique des blockbusters actuels : pas besoin d’un super-héros éléphant quand on a un charmeur de serpents ou une femme-sirène. Inutile de s’étourdir dans l’excès de spectaculaire — le parc d’attractions ressemble à l’Ile des plaisirs de Pinocchio, qui transforme les enfants en ânes… On apprécie que Tim Burton, même pour rire, morde un peu la main qui le nourrit. |
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Huit salopards (les) | The Hateful Eight | USA | 2015 | Aventure | 168 min. |
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Disponible | 02 Anglais | 01 AVI | 02/01/2016 | |
Quentin Tarantino | Samuel L. Jackson (Le commandant Warren), Kurt Russell (John Ruth ''Le Bourreau''), Jennifer Jason Leigh (Daisy Domergue ''La Prisonnière''), Walton Goggins (Chris Mannix ''Le Shérif''), Michael Madsen (Joe Gage ''Le Cowboy'''), Tim Roth (Oswaldo Mobray ''Le Court-sur-pattes''), Demian Bichir (Bob ''Le Mexicain''), Bruce Dern (Général Sandy Smithers ''Le confédéré''), Channing Tatum (Jody), Zoe Bell (Six-Horse Judy), Dana Gourrier (Minnie), Gene Jones (Sweet Dave), Lee Horsley (Ed), Craig Stark (Chester Charles Smithers), Belinda Owino (Gemma), James Parks (O.B Jackson), Bruce Del Castillo (Homer Van Hootin), Keith Jefferson (Charly). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=225571.html | |||||
Quelques années après la Guerre de Sécession, le chasseur de primes John Ruth, dit Le Bourreau, fait route vers Red Rock, où il conduit sa prisonnière Daisy Domergue se faire pendre. Sur leur route, ils rencontrent le Major Marquis Warren, un ancien soldat lui aussi devenu chasseur de primes, et Chris Mannix, le nouveau shérif de Red Rock. Surpris par le blizzard, ils trouvent refuge dans une auberge au milieu des montagnes, où ils sont accueillis par quatre personnages énigmatiques : le confédéré, le mexicain, le cowboy et le court-sur-pattes. Alors que la tempête s’abat au-dessus du massif, l’auberge va abriter une série de tromperies et de trahisons. L’un de ces huit salopards n’est pas celui qu’il prétend être ; il y a fort à parier que tout le monde ne sortira pas vivant de l’auberge de Minnie… | |||||
Interdit aux moins de 12 ans avec avertissement Fiche technique : Récompenses : 1 nomination Distributeur : SND Budget : 44 000 000 $ Année de production : 2015 Langue : 02 Anglais Colorimétrie : Couleur Type de film : Long-métrage N° de Visa : 143681 Secrets de tournage : Une première affiche en référence à John Ford La première affiche dévoilée pour le film (la diligence laissant une traînée de sang) est en référence directe avec l'affiche du western La Chevauchée fantastique, le classique signé du maître John Ford avec John Wayne. Le scénario avait fuité ! En janvier 2014, Tarantino annonçait que le scénario de son western "The Hateful Eight" était terminé. Quelques jours plus tard, il déclarait au site Deadline qu'il renonçait à réaliser le film car son scénario avait fuité sur internet. A l'époque, le réalisateur déclarait au média : "Je suis très très déprimé. J'avais terminé le scénario, un premier jet, et je n'avais pas l'intention de le réaliser avant l'hiver prochain, dans un an. Je l'avais confié à six personnes, et apparemment il est sorti sur la place publique." Il avait ajouté : "Je ne ferai pas ce film. Je vais publier le scénario, et c'est tout pour le moment. Je l'ai confié à six personnes, et si je ne peux pas leur faire confiance, je n'ai aucune envie de le faire. Je le publierai. J'en ai assez. Je vais passer à autre chose". Une lecture publique du scénario Après la fuite de son scénario, Quentin Tarantino a organisé une lecture publique à Los Angeles, une séance à laquelle Bruce Dern, Kurt Russell, Samuel L. Jackson, Michael Madsen et le frenchy Denis Menochet ont participé pour interpréter les personnages. Cinq chapitres pour les "Huit salopards" Après