Catalogue généré le 10/06/2024 à 01:05:51 avec Ant Movie Catalog - Total: 11 films.

Liste de films sélectionnés à voir par genre et titre


Action | Animation | Aventure | Comédie | Comédie dramatique | Documentaire | Drame | Fantastique | Horreur | Policier | Science-fiction | Thriller

Action Ip Man 4 : Le dernier combat Yip Man 4 Chine/Hong-Kong 2019 105 [Disponible]
Aventure Apocalypto Apocalypto USA 2006 138 [Disponible]
Comédie Bottle Rocket Bottle Rocket USA 1996 92 [Disponible]
Comédie Brooklyn Boogie Blue in the Face USA 1995 85 [Disponible]
Comédie Kika Kika Espagne 1993 114 [Disponible]
Comédie Prof pas comme les autres 2 (un) Fack ju Göhte 2 ++ Autres 2015 115 [Disponible]
Drame Cria Cuervos Cria Cuervos Espagne 1976 112 [Disponible]
Horreur Carrie au bal du diable Carrie USA 1976 98 [Disponible]
Horreur Wishmaster Wishmaster USA 1997 87 [Disponible]
Science-fiction Excellente Aventure de Bill et Ted (l') Bill & Ted's Excellent Adventure USA 1989 90 [Disponible]
Science-fiction Solaris Solaris ++ Autres 1972 165 [Disponible]

 

Détail des films

Titre traduit (Titre original)
Affiche
Genre Pays Année Durée
Réalisateur Acteurs
Adresse Web
Synopsis
Critique
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Ip Man 4 : Le dernier combat (Yip Man 4)

1420
Action Chine/Hong-Kong 2019 105 min.
Wilson Yip Donnie Yen, Scott Adkins, Danny Kwok-Kwan Chan, Vanness Wu, Yue Wu, Chris Collins (LV), Jim Liu, Kent Cheng
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=250664.html
Synopsis :

Dans le dernier opus de la saga mythique, Ip Man se rend aux Etats-Unis à la demande de Bruce Lee afin d'apaiser les tensions entre les maîtres locaux du Kung-fu et son protégé. Il se retrouve très vite impliqué dans un différend raciste entre les forces armées locales et une école d'arts martiaux chinoise établie dans le quartier de Chinatown à San Francisco. Dans une apothéose de combats ultra-maîtrisés, avec la grâce et la sérénité qui le caractérisent, Donnie Yen donne vie, pour la première fois sur grand écran en France, au légendaire maître chinois de Wing Chun. 
Critique :

Parce qu’il apporte une conclusion épique et techniquement aboutie à une des plus spectaculaires et attachantes sagas martiales de ces dernières décennies, "Ip Man 4 : Le Dernier Combat" est appelé à rester comme l’un des grands spectacles de 2020, à ne rater sous aucun prétexte.
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Apocalypto (Apocalypto)

806
Aventure USA 2006 138 min.
Mel Gibson Rudy Youngblood, Raoul Trujillo, Dalia Hernández, Jonathan Brewer, Morris Birdyellowhead, Carlos Emilio Baez, Ramirez Amilcar, Israel Contreras
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=61676.html
Synopsis :

Dans les temps turbulents précédant la chute de la légendaire civilisation Maya.Jeune père porteur de grandes espérances, chef de son petit village, Patte de Jaguar vit une existence idyllique brusquement perturbée par une violente invasion. Capturé et emmené lors d'un périlleux voyage à travers la jungle pour être offert en sacrifice aux Dieux de la Cité Maya, il découvre un monde régi par la peur et l'oppression, dans lequel une fin déchirante l'attend inéluctablement. Poussé par l'amour qu'il porte à sa femme, à sa famille et à son peuple, il devra affronter ses plus grandes peurs en une tentative désespérée pour retourner chez lui et tenter de sauver ce qui lui tient le plus à coeur.
Critique :

« Liik’sa wo’ol, tukle’e yaan a muuk ». Ainsi s’exprimaient les Mayas. Si le nom de Maya n’évoque pour vous rien d’autre qu’une petite abeille espiègle et colorée passez votre chemin car loin d’adapter la BD de Waldemar Bonsels, Mel Gibson nous emmène à la découverte d’une civilisation cinq fois millénaire. Si l’on passe facilement outre l’intrigue plutôt quelconque, la découverte de cette culture ancestrale est une première au cinéma. Impossible de ne pas savourer le dépaysement, de se dire qu’on n’a jamais rien vu de tel. Bien sûr, les dialogues en langue maya y sont pour quelque chose, mais la peinture d’ensemble donne une coloration unique au film. Ce voyage vers un ailleurs sauvage et sanglant a, malgré de nombreux défauts, des atouts pour séduire.
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Bottle Rocket (Bottle Rocket)

885
Comédie USA 1996 92 min.
Wes Anderson Owen Wilson, Luke Wilson, Rob Lowe, Andrew Wilson, James Caan, Teddy Wilson, Janie Tooley, Lumi Cavazos
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=39496.html
Synopsis :

A peine sortie de l'hôpital où il était traité pour dépression, Anthony rejoint son ami Dignan. Les deux hommes imaginent un plan de casse. Ils décident d'aller demander l'aide de Mr. Henry.
Critique :

On retrouve dans cette œuvre de jeunesse de Wes Anderson son goût pour les excentriques socialement ineptes, son regard plein de bienveillance pour ses personnages et sa vision très "zen" des aléas de l'existence. Tous ces éléments font de Bottle Rockett une expérience cinématographique pleine d'authenticité et de charme. En revanche, sur le plan technique, ce premier long-métrage n'est pas aussi travaillé que ces successeurs et souffre d'un rythme placide qui ne plaira pas à tous les spectateurs. Cela n'en reste pas moins une comédie touchante, doublée d'une belle réflexion sur l'amour et l'amitié.
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Brooklyn Boogie (Blue in the Face)

1127
Comédie USA 1995 85 min.
Wayne Wang Harvey Keitel (VF : Bernard-Pierre Donnadieu) : Auggie Wren
Victor Argo (VF : Michel Fortin) : Vinnie
Giancarlo Esposito (VF : Greg Germain) : Tommy Finelli
Lou Reed (VF : Michel Papineschi) : L'homme aux étranges lunettes
Mel Gorham : Violet
Jim Jarmusch : Bob
Roseanne Barr (VF : Monique Thierry) : Dot
Jared Harris : Jimmy Rose
Malik Yoba (VF : Emmanuel Jacomy) : Le vendeur de montres
Stephen Gevedon : Dennis
José Zúñiga : Jerry
Michael J. Fox (VF : Vincent Violette) : Pete Maloney
Peggy Gormley : Sue
Lily Tomlin : La mangeuse de gaufres
Madonna (VF : Marie-Christine Darah) : Le télégramme chantant
Mira Sorvino (VF : Rafaele Moutier) : La jeune femme volée
Keith David : Jackie Robinson
RuPaul : Le danseur dans la rue
Sharif Rashed : Le gamin voleur de sac
https://fr.wikipedia.org/wiki/Brooklyn_Boogie
Synopsis :

Se situant dans la continuité immédiate de Smoke, Brooklyn Boogie n'en constitue pas véritablement la suite. Ce film se présente comme un défilé de personnages hauts en couleurs (et parfois très connus), à l'intérieur du débit de tabac tenu par Auggie Wren (voir Smoke). Tourné en quelques jours, il est cependant le résultat de plusieurs mois de montage, et reflète l'affection particulière de l'écrivain américain Paul Auster pour le quartier de Brooklyn et ses habitants.
Critique :

Entre fiction et documentaire, Brooklyn Boogie est un hommage au plus grand quartier de New York. C'est aussi un film très drôle, grâce aux personnages loufoques qui vont et viennent dans le bureau de tabac d'Auggie, toujours brillamment interprété par Harvey Keitel. C'est un pur chef d'oeuvre, qui rend de bonne humeur et qu'il faut regarder détendu, en se passant de réflexion...
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Kika (Kika)