qu'il a filtré, le scénario a commencé a être détaillé sur le net. Le site TheWrap avait pu mettre la main sur un exemplaire. Selon le site, le long métrage devait être tourné en 70mm et être découpé en 5 chapîtres : "Last Stage to Red Rock" ("Dernière escale à Red Rock"), "Son of a Gun" ("Fils de flingue"), "Minnie's" ("Chez Minnie"), "The Four Passengers" ("Les Quatre passagers"), "Black Night, White Hell" ("Nuit blanche, enfer noir"). Un film... ou une pièce de théâtre ? Au Festival de Cannes 2014, Quentin Tarantino avait déclaré à propos des Huit salopards : "Je suis en train de finir une deuxième version, et je vais en écrire une troisième. (...) J'ai le temps et peut-être que je vais en faire un film ou une pièce. Je ne sais pas." Finalement, au cours de l'été, le réalisateur a changé d'avis et la pièce n'a jamais vue le jour. Tournage en hiver Le film a été tourné dans les Rocheuses et plus précisément aux alentours de la petite ville de Telluride dans la partie sud-ouest de l'État du Colorado. L’endroit a été choisi pour ses paysages grandioses et immaculés. En ce qui concerne la mercerie de Minnie, elle a été construite dans la ferme familiale des Schmid à Wilson Mesa, à 10 km de Telluride. Le côté sauvage de ces lieux a été idéal pour y filmer ce western violent. Tarantino revendique l'influence des séries western des années 60 Quentin Tarantino ne cesse de surprendre. Pour preuve, le metteur en scène a expliqué que ses principales sources d'inspiration pour The Hateful Eight se situent moins du côté du cinéma que de celui des séries western des années 1960, comme Bonanza, The Virginian et The High Chaparral ! Ces séries comprennent en effet plusieurs épisodes dans lesquels des hors-la-loi prennent en otage les personnages principaux, le tout se déroulant en huis-clos dans un refuge isolé au fin fond de l'ouest américain le plus sauvage : Parlons argent ! Le budget de Les Huit salopards est estimé à 44 millions de dollars, ce qui est moins que le précédent western de Quentin Tarantino Django Unchained qui en avait coûté 100 (c'est son film le plus cher). A titre de comparaison, Inglourious Basterds a été conçu pour 75 millions et Pulp Fiction 8. Pressenti(e)s Plusieurs comédiens et comédiennes ont été pressentis pour jouer dans ce nouveau film de Tarantino. Christoph Waltz a ainsi été considéré pour le rôle de John 'The Hangman' Ruth (Kurt Russell), tout comme Michelle Williams, Robin Wright, Geena Davis, Evan Rachel Wood, Hilary Swank et Demi Moore pour celui de Daisy Domergue qui revint à Jennifer Jason Leigh. Viggo Mortensen, un acteur très habitué au western, a lui aussi été sollicité, mais pour des raisons d'emplois du temps a dû refuser : "Il voulait commencer le tournage à la fin de l'année et faire des répétitions avant, ce que je ne pouvais faire en terme de planning", explique-t-il. Retrouvailles Quentin Tarantino est un réalisateur qui aime s'entourrer de comédiens qu'il connait bien. Il le prouve une fois de plus avec Les Huit salopards dans lequel il retrouve Samuel L. Jackson pour la quatrième fois après Pulp Fiction, Jackie Brown et Django Unchained ; Kurt Russell pour la deuxième fois après Boulevard de la mort ; Tim Roth également pour la deuxième fois après Pulp Fiction ou encore l'indémodable Mr. Blond pour la troisième fois après Reservoir Dogs et Kill Bill: Vol. 2. La chanson de la BA La chanson que l'on entend dans la bande-annonce du film est "Same Ol'" du groupe 02 Anglais The Heavy qui est très prisé par le petit et le grand écran depuis la sortie du premier de ses trois albums, en septembre 2007. Son titre "What Makes A Good Man ?" avait par exemple été entendu dans Match Retour et la bande-annonce de Dallas Buyers Club. 2 versions pour le western Les Huit salopards sortira dans une version longue pour les salles projetant le format 70 mm. Les spectateurs se rendant dans les salles projetant cette version (le format original utilisé par Tarantino pour ce western) auront droit à une version longue agrémentée de quelques minutes supplémentaires contenant "une introduction et un entracte et fera en tout 3 heures et 2 minutes", tandis que la version destinée notamment aux multiplex sera plus courte de "6 minutes" très exactement.L'expérimentation de Tarantino avec le format 70 mm est une tentative pour combattre l'avancée inexorable du format digital, au tournage et à la projection. Problème de météo ! Le tournage avait besoin d'une tempête de neige qui a tardé à tomber du fait d'un hiver anormalement doux. L'équipe était tellement en attente de cette tempête que plusieurs de ses membres ont participé à une sorte de cérémonie locale en compagnie d'employés de stations de sports d'hiver au cours de laquelle des skis ont été brûlés pour invoquer une chute de neige. Ultra Panavision 70mm Dans le but de restituer au mieux les paysages neigeux de l'Ouest américain et rendre compte de l'intimité des intérieurs, Les Huit salopards a été tourné en Ultra Panavision 70mm, un format utilisé pour la dernière fois en 1966 pour le film Khartoum. Ce format nécessite des objectifs anamorphiques permettant d'obtenir une image très large comme on a pu le voir dans Les Révoltés du Bounty, Un monde fou, fou, fou, fou, La Plus grande histoire jamais contée et La Bataille des Ardennes.Pour ce, un important travail de restauration de matériel ancien a été entrepris : quinze vieux objectifs ont ainsi été trouvés (dont certains avaient servi pour la séquence de char de Ben Hur !) et il a ensuite fallu les remettre en état de marche et les adapter aux caméras actuelles. |
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Impitoyable | Unforgiven | USA | 1992 | Aventure | 131 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 25/07/2013 | |
Clint Eastwood | Clint Eastwood (William Munny), Gene Hackman (Little Bill Daggett), Morgan Freeman (Ned Logan), Jaimz Woolvett (The 'Schofield Kid'), Saul Rubinek (W.W. Beauchamp), Richard Harris (English Bob), Frances Fisher (Alice), Anna Thomson (Delilah Fitzgerald), David Mucci (Mike), Rob Campbell (Davey Bunting), Anthony James (Skinny), Tara Frederick (Sue), Beverley Elliott (Silky), Liisa Repo-Martell (Foi), Jeremy Ratchford (Adjoint Andy Russell), Shane Meier (Will Munny Jr), Ron White (Clyde Ledbetter), Ben Cardinal (Johnny Foley), Jefferson Mappin (Fatty Rossiter), Robert Koons (Crocker), Micheal Charrois (Wiggens), Larry Reese (Tom Luckinbill), Lochlyn Munro (Texas Slim), John Pyper-Ferguson (Charley Hecker), Frank C. Turner (Fuzzy), Phil Hayes (Lippy MacGregor), Greg Goossen (Combattant), Larry Joshua (Bucky), Walter Marsh (Coiffeur), Michael Maurer (Train person #3), Mina E. Mina (Muddy Chandler), Paul McLean (Train person #1), Cherrilene Cardinal (Sally Two Trees), Aline Levasseur (Penny Munny), Anna Levine (Delilah Fitzgerald), Blair Haynes (Paddy McGee), Buddy Beavers (Extra), Sam Karas (Acteur), William Davidson (Acteur), Josie Smith (Actrice), Henry Kope (Acteur), George Orrison (Acteur), Garner Butler (Acteur), James Herman (Acteur). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=7663.html | |||||
Kansas 1880. William Munny, redoutable hors-la-loi reconverti dans l'élevage va, à la demande d'un jeune tueur, reprendre du service pour venger une prostituée défigurée par un cow-boy sadique. | |||||
Note de la presse : 4,8/5 Fiche technique : Récompenses : 7 prix et 12 nominations Box Office France : 801 320 entrées Distributeur : Warner Bros. France Budget : 14 400 000 $ Année de production : 1992 Langue : 02 Anglais Date de sortie DVD : 19 mai 2011 Date de sortie Blu-ray : 19 mai 2011 Colorimétrie : Couleur Type de film : Long-métrage Secrets de tournage : |