446
Comédie Espagne 1993 114 min.
Pedro Almodóvar Veronica Forque (Kika), Victoria Abril (Andrea Caracortada), Peter Coyote (Nicholas), Rossy De Palma (Juana), Alex Casanovas (Ramón), Santiago Lajusticia (Pablo), Anabel Alonso (Amparo), Bibiana Fernández (Susana), Manuel Bandera (Chico Carretera), Charo Lopez (Rafaela), Francisca Caballero (Doña Paquita).
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=9113.html
Synopsis :

Galerie de personnages contradictoires dont Kika, naïve ingénue sans la moindre once d'orthodoxie est le personnage central.
Critique :

Interdit aux moins de 12 ans


Note des spectateurs : 3/5 (Pour 289 notes : 10 % de *****, 28 % de ****, 31 % de ***, 3 % de **, 28 % de *)

Fiche technique :

Couleur
Format du son : Dolby
Format de projection : 1.85 : 1
Format de production : 35 mm
Tourné en : Espagnol
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Prof pas comme les autres 2 (un) (Fack ju Göhte 2)

1149
Comédie ++ Autres 2015 115 min.
Bora Dagtekin Elyas M'Barek, Karoline Herfurth, Katja Riemann, Jana Pallaske, Volker Bruch, Alwara Höfels, Jella Haase, Lena Klenke
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=226145.html
Synopsis :

Zeki Müller (Elyas M'barek) est toujours prof au Lycée Goethe et toujours amoureux d'Elisabeth "lisi" Shnabelstedt (Karoline Herfurth). Gudrun, la proviseur, (Katja Riemann) est en concurrence avec Erika, la proviseur du lycée Shiller. Toutes deux veulent gagner la campagne de "Lehrer Werden" traduit littéralement par "Devenir Enseignant" qui ferait un gros coup de pub pour le lycée gagnant. Pour honorer son image, Schiller envoie des dons pour des petits Thaïlandais et soutient une école partenaire. Un jour Zeki apprend la mort d'un de ses complices lors du casse qu'il a fait 14 mois plus tôt. Le défunt avait laissé une lettre pour Zeki :

"Au cas où je ne sortirais pas vivant d'ici sache que le butin est dans ton réservoir."

Zeki prend donc le butin, mais il doit attendre que les 3ème B passent leur BAC et après il pourra avoir son bar qu'il veut s’offrir. En attendant il décide de cacher les diamants dans la mascotte du lycée qui comporte une fermeture à l'arrière. Lisi va alors prendre toutes les peluches pour les mettre dans le conteneur en direction de la Thaïlande. Zeki va donc vouloir organiser un voyage en Thaïlande pour récupérer son magot.
Critique :

«Un prof pas comme les autres» ayant connu le succès en Allemagne, pas étonnant donc que les producteurs et l'équipe aient rapidement mis une suite en chantier. Zeki Müller, le truand devenu professeur, est donc de retour, dans une comédie du même niveau que le premier opus. Quelques gags font en effet mouche, mais le tout n'est guère marquant.
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Cria Cuervos (Cria Cuervos)

456
Drame Espagne 1976 112 min.
Carlos Saura Géraldine Chaplin (La Mère D'Ana Et Ana Adulte), Ana Torrent (Ana), Conchita Perez (Irène), Mayte Sanchez (Juana), Monica Randall (Paulina), Florinda Chico (Rosa), Hector Alterio (Anselmo), Josefina Diaz (La Grand-Mère), German Cobos (Nicolas Garontes), Mirta Miller (Amelia Garontes).
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=160.html
Synopsis :

Ana, 9 ans, ne dort plus la nuit dans la grande maison madrilène familiale. Ses parents sont morts récemment. Sa mère s'est éteinte de chagrin et de dépit amoureux, son père a succombé à une maîtresse vengeresse.Témoin de ces deux morts malgré elle, Ana refuse le monde des adultes et s'invente son univers. Elle s'accroche à ses rêves et ses souvenirs pour faire revivre sa mère et retrouver son amour. Elle remplit son quotidien de jeux qu'elle partage avec ses soeurs.
Critique :

Récompensé à Cannes
Cria Cuervos a obtenu le Grand Prix Spécial du Jury au Festival de Cannes en 1976.