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Roméo Doit Mourir | Romeo Must Die | USA | 1999 | Aventure | 115 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 13/01/2007 | |
Andrzej Bartkowiak | Jet Li (Han Sing), Aaliyah (Trish O'Day), Isaiah Washington (Mac), Russell Wong (Kai), DMX (Silk), Delroy Lindo (Isaak O'Day) | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=25960.html | |||||
Le controle du port d'Oakland et la revente de ses entrepots sont au centre d'une guerre que se livrent le clan afro-americain d'Isaak O'Day et la famille Sing. Apres plusieurs mois d'affrontements, la tension monte d'un cran avec l'assassinat du jeune Po, fils cadet de Chu Sing. Emprisonne dans un penitencier de Hong Kong, Han Sing s'evade des qu'il apprend la mort de son frere, qu'il s'etait jure de proteger. A Oakland, son enquete l'oriente vers Trish, la fille de O'Day, dont il tombe amoureux. | |||||
Fiche technique : Budget : 25 millions de $ Box Office France : 417 583 entrées N° de visa : 99788 Couleur Format du son : Dolby numérique Format de projection : 2.35 : 1 Cinémascope Format de production : 35 mm Tourné en : 02 Anglais Secrets de tournage : Ce comédien est apparu dans La Rançon (Ron Howard, 1996), Une Vie Moins Ordinaire (Danny Boyle, 1997) et L'Associé du Diable (Taylor Hackford, id.), L'?uvre de Dieu, la part du diable (Lasse Hallström, 2000) et 60 secondes chrono (Dominic Sena).Delroy Lindo a joué sous la direction de John Woo (Broken Arrow, 1996), de Bob Rafelson (Feeling Minnesota, id.) et de Spike Lee (Malcolm X en 1992 et Crooklyn en 1994). |
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Arsène Lupin | Arsène Lupin | France | 2003 | Aventure | 130 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 07/05/2005 | |
Jean-Paul Salomé | Kristin Scott Thomas , Romain Duris , Pascal Greggory , Eva Green , Robin Renucci | ||||
http://cinema.tiscali.fr/fichefilm.aspx?id=FI015363&file=http | |||||
Arsène Lupin est fils d'une aristocrate et d'un professeur de savate, voleur impénitent. Un jour, arrêté par la police, ce dernier se fait tuer. Des années plus tard, Arsène Lupin est lui-même un voleur qui s'amuse à détrousser de riches nobles. Un jour, il renoue avec sa cousine Clarisse. Elle l'emmène chez elle. Là, Arsène va découvrir un complot royaliste qui cherche à mettre la main sur le trésor des rois, caché depuis des décennies. Lupin fait également la connaissance de la comtesse de Cagliostro, que les royalistes prennent pour une démone. A ses côtés, Arsène décide de se mettre en quête lui aussi du trésor perdu. Pour cela, il lui faut trouver trois crucifix en or... | |||||
GENTLEMAN CABOTINEUR ARSENE LUPIN souffre de ce que l'on pourrait appeler le syndrome PACTE DES LOUPS. Comme pour le film de Christophe Gans, l'équipe de Jean-Paul Salomé n'a pas voulu faire simplement confiance à son sujet. Et plutôt que de se reposer sur un personnage mythique et attachant, tout le monde s'est évertué à en ajouter le plus possible. Et ce, aussi bien au niveau du scénario, que du montage, et de la mise en scène. Alors, dans ARSENE LUPIN, qui est bien plus mauvais que LE PACTE DES LOUPS, on a à peine le temps de souffler. Les scènes d'action se succèdent sans s'arrêter, épuisant et perdant totalement le spectateur face à des enjeux compliqués à l'excès, dont on finit par se désintéresser. On s'accroche donc à ce que l'on peut, comme le plaisir évident de Romain Duris d'enfiler autant de déguisements sur une si petite durée. Mais le comédien d'EXILS cabotine tellement qu'il en renverrait presque Belmondo au rayon des acteurs intimistes ! ARSENE LUPIN est mieux que BELPHEGOR, le précédent long métrage de Salomé. Mais on est encore bien loin du film réussi ou ne serait-ce que divertissant. Mcinema.com (Camille Brun) |
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Explorers | Explorers | USA | 1985 | Aventure | 109 min. |
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Vu mais non dispo | 01 Français | 14/08/2020 | ||
Joe Dante | Robert Picardo, James Cromwell, Dana Ivey, Danny Nucci, Robert F. Boyle, Mary Kay Place, Taliesin Jaffe, Brooke Bundy | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=1125.html | |||||
Passionné de science-fiction, le jeune Ben Crandall souhaite plus que tout au monde rencontrer des extra-terrestres. Une nuit, le garçon fait un rêve étrange concernant un vaisseau spatial. Le lendemain, il décide de construire cet appareil volant avec son ami Wolgang, génie en herbe. Une fois l’engin élaboré, les apprentis astronautes partent à la découverte de l’espace sans se douter de l’accueil que leur réserve les autres planètes. | |||||
Joe Dante, le papa des Gremlins, réalise un film assez ennuyeux, qui ne vaut que pour les débuts d'Ethan Hawke et de River Phoenix. |
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Lucky Luke | Lucky Luke | France | 2009 | Aventure | 104 min. |
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Disponible | 01 Français | 01 AVI | 08/01/2011 | |
James Huth | Jean Dujardin (Lucky Luke), Michaël Youn (Billy The Kid), Sylvie Testud (Calamity Jane), Daniel Prévost (Pat Poker), Alexandra Lamy (Belle), Melvil Poupaud (Jesse James), Jean-François Balmer (Cooper), André Oumansky (Le Président), Gabriel Corrado (Le Père De Luke), Pompeyo Audivert (Le Croque-Mort), Atilio Pozzobon (Le Barman), Alberto Laiseca (Dick Digger), Mathias Sandor (Luke, Jeune), Carolina Prisno (La Mère De Luke), Carlos Kaspar (Hank, Le Gardien), Mirta Wons (Madame Flimsey), Jorge Noya (Monsieur Flimsey), Claudio Weppler (Phil Defer), Horacio Marassi (Le Colonel Mcstraggle), Yann Sarfati (Le Cavalier De Mcstraggle), Chloé Jouannet (Eleanor), Kalena Bojko (Actrice), La Pachamama (La Déesse De La Nature), Daniel Campomenosi (Le Docteur Doxey), Alejandro Zanga (Tetenfer), Kazuomi Takagi (Ming Li Fu), Alejandro Wainstock (Le Jeune Gardien), Luciano Cáceres (Un Homme De Main), Joaquín Berthold (Un Homme De Main), Marcelo Zamora (Un Homme De Main), Daniel Davala (Un Homme De Main), Martin Kohan (Un Homme De Main), Orlando Nicodemes Vera (Un Tricheur), Mariana Suarez (Une Tricheuse), Santiago Rios (Le Desperado Chapelier), Diego Martinsen (L'Imprimeur), Carlos Da Silva (Le Maître D'Hôtel Cooper), Oscar Kramer (Un Politicien), Jorge Carlos Linari (Un Politicien), Roman Chapolski (Un Politicien), Marcio Mansilla (Le Garçon De La Diligence), Sanckon Sane (L'Huissier Du Train), Paul De Fisser (Un Homme Du Président), Kinda Le Parc (Un Homme Du Président), Henry Fonda (Ii) (Le Peintre Émérite), Javier Castillo ('T'As Trop De Chance'), Eugenia Zubiri (Une Saloon Girl), Maria Zubiri (Une Saloon Girl), Daniela Catz (Une Saloon Girl), Andrew Colter (Le Majordome), Patrick Aduma (Le Pianiste De Calamity), Zelie-Jean Huth (La Fillette De La Diligence), Winston Huth (Le Joueur De Tambour), Gregor Bonnell Shillito (Le Porteur D'Étoile), Shannon Renaudeau Shillito (La Jeune Maîtresse), Bruno Salomone (Jolly Jumper (Voix)). | ||||
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=125611.html | |||||
Au cours de sa mission à Daisy Town, la ville qui l'a vu grandir, Lucky Luke, ''l'homme qui tire plus vite que son ombre'', va croiser Billy The Kid, Calamity Jane, Pat Poker, Jesse James et Belle... | |||||