Porque te vas
Composée en 1974 par Jose Luis Perales, la chanson Porque te vas ne connaitra le succès populaire que grâce à son utilisation dans le film. Interprétée par la chanteuse Jeanette, elle devint rapidement l'une des chanons les plus célèbres du Septième Art.

Nourris les corbeaux...
Le titre du film provient du proverbe espagnol "Cria cuervos que te sacaran los ojos" qui signifie "Nourris les crobeaux, ils te crèveront les yeux".

Le refuge d'Ana
Le réalisateur Carlos Saura évoque le personnage d'Ana : "Anne est une petite fille sensible et particulièrement réceptive ; face à l'agression du monde des adultes, elle s'est fabriqué un univers personnel à part pù seuls trouvent place des êtes conformes à ce qu'elle attend d'eux. Dans cet univers, la réalité englove des souvenirs qui ont la présence de l'actualité, des désirs et des hallucinations qui se confondent avec le quotidient."
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Carrie au bal du diable (Carrie)

662
Horreur USA 1976 98 min.
Brian De Palma Sissy Spacek (Carrie White), Piper Laurie (Margaret White), Amy Irving (Sue Snell), William Katt (Tommy Ross), John Travolta (Billy Nolan), Nancy Allen (Chris Hargenson), Betty Buckley (Miss Collins), P.J. Soles (Norma Watson), Priscilla Pointer (Madame Snell), Sidney Lassick (M. Fromm), Stefan Gierasch (Le principal Morton), Cameron De Palma (Le garçon sur le vélo), Edie McClurg (Helen), Michael Talbott (Freddy), Doug Cox (The Beak), Noelle North (Freida), Anson Downes (Ernest).
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=2352.html
Synopsis :

Tourmentée par une mère névrosée et tyrannique, la vie n'est pas rose pour Carrie. D'autant plus qu'elle est la tête de turc des filles du collège. Elle ne fait que subir et ne peut rendre les coups, jusqu'à ce qu'elle ne se découvre un étrange pouvoir surnaturel.
Critique :

Interdit aux moins de 16 ans

Note de la presse : 4,3/5

Fiche technique :

Récompenses : 2 nominations
Budget : 1 800 000 $
Année de production : 1976
Date de reprise : 4 avril 2001
Langue : Anglais
Date de sortie DVD : 17 juin 2003
Format de production : 35 mm
Format audio : Mono
Colorimétrie : Couleur
Format de projection : 1.85 : 1
Type de film : Long-métrage

Secrets de tournage :
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Wishmaster (Wishmaster)

1433
Horreur USA 1997 87 min.
Robert Kurtzman Tammy Lauren, Andrew Divoff, Robert Englund, Chris Lemmon, Richard Assad, Kane Hodder, Verne Troyer, Joseph Pilato
https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=17865.html
Synopsis :

Au XIIe siècle, au terme d'un terrifiant massacre, le Djinn, entité diabolique et collectionneuse d'âmes, née avant le monde, a été emprisonné dans une opale de feu. Mais après huit cents ans de sommeil voilà qu'il réapparaît à Los Angeles sous les traits du suave et sophistiqué Nathaniel Demarest. Il part à la recherche d'Alexandra Amberson, scientifique qui l'a délivré malgré elle. Il rêve d'ajouter son âme à sa collection.
Critique :

Brrr ce film est vachement gore pour l'époque ; ça commence vraiment fort et le monstre est vraiment démoniaque. Film est à voir. La fin est bien pensée.
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Excellente Aventure de Bill et Ted (l') (Bill & Ted's Excellent Adventure)

1009
Science-fiction USA 1989 90 min.
Stephen Herek Keanu Reeves, Alex Winter, George Carlin, Tony Steedman, Dan Shor, Terry Camilleri, Diane Franklin, Kimberley Kates
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=32762.html
Synopsis :

Bill et Ted sont des cancres au collège. Mais avec l'aide de Rufus, ils ont mis au point une machine à voyager dans le temps sous la forme d'une cabine téléphonique. Ils naviguent ainsi dans l'histoire et le futur à la rencontre d'embûches et aventures diverses. Mais toujours ils arrivent à survivre grâce leur talent d'explorateurs.
Critique :

Film très con mais très bon. Drôle, bien rythmé et réalisé, on s'impressionne à chaque instant du budget laissé à une telle connerie (dans le bon sens du terme!) : voyez les batailles napoléoniennes et autres décors! Keanu Reeves trouve ici son meilleur rôle : et oui son regard vide lui sert enfin à quelque chose : il joue le rôle d'un demeuré !
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Solaris (Solaris)

1025
Science-fiction ++ Autres 1972 165 min.
Andreï Tarkovski Natalya Bondarchuk (Khari), Donatas Banionis (Kris Kelvin), Jüri Järvet (Dr. Snaut), Anatoli Solonitsyne (Dr. Sartorius), Nikolai Grinko (Le père de Kelvin), Olga Barnet (La mère de Kelvin), Tamara Ogorodnikova (Tante Anna), Georgi Tejkh (Professeur Messenger)
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=1414.html
Synopsis :

La planète Solaris, recouverte d'un océan, a longtemps intrigué les chercheurs qui y ont installé une station. Faute de résultats concluants, le docteur Kris Kelvin, un homme bouleversé par le suicide de sa femme, y est envoyé afin de définir s'il faut fermer la station ou non. Sur place, il découvre l'équipe du laboratoire spatial pris par une folie à laquelle il risque de succomber lui-même.
Critique :

Souvent considéré comme l'une des plus importantes œuvres de science-fiction avec "2001 : l'odyssée de l'espace" de Kubrick (bien que les deux films soient différents), cette adaptation du livre de Stanislas Lem, "Solaris"par Andreï Tarkovski nous fait suivre un savant envoyé sur une énigmatique planète "Solaris" dont les expéditions passés ont mal tournées. Divisé en deux parties et commençant sur terre, démarre plutôt lentement, mais c'est d'ailleurs ce rythme lent (sans longueur inutile) qui permet de créer une fascination qui s'intensifie plus le récit avance. Peu à peu Tarkovski instaure un climat mystérieux, de plus en plus obsédant et troublant, notamment et surtout dans la deuxième partie où il joue avec les images, les rêves et la frontière du vrai et du faux. Il braque sa caméra sur le personnage de Kris Kelvin, à l'image du film très bien écrit, explorant ses doutes, sa mémoire ou encore son subconscient, montrant son évolution morale et psychologique. Il le rend attachant et à travers lui donne une dimension mélancolique avec un passé qui ne le quitte jamais, qui l'obsède et qui inconsciemment influe sur ses décisions et ses pensées. Il cherchera notamment à retrouver et réapprendre l'amour qui l'avait quitter et de la même manière, réapprendre la souffrance. Si le film est aussi fascinant et de plus en plus captivant, c'est aussi grâce à la superbe mise en scène, les décors et reconstitution assez froid ou encore cette musique obsédante, d'ailleurs, la maitrise de tous ses élément de la part de Tarkovski permet de nous offrir de magnifiques scènes. Donatas Banionis nous livre une intense composition, rajoutant une dimension émotionnelle à son personnage et le rendant attachant, notamment dans les scènes avec sa femme, interprété avec brio par Natalya Bondarchuk. Tarkovski nous livre une superbe œuvre de science-fiction qui, tout en nous donnant à réfléchir à l'image de cette ultime séquence sur différent thèmes aussi varié que la psychologie humaine, l'amour, la nature ou encore l'humanité, s'avère aussi fascinante que captivante.
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