Note de la presse : 2/5 Note des spectateurs : 2/5 (Pour 2708 notes : 6 % de *****, 10 % de ****, 20 % de ***, 10 % de **, 55 % de *) Fiche technique : Box Office France : 1 865 726 entrées Budget : 27 000 000 euros N° de visa : 121503 Couleur Format de production : 35 mm Tourné en : Français Secrets de tournage : L'adaptation d'une BD culte Lucky Luke est l'adaptation sur grand écran des bandes dessinées Les Aventures de Lucky Luke, oeuvre culte créée par Morris et René Goscinny. Lucky Luke en live sur grand écran : deuxième Le Lucky Luke de James Huth est le deuxième long métrage live mettant en vedette l'homme qui tire plus vite que son ombre, dix-neuf ans après la version de Terence Hill. A noter que les aventures du cow-boy solitaire qui tire plus vite que son ombre ont également été adaptées en dessin animé, à la fois sur grand (Tous à l'Ouest : une aventure de Lucky Luke) et petit écran. James Huth / Jean Dujardin : les retrouvailles ! Lucky Luke marque les retrouvailles du réalisateur James Huth avec l'acteur Jean Dujardin, après Brice de Nice et Hellphone, dans lequel l'acteur jouait... Brice. Pourquoi Dujardin ? James Huth, réalisateur de Lucky Luke, explique pourquoi il a choisi Jean Dujardin, avec qui il avait déjà tourné deux fois, pour incarner le cow-boy solitaire sur grand écran : "Jean est un homme les pieds sur terre, droit dans ses bottes, avec un vrai côté ténébreaux. Cette ame de "lonesome cowboy" existe réellement chez lui." Quand Jean Dujardin devient Lucky Luke Jean Dujardin se souvient du jour où il a enfilé pour la première fois le costume de Lucky Luke : "Mes jambes se sont naturellement arquées, c'était marrant. Je me suis regardé, et j'ai eu la sensation que ça allait marcher. Que je pouvais être un cow-boy, et pourquoi pas Lucky Luke." James Huth et Lucky Luke James Huth, le réalisateur de Lucky Luke, est un grand fan de la BD d'origine. Il se souvient : "Je me revois, à la sortie de l'école, foncer au kiosque acheter les images Panini que je collais dans mon album "Lucky Luke". C'était ma BD. J'aimais aussi "Tintin" et "Astérix", bien sûr, mais il y avait quelques chose dans "Lucky Luke" qui me parlait plus que tout. Ce mélange de cultures, ce personnage en plein milieu de deux univers... Un western américain, mais complètement français. Tellement d'éléments me correspondaient dans cette histoire..." Un "vrai héros français" Pour le réalisateur James Huth, "Lucky Luke n'est pas un pastiche, une parodie de John Ford ou de Sergio Leone. C'est une "comédie western d'aventure", dans cet ordre-là. Je trouve que l'on manque de héros en France et le film offrait l'occasion de poser un vrai héros français. C'était très important pour moi." Un fantasme de gosse qui se réalise "Jouer au cow-boy" était un véritable fantasme pour Jean Dujardin. Il raconte : "Quand, pour te préparer au duel, tu demandes que l'on te mette la musique, sur le plateau, de "Mon nom est personne", évidemment, c'est du pur plaisir de môme. Comme lorsque je marche au bord de la piscine dans OSS 117 et que j'avais demandé à ce que l'on joue la musique du "Magnifique" sur le tournage. Un autre plaisir était d'arriver dans le décor de Daisy Town, et d'arpenter les rues d'une vraie ville de cow-boys. Je regadais les détails comme un enfant, je n'en revenais pas que ce soit du faux. C'est pour cela que l'on fait du cinéma : pour y croire. Et là, j'y croyais totalement." Comment donner vie à Lucky Luke ? James Huth, le réalisateur de Lucky Luke, explique comment il a concrétisé à l'image l'univers de Lucky Luke : "Il fallait extraire l'âme de la bande dessinée et la traduire en émotions, pour adapter "Lucky Luke" au cinéma sans le trahir. Lucky Luke a une mèche, est habillé en jaune, blanc, bleu, rouge... C'est la mire télé, ce type ! En plus, il ne fume plus, a juste un brin d'herbe au coin de la bouche. Dur pour un cow-boy... Comment faire pour qu'il ne paraisse pas ridicule ? Nous avons énormément travaillé sur les costumes. L'équilibre des matières, des couleurs, de la patine des vêtements devait asseoir le héros dans son époque et nous raconter sa vie. Il transporte son histoire avec lui, sur lui." Préparation physique Pour incarner le personnage de Lucky Luke, Jean Dujardin, complètement novice dans le domaine, a appris à monter |